HUMILIATION ET VISITE EN CLIENTELE———————————————————–Le lundi matin Manon se souvient que le DRH, un de ses deux souteneurs, lui a donnĂ© rendez-vous dans la chambre d’hĂ´tel lieu oĂą elle se prostitue en gĂ©nĂ©ral.Elle arrive en avance Ă l’hĂ´tel, elle demande le passe Ă la rĂ©ception et gagne la chambre dans laquelle elle s’affaire mais ne touche pas Ă la camĂ©ra miniature qu’elle dĂ©couvre sur un cadre, bien qu’elle sache qu’elle ne sera pas mise en route car Le DRH prudent et ne voulant pas salir sa rĂ©putation va Ă©viter d’ĂŞtre filmĂ©.Hors du champ de vision de celle-ci elle pose la sienne.Elle se dĂ©shabille puis attend allongĂ©e sur le lit.Un peu plus tard on frappe Ă la porte, en tenue d’Adam elle va ouvrir. Le DRH entre dans la chambre sans la saluer.- allez la putain, dĂ©pĂŞche toi, mon temps est prĂ©cieux -Manon ne perds pas de temps et commence Ă le dĂ©shabiller posant dĂ©licatement les vĂŞtements sur une chaise pour ne pas trop les froisser.Au fur et Ă mesure qu’elle dĂ©nude une partie du corps boudinĂ© de l’homme elle lèche et embrasse les parties qu’elle met Ă nu.- tu es vraiment une grosse putain qui est capable de faire n’importe quoi Ă un homme, tu ne recules devant rien — monsieur vous avez exigĂ© de moi que je devienne une prostituĂ©e Ă mon corps dĂ©fendant et que je sois pas regardante quand au physique ou autre des hommes et femmes Ă qui vous me demandez de faire l’amour. J’essaie de faire ce mĂ©tier du mieux possible pour vous satisfaire — c’est bien la putain tu as compris que tu n’es pas de taille Ă lutter contre moi et que la rĂ©bellion est inutile — oui monsieur j’ai bien compris et mon dĂ©vouement pour vous et votre sociĂ©tĂ© est total -Pendant la discussion Manon Ă genoux n’a pas cessĂ© de caresser le ventre très bedonnant, les cuisses et le sexe gros mais pas trop long du DRH.D’avoir cette femme Ă sa merci le fait bien bander sans que Manon n’ait besoin de s’activer.Mettant ses mains dans le dos elle lèche le ventre puis les cuisses de l’homme avant de s’attaquer au pĂ©nis qu’elle embrasse puis lèche consciencieusement.D’un mouvement brusque de la tĂŞte elle enfonce la queue entièrement dans sa bouche, son nez vient buter au milieu des poils contre le pubis du DRH. Elle commence Ă sucer avec des aller-retour lents en observant du regard les rĂ©actions de l’homme puis elle accĂ©lère les va-et-vient de sa bouche sur le pĂ©nis.Rapidement les mains du DRH se posent sur ses Ă©paules et ses ongles pĂ©nètrent de plus en plus dans la chair, son corps se tend. Sa queue tressaute dans la bouche de Manon pendant que de puissants jets de sperme frappent le fond de sa gorge, le liquide est abondant et elle a des difficultĂ©s pour avaler sans s’Ă©trangler.Après avoir avalĂ© le sperme elle continue Ă sucer le membre pour qu’il conserve son Ă©rection puis elle laisse le pĂ©nis sortir de sa bouche.- cela vous a plu monsieur — tais toi et fais ce pourquoi tu es lĂ — s’il vous plait monsieur, allongez vous sur le lit -Le DRH obĂ©it sans rĂ©pondre.Manon se met Ă califourchon sur lui et s’aidant d’une main introduit la queue dans son intimitĂ©, dans cette position sa grosse bedaine est moins gĂŞnante.Puis s’aidant des muscles de ses cuisses son corps se soulève et descend en rythme pour faire coulisser la verge dans son ventre tout en caressant le ventre de l’homme qui subit inerte et coi.Elle s’active un petit moment avant de sentir la queue grossir encore en elle puis ĂŞtre prise de tremblements pendant que du sperme coule dans sa chatte. Elle continue Ă donner des coups de reins mais la verge rĂ©trĂ©cit vite.Manon soulève ses fesses pour laisser sortir la queue de sa chatte puis se positionne Ă genoux Ă cĂ´tĂ© de son partenaire.IndiffĂ©rente au liquide qui sort de son vagin, coule sur ses cuisses et tache les draps Manon se penche sur la verge molle pour la lĂ©cher longuement, elle en fait autant sur les cuisses et les testicules pour Ă©liminer le sperme qui s’y est dĂ©posĂ©.Le DRH reste toujours sans rĂ©actions attendant la suite.Manon caresse la verge puis commence Ă la masturber doucement et au bout d’un moment c’est une masturbation vigoureuse qu’elle fait.Elle est soulagĂ©e quand enfin le membre grossit de nouveau, elle accentue encore les mouvements de sa main.Elle abandonne la masturbation pour faire pĂ©nĂ©trer entièrement le pĂ©nis dans sa bouche et pratiquer une fellation avec des aller-retour rapides de ses lèvres sur le membre.Jugeant que le rĂ©sultat est satisfaisant elle arrĂŞte de sucer et se place de nouveau Ă califourchon accroupie au dessus de l’homme les jambes de chaque cĂ´tĂ© de son corps. Tenant la queue dans une main elle la place contre son anus et laisse descendre son corps, avec le poids de celui-ci le membre s’enfonce lentement dans son cul jusqu’Ă y disparaĂ®tre complètement.- vous aimez monsieur — parler n’est pas indispensable, si tu ne veux pas que ton mari se retrouve au chĂ´mage contentes toi de faire ton travail de prostituĂ©e de la sociĂ©tĂ© — monsieur je fais du mieux possible ce que vous m’obligez Ă faire avec des hommes seuls ou en groupe et aussi avec des femmes — garde ton bla-bla-bla, je donne les ordres et tu obĂ©is, je suis ton maĂ®tre et tu es mon esclave sexuelle -Manon ne s’offusque pas des paroles que vient de sortir le DRH car pour elle c’est un rustre qu’elle doit supporter pour ne pas mettre en pĂ©ril la situation professionnelle de son mari.Elle imprime des mouvements verticaux Ă son corps pour faire aller-venir la verge en elle, ses coups de reins sont de plus en plus rapides. L’homme ne l’aide pas, la seule chose qu’il fait c’est s’agripper Ă elle quand le plaisir qu’il ressent est fort ou quand il jouit.Elle doit donner des coups de reins pendant un bon moment avant que le corps du DRH ne se tende et qu’elle ne sente la queue tressauter dans son cul pendant qu’il se vide de son sperme.Elle n’a pas le temps de se relever qu’un ordre claque.- maintenant la putain, tu va nettoyer toutes les cochonneries que tu a mises sur loi et que je sois aussi propre qu’en arrivant — oui monsieur -Marion se relève et gagne la salle de bain. Elle mouille une serviette et revient dans la chambre.Elle place une serviette sèche sous les fesses du DRH puis lave sa queue, ses testicules, son ventre et ses cuisses puis les essuie. Satisfait l’homme se relève et se rhabille.- u as bien travaillĂ©, tu es une bonne putain. je ne regrette pas de te faire participer Ă la prospĂ©ritĂ© de la sociĂ©tĂ© en te prostituant — mĂŞme si vous ne m’avez pas laissĂ© le choix vous avez eu raison monsieur d’avoir fait de moi une prostituĂ©e afin que mon mari conserve son emploi et je vous en remercie — c’est bien tu as compris qu’il est inutile de se rebeller avec moi — oui monsieur j’ai compris que je vous appartiens et c’est normal que tout le monde m’appelle « la putain » car ce nom est justifiĂ© après ce que vous avez fait de moi — tu t’es bien radoucie — je ne veux pas que vous mettiez votre menace Ă exĂ©cution, mon mari Ă besoin de ce travail pour nous nourrir car moi je ne gagne rien, vous me faites travailler gratuitement pour vous et sans vouloir vous vexer vous ĂŞtes mon proxĂ©nète — ça c’est ton analyse, que je sois ton proxĂ©nète c’est Ă©vident mais contentes toi de faire ce qu’on te demande sans rĂ©flĂ©chir. Une prostituĂ©e ne se pose pas de question concernant son souteneur, elle fait ce qu’il faut pour qu’il soit satisfait — mais je voudrais savoir si je suis la prostituĂ©e de la sociĂ©tĂ© ou la votre — Tu te prostitues pour le bien de la sociĂ©tĂ© qui gagne des marchĂ©s grâce Ă ton cul mais tu es ma putain car mĂŞme si c’est le directeur commercial qui t’envoie au turbin c’est moi qui commande et qui te tiens –j’avais compris monsieur mais merci de l’avoir prĂ©cisĂ© — alors n’oublies jamais, tu offres ton cul Ă nos clients et Ă qui je le veux sans te rebeller ou ton mari va pointer au chĂ´mage, c’est clair -Manon ne rĂ©pond pas.- sur ce je te quitte, j’ai un rendez-vous. Moi j’ai un vrai travail, je ne suis pas une putain qui s’amuse avec son cul -Le DRH se dirige vers la porte.- au revoir monsieur — pour information, ton mari ne risquait rien, il n’Ă©tait pas sur la liste de personnes Ă licencier. A cause de ton initiative malheureuse j’ai profitĂ© de la situation. Marvin a bien fait de me prĂ©venir tout de suite quand il a compris Ă quoi rimait ton manège — dans ce cas je peux cesser immĂ©diatement de me prostituer pour vous — trop tard la putain je ne te lâcherais, tu m’es trop utile et je ne trouverais pas une autre prostituĂ©e qui travaille comme toi. Et si tu arrĂŞtes je vire immĂ©diatement ton mari pour faute professionnelle -Elle ne rĂ©pond pas pendant qu’il sort de la chambre.Manon va se laver dans la salle de bain et se rhabille puis quitte l’hĂ´tel elle aussi tout en sachant qu’elle doit y revenir Ă 14 heures dans l’après-midi, puis Ă 19 heures en soirĂ©e pour donner du plaisir Ă des clients de la sociĂ©tĂ©, mais elle ne sait pas combien ils seront.Quelques jours plus tard Manon reçoit un appel de Bernard le directeur commercial.- la putain j’ai besoin de toi demain, tu vas venir avec moi voir un client important — oui monsieur Ă quelle heure — nous partons Ă 8 heures de l’entreprise, tu m’attendras sur le parking Ă cĂ´tĂ© de ma voiture — bien monsieur, pour ma tenue je ne peux pas m’habiller comme une putain pour faire le trajet — tu vas te conformer Ă ce que je vais te suggĂ©rer comme vĂŞtements mais au dessus tu mettras quelque chose de sage — oui monsieur, je vous Ă©coute -Manon enregistre ce que Bernard souhaite qu’elle porte et pense que c’est beaucoup trop osĂ© mais elle sait qu’elle doit laisser de cĂ´tĂ© son amour-propre et sa pudeur.De bonne heure elle se maquille et choisit ses vĂŞtements: pas de soutien-gorge, un chemisier blanc presque transparent, pas de culotte mais une jupe rouge courte et ajustĂ©e, des chaussures rouges Ă talons hauts ainsi qu’un sac Ă main assorti.Par dessus elle enfile une veste longue Blanche qui la rend prĂ©sentable.Elle se rend sur le parking et attend patiemment que le directeur commercial qui est bien en retard se prĂ©sente et l’invite Ă monter dans sa voiture.Elle doit enlever sa veste pour que Bernard inspecte sa tenue puis retrousser sa jupe pour lui montrer qu’elle a le cul Ă l’air.En route il lui fait des recommandations et ne comprend pas qu’elle garde son sac Ă main Ă cĂ´tĂ© d’elle, elle ne va pas rĂ©vĂ©ler qu’il y a une mini camĂ©ra qui filme et enregistre les sons.Dans une ville Bernard s’arrĂŞte Ă cĂ´tĂ© d’un hĂ´tel.- Attends moi lĂ , je n’en ai pas pour longtemps -Il prend un objet dans la boĂ®te Ă gants, sort de l’auto et entre dans l’hĂ´tel, il ne revient qu’après un bon quart d’heureIl redĂ©marre et roule jusqu’Ă la pĂ©riphĂ©rie de la petite ville puis s’arrĂŞte sur un parking dans une zone artisanale. A pieds il se dirigent vers un bâtiment ou une sociĂ©tĂ© s’est installĂ©e rĂ©cemment.Bernard et Manon se prĂ©sentent Ă l’accueil et le directeur commercial demande la personne qu’ils doivent voir. L’hĂ´tesse les prĂ©cède dans les couloirs et frappe Ă une porte puis attend qu’on lui dise d’entrer.- monsieur Jean les personnes qui ont rendez-vous sont arrivĂ©es — faites les entrer -l’hĂ´tesse regagne son poste pendant que Bernard pĂ©nètre dans le bureau suivi de Manon.Les deux hommes se serrent la main et Ă©changent des amabilitĂ©s.- qui est la charmante femme qui vous accompagne — personne d’intĂ©ressant, ne faites pas attention Ă elle, c’est le cadeau dont je vous ai parlĂ© il y a quelques temps. Vous pourrez l’utiliser comme vous voudrez cet après-midi — comment vous vous appelez -GĂŞnĂ©e Manon rĂ©pond:- la putain -Jean la regarde bouche bĂ©e.C’est Bernard qui rĂ©pond pour elle:- oui c’est comme ça qu’elle se fait appeler, elle semble avoir oubliĂ© son prĂ©nom de baptĂŞme. Tutoyez la, elle prĂ©fère ça et de toutes façons on ne vouvoie jamais les prostituĂ©es — bien mettez vous Ă l’aise et asseyez vous -Manon se conforme aux instructions qu’elle a reçues.Respectant les ordres que Bernard lui a donnĂ©s elle retire sa veste longue et après avoir dĂ©placĂ© sa chaise pour ĂŞtre dans le champ de vision de leur hĂ´te elle s’assoit en veillant Ă bien retrousser sa jupe courte puis, malgrĂ© la honte qu’elle Ă©prouve, elle garde les cuisses Ă©cartĂ©es.Comme Manon a bien fait les choses rapidement Jean remarque la poitrine qui apparaĂ®t Ă travers le corsage rendu transparent par le soleil qui donne dans la pièce, le sexe nu Ă la faible toison de Manon est bien exposĂ© Ă sa vue.Jean est dĂ©contenancĂ© et a du mal Ă soutenir la conversation avec Julien.- ne faites pas attention Ă la putain, elle n’a aucune pudeur et aime bien s’exhiber — je vois ça — elle vous montre une partie de ce qu’elle va vous faire profiter plus tard — ça a l’air plaisant -Pour Manon l’amour-propre est maintenant un lointain souvenir, elle essaie de penser Ă autre chose car suivre la conversation des hommes avec leurs arguments techniques ce n’est pas pour elle.Evidemment vu comment Manon empĂŞche Jean de se concentrer, Bernard finit par obtenir sans mal le contrat avantageux qu’il espĂ©rait.C’est l’heure du repas, en voiture ils gagnent le centre ville.Les trois convives s’installent dans le coin le plus sombre du restaurant choisi pour ce critère vu la tenue scandaleuse de Manon qui passe son temps Ă surmonter sa honte depuis le matin.Elle a du retirer sa veste, s’assoir en retroussant sa jupe Ă une place permettant aux deux hommes de lui peloter les cuisses et le sexe sans problème, ce qu’il ne font sans se gĂŞner.Avec sa position le serveur profite lui aussi de la vue sur ses cuisses et de toutes façons les seins sont visibles Ă travers le tissu du corsage.MĂŞme pendant le repas elle compte pour quantitĂ© nĂ©gligeable et se contente de manger et boire ce qu’on lui apporte car c’est Bernard qui dĂ©cide des plats pour elle.La conversation est rapidement et principalement axĂ©e sur elle: elle est bien foutue, n’a pas ni pudeur ni amour propre, on peut lui demander ou lui faire ce qu’on veut, oui elle aime tout, oui elle fait des pipes et aime se faire enculer, etc.Quand on lui parle ou lui pose des questions elle se contente d’acquiescer ou de donner des prĂ©cisions sur ce qu’elle fait aux hommes.Le repas terminĂ© ils quittent le restaurant.- la putain je vais voir un autre client, tu suis monsieur Jean et tu te montres très gentille avec lui, que je ne l’entende pas se plaindre quand je vais revenir te chercher — comme d’habitude vous pouvez compter sur moi, je vais faire ce qu’il faut pour satisfaire monsieur Jean -L’hĂ´tel ou Bernard s’est rendu ce matin se trouve de l’autre cĂ´tĂ© de la rue, c’est lĂ que Manon suit Jean. Après avoir rĂ©cupĂ©rĂ© une clĂ© jean se dirige vers un couloir et regarde les numĂ©ros sur les portes.- c’est lĂ -Il ouvre la porte et entre dans la chambre, Manon le suit et ferme la porte.Elle ne perd pas de temps et rapidement retire ses vĂŞtements devant Jean qui reste Ă la regarder. Elle tourne sur elle-mĂŞme et prend quelques poses.- ça vous convient monsieur, pas trop déçu — tu es bien faite, tu as un beau corps — merci monsieur mais c’est normal pour une prostituĂ©e, je dois plaire aux hommes Ă qui on me demande de donner du plaisir — tu es une drĂ´le de femme toi — non monsieur juste une putain qui doit se prostituer pour le profit de la sociĂ©tĂ© de monsieur Bernard -Manon s’approche de Jean et commence Ă le dĂ©shabiller lentement.Comme d’habitude elle embrasse et lèche les parties de son corps qu’elle met Ă nu: le torse puis le ventre. Elle en arrive au pantalon qu’elle dĂ©grafe et laisse tomber sur les chevilles de Jean puis elle baisse le caleçon avec ses deux mains tout en embrassant et lĂ©chant ses cuisses puis son sexe dĂ©jĂ bien Ă©rigĂ©.Elle l’aide Ă lever une jambe puis l’autre et le dĂ©barrasse des vĂŞtements devenus gĂŞnants.