UN ROUTIER ET SEXE EN GROUPE————————————————–AbandonnĂ©e sur la route Ă la sortie d’un village Manon obĂ©it aux consignes donnĂ©es par Bernard le directeur commercial de la sociĂ©tĂ© qui emploie son mari et qui la prostitue.Une fois dans le camion elle retire sa veste qu’elle pose sur le dossier du siège puis tout en s’installant sur le siège elle retrousse sa jupe courte puis elle Ă©carte les jambes.Si ce qu’elle est obligĂ©e de faire n’Ă©tait pas si dĂ©gradant elle en rirait presque en voyant l’expression du visage du routier et ses yeux qui sortent littĂ©ralement de leur orbite, il ne peut plus dĂ©tourner son regard de ce qu’elle lui montre.- ce n’est pas possible je rĂŞve! je n’en reviens pas! ça on ne me l’avait jamais fait! — que se passe t’il monsieur, il y a un problème — je n’avais jamais vu ça, comme salope tu fais très fort — vous parlez de ma tenue! vous n’aimez pas? moi qui pensais vous faire plaisir -Il ne peut pas deviner qu’avec ce qu’elle vit pour Manon les mots pudeur et amour-propre ont disparus, pour elle s’exhiber et satisfaire sexuellement des inconnus est devenu naturel.- si mais je n’ai pas l’habitude que les femmes montrent leur corps comme ça sans aucune pudeur — ah bon! je ne sais pas comment les autres femmes se comportent, dans mon idĂ©e quand on prend une femme en stop c’est dans l’idĂ©e de la sauter, je peux vous faire profiter de mon corps si ça vous dit mais si vous ne voulez pas tant pis — OK! je m’appelle RaphaĂ«l et je suis partant puisque tu le proposes, pour une fois qu’une salope sans pudeur m’offre son cul -Il dĂ©marre, la boĂ®te de vitesses souffre car il est bien Ă©nervĂ©. Pendant qu’il conduit son regard se porte très souvent sur ce que Manon lui montre.Après avoir parcouru une dizaine de kilomètres il voit un endroit qui peut servir de parking et y gare son vĂ©hicule. Le routier quitte son siège et s’approche de Manon.- on y va, tu m’as donnĂ© des envies — oui! je ne vais pas me dĂ©filer, c’est moi qui te l’as proposĂ© -Il s’assoit Ă cĂ´tĂ© d’elle pour caresser ses cuisses et son sexe pendant qu’elle dĂ©boutonne son chemisier.Il passe un bras autour du cou de Manon et l’embrasse pendant que sa main libre caresse les seins maintenant nus et Ă l’air.Manon entreprend de sortir le sexe du pantalon de RaphaĂ«l. Elle caresse et masturbe le pĂ©nis de bonne taille qui est en Ă©rection.- vous prĂ©fĂ©rez quoi — ce que tu veux — non, on va commencer par ce que vous prĂ©fĂ©rez — je suis fou des pipes. Tu en fais — je te fais tout ce que tu veux mon nounours -Manon se penche embrasse et lèche le pĂ©nis pendant un moment puis insiste sur le gland qu’elle suçote et aspire.RaphaĂ«l caresse le dos et la poitrine de Manon puis passe une main entre ses cuisses et caresse son sexe puis enfonce un doigt dans sa chatte avant de commencer Ă le faire aller et venir Ă l’intĂ©rieur.- malgrĂ© que tu n’aies pas de culotte ta chatte est bien chaude — c’est normal vu que je suis ce que les hommes appellent « une chaudasse » tu n’avais pas remarquĂ© — je ne pensais pas à ça -Manon ne rĂ©pond pas car sa bouche est maintenant occupĂ©e par la queue de son partenaire. Elle l’a engloutie d’un mouvement brusque de sa tĂŞte faisant sursauter l’homme.Les va-et-vient de ses lèvres sur le membre varient entre lents et rapides pendant qu’une main de RaphaĂ«l est crispĂ©e sur un de ses seins et qu’il a laissĂ© son doigt dans la chatte de Manon.Après quelques minutes de fellation le corps de RaphaĂ«l se tend, sa queue augmente encore de volume et s’agite dans la bouche de Manon et une bonne quantitĂ© de sperme gicle au fond de sa gorge. Après avoir avalĂ© la semence et continuĂ© un peu la fellation Manon se recule.- tu veux me sauter maintenant — c’est ce que j’envisageais de faire. Je vois que t’en promettre ce n’est pas suffisant, tu es une vorace — oui! je suis une dĂ©voreuse de bite -Manon se met Ă genoux les cuisses Ă©cartĂ©es sur le siège, l’homme se positionne debout derrière elle puis introduit sa verge toujours raide dans la grotte de sa partenaire. Les mains agrippĂ©es aux hanches de Manon il donne des coups de reins qui deviennent de plus en plus violents Ă fur et Ă mesure que le temps passe.Au bout d’un moment Manon qui commence Ă prendre du plaisir et Ă mouiller le repousse, il ne comprend pas.- fais toi plaisir, encules moi. Je sais que les hommes adorent ça — je n’en reviens pas, je suis tombĂ© sur une sacrĂ©e salope — et encore tu ne me connais pas, si tu savais de quoi je suis capable — j’en ai un aperçu et cela ne me dĂ©plait pas -Il galère pour positionner sa queue qui bute plusieurs fois et se dĂ©place entre les fesses de Manon, en passant une main entre ses cuisses elle l’aide.La verge est maintenant contre l’anus, il pousse s’aidant du poids de son corps et sans difficultĂ©s le membre disparaĂ®t complètement dans le cul de Manon.- c’est rentrĂ© tout seul — c’est normal, on m’a dĂ©jĂ enculĂ©e cet après-midi — ah bon! — oui! cela ne te dĂ©range pas — non! baiser et enculer une femme mignonne comme toi c’est le pied — alors profites du moment que tu passes avec moi -Il se met Ă la dĂ©foncer sans douceur Ă grands coups de reins, les va-et-vient de la verge dans le fondement sont rapides. Le plaisir monte de nouveau dans le ventre de Manon qui passe une main entre ses cuisses et triture les testicules de l’homme.Pour l’exciter elle lui lance des mots:- oui! oui! c’est bon! plus vite! plus fort! -Le rĂ©sultat espĂ©rĂ© arrive, RaphaĂ«l jouit dans son cul en râlant tellement son plaisir est fort.Il reste un moment sans bouger la queue plantĂ©e dans le fondement de Manon, elle sent le membre rĂ©trĂ©cir bien avant qu’il ne se retire. Assis sur le siège il rĂ©cupère.- mon dieu que c’Ă©tait bon! — je suis contente que tu aies ressenti beaucoup de plaisir>>.Pendant qu’il remet de l’ordre dans ses vĂŞtements Manon, qui est satisfaite de ne pas avoir montrĂ© de faiblesse en ne jouissant pas conformĂ©ment aux ordres reçus du directeur commercial, sort une culotte de son sac Ă main et l’enfile.Ainsi le sperme qui va couler de son cul ne coulera pas sur ses cuisses.Le routier se met au volant et dĂ©marre, un quart d’heure après il dĂ©pose Manon Ă l’entrĂ©e de la ville ou elle rĂ©side.Celle-ci rĂ©cupère son sac Ă main qu’elle avait posĂ© en l’orientant Ă dessein sur le tableau de bord. En marchant sur le trottoir elle Ă©teint la mini camĂ©ra que Bernard lui avait confiĂ©e avec ordre de filmer en permanence.RentrĂ©e chez elle, sans appĂ©tit elle saute le dĂ®ner, prend un bain dans lequel elle reste longtemps puis se couche et pleure, le sommeil est long Ă venir.Le lendemain matin le directeur commercial tĂ©lĂ©phone.- alors la putain ton retour s’est bien passĂ© avec le routier, j’espère que tu as bien respectĂ© mes ordres — oui monsieur je vous ai obĂ©i. Je lui ai fait une pipe et j’ai bu sa semence puis il a mis sa verge dans mon vagin et aussi dans mon cul. Vous pourrez tout voir en visionnant ce que votre camĂ©ra a filmĂ© — c’est bien tu as Ă©tĂ© très obĂ©issante — merci pour le compliment monsieur mais vous ne me laissez pas le choix — n’oublies jamais que nous te tenons et qu’ainsi nous pouvons faire ce que nous voulons de toi — si vous pouviez cesser de me prostituer ce serait bien, j’ai dĂ©jĂ fait beaucoup pour vous et ceci contre ma volontĂ© — laisser tomber la poule aux Ĺ“ufs d’or ce n’est pas près d’arriver, quand on tient une putain comme toi on s’en sert le plus longtemps possible -Après un temps d’arrĂŞt il en vient au but de son appel.- bon ce n’est pas tout, nous recevons un groupe de personnes d’une entreprise pour deux jours, ils ne vont pas savoir quoi faire ce soir — vous voulez que je m’occupe d’eux, combien sont ils –en principe ils seront 4, ce n’est pas beaucoup pour une putain comme toi — je ne peux pas, mon mari doit rentrer ce soir — mĂŞme s’il avait Ă©tĂ© lĂ tu n’aurais pas eu le choix car je donne les ordres et tu obĂ©is. Nous avons envoyĂ© ton mari faire un dĂ©pannage qui va durer au moins 2 jours, donc pas de risque, soit Ă 20 heures Ă l’hĂ´tel habituel — bien monsieur -Bernard raccroche.Manon dĂ®ne puis se prĂ©pare. MaquillĂ©e et habillĂ©e elle a l’air de ce qu’elle est maintenant: une poule de trottoir.Elle part pour l’hĂ´tel et après avoir pris un passe Ă la rĂ©ception elle se rend dans la chambre 115. Elle attend patiemment ses clients qui sont partis dĂ®ner.On frappe Ă la porte de la chambre, elle va ouvrir.- entrez messieurs, je vous attendais -Les quatre hommes entrent dans la chambre en se bousculant. Manon voit tout de suite que ce ne sont pas des intellectuels mais des ouvriers venus se former dans la sociĂ©tĂ© sur des produits qu’ils vont utiliser.- c’est avec toi qu’on va passer la soirĂ©e — oui, je suis Ă votre disposition — alors pourquoi attendre -Les quatre compères l’entourent, la dĂ©shabillent sans douceur et rapidement elle se retrouve nue. Tout en mettant leurs mains partout sur elle, ils parlent de son corps disant qu’elle est bien foutue et qu’ils vont bien s’amuser.Après s’ĂŞtre partiellement dĂ©shabillĂ©s ils se mettent autour d’elle et lui demandent de se baisser et de s’occuper de leur queue.Pas contrariante Manon prend une verge dans chaque main et la masturbe comme elle peut après avoir enfoncĂ© un pĂ©nis dans sa bouche pour lui faire une fellation.Elle suce et masturbe pendant un moment avalant le sperme Ă chaque fois que sa gorge en est aspergĂ©e. Chacun d’eux s’est soulagĂ© dans la bouche de Manon, elle se retrouve sur le lit.A genoux les hommes se succèdent et pendant que l’un dĂ©fonce sa chatte ou son cul elle fait une fellation Ă un autre mais personne ne se soulage dans sa bouche, ils se reculent dès que la jouissance est proche prĂ©fĂ©rant attendre leur tour et jouir dans le vagin ou les intestins.Le sperme qui coule de ses orifices après chaque Ă©jaculation tâche les draps.Le plaisir qu’elle ne peut pas rĂ©primer monte dans le ventre de Manon, elle se fait dĂ©foncer pendant un bon moment, sa chatte et son cul continuent Ă se faire arroser de semence par les quatre pĂ©nis.Manon continue Ă sucer et masturber les verges qui se ramollissent et perdent de leur superbe.Les hommes la couchent sur le dos elle doit relever ses jambes et plier ses genoux en ouvrant au maximum ses cuisses. Ils commentent ce qu’ils voient de son intimitĂ© et son anus offerts Ă leur vue.Ils s’amusent Ă pĂ©nĂ©trer sa chatte ou son cul pendant un moment chacun leur tour sans Ă©jaculer. Ensuite ils dĂ©cident de lui dĂ©foncer en mĂŞme temps la chatte et le cul en s mettant Ă deux en mĂŞme temps.Deux protagonistes se placent, l’un se couche sur le dos et pĂ©nètre l’intimitĂ© de Manon qui est allongĂ©e sur lui, l’autre homme se positionne Ă genoux derrière elle et sa queue investit son fondement.C’est surtout celui qui la sodomise qui donne des coups de reins.Après un moment ils inversent leur place et dĂ©foncent de nouveau les orifices de Manon.Le plaisir qu’elle ressent augmente jusqu’Ă devenir trop fort, prise de spasmes elle atteint l’orgasme et arrose le bas ventre de l’homme qui est sous elle de la cyprine qui gicle de son vagin.Quelques minutes après ses intestins sont arrosĂ©s de sperme et les va-et-vient de la queue continuent encore encore un peu dans sa grotte qu’elle aussi ne reçoive sa dose de semence.Les deux compères de la bande qui attendaient leur tour prennent les places que viennent d’abandonner leurs collègues qui viennent de se soulager.Les aller-retour recommencent en mĂŞme temps dans sa chatte et son cul et après un moment les deux hommes Ă©changent eux aussi leurs places.Manon continue Ă se faire dĂ©foncer, quand elle jouit de nouveau ils n’arrĂŞtent mĂŞme pas de donner des coups de reins et au bout d’un moment ils Ă©jaculent dans ses orifices Ă peu de temps d’intervalle.CalmĂ©s les quatre hommes se rhabillent et sans se soucier de Manon sortent de la chambre en commentant ce qui vient de se passer.FatiguĂ©e elle va dans la salle de bain et se lave puis elle rĂ©cupère ses vĂŞtements et se rhabille avant de quitter l’hĂ´tel maudissant les hommes qui lui font faire toutes ces choses dĂ©shonorantes.