Manu s’invite (3)
Seul pendant quelques jours, Jean-Christophe ne peut se retenir de remettre la belle Manu dans ses filets. Elle n’attendait que ça. Le rendez-vous se dĂ©roule dans un hĂ´tel et prend un tour particulier quand Manu veut faire payer sa prestation.
Proposée le 16/09/2018 par SHERAB Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: HôtelType: Histoire vraie
Aline, ma compagne, et sa fille Angèle ont programmé un week-end à Londres en vue de bien profiter des soldes. Le vendredi soir, de Nantes, c’est une simple formalité de se poser en à peine deux heures à Coven Garden et Regent Street. A bas le Shuttle et vive Ryanair, quand ça marche ! A l’aube de mes soixante ans, j’aime assez me retrouver seul et disposer de quelques jours et quelques nuits de pleine liberté. Un temps ouvert à toutes formes d’improvisation et à toutes possibilités d’étonnement. Pendant le trajet, sachant que nous allions disposer d’environ une heure pour dîner, Angèle a proposé à sa tendre amie Manu de nous rejoindre à l’aéroport Nantes-Atlantique, plus précisément au Grand Comptoir, un restaurant inspiré des grandes brasseries dans une atmosphère plus actuelle satisfaisant grandement sa clientèle de passage. Manu n’est pas une étrangère avec nous, loin s’en faut. Depuis plusieurs mois, elle s’intègre sans minauderies inutiles à nos soirées libertines domestiques. Sans que ce soit systématique, elle se joint volontiers aux câlins coquins de notre couple en fin de soirée. (Voir parties 1 et 2). Manu est jeune, très ouverte sur le monde et elle trouve dans notre foyer une écoute et une ambiance de liberté (ou libertine…) qu’elle n’a jamais connu dans son cercle familial. Son physique m’émoustille facilement.Après l’enregistrement des bagages, nous nous retrouvons tous les quatre autour d’un plateau de fruits de mer dont l’option a fait rapidement l’unanimité. Aline me renouvelle les dernières consignes pour que la maison reste intacte tout le week-end et prodigue des conseils de prudence quant à la partie de chasse aux canards prévue dimanche matin autour d’un étang privé, proche du parc régional de Brière. Attentif, mais pas trop, aux attentions de ma très chère, je laisse trainer une oreille du côté des filles qui échangent sur leurs désarrois réciproques. Le sujet récurrent du moment tourne autour de la faiblesse de l’offre en matière de garçons un peu décoincés, capables de les faire grimper aux rideaux. Une remarque attire particulièrement mon attention :- J’en suis au stade où je ne demanderais même pas qu’il me respecte, exprime Manu, qu’il me prenne pour sa pute, mais qu’il me prenne, putain ! Qu’il me prenne !
– Je sens que tu es prĂŞte Ă mordre Manu, tu as vraiment faim, ma chĂ©rie, rĂ©torque Angèle.Je ne rebondis pas sur cette indiscrĂ©tion et me contente de rassurer Aline en reprenant sur un ton badin la conversation, plus prĂ©cisĂ©ment en Ă©voquant les mystères des pavillons de chasse hantĂ©s par des elfes en fin d’après-midi. Assez rapidement, le repas tire Ă sa fin et je me retrouve dĂ©jĂ en train d’embrasser mes voyageuses, aussitĂ´t après avoir pris congĂ©s de Manu.Sur le chemin du parking, je vois briller au loin dans la nuit d’automne l’enseigne bleue de l’OcĂ©ania, un hĂ´tel relativement bien classĂ© assurant un service de qualitĂ©. Une idĂ©e de vieux fou me passe par la tĂŞte : me taper Manu dans une vaste suite de l’hĂ´tel OcĂ©ania. Sans rĂ©flĂ©chir, je saute sur mon tĂ©lĂ©phone pour vĂ©rifier les disponibilitĂ©s d’accueil. A mon grand regret, de vastes suites, point du tout. Mais la formule « Chambre Confort Triple », avec un grand lit et un canapĂ© convertible, semble modestement s’en rapprocher. En Ă peine dix minutes je suis Ă l’accueil et deviens l’heureux locataire Ă©phĂ©mère de la chambre 512, au cinquième Ă©tage. Ne disposant d’aucun bagage, je prends l’ascenseur les mains dans les poches, si on peut dire.Spacieuse et Ă©clairĂ©e d’une douce lumière tamisĂ©e, je suis tout de suite convaincu que ces lieux feraient l’affaire de mon projet coquin. Il ne me reste plus qu’à diriger la belle jusqu’à l’antre du loup. Heureusement, depuis la dernière escapade des deux filles Ă Amsterdam, je dispose du numĂ©ro de Manu dans mon rĂ©pertoire. Je tente un SMS racoleur, mais bien Ă propos :- Recherche petite pute, genre suggar-baby, dĂ©vouĂ©e et discrète. CH 512. HĂ´tel OcĂ©ania. AĂ©roport.Une poignĂ©e de secondes plus tard, le « cling » de ma messagerie m’interpelle :- Jean-Christophe, je te rappelle que nous avons « Ă©changĂ© » nos numĂ©ros. Tu comprends ce que ça veut dire ? Si tu comptais jouer Ă cache-cache, c’est mort !Oh putain ! LĂ , je me sens con. MĂŞme très con. Tellement con que je n’ose pas donner suite. Je suis pris au dĂ©pourvu. Je n’avais pas du tout imaginĂ© ce scĂ©nario. Je ne sais plus quoi faire, je dĂ©cide donc de prendre mon temps et de rĂ©flĂ©chir un peu avant de rĂ©pondre. J’en suis encore Ă mes dĂ©ductions et mes calculs vaseux quand le tĂ©lĂ©phone de la chambre retentit. C’est l’accueil :- Monsieur Delmas, votre nièce vient d’arriver, souhaitez-vous que nous l’accompagnions jusqu’à votre chambre ?
– Bien sĂ»r, bafouille-je maladroitement.Je ne sais plus oĂą me mettre, Manu va entrer dans cette chambre oĂą je fais figure de gros balourd et mon esprit est maintenant très Ă©loignĂ© de mes fantasmes de tout Ă l’heure. Deux coups Ă la porte. J’ouvre et Manu s’introduit en m’imposant un regard dominateur. – Bonsoir tonton, lance-t-elle.Le liftier s’éclipse avec un demi-sourire en disant long sur ce qu’il pense de la situation et nous voilĂ face Ă face dans cette immense chambre.- Tu n’étais pas encore partie ? Ou tu as fait demi-tour, lui demande-je
– J’étais en train de faire le plein Ă la station et il y avait une belle queue. Je dois t’avouer que ton SMS m’a pliĂ©e en deux. Franchement, ça fait un peu vieux schnock. Tu ne pouvais pas faire plus simple ?
– Je sais, c’est un peu ridicule, mais j’avais une grosse envie et peu d’inspiration….
– J’ai beaucoup ri, mais en mĂŞme temps, ta proposition salace me permettrait de d’aborder un fantasme rĂ©curant pour moi, presque obsessionnel ces derniers jours, ou ces dernières nuits plutĂ´t. Je me demande en effet ce que c’est que se mettre dans la peau d’une fille qui se vend Ă un gars qui ne lui plait pas et je m’interroge sur mes capacitĂ©s Ă tenir le cap dans ces circonstances particulières.
– Nous sommes donc faits pour nous entendre, dis-je en l’interrompant, ravi de la tournure des Ă©vĂ©nements.
– C ’est bien une petite pute que tu veux ce soir, rien Ă voir avec la douce amie de ta fille Angèle, eh bien, soit, je suis ta petite pute, dit-elle en se dĂ©barrassant de sa doudoune au col de fourrure. Tu me laisses la salle d’eau cinq minutes ?
– Bien sĂ»r, je t’en prie.Sa dĂ©sinvolture me fait dĂ©jĂ bander. Cette fille me surprend de plus en plus chaque jour. Elle n’a mĂŞme pas vingt-cinq ans et elle a l’aplomb d’une maitresse femme. Son talent, Ă entrer dans un rĂ´le et une situation nouvelle, est sans pareil (voir les parties 1 et 2). Bien que nous ayons dĂ©jĂ fait intimement connaissance, c’est une nouvelle Manu que je cĂ´toie ce soir. Les bruits de la salle de bain me laissent imaginer le soin qu’elle est en train d’apporter Ă ce corps qui me tourmente de plus en plus souvent, et de plus en plus intensĂ©ment.Elle sort, juste vĂŞtue de son T-shirt lui descendant Ă peine au ras de la foufoune et laissant dĂ©passer ses longues jambes fines. Ses longs cheveux roux s’étalent sur ses Ă©paules et tombes jusqu’à la naissance de ses seins.- Alors, tu fais ton timide ? Tu n’as mĂŞme pas pris la peine d’enlever ta veste. Approche un peu mon grand garçon, lance-t-elle en effrontĂ©e. Tu as pensĂ© Ă mon petit cadeau ?Nez Ă nez, ou presque, je tente de lui rouler une pelle.- Je n’embrasse pas, tu as pensĂ© Ă mon petit cadeau ?
– Ton cadeau ?
– C’est deux cents euros ce soir, Jean-Christophe.
– Mais je n’ai pas cette somme sur moi.
– Tu as combien ?Je fouille dans la poche arrière de mon jean et fais l’inventaire de mon portefeuille.- Cent vingt-cinq euros, Manu, ça peut aller ?
– Tu verras bien jusqu’oĂą ça peut aller, conclut-elle.Je lui dĂ©pose les cent vingt-cinq euros sur le meuble de chevet, Manu les recompte et les glisse dans son sac Ă main.Manu revient vers moi, comme Ă un chat arriverait sur une proie qu’il sait captive et avec laquelle il espère s’amuser un peu avant de mordre dedans. Elle glisse ses deux mains sur mes Ă©paules, sous la veste et la fait glisser lentement le long de mes bras. Elle a de nouveau le nez collĂ© sur mon menton et je baisse un peu mon visage pour sucer la belle fraise qui lui sert de bouche. Manu a un visage d’enfant, tout est doux et tendre chez cette fille Ă croquer.- Je n’embrasse pas, Jean-Christophe, une pute n’embrasse pas, c’est la règle. D’ailleurs, tu le sais bien, ne fais pas l’innocent. Ne me dis pas que tu n’as jamais cĂ©dĂ© Ă la tentation.
– Mais Manu, c’est diffĂ©rent entre nous, je t’ai dĂ©jĂ embrassĂ©e et tu ne t’en es jamais plainte que je sache.
– C’est toi, Jean-Christophe, qui a donnĂ© le ton en passant commande, je ne dĂ©rogerai pas Ă mon engagement, petite pute, tu voulais ; petite pute, tu auras.Manu dĂ©fait un Ă un les boutons de ma chemise en me collant Ă chaque fois un bisou dans l’échancrure, elle sort du pantalon le pan de mon vĂŞtement et s’emploie ensuite Ă libĂ©rer un Ă un mes poignets. Dans cette position, je ne vois plus son visage, enfoui sous ses cheveux ramenĂ©s sur le devant. La boucle de ma ceinture ne lui rĂ©siste pas longtemps et me poussant un peu, je m’assieds au bord du lit, elle tire sur les jambières du pantalon et me laisse en slip-chaussettes. En inclinant son buste j’entrevois ses deux tĂ©tons par l’encolure du t-shirt et malgrĂ© tout, Ă cet instant mĂŞme, je dois reconnaitre que je ne bande plus beaucoup parce que je suis en train de mesurer le ridicule de la situation. Casanova devait s’y prendre autrement. Pas bĂ©gueule, elle reste Ă genoux pour rouler mĂ©thodiquement une Ă une mes chaussettes.Je suis lĂ , tel un puceau dans le doute, Ă regarder cette nymphette m’éplucher. Satisfaite de cette première Ă©tape, en partant de mes genoux, elle remonte ses mains Ă l’intĂ©rieur de mes cuisses avec une lenteur perverse. Elle sait que je sais oĂą elle va. Je sais qu’elle sait que j’en crève de dĂ©sir. D’ailleurs, mon boxer se dilate un peu sur le devant et, passant par une jambière, elle attrape le tube qui pointe maintenant son nez. Enfin, non, elle ne l’attrape pas, c’est juste ce que je croyais, ou ce que je voulais un peu trop fort. Elle l’écarte de la main droite en passant dessous et se saisit de mes couilles en feu. Sa main est plutĂ´t petite, mais elle a de la poigne, elle me les prend Ă la base et les tire vers le bas, vers elle donc. Elle s’immisce entre mes genoux et se rapproche de mon centre de gravitĂ© du moment. Elle sort mon zob de la main gauche, le relève et enfourne un testicule comme elle goberait un grain de Chasselas sur la grappe et elle le triture avec ses lèvres et sa langue, non pour en extraire immĂ©diatement les saveurs, seulement pour accĂ©lĂ©rer la production du jus fĂ©cond. De l’un, elle passe Ă l’autre et ce, avec une aisance surprenante. Des bourses, elle remonte vers la base de la hampe en mordillant la peau par endroit et en mordant aussi Ă pleine gueule tel le chien qui veut rapporter son os. Elle bave abondamment et Ă©met des bruits de succion intempestifs. Sa langue s’attarde le long du frein et titille toutes ses terminaisons ultrasensibles et loge enfin mon gland dans sa bouche humide. Bizarrement, ayant remontĂ© sa main, elle souffle projetant de faire gonfler le prĂ©puce le recouvrant encore, et ça marche. Elle dĂ©couvre ensuite la partie charnue afin de mieux la lĂ©cher et la tĂ©ter.C’est bon. Au-delĂ de toute espĂ©rance. Elle me pompe proprement, mĂ©thodiquement, avec douceur et fermetĂ©. Quand elle fait une pause, elle crache sur l’objet et amĂ©liore encore mes sensations. Tant et si bien que je sens l’orage gronder, des Ă©clairs me traverser la tĂŞte. Manu s’en rend compte immĂ©diatement et me serre maintenant Ă deux mains la base de la verge et contient au mieux ma jouissance. Prudente, elle cesse de me pomper.- Il faut en garder pour toute la soirĂ©e, n’est-ce-pas, Papy ? Quand le chasseur ne dispose que d’une cartouche, il faut la rĂ©server pour le plus beau gibier, s’exclame-t-elle en riant.Tout en concluant cette phase prĂ©liminaire, Manu se relève et vient s’allonger sur le lit. Elle est reposĂ©e et souriante, son t-shirt ne lui recouvre plus que sa frĂŞle poitrine, ses genoux sont relevĂ©s, les cuisses Ă demi-fermĂ©es. – Un père de famille, bourgeois qui plus est, ça doit baiser en missionnaire, me demande-t-elle
– Ça peut aussi se faire comme ça, rĂ©ponds-je sans conviction en me glissant Ă quatre pattes pour la surplomber.Je m’attarde sur son pubis et tenter une lĂ©chouille maladroite :- Je te remercie de l’attention, mais rĂ©serve plutĂ´t ça Ă ta femme, pour moi, ça ira comme ça.
– J’ai tellement envie….
– Eh bien, vas-y, donne le meilleur de ta personne et qu’on en finisse.Cette dernière rĂ©flexion m’a Ă©nervĂ©, voire mĂŞme dĂ©goĂ»tĂ©. Je passe mon genou droit, lui Ă©carte les jambes et je suis prĂŞt Ă l’embrocher. Manu me stoppe en me montrant un prĂ©servatif Ă enfiler.J’acquiesce, estimant en effet que ce serait plus logique et prudent ainsi. J’enfile donc le condom et reprend ma position antĂ©rieure. Manu Ă©carte les cuisses en vraie professionnelle, sa tĂŞte est inclinĂ©e sur l’oreiller, Ă demi-cachĂ©e dans sa crinière, elle ferme les yeux. J’enfile son con avec violence et elle accuse le coup en couinant de douleur et en esquissant une grimace. Ses mains sont de part et d’autre de son corps inerte. La parfaite Ă©toile de mer. Si ce n’était la jeunesse de ses tissus et de ses chairs, ma bite serait carrĂ©ment dans le mou. Baiser une vache endormie doit donner plus de sensations. Du coup, je me mets Ă la limer comme un forcenĂ©, sans penser Ă rien d’autre qu’à la giclĂ©e qu’allaient produire mes couilles enflĂ©es. Je souffle tel un buffle escaladant une colline, je transpire, je pousse des reins et la petite prend cher. J’accĂ©lère le rythme voulant en finir et ça marche plutĂ´t bien, vu qu’à ce stade, je bloque tout et accĂ©lère les derniers va-et-vient. Je sais que dans deux, trois tours, maximum, les chiens seront lâchĂ©s.Manu a suivi ma manĹ“uvre et profite d’un petit moment d’inattention de ma part, s’esquive et me fait dĂ©janter totalement. Je tape dans les draps et me rabote le gland, heureusement protĂ©gĂ© par le latex, sur le coton bien sec du drap. J’en gueule de douleur, ou de frustration, je ne sais plus.- Cent vingt-cinq euros. Je crois que le compte est bon, me lance Manu, se dĂ©robant sur l’autre moitiĂ© du lit avec un sourire carnassier.
– Tu dĂ©connes, Manu, ou tu es une vraie salope ? Pas maintenant, c’est dĂ©gueulasse de ta part. MĂŞme une vraie pute ne ferait pas ça Ă un client.
– Pour deux ou trois cents euros, bien sĂ»r que non, mais pour cent vingt-cinq, je suis sĂ»r que si !
– Je te paierai tout Ă l’heure, promis, ce sera la mĂŞme chose.
– Non, tout est payable d’avance. Va voir Ă l’accueil, avec ta CB, je crois que tu peux retirer des espèces.
– Non Manu, je t’en supplie, ne me fais pas cette vacherie.
– Jean-Christophe, tu voulais garder des souvenirs de cette soirĂ©e, qu’elle devienne inoubliable. Tu peux compter sur moi. Va chercher tous les euros qui correspondent Ă l’idĂ©e que tu te fais d’un moment exceptionnel, sinon, tintin…Ne voyant aucune nĂ©gociation possible, je m’apprĂŞte Ă renoncer et Ă renvoyer Manu dans ses appartements. Mais l’envie de cette pute improvisĂ©e est plus forte que toute pudeur. Je renfile un Ă un mes vĂŞtements et mes chaussures, je prends ma CB et je me retrouve Ă l’accueil devant un veilleur de nuit lĂ©gèrement embrumĂ©, sosie de Mister T. J’essaie de faire bonne figure et de ne pas montrer mon embarras en lui demandant de me dealer quelques billets. Il explose d’un rire tonitruant et me montre du doigt le GAB installĂ© juste derrière la porte de l’ascenseur, sous l’escalier. J’aurais facilement pu Ă©viter de me ridiculiser !Pourvu des prĂ©cieux sĂ©sames, je retourne au 512.- Je n’ai que deux billets de cent euros, il n’y avait pas mieux, m’excuse-je en entrant.
– Les gros billets ne m’embarrassent pas tant que ça et j’ai les moyens de t’offrir la contrepartie, ne t’inquiète pas mon gros lapin, me rassure Manu qui semble somnoler Ă plat ventre. Mets-les directement dans mon sac Ă main.Je m’exĂ©cute et me dessape sans attendre. Je suis consternĂ©, ma bite est chamallow, petite et bleu pâle. Va-t-elle se remettre de toutes ces Ă©motions ?Constatant après moi le dĂ©sastre, Manu, certainement apitoyĂ©e, me lance :- Je reprends les affaires en main, Jean-Christophe ?
– … ?Sans attendre ma rĂ©ponse, Manu se retrouve debout face Ă moi, la main sur ma pauvre misère de queue. Elle s’approche au plus près de mon visage et se met Ă me bouffer littĂ©ralement les lèvres et la langue. Je n’y comprends plus rien. Au fil de ce royal baiser, tant espĂ©rĂ©, elle me branle lentement d’un va-et-vient d’une grande souplesse. Le double effet Kiss-cool est flagrant, j’arbore derechef une bite de cervidĂ© en rut. Elle prend son temps, Manu est une artiste, elle aspire, elle lèche, s’offre mĂŞme de minauder en femelle amoureuse et me glisse Ă l’oreille :- Cricri, tu pourrais me faire jouir pour le mĂŞme prix ?Mes doigts glissent dĂ©jĂ dans sa moule trempĂ©e, je caresse son clito, et en passant, je m’attarde Ă la lisière de son anus. Nous sommes toujours debout, affairĂ©s comme deux adolescents qui se dĂ©couvrent. Chacun occupĂ© Ă faire monter le dĂ©sir de l’autre. Mes mains remontent et Ă©jectent le t-shirt. Ses seins contre ma poitrine pointent des tĂ©tons tendus d’envie. Ma petite bedaine frotte son ventre plat et sa main ne se lasse pas de me branler le chibre. Je descends le long de ses reins et glisse vers sa raie d’une infinie douceur, sa cambrure m’offre de ce cĂ´tĂ© une rosette serrĂ©e Ă dĂ©tendre. Son corps ondule, son bassin m’appelle, elle passe ma queue entre ses jambes et me serre bien sans que je puisse la pĂ©nĂ©trer aussitĂ´t. Manu est Ă cheval sur mon sexe raidi Ă outrance et le couvre de ses sĂ©crĂ©tions, elle semble le prĂ©parer Ă un office qu’elle imagine dĂ©jĂ , Ă une cĂ©rĂ©monie dont elle maĂ®trise tous les codes. Je titille sans mĂ©nagement ses juvĂ©niles nĂ©nĂ©s et, Ă force de s’astiquer le minou sur la potence, elle se sent partir. Manu m’arrache la moitiĂ© du dos de ses griffes et elle jouit de manière très ostensible, en feulant, en râlant, en riant. Plus son orgasme s’amplifie, plus la pression de ses cuisses sur ma bite mon fait bander.Manu finit par s’apaiser un peu et me glisse :- A toi, mon Cricri, je sais trop bien ce que tu aimes !Joignant le geste Ă la parole, Manu s’installe aussitĂ´t au bord du lit, en levrette, les mains agrippant de part et d’autre ses fesses pour bien mettre en Ă©vidence une moule rosĂ©e, superbe de jeunesse, surplombĂ©e par l’œil de Cyclope de son anneau tentateur. A ce stade, je perds pied, je perds la tĂŞte et ne sais plus Ă quel saint me vouer. Tout Ă l’heure, Manu me menait Ă la baguette, dirigeait les opĂ©rations et la voilĂ en self-service, plus active que jamais. Je mouille la tĂŞte de mon zob dans sa fontaine de jouvence, je le glisse lentement, mais juste Ă moitiĂ©. Je ressors sans prĂ©cipitation, revient sans empressement, peut-ĂŞtre un peu plus profondĂ©ment, m’extirpe de nouveau et me pose en sortant sur l’entrĂ©e de la grotte interdite. En sentant mon approche, Manu se relâche et entrouvre l’huis qui ne rĂ©siste pas Ă ma poussĂ©e ferme et bien placĂ©e. Mon nĹ“ud, calĂ© dans l’entrĂ©e, est accueilli par un long gĂ©missement de ma partenaire, manifestation propice Ă ma stimulation. Je pĂ©nètre Manu jusqu’au plus profond. Je ne suis pas Ă©quipĂ© comme un athlète, mais quand mes couilles frappent le fessier de la belle, je sens bien qu’elle y trouve son compte. Après cette prise de position affirmĂ©e, je l’encule sans mĂ©nagement. Je dĂ©fonce. Je sors-je rentre. Je rentre-je sors et Manu n’arrĂŞte pas de m’insulter :- Espèce de vieux salaud, tu en rĂŞvais de reprendre ce cul de jeunette Ă l’insu de ta femme. Tu bandes lĂ , tu en veux de mon trou. Mais vas-y, ne fais pas ta mijaurĂ©e, dĂ©calque-moi ! DĂ©chire-moi le fion, ne jouis pas pour l’instant, laisse encore gonfler ta queue.Je veux marquer une pause, le souffle commence Ă me manquer :- Je te prĂ©viens, ne mollis pas, maintenant, il n’y a qu’une issue, ça ne va pas ĂŞtre long, vas-y vieux porc, ta Manu va jouir, allez, tu vas pouvoir venir…. Allez, viens, viens maintenant, viens….Je n’en peux plus, je me cabre et j’envoie en collant violemment ses cuisses aux miennes et en clouant son cul sur mon chibre. Je gicle deux ou trois fois plus qu’à l’accoutumĂ©e, je l’inonde et je flĂ©chis sur mes jambes pour me retrouver assis par terre, la tĂŞte entre ses pieds Ă ses pieds. Manu m’a tuĂ©.- Mon Cricri, est-ce que tu connais maintenant la diffĂ©rence entre un pute Ă cent vingt-cinq euros et une escort-girl Ă trois cent vingt-cinq euros ?
– Je m’en souviendrais, Manu, je m’en souviendrais.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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