Ce rĂ©cit, mĂŞme s’il est romancĂ©, est tirĂ© de faits rĂ©el.Je me prĂ©sente, je m’appelle Laure, et vais vous relater un Ă©pisode turbulent de ma vie.Je me souviens de cette soirĂ©e dansante, organisĂ©e par le club de foot, dont le prĂ©sident Ă©tait mon mari.A l’époque, j’avais vingt trois ans. Mes amis ne tarissent pas d’éloges sur ma beautĂ©. Cela me gène un peu.C’est la première fois que je participe Ă une telle soirĂ©e. Eric, mon Ă©poux, ne m’emmène jamais dans les apĂ©ritifs d’après match, essentiellement rĂ©servĂ©s aux hommes, mais ce soir, pour fĂŞter le titre, il a tenu Ă ce que je l’accompagne. Aussi, je connais très peu de monde.Dès nĂ´tre arrivĂ©e, il me prĂ©sente aux invitĂ©s, joueurs et dirigeants, accompagnĂ©s de leurs Ă©pouses, ou leurs copines.Il y a Guy, la cinquantaine, collègue de travail de mon mari, que j’ai aperçu une paire de fois, quand on passĂ© devant chez lui. Ce soir, je le vois de près, et je dois avouer que je le trouve assez sĂ©duisant, avec ses moustaches, ses cheveux noirs geai, ses yeux bleus acier. Il dĂ©gage une virilitĂ© impressionnante. Du reste, il a la rĂ©putation d’avoir eu pas mal de conquĂŞtes, surtout des femmes mariĂ©es. Une façon peut ĂŞtre d’humilier les maris en rendant leurs Ă©pouses infidèles. Guy a une dent contre Eric, Ă qui il reproche de lui avoir volĂ© la prĂ©sidence du club. Et il a jurĂ© de se venger.Du coup, mon Ă©poux se mĂ©fie de lui, et ne lui accorde aucune confiance.-Bonjour Madame, dit-il en souriant, Eric nous avait cachĂ© qu’il avait une Ă©pouse aussi ravissante.-Bonjour, dis-je en rougissant. Merci.Carole, son Ă©pouse âgĂ©e de quarante cinq ans, tient un salon de coiffure. C’est une belle rouquine, souriante, aguichant les mâles de son regard coquin. Je pense qu’avec son mari, elle forme un couple assez libertin.Je ne sais pas pourquoi, mais arrivĂ© au bar, j’ai l’impression que Guy ne cesse de me regarder, et ça me gène. Je suis sure qu’au premier slow, il va m’inviter…et ce qui devait arriver, arriva.Dès les premières notes, Guy est sur moi pour m’inviter Ă danser. Je jette un regard Ă mon Ă©poux, occupĂ© avec ses copains. D’entrĂ©, Guy me serre contre lui. Je le repousse dĂ©licatement afin de garder mes distances.A la fin du slow, certains joueurs me dĂ©visagent quand on rejoint le bar… Et si Guy, en homme sur de lui, leur avait pariĂ©, qu’il allait m’emmener dans son lit. Je pense mĂŞme, que c’est son but, m’épingler Ă son tableau de chasse. C’est en tout cas l’impression que j’ai. Dieu merci, je suis une femme fidèle.Je me sens quand mĂŞme mal Ă l’aise, me serre contre mon mari, lui demande de me faire danser, il refuse, dĂ©jĂ pas mal imbibĂ© d’alcool.« Tu trouveras bien un cavalier parmi tous ces invitĂ©s, me rĂ©pète-t-il sans arrĂŞt » Un dirigeant n’a pas le temps de m’inviter, que Guy s’interpose et m’entraĂ®ne sur la piste. Si la première danse s’est passĂ©e normalement, lĂ mon partenaire devient plus entreprenant. Il me serre contre lui en me prenant par la taille, me caresse le dos sous mon caraco, je sens son souffle chaud dans mon cou. Surprise, je tourne la tĂŞte, et m’écarte de lui en faisant pression de mes mains sur ses Ă©paules.Au suivant slow, je m’éclipse aux toilettes, et lĂ , j’entends des propos plutĂ´t inquiĂ©tant.« SacrĂ© Guy, je pari que cette nuit, il va embarquer la femme du prĂ©sident ».« Putain, t’as vu comme elle est belle, reprend une autre voix, Eric ne doit pas s’ennuyer au lit ».Guy, en gentlemen tenace, m’invite pour la Ă©nième fois. Par principe, je refuse, pour lui faire comprendre qu’il n’est pas le seul de la soirĂ©e, et je ne veux pas qu’Eric croit que je cours après lui.Mais voila, je me sens de plus en plus attirĂ©e physiquement par cet homme de trente ans mon aĂ®nĂ©. Aussi, il n’a pas besoin de trop insister, et Ă force de persuasion, je cède. Cette fois, il me demande carrĂ©ment de sortir prendre l’air, prĂ©textant l’envie de griller une cigarette.-Vous fumez, me demande-t-il.-Cela m’arrive, je vous accompagne si vous voulez ?-Mais bien sur, nous pourrons bavarder un peu.Pris dans sa beuverie avec ses amis, mon mari, scotchĂ© au bar, ne remarque mĂŞme pas mon dĂ©part.Dehors, seule la faible lumière d’un lampadaire Ă©claire la ruelle. Guy m’offre une cigarette, puis me pose des questions sur ma vie de couple. Ce qui me gène un peu.Comment Eric se comporte au lit…est-ce un bon coup…a-t-il de l’imagination…est-il crĂ©atif…est-il bien monté…est-il performant.Des propos qui me troublent. Je lui dis que de ce cĂ´tĂ©, il n’y a pas de souci, mais il n’a pas l’air convaincu. Lentement, il s’approche de moi, me caresse la joue. Il me prend le menton et dĂ©pose un doux baiser sur ma bouche. Ne rencontrant aucune opposition, il force mes lèvres avec sa langue. MalgrĂ© moi, je rĂ©ponds au baiser, puis le repousse gentiment.-S’il vous plaĂ®t, je pourrai ĂŞtre vĂ´tre fille. Et puis Eric va s’inquiĂ©ter. Il va se demander ou je suis passĂ©.-DĂ©solĂ©, excusez- moi, me dit-il. Rentrons.Je retrouve mon mari au bar, dans un Ă©tat lamentable. A tel point, qu’un copain propose de le ramener Ă la maison.« Reste ma chĂ©rie, bafouille-il, quelqu’un te raccompagnera ».Je me retourne et croise le regard illuminĂ© de Guy, en pleine discussion avec un joueur.« On a fait ce qu’il fallait pour le saouler, dit ce dernier, la voix est libre ».C’était bien donc un coup montĂ©. Dans la foulĂ©e, Guy m’invite Ă danser.La danse est un slow sur lequel j’ai rencontrĂ© mon mari. Il s’annonce chaud entre Guy et moi. D’abord, il me tient par les hanches, tandis que j’ai passĂ© mes bras autour de son cou. Je me sens plus Ă l’aise et de plus en plus attirĂ©e par lui. Il me susurre des mots coquins, me mord l’oreille. A la fin de la danse, il m’embrasse au bord des lèvres. Tout pour faire craquer une femme, mĂŞme la plus fidèle.Il me demande de l’accompagner Ă sa voiture. San hĂ©sitĂ©, j’accepte, en sachant très bien que je vais faire certainement une grosse bĂŞtise.InstallĂ©s sur la banquette nous nous donnons un sulfureux baiser. Guy ne perd pas de temps. Il passe sa main sous mon caraco, prend mes seins dĂ©pourvu de soutien gorge. Il les caresses, les palpes. Puis il envoie une main entre mes cuisses, caresse ma chatte par dessus ma culotte dĂ©jĂ humide.-Hum, fait-il, que t’arrive-t-il.-Tais toi, baise moi, j’ai tellement envie.Guy Ă´te son pantalon, pendant que j’enlève ma culotte. Je l’enfourche, prend sa bite en Ă©rection, m’y empale dessus, en poussant un cri de plaisir. Lentement, j’entame des va et vient sur ce pieu qui fouille les entrailles. Je ne me souviens pas m’être dĂ©foncĂ©e sur la bite de mon mari comme ça. Mes seins, durcit par le dĂ©sir, frotte contre son torse velu. Ma respiration s’accĂ©lère au rythme de mes coups de rein, sa bite grossit dans ma chatte. MĂŞme si j’essaie de me contenir, je sens l’orgasme monter en moi.-Salaud, tu n’es qu’un salaud…tu vas me faire jouir.-Vas-y ma chĂ©rie, râle-t-il, prend ton plaisir, ne te retiens pas.L’orgasme est lĂ , puissant, je cri de plaisir, sans me soucier si on va m’entendre.-Oui…oui…je jouis…oui…t’arrĂŞtes pas…Je prends sa bouche, enroule ma langue autour de la sienne.Je bascule sur le cĂ´tĂ©, prend ma tĂŞte entre mes mains. Je rĂ©alise que je viens de faire l’irrĂ©parable.-Oh mon dieu, qu’ai-je fais, j’ai trahi mon mari…c’est ça que tu voulais, l’humilier…- Calme toi Laure, me console Guy en me prenant dans ses bras, ça ne t’a pas plus ?-Si, justement, j’ai pris du plaisir, mais j’ai trahi Eric…je l’ai trompĂ©.-Je sais, poursuit Guy, il n’en saura rien, promis. Tu ne peux pas rentrer dans cet Ă©tat.-Non, ramène moi s’il te plaĂ®t…je veux ĂŞtre près d’Eric quand il va se rĂ©veiller.Toute la nuit, j’ai pensĂ© Ă Guy. J’ai rĂ©flĂ©chi aussi. Je connais la rĂ©putation de Guy. Est-ce une bonne idĂ©e de mettre mon couple en pĂ©ril, pour une relation sans lendemain.Je me rĂ©veille vers dix heures du matin, me colle contre mon mari. Aucune rĂ©action, et pour cause, il est encore dans un Ă©tat semi-comateux. Je n’insiste pas, et vais prendre une douche, ne pouvant m’empĂŞcher, de penser Ă la soirĂ©e d’hier, et surtout Ă Guy.Au petit dĂ©jeuner, je fais remarquer Ă mon Ă©poux, qu’il ne risquait pas de m’écraser les pieds en me faisant danser, et que heureusement, ses copains s’en sont chargĂ©s, surtout Guy.« Ce connard, jure-t-il. »Vu comme il juge son collègue de travail, ma dĂ©cision est prise, je vais laisser tomber l’idĂ©e de revoir Guy.Le vendredi suivant est une journĂ©e dĂ©cisive. C’est l’assemblĂ© gĂ©nĂ©rale du club, avec la rĂ©Ă©lection du prĂ©sident. Eric serait très déçu s’il n’était pas rĂ©Ă©lu.Soudain, la porte claque. Mon mari rentre comme fou, jette sa mallette et ses dossiers sur le canapĂ©.-L’enfoirĂ©, gueule-t-il, Guy a montĂ© un complot contre moi pour prendre la prĂ©sidence…c’est un enculĂ©.Je m’approche de lui, le prend dans mes bras pour le consoler. C’est vrai que Guy lui a fait un sale coup.MalgrĂ© l’attirance que j’ai pour lui, je ne peux pas laisser passer ça. Je dois tirer ça au clair.Dans le week-end, on parvient Ă faire un petit câlin, histoire de faire oublier Ă Eric sa dĂ©faite. Mais ce n’est pas la bite que j’aurai aimĂ© avoir dans la chatte, c’est une autre, qui m’a donnĂ© beaucoup plus de plaisir, celle de Guy. C’est tout juste si je ne crie pas son nom quand j’atteins l’orgasme.Le lundi, c’est la journĂ©e mĂ©nage, la lessive, bref, la routine. Il me faut aussi prĂ©parer la valise de mon mari, qui part un mois au BrĂ©sil pour affaires.Le visage de Guy apparaĂ®t souvent dans mes pensĂ©es, Ă tel point, qu’après rĂ©flexion, je reviens sur ma dĂ©cision. J’irai le voir mardi après midi, je sais qu’il est seul.Le mardi, j’appelle Guy, pour ĂŞtre sure qu’il est chez lui, impossible de l’avoir. Je laisse un message, puis dĂ©cide de m’occuper du jardin. Je rendre vers dix huit heures, et lĂ , je m’aperçois qu’il y a un message sur mon rĂ©pondeur.« Laure, il a fallu que je mène Carole Ă la gare. Elle part une semaine au salon de la coiffure Ă Paris. Je serai chez moi vers vingt heures, après ma rĂ©union de travail. On peut manger ensemble si tu veux ».Est- ce-que je peux accepter une proposition pareille, aussi tardive. Tans pis, quitte Ă passer pour une femme infidèle, je dĂ©cide d’y aller. Puis, j’ai tellement envie qu’il me fasse l’amour.Je me prĂ©cipite Ă la salle de bains pour prendre une douche. Je me regarde dans la glace, et me trouve très belle. Je caresse mes magnifiques seins, mon ventre plat, puis arrive Ă ma chatte. Je pense fortement Ă la relation que j’ai eue avec Guy, parle toute seule Ă haute voix.« Oh ma petite chatte, qu’est- ce- qu’il t’a fait Guy samedi, il t’a baisĂ©e hein, tu t’es bien rĂ©galĂ©. C’est pour ça que tu Ă©tais toute mouillĂ©e. Il t’a faite jouir avec sa grosse bite. Tu aimerais qu’il te nique encore ? On va aller le voir. D’abord, je vais te raser, que tu ais une fente comme celle d’une petite fille. Ça va l’exciter ».Une fois ma toilette terminĂ©e, je choisi une tenue assez sexy. Une jupe noire qui m’arrive Ă mi-cuisses, et un pull moulant. Pas de soutien gorge, mes seins, bien fermes n’en n’ont pas besoin…et, une première pour moi, je ne mets pas de culotte. C’est dire si je mets tous les atouts de mon cĂ´tĂ©.J’arrive chez Guy vers vingt heures, tremblante de peur. Il me reçoit simplement vĂŞtu d’un peignoir. Il m’embrasse tendrement Ă la commissure des lèvres.– Je sors juste de la douche…ça va ?Pour ne pas faire voir que je suis venue spĂ©cialement pour lui, je lui demande s’il est fier de lui, après le sale coup qu’il a Eric.– On a votĂ© ma chĂ©ri, me rĂ©pond-il narquois, et il a Ă©tĂ© battu, c’est tout.– Tu as complotĂ© contre lui, t’es un salaud.– Calme- toi, me dit-il en me tirant Ă lui. Je t’offre un verre ?Il me colle contre lui, et malgrĂ© le peignoir, je sens la grosseur de son sexe sur mon ventre. Je ne le repousse pas. Il me prend tendrement par la taille, me fait faire un demi-tour, et me donne un baiser dans le cou. Je sens une agrĂ©able sensation le long de mon Ă©chine. Sans m’en rendre compte, je suis en train de succomber Ă l’homme qui a Ă©vincĂ© mon mari du club.Avec des gestes prĂ©cis, il quitte mon pull, me prend les seins, fait glisser la fermeture Ă©clair de ma jupe, qui tombe au sol, puis glisse une main entre mes cuisses.– Oh la vilaine, elle n’a pas mis de culotte, et sa petite chatte est toute Ă©pilĂ©e.Lentement, il me couche sur la table basse du salon. Je ne rĂ©siste mĂŞme pas, tellement mon attirance pour lui grandit. Je me retrouve entièrement nue, jambes Ă©cartĂ©es, pendant de chaque cĂ´tĂ© de la table.– DĂ©tends-toi ma chĂ©rie, tu as besoin d’un gros câlin.– Tu es fou, tu penses Ă mon mari…Il n’a que faire de mes soucis. Sa main glisse entre mes cuisses, lisse mes lèvres intimes, excite le clitoris qu’il a pris soin de dĂ©calottĂ©. Deux doigts pĂ©nètrent ma chatte humide, commencent Ă la branler. Un doigt s’égare sur mon petit trou, le dilate lĂ©gèrement, ce qui provoque en moi, une sensation nouvelle, mais très agrĂ©able.Ce vicieux joue avec moi, prend plaisir Ă me voir onduler sous ses perverses caresses. Il sait que je lui appartiens, que je vais m’abandonner. Son visage est Ă©clairĂ© par un large sourire.– Ah…salaud, qu’est- ce- que tu fais Ă ma petite chatte…hum…hum…c’est bon.– Ben rĂ©gale toi ma chĂ©rie, sourit-il, t’aimes ça hein…Eric ne te caresse pas comme ça.– Non…il ne sait pas faire comme toi…toi tu sais ce qu’aime les femmes…salaud…je vais jouir…oui…N’y tenant plus, j’engage une main sous le peignoir, saisit l’énorme bite, que je dĂ©calotte. Je la tire Ă moi et la prend en bouche. Je commence Ă la sucer tout en lui grattant les couilles. Soudain, Guy entame de lents va et vient dans ma bouche, je sens le gland gonflĂ© sous mes succions. Je ne me reconnais plus, je suis en train de tailler une pipe au rival de mon mari.D’un coup, de violentes giclĂ©es de sperme tapissent mon palais. Ce salaud n’a mĂŞme pas pris la peine de se retirer. Pire, j’avale sa semence jusqu’à la dernière goutte, lui nettoie le gland avec ma langue et mes lèvres…ce que j’ai toujours refusĂ© Ă mon mari.Guy a plongĂ© sa tĂŞte entre mes cuisses ouvertes, plantĂ© sa langue dans ma chatte pleine de mouille. Mon clitoris est devenu dur, a doublĂ© de volume. Je sens ses lèvres aspirer mon petit bouton.J’atteins l’orgasme dans un cri de plaisir.– Hou…hou…oui…oui…je jouis…enfoirĂ©, tu me fais jouir…oui…continue….bouffes moi la chatte…-Hum, souffle Guy, mais tu es une petite salope toi…il s’agissait de te rĂ©veiller…viens, mets-toi Ă genoux sur le canapĂ©. Je vais te prendre en levrette, tu veux ?– Oh oui, c’est ma position prĂ©fĂ©rĂ©, vas-y, baise moi…fais-moi oublier mon mari…Je m’installe Ă genoux sur le canapĂ©, prend appuie sur le dossier, Ă©carte bien mes jambes pour accueillir sa bite. Je la sens exciter mon petit bouton, pĂ©nĂ©trer ma chatte. Je ne me souvenais plus que Guy ait un tel calibre. Ce salaud me ceinture, fait rouler le bout de mes seins entre ses doigts. Lentement, il se retire, taquine mon petit trou. Mon dieu, je ne me suis jamais fait prendre par lĂ , j’ai toujours refusĂ© Ă mon mari.– Pas ça, s’il te plaĂ®t, je ne me suis jamais faite sodomiser.– Chut ma chĂ©rie, rĂ©pond-il, tu ne veux pas que je sois le premier ? J’irai doucement.– J’ai peur tu sais…tu me promets que si j’ai mal, tu arrĂŞteras.– Promis, poursuit-il. Je vais bien te lubrifier avec ta mouilleJe sens le gland contre mon petit trou, qui sous la pression, se dilate. Petit Ă petit, la queue coulisse dans mes entrailles, jusqu’à ce que ses grosses couilles cognent contre mes fesses. Il y est arrivĂ© ce salaud…il est parvenu Ă obtenir ce qu’il voulait. Mais il me donne tellement de plaisir.– Ça va ma chĂ©rie, me demande Guy, je peux continuer.– Vas-y, au point ou j’en suis…ça va le faire…Et ça le fait, finalement, je prends Ă©normĂ©ment de plaisir, mĂŞme si je ressens un peu douloureux.- Ah Guy…tu m’encules salaud. Vas-y mon chĂ©ri, c’est bon…oui-T’aimes ça, petite salope…avoue que t’aimes ça…Eric ne te baise comme moi.- Oh non, il n’est pas capable de me faire jouir comme toi.- Tu vois bien, mĂŞme au lit c’est un incapable…Il est bien montĂ© au moins.Pour ne pas humilier mon mari, je lui dis que les mensurations sont identiques, mĂŞme si je dois admettre, que sa bite est plus longue d’environ deux centimètres, et plus grosse. Et je ne parle pas de la paire de couilles qui l’accompagne.Guy dĂ©cide de passer Ă deuxième phases, et m’emmène Ă la chambre, me couche sur lit. Il m’écarte les jambes et s’encastre entre mes cuisses. Sa bite n’a pas baissĂ© d’un pouce, toujours en Ă©rection. Il me pĂ©nètre la chatte sans effort, et commence Ă me dĂ©foncer, il n’y a pas d’autre mot.Je suis en train de me le faire mettre grave. Je n’en peux plus de jouir, de crier Ă chaque orgasme. Guy est un phĂ©nomène au lit. Il m’apporte ce que mon mari ne m’a jamais apportĂ©, l’amour physique.J’ai du jouir cinq ou six fois pendant la nuit. Guy, en dominateur, s’amuse avec mon corps.Vers quatre heures du matin, nous dĂ©cidons de prendre une douche. LĂ encore, il me demande de lui tailler une pipe. Il m’oblige Ă me branler, jusqu’à ce que je jouisse une dernière fois. Enfin Ă©puisĂ©, nous nous assoupissons dans le bras l’un de l’autre.Cette semaine lĂ , j’ai passĂ© toutes les nuits chez lui, jusqu’à ce que sa femme rentre de Paris. Mais nĂ´tre relation Ă continuĂ© jusqu’à ce qu’Eric rentre du BrĂ©sil.De plus en plus, je m’investissais dans cette relation, jusqu’à être soumise Ă tous ses caprices les plus pervers. J’étais devenu son jouet sexuel, son vide couille, sa pute. Chaque fois que je le suçais, il exigeait que j’avale son sperme. Il attendait que je le supplie de me baiser dans toutes les positions. Il voulait ĂŞtre le maĂ®tre pour mieux nous humilier, Eric et moi. Il avait mĂŞme programmĂ© une partie Ă trois avec sa femme.« Je suis sur que ma femme aimerai bien te gouiner toute une nuit, disait-il. Tu es tellement vicieuse».Je lui avouais qu si tel Ă©tait son souhait, je m’offrirais une nuit entière Ă sa femmeEn plus, il ironisait sur mon mari, sur le sale coup qu’il lui avait fait, sur la catin qu’il avait rĂ©veillĂ© en moi.- Oh putain, souriait-il, je lui ai chopĂ© la prĂ©sidence du club, et en plus, je lui ai chopĂ© sa femme…quel beau cocu il va faire…ça n’a pas l’air de te toucher…tu aimes tellement que je te nique, hein, salope….- T’es mĂ©chant de dire ça…tu sais que je me rĂ©gale quand tu me baises…mais s’il te plaĂ®t, te moques pas.Après un mois de relations intenses, nous avons mis un terme Ă nos rencontres. Eric est revenu du BrĂ©sil, et Guy a Ă©tĂ© mutĂ© dans une autre rĂ©gion. J’étais triste de son dĂ©part, car on a passĂ© des nuits torrides ensemble, mais c’est peut ĂŞtre mieux comme ça.Voila, aujourd’hui, j’ai une petite fille, Elsa, issue de ma relation avec Guy. Il ne le sait pas, Eric non plus. J’ai voulu me faire avorter, mais mon mari a refusĂ©, persuadĂ© que l’enfant Ă©tait de lui. Il Ă©tait si heureux.Mieux, il m’a mĂŞme demandĂ© de faire un petit frère Ă Elsa. Je ne peux Ă©videmment pas le lui refuser.