13 8Histoire de sexe : Marguerite, la femme de chambre CorrigĂ© et rĂ©sumĂ© par david545758 le 11/02/2022PubliĂ© le 11/02/2022Cela faisait deux semaines que moi et ma mère avions dĂ©mĂ©nagĂ© dans un hĂ´tel un peu chic qu’on a pu se payer après son divorce avec papa. Ce con a Ă©tĂ© surpris directement par maman en train de faire une partie de jambes en l’air dans leur chambre avec sa collègue du boulot. Ma mère a pĂ©tĂ© un câble et elle a tout de suite mis en marche le divorce. En tout cas, mĂŞme si je suis un peu triste que mon con de père ait baisĂ© une autre femme que ma mère, cela va tourner Ă mon avantage. Moi je suis un garçon de 17 ans appelĂ© Nicolas, je suis encore au lycĂ©e, et comme on dit, le lycĂ©e est vraiment Ă se plaindre. Le seul moment que je prĂ©fère au lycĂ©e, c’est quand j’arrive Ă voir les filles toutes nues dans le vestiaire des filles dans le gymnase. J’adore cet endroit, ma petite cachette Ă moi. Il m’arrive de me branler dans cet endroit exigu qui me sert de cachette. Comme tout jeune du lycĂ©e, j’aime le sexe plus que la bouffe que je dois manger tous les jours, mais j’ai beau avoir une grande gueule auprès de tous mes potes, je suis le seul Ă n’avoir jamais baisĂ© une fille jusqu’à maintenant. Des fois, quand je rentre tĂ´t du lycĂ©e, dès que je suis devant la porte de notre hĂ´tel, j’entends une voix qui pousse un cri de jouissance, et je me dis que c’est la voix de maman. Elle baise avec son pote, Jacques, depuis dĂ©jĂ une semaine je crois et moi je sais dĂ©jĂ tout, mais je ne dis rien, car c’est normal, je crois. Tout le monde a le droit de prendre du bon temps, surtout après le problème avec mon vieux, il est prĂ©fĂ©rable qu’elle s’amuse aussi de temps en temps. Mais bref, quand je l’entends derrière la porte, je descends dans le hall de l’hĂ´tel et je m’assois sur le canapĂ© de l’accueil pour mater les superbes filles qui passent. Je trouve ça cool, mais souvent je n’arrive pas Ă contrĂ´ler les pulsions qui naissent dans mon pantalon. Quand j’ai la bite en Ă©rection, je courre en haut parce que je n’ai pas envie qu’une de ces filles me voit ainsi et me traite de pervers. Je pense malgrĂ© cela qu’au fond d’elles, ces filles aimeraient bien faire une partie de jambes en l’air avec moi !! Et je me dis, c’est juste un rĂŞve que je fais Ă©veillĂ©, puisqu’en ce moment j’ai juste besoin de 10 Ă 15 minutes pour me dĂ©puceler. C’est tout ce que je demande. Après leurs cochonneries, maman raccompagne Jacques au bout de l’escalier et lui faisait un petit baiser sur la joue, c’est comme si elle le remerciait d’avoir enfoncĂ© sa bite dans son vagin par lequel je suis sorti ! Merde ! Puis, moi et Jacques, on se croise dans le hall de l’hĂ´tel et il me salue toujours comme si je n’existais pas.
– Salut petit,
Et il me sourit comme si je n’Ă©tais au courant de rien. Des fois, j’ai envie de lui dire ce que je sais de ses jeux avec ma mère. Je n’ai pourtant pas envie que maman perde sa petite part de bonheur, alors je me tais. Un samedi, alors que je n’avais pas cours, maman Ă©tait partie au travail tĂ´t. C’était donc la femme de chambre, Madame Marie, qui me rĂ©veillait en me disant que ma mère Ă©tait partie Ă 7h et que je devais rester Ă la maison attendre qu’elle soit revenue pour que je puisse sortir trainer avec les copains. Mais ce jour-lĂ , c’était une voix plus jeune, charmante qui disait bonjour et une main douce, dĂ©licate qui touchait mon visage et me rĂ©veilla. Je pensais que c’était un rĂŞve dans lequel je voyais une jeune fille d’environ 22 ans. Elle Ă©tait vraiment jolie. C’était la fille la plus jolie que j’ai vue de toute ma vie. Des cheveux longs et bruns, des yeux marron, des lèvres pulpeuses tamponnĂ©es de rouge Ă lèvres rose et un uniforme de femme de chambre qui me choquait Ă me faire tomber du pied du lit.
– Je m’appelle Marguerite, et je remplace Marie qui est tombĂ©e malade.
C’Ă©taient ses premiers mots. Elle semblait stupĂ©faite de me voir m’Ă©crouler du lit. Elle a pris l’aspirateur et commença son boulot. J’étais lĂ , figĂ©, comme si le temps s’était arrĂŞtĂ©. Je la regardais manier cet aspirateur. Elle le tenait comme si elle avait une bite dans ses mains. Ses mouvements ressemblaient Ă de larges branlĂ©es pour extraire du sperme, le rĂŞve. En nettoyant ma chambre, elle Ă©tait tombĂ©e sur ma collection de magazines pornos. Je n’avais rien remarquĂ©, enivrĂ© sur mon petit nuage. La chute Ă©tait rapide quand elle avait rigolĂ© en disant
– alors t’es un gamin pervers et un obsĂ©dĂ© du sexe
Je ne trouvais pas quoi rĂ©pondre, pris en flagrant dĂ©lit. Était-ce seulement un dĂ©lit ? Alors, j’ai rĂ©pondu simplement tout en ayant peur qu’elle en dise mot Ă ma mère : ce sont juste des vidĂ©os et des revues pour me faire plaisir comme le fait beaucoup de jeunes, avec mon manque d’expĂ©rience, c’est normal. Elle rigolait et me demandait si j’avais dĂ©jĂ baisĂ© une fille. J’avais menti en rĂ©pondant par un « oui je sais tout sur le sexe et de l’anatomie des filles ». Elle semblait pourtant deviner que je n’étais qu’un puceau de rien du tout. C’était lĂ qu’elle a pris mes deux mains pour les poser sur ses seins Ă©normes. Encore une fois, elle rigolait.
– vu ta rĂ©action, c’est la première fois que tu touche les nichons d’une femme, alors le maitre, qu’est-ce que tu vas faire ?
J’ai paniqué, révélant encore plus mon mensonge. Je voulais pourtant profiter de cette occasion qui ne se représentera certainement pas à l’avenir. Elle a mis sa main dans mon pantalon tout en m’incitant à continuer à tripoter ses seins. Si je le faisais bien, elle me branlerait la queue. Évidemment, je m’appliquais à malaxer ses seins dans l’espoir de tirer enfin un coup. Elle s’est miss à genoux et regarda de plus prêt mon engin. Même si cela me gênait, une sensation de plaisir m’envahissait. Elle commença à me faire une pipe d’enfer, du genre comme dans mes vidéos pornos, je n’arrivais pas à croire que cela m’arrivait pour de vrai. Après quelques minutes, mon visage se froissait. J’éjaculais sans la prévenir et à ma grande surprise, elle ne s’était pas dégagée. Elle a gardé la queue dans sa bouche pour avaler mon sperme. Elle m’a ensuite entraînée vers le canapé pour le chevaucher, comme si j’étais son cheval préféré. J’ai passé un moment magique avec cette fille.
Maintenant, je comprenais ma mère et ses plans cul avec son ami. J’imaginais ce qu’elle devait ressentir et son besoin de sexe. En classe, je pouvais enfin raconter à mes potes mes histoires érotiques du samedi. Oui, Marguerite est restée pendant quelques semaines, à mon plus grand bonheur.
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