Mari candauliste le retour
Suite a votre demande et du succès surprenant de mes premiers récits, je vais vous conter la suite de mes aventures toutes parfaitement réelles.
Si cela vous plait je continuerais, j’espère a faire monter votre libido et faire travailler votre imagination.
Je vous le redis que du vécu.
Proposée le 24/02/2019 par cando Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme soumisePersonnages: FHHLieu: InclassableType: Histoire vraie
Suite Ă votre demande, je reprends la plume.Par contre, je vais vous narrer nos aventures, non plus dans l’ordre chronologique, mais, petites aventures par petites aventures.Je continuerais cette rubrique, s’il y a plus de 10 demandes et plus de 10000 lecteurs, ainsi que vos commentaires positifs ou nĂ©gatifs. Paul me suggère de commencer part l’une de nos histoires rĂ©elles des plus inattendues et totalement imprĂ©vues, après si ça vous intĂ©resse, je vous conterais ma semaine de vacance dans les landes en mai 2018, dans un mobilhome louĂ© au camping du vieux port ou Paul avait contacter Vincent sur le site Bob Voyeur, aussi vicieux que lui.Revenons Ă ma première histoire, au dĂ©but 2017, en effectuant mes courses dans un magasin IntermarchĂ© dans la rĂ©gion parisienne, j’ai glissĂ© sur un sol mouillĂ©.
Pompier, hôpital, entorse de la cheville, du genoux et épaule luxer.Plusieurs mois passent et enfin, on reçoit une convocation pour une expertise médicale, afin de calculer les indemnités de préjudices à nous verser.
On a rendez-vous à 17h chez un médecin spécialisé dans ces dossiers.
De son cĂ´tĂ© notre assurance, a aussi dĂ©lĂ©guĂ© un mĂ©decin pour nous reprĂ©senter.Cette journĂ©e Ă©tant très chaude, je suis habillĂ© lĂ©gère, d’un pantalon blanc moulant, avec un micro-string et d’un top blanc aussi, portĂ© sans soutien-gorge.
«Tu y vas dans cette tenue ?»
«Oui, j’y vais pour mon Ă©paule et ma cheville, il y a aucune raison que je me dĂ©shabille et au pire, ils verront une paire de nichons et un cul, ils doivent voir ça tous les jours.» ArrivĂ© Ă l’adresse indiquĂ©e, on attend une dizaine de minutes dans la salle d’attente, avant d’ĂŞtre reçu dans le cabinet mĂ©dical.
On rentre dans une grande salle, Ă gauche il y a une armoire, puis la table d’examen, au fond Ă droite un grand bureau assez vieillot.
Les mĂ©decins que j’appellerais Tom la soixantaine, pour l’assurance du magasin et Bob une bonne quarantaine celui de notre assurance.Je prends place au coin du bureau, Paul Ă cĂ´tĂ© de moi, face Ă eux, le but Ă©tant d’Ă©valuer le traumatisme, notĂ© suivant une Ă©chelle de 1 Ă 10 Ă chaque question.
Au bout de cinq minutes Tom se lève.
«Bon nous allons examiner tout ça, veuillez vous déshabiller.»
«Le haut et le bas?»
«Évidemment, comment voulez-vous que je regarde l’Ă©volution des traumatismes sinon, mettez vos vĂŞtements sur la chaise.»
Paul me jette un regard malicieux, j’enlève mon haut, laissant apparaĂ®tre mes deux gros seins, puis je laisse glisser mon pantalon jusqu’Ă mes pieds et je me retrouve quasiment nue, seulement habillĂ©e de mon mini-string triangle, de la grandeur d’un ticket de mĂ©tro.
Tom un peu décontenancé, reprend rapidement ses esprits pour continuer son travail, pendant que Bob très décontracté sort aussitôt son téléphone portable.
«Si vous le permettez, je vais prendre les photos pour le dossier.»
Après une courte hésitation Tom répond:
«Oui, mon cher confrère, je vous laisse faire cette tâche.»
J’ai des doutes, sur la vĂ©racitĂ© d’avoir des photos dans ce dossier, mais vu le climat sensuel qui rĂ©gnait maintenant dans la pièce, je me suis dit que cela pouvait prendre une tournure qui n’Ă©tait pas pour me dĂ©plaire.
Alors, que c’est Tom qui doit mener cette Ă©valuation, Bob prend les choses en main et me demande de faire un aller-retour jusqu’Ă la porte ce qui donne une vue plongeante sur mon gros fessier Ă l’aller et au retour sur mes gros seins.
Je dĂ©cide de passer alors en mode exhibition et j’accentue exagĂ©rĂ©ment mes gestes de façon Ă bien faire ressortir mon plastic, dans le but Ă©vident de les faire bander.
Puis, il me demande de toucher mes pieds en me penchant en avant, ce qui donne une vue imprenable sur son cul et de me baisser pour m’asseoir sur mes talons, avec forcement un Ă©cartement maximum de mes cuisses et une vue je suppose sublime sur mon entrecuisse.
Bizarrement Bob se place toujours pour avoir la meilleure vue possible sur mes atouts sexuels, alors que je sens Tom plus hĂ©sitant sur l’attitude Ă avoir.
De plus, j’ai l’impression que Bob ne prend que des photos Ă©rotiques et non mĂ©dicales.
Je rĂ©alise aussi, que ses gestes ne sont sĂ»rement pas au programme de l’Ă©valuation, mais faits uniquement pour qu’ils puissent mater en toute impunitĂ©. Ils n’arrĂŞtent pas non plus de regarder dans la direction de Paul pour voir sa rĂ©action, celui-ci restant impassible.
La situation m’amuse beaucoup, ĂŞtre en mode salope, nue devant deux mĂ©decins qui doivent bander, mais, qui ne peuvent, ni le laisser paraĂ®tre, ni me toucher.
Bien sĂ»r la situation a un effet positif sur ma libido et mon string ne peut plus Ă©ponger la mouille qui sort de mon vagin et ils l’ont aussi remarquĂ©e.
Des pensĂ©es cochonnes m’envahissent le cerveau, je pars dans un dĂ©lire, m’imaginant suçant les deux queues, avant de me faire prendre sur la table comme une putain.
Je sors de mes rĂŞves car Tom me demande de monter sur la table d’auscultation, pour la suite de l’examen.
A ce moment précis, je dérape.
Je les toise du regard et d’un coup, j’enlève mon string avant de m’allonger sur la table,
Puis, avec mes mains je prends mes deux chevilles et les fait toucher mes fesses, cuisses écartées.
Ils doivent avoir une vue imprenable sur mon cul, mon vagin et mes grandes lèvres.
La consĂ©quence immĂ©diate, est l’Ă©coulement de cyprine de ma vulve, que je sens se rĂ©pandre le long de ma raie des fesses.«On est obligĂ©, madame d’Ă©valuer, si l’accident n’a pas eue d’effet nĂ©gatif sur votre libido.» affirme Bob.
«Faites votre travail.» LĂ je sens un flottement, ils se regardent pour savoir s’ils passent Ă l’acte ou pas.
Bob regard de nouveau vers Paul, je pense qu’il attend son accord et celui-ci fait oui de la tĂŞte, pour leur donner sa bĂ©nĂ©diction.
Alors, Bob de sa main droite m’Ă©carte dĂ©licatement les grandes lèvres et m’introduit deux doigts, son pouce titillant mon clitoris.
«Vous nous excusez pour le dĂ©sagrĂ©ment occasionnĂ© par ses tests, mais notre rapport doit ĂŞtre complet.» dit-il d’un ton moqueur et ironique.
Tom qui n’attend que ça, porte sa main gauche sur ma rondelle, qu’il caresse avant de rentrer lui aussi ses doigts.
Je m’abandonne totalement et des râles de plaisir sorte de ma bouche.
L’Ă©largissement progressif de mes deux trous, par leurs doigts, me mets dans un Ă©tat d’excitation extrĂŞme.
«Mon clitoris, mon clitoris, s’il vous plaĂ®t.»
Tom me branle maintenant le clitoris de sa main droite, tout en restant sérieusement embouqué avec son autre main dans mon anus.
Pendant ce temps, Bob Ă d’une main desserre sa ceinture et fait tomber son pantalon Ă ses pieds, avant de baisser son boxer, libĂ©rant une queue bien raide prĂŞte Ă l’emploi.
Il vient se positionner en face de moi, alors que le travail d’expert de Tom sur mon clitoris porte ses fruits, mon corps est parcouru de soubresaut, je viens de jouir.
Bob, ne me laisse pas le temps de récupérer car il monte immédiatement mes jambes de chaque côté de ses épaules.
Tom m’Ă©carte les grandes lèvres, afin que Bob me pĂ©nètre sans plus attendre, dans mon flot de mouille.Il se lâche en disant:
«Cher confrère, c’est ma première expertise oĂą je suis obligĂ© de noter la libido et c’est une expĂ©rience très enrichissante avec un sujet aussi accueillant.»
«Je n’en doute pas une seconde car madame a l’air rĂ©ceptive Ă ces tests.»
«Je vous confirme vos dires.»
Tom enlève son pantalon à son tour, puis baisse son slip, avant de mettre sa queue bien raide dans ma main, qui ne se fait pas prier pour la branler.
Bob toujours à la manœuvre alterne les mouvements de haut en bas avec des mouvements circulaires, faisant sortir de ma gorge des petits cris de salope en rut.
Soudain, il sort sa queue de mon vagin, pour la positionner Ă l’entrĂ©e de mon anus, encore dilatĂ© par la prĂ©paration des doigts.
Je dis oh ! non, mais ses mots ne sont mĂŞme pas terminĂ©s qu’il s’est engoncĂ© jusqu’aux couilles.
Bob dans un murmure :
«Tu es une belle petite salope, ton verso vaut largement ton recto, je pense qu’on pourra dire que le test est positif.»
Bob vient de se lâcher, il n’est plus mĂ©decin, mais un homme qui encule une salope.
Après quelques aller-retour, il se raidit et éjacule au fond de ma cheminée, avec un plaisir non dissimulé.
Il reste quelques secondes bien planté au fond de mon cul, avant de se retirer, pour laisser Tom prendre la place laissé libre.
Pendant que Bob se rhabille, Tom passant un coup par devant, un coup par derrière, s’en donne a cĹ“ur joie en jouant avec mes deux gouffres Ă bittes.
Après plusieurs minutes, il Ă©jacule au plus profond de mon vagin, ce salop prenant manifestement son pied, en ne pensant qu’a son plaisir, alors que j’aurais aussi pris le mien, s’il avait durĂ© un peu plus longtemps.
Cela doit plaire à Paul, qui adore quand les hommes éjaculent dans mes orifices sans que je jouis.En se retirant de mes entrailles :
«Vous pouvez remettre vos vêtements et venir vous asseoir.»
Je me rhabille sans remettre mon string, ils en font autant, vont s’asseoir au bureau et reprennent, pendant une dizaine de minutes, leurs questions comme si de rien ne s’Ă©tait passĂ©.
«Très bien nous avons fini, j’envoie le rapport Ă l’assurance qui devrait vous faire une proposition d’indemnitĂ© dans le mois, vous pouvez y aller.»
On se lève, Paul constate que mon pantalon est tâché aux fesses par une large tâche de mouille et de sperme.
Ils nous raccompagnent Ă la porte, Tom nous saluant d’un au revoir, pendant que Bob nous serre la main. Une fois dans le couloir, Paul au ange :
«Tu as Ă©tĂ© extraordinaire, j’ai vraiment la femme la plus salope de la terre.»
«Dis moi, que cela ne t’a pas plu.»
«Si j’ai adorĂ©, je n’aurais pas rĂŞvĂ© meilleur scĂ©nario.»
«Regarde ce que Bob m’a glissĂ© dans la main en sortant.»
Sur un bout de papier, il y avait un numéro de portable avec ses mots.
(j’aimerais bien vous revoir.)
Bien sur, Paul c’est empressĂ© dès le lendemain, de le contacter pour lui dire que je serais une bonne putain mit a sa disposition et que j’aimais la pluralitĂ©.
Chose, que ce perverse de Bob a bien enregistrer.Mais, ceci est une autre histoire…….. © Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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