Décidément je prends goût à l’écriture, semble-t-il !Alors même que ma première histoire n’est pas encore parue sur le site, voilà que j’en écris une troisième.Ma foi, cela fera toujours de l’avance si l’envie me prend de toutes les publier.A ce propos, je tiens à préciser que je n’ai probablement pas un style particulièrement fameux, mais n’étant qu’amateur de littérature, j’essaie de faire de mon mieux pour vous rendre ces récits comment dire. Appétissants ?Cette nouvelle histoire donc, raconte ma première fois.Comme je l’ai dit dans la dernière en date, je n’ai découvert les joies du sexe qu’à 17 ans, et c’est émerveillé par la découverte de ce monde si riche en possibilités et en plaisirs que j’ai fait la connaissance de Maria.Une méditerranéenne, cheveux noir ébène, et des yeux d’un vert si sombre que le parallèle avec les abysses prenaient tout son sens. Je l’avais bien sur rencontrée par amis interposés, comme toutes les personnes à cette époque. 17 ans et vierge, un peu honteux mais les yeux brillants de curiosité, je prenais grand plaisir à l’embrasser longuement. Nous marchions dans les rues et faisions des « haltes baiser » tous les 100 mètres, testant tous les bancs, murs et marches d’escaliers que nous trouvions.Arrivé à l’entrée d’une vieille ruelle, nous nous installâmes sur des marches, et comme l’endroit était proprement désert, je surmontais une timidité maladive pour glisser une main sous son sweat-shirt.J’appréhendais sa réaction, mais j’eus un sourire charmant qui m’encouragea à poursuivre en retour.Je partais donc à l’assaut de mon premier contact avec un sein. Et oui, je le répète, mieux vaut tard que jamais !Elle portait un soutien-gorge en coton à balconnet, décoré de carreaux rouges et blancs. Ce motif me restera en mémoire à jamais. Je posais ma main pour ne faire qu’un avec la rondeur de son sein et découvris que c’était vivant, chaud et doux. Le bout de mes doigts effleurait la peau que le sous-vêtement voulait bien m’offrir, ce contact frémissant m’électrisait et me faisait perdre le contrôle de ma langue, bien occupée depuis le début.Gauche et empourpré, je hasardais ma main sous l’armature et libérait un petit sein de son indigne prison.Comme la scène se déroulait sous son sweat, je n’avais que mon toucher pour voir, ce qui rendait la chose encore plus érotique. J’étais littéralement fasciné par cette douceur et l’incroyable dureté grandissante de ce petit téton si fier qui pointait entre mes doigts. Je jouais avec longuement, glissant mon autre main de ses cheveux au bas de son dos, caressant ses reins. Elle soupirait doucement et semblait avoir chaud. J’achevais de libérer son autre sein et mes doigts jouaient maintenant aux indécis ne sachant plus à quel sein se vouer.Ma main gauche prenait connaissance de la naissance de ses fesses, un endroit magique qui est pour moi le plus beau dans le corps d’une femme.Poussé par l’envie d’en savoir plus, et grisé par la chaleur qu’elle me communiquait, je glissais mes doigts contre une fesse, parcourant cette parcelle si mythique à mes yeux avec délice.J’abandonnais ses seins pour descendre sur son ventre, et de mon autre main j’entrepris de défaire les boutons de son jean. Quand j’y repense. j’ai du mettre au moins cinq minutes ! Mes doigts tremblaient et mes yeux fouettaient les alentours de peur d’être pris sur le vif, mais je voulais en finir maintenant et pouvoir enfin toucher ses lèvres, caresser son sexe, encore une première fois pour moi.Elle rit devant ma maladresse et m’embrasse à son tour.Ma main était désormais contre sa culotte, et je sentis une exquise torpeur assortie d’une humidité certaine.Plongeant sous le sous-vêtement je m’attardais un moment sur son pubis pour apprécier cette nouvelle découverte, et je fus surpris lorsque mon doigt toucha son sexe. C’était très humide et collant, épais, mais très agréable. Son clitoris était turgescent et les petits coups que je lui donnais la firent sursauter.Je connaissais enfin le sexe des anges !Les lèvres de sa vulve, révérencieuses, s’ouvrirent d’elles même pour laisser un doigt la pénétrer.C’était encore plus chaud à l’intérieur, comme un duvet une froide nuit d’hiver. Je bougeais mon doigt ne sachant trop comment m’y prendre, provoquant chez elle de petits gémissements, ce qui me semblait être bon signe.Faisant le parallèle avec mon propre sexe, je trouvais fantastique que le plaisir que je lui donnais semble si différent du mien.J’avais vu pas mal de films avec des amis (pornographiques j’entends), et je savais très bien comment faire pour masturber ou doigter une fille, du moins en théorie.Car faute d’endoscopie, qui sait ce qui se passe exactement à l’intérieur ?J’essayais donc de me souvenir de conseils récupérés un peu partout, par des copains, des livres savants et autres choses.J’avais pris connaissance du fameux point « g », et coup de chance, je semblais avoir mis le doigt dessus !Maria se mit soudain à être secoué de petits spasmes et ne gémissait plus, je sentais qu’elle retenait un cri.Elle poussa ma main à travers son jean pour l’envoyer contre cette zone qui allait la faire jouir sous peu. J’agitais mon doigt frénétiquement, et je me remis à caresser ses seins tant bien que mal. Je n’étais pas très coordonné, mais le contexte et mon inexpérience avait l’air de l’exciter énormément, et je la sentis planter ses ongles dans ma nuque lorsqu’elle éclata et jouit dans ma main, en silence, sans un bruit, le visage déchiré par le plaisir contenu.Je restais sans bouger, heureux d’avoir pu la faire jouir pour ma première fois.Elle avait laissé tomber sa tête sur mon épaule, respirant profondément comme si elle dormait. Elle sortit ma main d’entre ses jambes ou elle la maintenait prisonnière, et porta mes doigts à ma bouche. Je goûtais et décidais que j’adorais ça.J’ai tout léché avec gourmandise, et elle s’en est même un peu réservée pour la fin.C’est aussi avec elle que j’ai fait l’amour pour la première fois, mais ce ne fut guère brillant.J’étais bien éméché, et les détails se sont un peu perdus dans les brumes de l’éthyl.Je pense que ce récit n’aurait pas grand chose d’érotique si je m’en souvenais précisément. Je préfère à l’occasion vous conter autre chose…