À la fin du cours, Marie fut la première à foncer vers les douches du studio de danse.La pauvre se sentait trop gênée pour attendre ses copines. Elle ne pouvait penser qu’au traitement de Chantal sur sa chatte. D’un côté, elle se sentait honteuse d’avoir reçu les soins de Chantal devant les autres étudiantes… Mais surtout, elle avait du mal à admettre et à comprendre pourquoi cela la troublait tant.Marie venait en effet de subir une séance de rasage pour son cours de danse : selon son professeur, les touffes étaient trop visibles sous le costume de leur nouvelle chorégraphie. Le costume était composé d’une simple paire de collants chair, et les seins étaient nus. Mais à la danse, le port de culotte est interdit sous les costumes : elle avait alors imposé à toutes une épilation intégrale, pour ce spectacle, du moins. Cependant, la jeune Marie n’était pas coutumière de ce type d’épilation : elle était trop gênée pour se rendre dans un institut et se dévoiler ! Et elle ne savait pas non plus se raser, alors elle avait espéré que sa touffe passe inaperçue. Mais c’était sans compter sur la vérification, de la part de son professeur, de l’ensemble des pubis des filles ! Cela l’avait tant humilié. Mais ce n’était pas tout : une amie de son professeur était présente pour assister au cours. Comme si ce n’était pas assez, elle lui avait finalement imposé soit de quitter le cours, soit de se raser avant… ou plutôt de se faire raser par son amie ! Puisque Marie ne savait pas le faire toute seule… Et son professeur ne pouvait pas retarder le cours pour s’en charger elle-même. C’est pourquoi Chantal, l’amie en question, lui avait rasé l’ensemble de sa fourrure. Et le tout devant les autres étudiantes ! Parce qu’en plus, c’était un cours de danse réservé aux étudiantes… elle était donc entourée de ses camarades de fac !Pourquoi avait-elle senti une chaleur moite monter d’entre ses lèvres, à l’idée que les autres filles aient pu la voir totalement nue, sous les douces mains de Chantal ? Ce genre de chose la gênait, d’habitude… Et pourquoi avait-elle tant apprécié le toucher de Chantal ? Chantal était pourtant une femme, comme elle. Marie n’était pas sensée ressentir son ventre se tordre lorsqu’une autre femme touchait « sa minette » (comme elle l’appelle) non ? Du moins, cela lui paraissait impensable, jusque-là . La petite Marie n’avait jamais eu de petit ami, contrairement à ses camarades. Elle ne pensait pas que la première personne qui la toucherait serait une autre femme ! Et encore moins que cela aurait cet effet sur elle…Avec toutes ces questions en tête, Marie arrivait vers les douches. Elle voulait avoir l’occasion de se laver seule, avant que les autres danseuses arrivent. Elle souhaitait surtout, en réalité, éviter sa mère et toute question qu’elle pourrait lui poser sur sa nouvelle épilation ! Elle n’aurait pas pu masquer son trouble, et ne souhaitait en aucun cas parler de cet incident à sa propre mère ! Marie était bien trop pudique pour cela.Arrivée aux douches communes, Marie ouvrit le robinet d’eau froide en premier.Même si une douche froide était nécessaire pour lui remettre les idées en place (et apaiser sa chatte irritée…), elle fut surprise. Marie dut rapidement serrer les cuisses : sa vessie se rappelait à elle ! Le froid la titillait…Eh oui, son professeur recommandait à ses danseuses de bien s’hydrater tout au long du cours et leur imposait de boire à intervalle régulier. Elle était si attentionnée…Mais la pauvre Marie avait une petite vessie. Il lui était difficile de contenir toute cette eau le temps du cours. Et son professeur était strict : si une danseuse quittait le cours avant la fin, c’était pour partir. Elle n’y était plus admise à son retour. Souvent, Marie se demandait si elle allait être capable de terminer le cours sans inonder son justaucorps. Il lui arrivait même de le tacher, un peu. Mais la représentation approchant, les danseuses s’entraînaient en costume : donc en simples collants chair.Il lui aurait été impossible de cacher la moindre fuite. Cela aurait même exposé son intimité aux autres filles. Les fins collants, une fois mouillés, aurait laissé tout transparaître. Ils se seraient même collés à sa vulve. Marie ne l’admettait à personne ni à elle-même, mais elle appréciait bien cette incertitude. Elle se demandait si elle allait tenir ou non, à chaque cours. Elle aimait la sensation du bas de son ventre plein, appuyant sur ses points sensibles, plus bas encore.L’idée de devoir se retenir rendait la chose encore plus pressante. La possibilité d’être humiliée et la pensée du soulagement que ce serait faisaient dévaler des vagues de chaleur le long de son ventre, en ajoutant aux sensations déjà présentes (et pressantes).Avec ce nouveau costume, elle avait de plus en plus de mal à cacher cet émoi. Si ce n’étaient que les pointes des seins… mais non, elle devait aussi cacher l’humidité entre ses jambes !Marie culpabilisait de ses sentiments. Elle avait à la fois honte d’avoir de la peine à contrôler sa vessie, et aussi honte d’y trouver un certain plaisir.Marie jeta un rapide coup d’œil autour d’elle : elle était bien seule. Elle pouvait en profiter pour vider sa vessie… De toute façon, cette dernière n’était pas prête à l’attendre : c’était urgent ! En écartant les cuisses, les yeux de Marie se posèrent naturellement sur sa minette chauve : c’était si étrange de la voir ainsi !Marie laissa enfin couler le flot. Ouf ! Elle réalisait à quel point elle avait besoin de se soulager en sentant son ventre dégonfler. Cela lui procurait une chaleur au creux du ventre : se vider était vraiment plaisant ! Elle fut même prise d’un frisson tant le plaisir était grand. Les petites framboises au bout de ses seins pointaient, et pas à cause de la fraîcheur de l’eau. De toute façon, le liquide qui glissait sur ses cuisses l’empêchait d’avoir trop froid. Marie attrapa le pommeau de douche dans le but de rincer sa petite affaire. Mais, surprise ! La danseuse ressentit un nouveau frisson lorsqu’elle dirigea le jet vers sa chatte excitée !Marie ne s’y attendait pas. Elle marqua une pause, le regard ébahit. Elle décida rapidement de réitérer l’expérience.L’eau froide calmait l’irritation, oui… mais pas le feu au creux de son ventre ! Bien au contraire. Marie découvrait pour la première fois le plaisir du jet d’eau sur son clitoris gonflé. Cela ne lui était jamais arrivé. En effet, c’était bien la première fois qu’elle passait le jet sur son petit bouton après qu’il ait été excité. Et la brûlure du rasoir sur ses grandes lèvres n’arrangeait rien : Marie ne comprenait pas comment elle pouvait trouver un certain plaisir dans cette douleur.Elle ne pouvait à présent plus retirer le jet : tant pis si d’autres danseuses arrivaient et la surprenaient… Comment pourraient-elles deviner qu’elle prenait du plaisir avec le jet, de toute manière ? se dit Marie. Elle était persuadée que cette technique était inconnue des autres filles et qu’elle était la seule à l’avoir découverte. Si elle savait ce que faisaient ses camarades de leur côté…Marie se plia soudainement en deux, son ventre gonflait et dégonflait au rythme de sa respiration accélérée. Sa bouche s’entrouvrit et elle plaça sa main devant, dans une tentative de cacher son plaisir. Marie entendit le brouhaha des danseuses sortant du cours, et le bruit s’approchait dans le couloir, elle l’entendait. Cette idée accélérait pourtant son plaisir. Elle le sentit monter de façon exponentielle dans son ventre.Qui de l’orgasme de Marie ou des danseuses arriverait en premier ?Ses yeux se plissaient, elle essayait de ne pas gémir en réponse aux tremblements de son clitoris et à l’embrasement de ses petites lèvres. Sa main quitta sa bouche, elle en avait besoin pour maintenir son équilibre en s’agrippant au mur. Elle mordit alors ses lèvres pour se rappeler qu’elle ne devait émettre aucun son. Sans l’aide de sa main, la tâche était plus difficile. Elle espérait que les ricanements des filles dans le couloir suffiraient à camoufler sa voix… D’ailleurs, les voix des filles se faisaient de plus en plus claires : elles se rapprochaient, et c’était de Marie qu’elles parlaient ! Cela était si humiliant pour elle… ses copines riaient de sa pudeur lors des soins de Chantal. Son plaisir monta encore d’un cran. Elle ne pensait pas que cela était encore possible, et pourtant… Ses hanches ondulaient à la recherche du jet d’eau. Ce sentiment d’avoir été humiliée devant ses amies et Chantal lui fit finalement perdre pied. Marie était prise de tremblements dans tout son corps. Mais elle n’avait plus froid : au contraire. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait, c’était comme si tout le plaisir accumulé dans son clitoris ces dernières minutes explosaient dans tout son corps, parce que le petit organe ne pouvait plus le contenir. Dans un dernier halètement, les jambes de Marie se dérobèrent sous elle. Marie se retrouva les fesses sur les talons, face à la douche. Elle tremblait toujours et peinait à reprendre sa respiration. La porte s’ouvrit dans un fracas : ses amies s’engouffraient dans la salle d’eau. La première observa Marie, au sol, et lui lança :— Marie, tu trembles ! t’as déjà utilisé toute l’eau chaude ou quoi ?? Et les rires des filles s’intensifièrent autour de Marie, qui ne pouvait pas expliquer pourquoi cette ultime humiliation lui vrillait à nouveau le ventre.