Marie la salope adore les sandwichs
Partie en vacances aux iles Canaries avec mon mari, je me suis fait presque « violĂ©e » . J’ai adorĂ©e etre soumise aux caprices de deux policiers locaux ignobles.
Proposée le 10/10/2022 par Guépiere Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHHLieu: Mer, piscine, plageType: Histoire vraie
Je m’appelle Marie, blonde de 38 ans je suis Ă©lancĂ©e avec des formes gĂ©nĂ©reuses, une poitrine de 95E et un cul Ă la Kardashian. Nymphomane je ne peux pas me passer de sexe. J’ai un tempĂ©rament vicieux je suis sans aucune pudeur, en deux mots : la parfaite SALOPE
Cette aventure est entièrement rĂ©elle elle m’a beaucoup marquĂ©e dans mon cotĂ© soumise, jouissant du sordide. Le confinement m’a permis de l’Ă©crire.C’Ă©tait Ă FuertĂ©ventura en fĂ©vrier 2019 nous Ă©tions avec mon mari dans un coin isolĂ© au nord de l’île un lieu pour le surf près du phare de Toston il allait faire de la planche.J’Ă©tais nue sous ma petite robe de plage comme il l’exige. Avant de partir naviguer il a voulu que j’exhibe ma chatte et mon cul pour faire des photos.
J’ai pris des poses qui l’ont excitĂ©, moi aussi. Il bandait, il a sorti sa queue, je l’ai sucĂ© Ă fonds. Après avoir jouit dans ma bouche il est partit surfer.Je suis restĂ©e seule entre les rochers et les dunes dĂ©sertes, très excitĂ©e et frustrĂ©e, j’aurai voulu baiser et jouir.Je m’ennuyais, je cherchais des coquillages le cul en l’air, ma chatte mouillĂ©e bien exposĂ©e au soleil comme sur les photos que mon mari venait de faire. La brise me faisait du bien sans calmer mes envies.Sentant une prĂ©sence derrière moi je me suis retournĂ©e brusquement, effrayĂ©e.
Deux hommes en uniforme figés à deux mètres me regardait sévèrement.
J’ai eu vraiment peur en les voyant, la surprise de ces deux uniformes et la crainte d’être embarquĂ©e pour exhibition.OccupĂ©e comme je l’Ă©tais Je n’avais pas entendu ces deux Guardias arriver derrière moi, me reluquant sans doute depuis un moment. Plus tard j’appris qu’ils Ă©taient lĂ , cachĂ©s depuis le dĂ©but, ils avaient assistĂ©e Ă mon exhibition et Ă la pipe faite Ă mon mari.C’Ă©tait un coin très isolĂ©, personne au alentour sauf des surfeurs au loin sur la mer et ce qui ressemblait Ă une cabane de pĂ©cheur Ă quelques pasJe ne comprenais pas ce qu’ils me disaient ils criaient fort en faisant de grands gestes. J’ai vite compris il fallait que je les suivent dans leur poste de garde Ă quelques mètres je les ai donc suivis au « poste », la cabane en bois qui leur servait Ă surveiller les surfeurs. Derrière Ă©tait cachĂ© leur vĂ©hicule de police, ce qui a augmentĂ© ma frayeur .Après m’avoir demandĂ© mon identitĂ©, mon adresse en France et mon mail, ils m’ont menacĂ©e de poursuites voire d’emprisonnement. Ils criaient fort me terrifiant, puis m’ont fait comprendre qu’ils pourraient ĂŞtre indulgents si j’étais très gentille…Pas possible de faire autrement que de me soumettre car ils pouvaient m’inculper pour exhibition et racolage. Mais je dois avouer que bizarrement la situation m’excitait surtout après la pipe faite Ă mon mari qui m’avait laissĂ©e frustrĂ©e. De plus j’avais toujours le goĂ»t du sperme dans le bouche ce qui augmentait mes envies.le plus jeune Ă©tait grand et maigre avec un visage ingrat, l’autre plus vieux, Ă©tait gros, trapu assez moche, noir de peau et très poilu avec une grosse bedaine. Il avait des yeux noirs brillants, un regard fixe et perçant qui m’impressionnait, m’hypnotisait presque.Avec des gestes ils m’ont fait comprendre que je devais me dĂ©shabiller pour vĂ©rifier que je ne cachait rien. J’ai fait passer ma robe par dessus ma tĂŞte, j’étais nue. Ils ont sifflĂ© sans doute d’admiration et m’ont fait signe d’approcher,J’avais compris leurs dĂ©sirs.
Je leur ai souris en guise de soumission et je me suis agenouillĂ©e devant eux . J’ai ouvert leurs pantalons.Quand j’ai sorti leurs queues une forte odeur de transpiration rance et de bite pas lavĂ©e m’a sautĂ©e au nez, ce qui m’a vraiment dĂ©goĂ»tĂ©e, mais en mĂŞme temps m’a encore plus excitĂ©e. Ils puaient mais avaient vraiment de belles bites Le plus jeune bandait dĂ©jĂ il avait une belle queue assez fine mais très longue bien droite et dure avec le gland effilĂ©. Le plus vieux ne bandait pas encore, pourtant sa bite noirâtre Ă©tait grosse et longue avec un gland comme un Ă©norme champignon.
Pour le faire bander je l’ai sucĂ© tout en branlant le jeune, il Ă commencer Ă grossir. Plus je le suçais, lui massant les couilles et branlant son collègue Ă cotĂ©, plus il bandait : sa queue devenait Ă©norme et longue, presque comme mon poignet sans exagĂ©rer, une vrai « bite de cheval » qui dĂ©formait ma bouche.Le jeune n’a pas tenu longtemps la « branlette » que je lui faisais, il devait ĂŞtre en manque. Il a joui dans ma main Ă grosses giclĂ©es, des jets puissants ont atteint mon visage et coulĂ©es dans mon cou. Je voulais rĂ©cupĂ©rer un peu de son sperme, j’ai embouchĂ© sa queue et lĂ©chĂ© son gland puis son jus sur ma main.
Le plus vieux Ă pris ma tĂŞte la ramenant sur sa queue pour que je continue ma fellation.
J’en avais plein la bouche. Il s’enfonçait Ă fond entre mes lèvres distendues et pourtant Ă peine le tiers de sa queue Ă©tait dans ma bouche, son gland forçait ma gorge. J’aime sucer en gorge profonde, mais lĂ s’Ă©tait trop pĂ©nible.Je ne voulais pas qu’il me jute dans la bouche. j’Ă©tais trop excitĂ©e je voulais sentir sa grosse queue me pĂ©nĂ©trer, je voulais qu’il me baise.
je me suis allongée sur la table qui servait de bureau les jambes bien écartées et relevées,
La chatte bâillante j’ai fait signe au vieux de venir me prendre avec son Ă©norme pieux .
AussitĂ´t il a placĂ© son monstrueux gland violacĂ© Ă l’entrĂ©e de mon vagin Ă©cartant mes lèvres vaginales de ses doigts sales. Avec un grand coup de rein il m’a pĂ©nĂ©trĂ©e en force s’enfonçant d’une seule poussĂ©e violente jusqu’Ă l’utĂ©rus Ă©cartant douloureusement mes muqueuses, j’ai senti ses couilles se coller Ă mes fesses j’étais dĂ©foncĂ©e , j’ai criĂ© de douleur mais aussi de bonheur d’être enfin prise.
J’en avais le souffle coupĂ©, son Ă©norme braquemart Ă©cartelait mes parois vaginales au maximum, sans mĂ©nagement pour aller cognĂ© fort au fond de mon ventre, j’avais mal.
Pourtant j’Ă©tais prĂŞte ! Très excitĂ©e ma chatte toute ouverte dĂ©goulinait de mouille.
Sa queue Ă©tait monstrueuse, elle me remplissait entièrement, j’avais du mal Ă respirer. Son gros ventre reposait lourdement sur moi .il m’Ă©crasait et pourtant j’Ă©tais bien, heureuse d’être ainsi forcĂ©e et remplie.
LogĂ© entièrement tout au fond ma moule il n’a plus bougĂ©. Il s’est allongĂ© sur moi sa bouche baveuse Ă pris mes lèvres, il sentait l’ail et l’alcool mais ça ne me dĂ©goĂ»tait plus au contraire, j’Ă©tais trop excitĂ©e. J’ai rĂ©pondu Ă son baiser avec la langue, j’avais très envie de m’avilir d’être baisĂ©e Ă fond par ce gorille puant et jouir.
Mes jambes enserrant sa taille j’Ă©tais accrochĂ©e Ă son gros cul poilu des deux mains pour mieux le sentir au fond de moi.
Mes muqueuses s’habituaient Ă l’Ă©norme pieux fichĂ© en moi, je mouillais encore plus, mon vagin commençait Ă palpiter autour sa verge.et Ă l’aspirer, la sucer.
Doucement il s’est mis Ă bouger. Il se retirait lentement et presque entièrement laissant juste le bout de sa queue contre mes lèvres Ă©cartelĂ©es et il se renfonçait d’un coup jusqu’Ă la garde bouleversant tout dans mon vagin, butant tout au fond, dĂ©clenchant dans mon ventre des Ă©claires de plaisir qui me parcouraient tout le corps. Son gland se collait tout au fond de mon ventre Ă l’entrĂ©e de mon utĂ©rus, qui lui butinait dĂ©licieusement le mĂ©at. Il grognait de plaisir.
La sensation de cette grosse colonne brûlante coulissant dans ma chatte bouleversait mes sens. Je me sentais envahie emportée par le plaisir. Un plaisir sale que me donnait cet homme hideux et puant vautré sur mon ventre en me baissant de plus en plus fort.
les mouvements amples de sa queue me ravageaient le con contractée sur son manche, et ce plaisir qui montait en moi toujours plus haut, plus fort : je criais :
-« Encore …Plus fort,…. plus loin,…. dĂ©fonce moi comme une salope avec ta grosse bite »
J’Ă©tais Ă©crasĂ©e sous son corps lourd, il me malmenait, prenait mes lèvres dans un baiser baveux. Ses mains trituraient durement mes seins durcis de plaisir, malmenaient mes pointes devenues ultra sensibles. Il transpirait sur moi et sentait fort, mais j’en voulais encore plus le corps arquĂ© pour qu’il aille toujours plus loin en moi. J’étais devenue sa chose sa salope sa pute, Seule sa bite et le plaisir sale qu’il me donnait existait Ă ce moment lĂ .
Ma chatte ce contractait et emprisonnait de plus en plus fort sur son énorme queue, la pompant avec délice en faisant des bruits abjects.
Et dans un grand cri j’ai ….JOOOUUUIIIIIISSSS ….emportĂ©e très loin presque sans connaissance.
Immobile toujours plantĂ© au fond de mon vagin il attendait que je reprenne mon souffle, que je revienne Ă moi. Il n’avait pas joui. Il s’est redressĂ© sur les bras et lentement a fait ressortir sa bite.
Je regardais cette norme chose violacĂ©e luisante de mon jus qui ressortait de ma vulve, cela ne semblait jamais finir tellement elle Ă©tait longue, je me suis sentie vide.j’Ă©tais Ă©mue, heureuse.
Il est allĂ© s’asseoir du bout des fesses sur une chaise en se penchant en arrière son Ă©norme queue noir toujours plus monstrueuse dressĂ©e Ă la verticale devant son gros ventre poilu. Il a Ă©cartĂ©s ses grosses fesse et m’a fait signe de venir lui lĂ©cher le cul.
Encore sous le coup de ma fabuleuse jouissance et abasourdi, j’ai obĂ©i comme hypnotisĂ©e. C’Ă©tait immonde, mais l’odeur horrible que dĂ©gageait son anus et les poils dĂ©goulinants de sueur ne m’ont pas rebutĂ©e. J’ai tirer la langue et je l’ai enfoncer dans son anneau qui palpitait de plaisir.
Très vite il m’a prise par les cheveux pour me relever et me faire monter sur lui
Je l’ai enjambĂ© de face pour le chevaucher, prenant sa bite dans une main je l’ai ajustĂ©e Ă l’entrĂ©e de ma chatte, je me suis laissĂ©e tomber dessus.
J’Ă©tais encore très ouverte, son pieux est rentrĂ© Ă nouveaux en moi d’un seul coup et est venu cognĂ© violemment au fond de mon trou remontant tout sur son passage, j’avais l’impression d’avoir les ovaires dans la gorge. J’ai encore criĂ© de douleur mais aussi du bonheur d’être Ă nouveau baisĂ©e et complètement remplie.
J’ai commencĂ© Ă monter et descendre aspirant avec ma chatte cette belle bite qui me dĂ©fonçait et me ravageait de plaisir. Il me tenait fermement par les fesses guidant mes mouvements qu’il voulait lents et profonds
PenchĂ©e en avant sur lui j’étais collĂ©e Ă sa poitrine, mes seins frottaient sa toison pectoral rĂŞche qui irritait mes tĂ©tons durcis. Ma tĂŞte reposait sur son Ă©paule ma bouche collĂ©e Ă son cou de taureau lapait la sueur qui coulait. Les yeux fermĂ©s je me laissais aller Ă mon plaisir sale et Ă son bon vouloir, j’Ă©tais sa chose.
Ma mouille coulait en abondance il me faisait monter et descendre sur sa monstrueuse verge, ça produisait des bruits mouillĂ©s,des chuintements obscènes. La base de son pieux commençait Ă se couvrir d’une crème blanche Ă©paisse et odorante qui dĂ©goulinait sur ses grosses couilles
De temps en temps il donnait des coups de reins plus forts qui me faisaient crier de bonheur et rejeter la tète en arrière
C’est Ă ce moment que j’ai vu sur le cotĂ©, tout près de nous, le plus jeune entièrement nu prenant des photos d’une main , la queue dans l’autre main en train de se masturber, les doigts refermĂ© sur sa longue tige qui dĂ©passait de plus de moitiĂ© de son poing. Il regardait et filmait mon gros cul joufflu monter et descendre sur l’Ă©norme colonne violacĂ©e pleine de jus. Mon cavalier lui a fait un signe et dit quelque chose que je n’ai pas compris. Mais quel importance je me faisais baiser Ă merveille, cela seul comptait.
Le vieux m’a immobilisĂ©e et plaquĂ©e contre lui m’obligeant Ă me cambrer et Ă faire ressortir davantage mon gros cul. Il m’emprisonnait dans ses bras et m’embrassait Ă pleine bouche. C’est alors que j’ai senti des mains qui Ă©cartaient mes fesses et des doigts me caresser l’anus. J’ai compris que mon baiseur lui avait dit de venir s’occuper de mon cul.
Ma position Ă©cartelĂ©e et penchĂ©e en avant maintenait mes fesses largement ouvertes. Je sentais les doigts taquiner ma corolle anale la caresser, pour l’ouvrir et la graisser avec la crème blanche qui couvrait les couilles du vieux collĂ©es Ă ma chatte. Un doigt s’est infiltrĂ© facilement dans mon trou en tournant et massant les muqueuses de mon conduit anal, puis une deuxième… Mon anus Ă©tait ouvert et bien lubrifiĂ©e (je suis habituĂ©e de ce cotĂ©). Les doigts qui me fouillaient en profondeur, Ă©largissant mon Ĺ“illet, me donnaient des frisons un peu partout. Mes sphincters se contractaient de plaisir nouveaux puis se relâchaient. Mon anneau Ă©tait maintenant bien ouvert se faisant accueillants. J’agitais mon cul en signe de plaisir, rĂ©clamant plus…
Le jeune a retirĂ©s ses doigts, aussitĂ´t j’ai senti son gland s’ajuster Ă mon anus bien ouvert. Il a poussĂ© doucement Ă©tirant dĂ©licieusement ma corolle qui Ă laissĂ© le passage. Le gland s’est engouffrĂ©, et une partie de la hampe s’est logĂ©e dans mon cul presque jusqu ‘au fond. Après une brève crispation un peu douloureuse de mon conduit anal je me suis dĂ©tendue, j’ai senti le plaisir venir. Il commencĂ© Ă faire coulisser sa queue dans mes muqueuses anales. Il allait doucement se retirant presque entièrement et s’enfonçant pour bien profiter du plaisir que lui donnait mon fourreau culier bien resserrĂ© sa longue tige très dure.
Il me tenait fermement par les hanches pour mieux s’enfoncer dans mes entrailles, il forçait, je sentais que toute sa queue n’Ă©tait pas encore rentrĂ©e. J’ai passĂ© ma main derrière mes fesses pour tâter sa bite, il restait au moins dix centimètres. Il voulait la loger entièrement dans mes fesses, mais quelque chose semblait bloquer sa progression. Il Ă continuer Ă aller venir plus vite et soudain comme si une porte s’ouvrait au fond de mon anus il s’est enfichĂ© complètement jusqu’aux couilles, son pubis est venu se coller Ă mes fesses. Je le sentais tres loin dans mon ventre. J’aimais ça, il m’enculait Ă fond. Je ressentais quelque chose de nouveau en moi une grande chaleur envahissait mon mon cul et mes entrailles.
Il Ă criĂ© « Estoy en su mierda ella es buena la puta” ils ont rit grassement, je n’ai compris que plus tard ce qu’il disait.
Le vieux a rit desserant son etreinte il a recommencĂ© Ă me faire aller et venir sur son braquemard. J’avais une bite dans la chatte et une autre dans le cul, l’une entrait l’autre sortait.J’etais ecrassĂ©e entres ces deux hommes inconnus grossiers et malodorants, mais j’Ă©tais bien, heureuse, bourrĂ©e Ă fond des deux cotĂ©s, comblĂ©e.
Ils me baisaient et m’enculaient en force j’Ă©tais ramonĂ©e par les deux trous ma chatte aspirait tout au fond la grosse bite noire, mon cul pompait la longue tige qui le labourait avec des bruits mouillĂ©s, gras, obscènes. Ils transpiraient et soufflaient fort. Dans la cabane ça sentait de plus en plus mauvais : la sueur le foutre et la merde, mais le plaisir Ă©tait partout.
Je commençait à perdre haleine pourtant la jouissance montait du fond de mes entrailles
La bite dans mon cul Ă accĂ©lĂ©rĂ© et encore durci le jeune a poussĂ© un cri en jouissant j’ai sentit son jus gicler dans mon anus qui se contractait, comblĂ©. Un grognement lui a fait Ă©cho. Le vieux me limait fort tapant durement contre mon utĂ©rus avec son gland qui grossissait encore, il tapissait le fond de mon vagin d’Ă©normes giclĂ©es de sperme. Un plaisir monstrueux montait en moi, mes trous Ă©taient remplies de leurs jus. Leurs jouissances a dĂ©clenchĂ© en moi un orgasme ravageur, tout explosait dans mon corps et dans ma tĂŞte. J’ai perdu connaissance.
Je me suis rĂ©veillĂ©e parterre couchĂ©e sur le flanc j’ai regardĂ© autour de moi. Les deux hommes Ă©taient appuyĂ©s sur le bord de la table ils buvaient et me regardaient gĂŞnĂ©s.Je les voyais pour la première fois tel qu’ils Ă©taient, dĂ©goĂ»tants. Le jeune le visage un peu de travers Ă©tait grand et maigre la bite pendante couverte de sperme et de taches brunes. Le vieux, le visage ingrat, Ă©tait gros couvert de poil grisonnant avec un ventre proĂ©minent, sa queue toujours Ă©norme pendait, du foutre dĂ©goulinait encore sur ses grosses couilles trempĂ©es avec des taches marrons. Dans un français approximatif il s’est excusĂ© disant que c’Ă©tait la première fois qu’ils faisaient ça, je l’ai cru ils Ă©taient vraiment repoussants. Pourtant je les ai remerciĂ©s.
J’avais mal partout je me sentais poisseuse mes trous Ă©taient douloureux, des mĂ©langes de jus gras s’en Ă©coulait. J’ ai passĂ© ma main entre cuisses et mes fesses mon anus restait ouvert. J’Ă©tais trempĂ©e, gluante, j’ai regardĂ© mes doigts ils Ă©tait couverts de sperme et de merde, ça puait c’Ă©tait odieux.
J’ai eu honte, mais j’Ă©tais comblĂ©e, repus de plaisir et heureuse.
Je me suis relevĂ© pĂ©niblement j’ai ramassĂ© ma robe au sol et je suis sortie mon vĂŞtement Ă la main.
Le soleil m’a Ă©bloui tout Ă©tait dĂ©sert je suis repartie vers la voiture, j’avais du jus qui me coulait le long des jambes je puais ; Soudain j’ai rĂ©alisĂ© que ces deux hommes venaient de profiter de moi, de remplir mes deux trous sans prĂ©servatif.
Bizarrement je n’Ă©tait pas inquiète et en plus j’étais comblĂ©e.
Mon mari m’attendait en rangeant son matĂ©riel il m’a vue arriver et s’est Ă©criĂ© « mais qu’est ce que tu fais Ă poil dans cette Ă©tat ? »
Je n’ai rien rĂ©pondu j’ai pris une serviette que j’ai pliĂ©e sur mon siège et je me suis Ă©croulĂ©e dessus, les jambes Ă©cartĂ©es morte de fatigue et de plaisir.
Mon mari est montĂ© dans l’auto il m’a regardĂ©e et a vu les traces sur mon corps et le sperme entre mes jambes, il m’a demandĂ© ce qu’il s’Ă©tait passĂ©.
«Deux hommes viennent de me baiser et m’enculer, j’ai joui comme une reine je suis comblĂ©e, heureuse et crevĂ©e »
En rentrant Ă l’hĂ´tel mon mari Ă voulu connaĂ®tre les dĂ©tails de cette aventure. Je lui est racontĂ© avec avec toutes les prĂ©cisions sordides. Ça l’a tellement allumĂ© qu’il a voulu me baiser et m’enculer dans le sperme des autres. Il Ă©tait comme fou, il m’a joui dans les deux trous allant de l’un Ă l’autre sans dĂ©bander m’inondant partout. II n’en finissait pas de gicler hurlant et m’insultant tellement ça l’excitait. J’ai encore jouis en criant très fort moi aussi, et je me suis Ă©croulĂ©e.
Je suis restée inerte en travers du lit défait et souillé, mes deux orifices dégorgeaient de sperme.
Ma chatte rouge toute irritée baillait, mon cul ne se refermait plus je baignais dans les jus de trois hommes. Je me suis endormie
Le lendemain matin nous étions à l’aéroport les vacances étaient finis.
Quelques jours plus tard j’ai reçu un Email avec de nombreuses photos et vidĂ©os…© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protĂ©ger les oeuvres littĂ©raires de nos auteurs.Cette page est destinĂ©e Ă ĂŞtre consultĂ©e en ligne et ne peut pas ĂŞtre imprimĂ©e ou copiĂ©e.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle. Un nombre important d’auteurs nous ont donnĂ© l’exclusivitĂ© totale de leurs textes.
Fermer définitivement
L’activation des cookies et de javascript est nĂ©cessaire Ă son bon fonctionnement.
Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d’Ă©viter au maximum les abus inhĂ©rents Ă la notation des rĂ©cits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d’une fois la mĂŞme histoire Ă©rotique.
Les notes attribuĂ©es Ă la volĂ©e pour un mĂŞme auteur (qu’elles soient bonnes ou mauvaises) seront modĂ©rĂ©es.
Commentaires de l’histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email
Histoires Ă©rotiques choisies :
L’anniversaire de Marie salope
J’adore me faire rimmer…
J’adore me faire enculer 5
J’adore me faire enculer 4
J’adore me faire enculer 3