Je crois que javais tort. Il ma sodomisée si fort et si longtemps, son épieu était si épais et si raide que quand il sest retiré de mes reins après avoir craché sa semence dans mes intestins, je nai pu me redresser. Quand jai tenté de sortir du lit, une douleur terrible a traversé mon ventre et je suis retombée en criant. Il a vu les larmes ruisseler sur mon visage déformé par la souffrance et a secoué la tête avec tristesse. Désolé, Honey, mais tu mavais provoqué et voilà. Je sais, je naurais pas dû. Mais jai joui tellement que ça valait quand même le coup. Jai entendu, en effet ; tu as aimé que je te prenne à fond, et moi jai adoré. Je fais couler un bain, et je taiderai. Nessaie pas de bouger, je reviens. Merci.Je suis restée allongée sur le dos, respirant lentement pour essayer de calmer la douleur ; jai posé deux doigts sur mon pubis, les glissant dans ma fente trempée et délaissée ; jai tressailli en touchant mon clito tout dur et hypersensible. Quand Gregory est revenu, jondulais sur le lit en me caressant, trois doigts dans mon vagin et lautre main malmenant une aréole gonflée de désir. Il a ri en sapprochant, les yeux soudain brillants. Décidément, tu es quelquun ; je comprends quAntoine taime autant. Je vais te porter. Et nessayez même pas den profiter pour me sodomiser à nouveau, je suis cassée, out of order.Il a secoué la tête, javais bien vu quil bandait fort mais je nen pouvais plus. Il ma soulevée dans ses bras avec aisance, comme si je ne pesais rien, et ma serrée tendrement contre lui. Lours et la poupée. Il a gagné la salle de bains, est monté dans la grande baignoire de marbre rose et sest assis précautionneusement, sans me lâcher. Jétais bien, les bras autour de son cou épais et la tête posée sur son épaule, respirant ses effluves de mâle en sueur. Je me suis raidie quand mes fesses ont touché leau un peu trop chaude, mes muqueuses étaient à vif. Mais rapidement la gêne sest estompée et je me suis laissé aller contre le torse de Gregory. Jai plongé toute la tête dans leau et me suis tournée, allongée sur lui ventre contre ventre, les yeux dans les yeux.Les siens étaient songeurs, moins durs, presque pétillants. Il a posé ses grosses mains sur mes fesses pour les caresser tendrement, me faisant presque ronronner de bonheur ; dans ma position, son barreau de chair était coincé sous mon ventre et palpitait de désir. Vous ne débandez jamais ? Vous êtes tout dur sous mon ventre. Avec une jolie fille comme toi, jai du mal à faire autrement. Vous allez me tuer si on recommence Tu crois ? Je peux attendre si cest ce que tu veux. Merci, jai trop mal encore. Antoine a une pommade miracle, mais là, jai tellement chargé que même si je lavais ici Pas de problème. Vous pourriez aussi me faire lamour normalement, je suis prête pour vous si vous voulez. Vous avez dit que vous ne vouliez pas prendre mon vagin tout à lheure, mais vous navez pas expliqué pourquoi Je suis trop long pour toi, je vais te faire du mal. Oui, je me doute, mais Antoine et Quentin mont bien préparée, alorsEt je lai embrassé, picorant ses lèvres, glissant la langue entre elles ; il a réagi aussitôt, sa bouche sest ouverte et sa langue épaisse sest imposée dans ma bouche, impérieuse, fureteuse. Les mains sur mes hanches, il écrasait mon ventre contre sa virilité complètement érigée tout en envahissant ma bouche jusquaux amygdales. Je me suis enfin redressée, la respiration hachée, le cur battant à rompre. Alors, vous avez réfléchi ? Si vous êtes daccord, on va sur le lit, vous vous allongez sur le dos ; et je moccuperai de tout. Tu sais que tu es une diablesse ? Je ne peux pas refuser, tu es si sérieuse. Tu en as réellement envie ? Oui, bien sûr ; sinon je ne vous le proposerais pas !Ma voix nétait quun soupir de plaisir anticipé ; je savais déjà que jaurais mal mais aussi que jallais jouir plus fort que jamais. Je suis sortie précautionneusement de la baignoire et me suis enroulée dans une grande serviette décorée des armoiries de lhôtel ; en grimaçant, car mon anus était douloureux ; vivement la pommade miracle ! Gregory sest soulevé et est sorti dans un éclaboussement deau ; il sest sommairement séché avant de regagner la chambre, précédé par sa verge glorieusement dressée qui lui ouvrait la route.Je pouffais en le suivant, limaginant dans le hall de lhôtel dans cet état, il tourna la tête, la surprise se lisant sur son visage. Je laissai tomber la serviette et son regard devint ouvertement lubrique, entraînant mon hilarité. Je suis désolée, je ne me moquais pas de vous, je vous jure. Je lespère car je serais obligé de te donner une bonne fessée Ne vous gênez pas, surtout. Tu es décidément une fille qui gagne à être connue. Tu es maso ? Non, mais une bonne fessée donnée par un beau mec, ce nest pas si mal. Surtout si après il me fait lamour avec vigueur. Dans ce cas, approche ; je vais te faire goûter à mes battoirs jusquà ce que tes fesses soient de la bonne couleur.Bon sang, quest-ce qui mavait pris ? Il fallait assumer, maintenant. Il sest assis sur une chaise et ma fait signe davancer encore ; je lui ai souri tout en obtempérant et il ma basculée sur ses cuisses, maintenant mes reins de la main gauche. Mes cheveux touchaient le parquet et jai posé les mains à plat pour méquilibrer, consciente davoir le fessier parfaitement exposé. Je serrai les dents pour étouffer un cri quand la première claque tomba, sèche et plus forte que je ne my attendais ; à la troisième, je regimbai : Cest trop fort, sil vous plaît, tapez moins fort ! Si je te dis que je retiens mes coups, tu me crois ? Oui Pardon. Oh ! Oh !Je ne retenais plus mes plaintes, sa large main frappait une fesse après lautre, gauche droite, à la même cadence et avec la même puissance. Il a arrêté pour glisser deux doigts dans ma fente, constatant que jétais trempée. Il les a fait coulisser quelques secondes avant de reprendre les coups. Je pleurais mais ne cherchais pas à échapper à la fessée ; après tout, cest moi qui lavait cherchée. Quand il arrêta de frapper, il insinua à nouveau ses doigts entre mes cuisses que jécartai légèrement, toute honte bue. Et il ricana en plongeant ses doigts dans le cloaque quétait devenu mon vagin. Effectivement, tu as aimé ça ; moi aussi ; à ton tour de me faire plaisir !Il me souleva et tira à lui mon visage baigné de larmes pour membrasser fougueusement ; Puis il alla sallonger, la tête posée sur deux oreillers, jambes écartées. Son visage dur était plein de morgue, comme sil me mettait au défi de donner suite à mes paroles. Toi, mon gros, tu ne me connais pas ; je suis du genre têtu ; et ce que je dis, je le fais ! Non mais !Jai saisi sa verge à deux mains et ai léché le gland décalotté en épiant Gregory du coin de lil ; quand jai gobé tout le gland pour le pomper vigoureusement, jai vu son sourire goguenard seffacer lentement, remplacé par le désir pur. Je me suis reculée, ai donné un coup de langue sur le méat avant de lui adresser un sourire mutin. Alors, mon ptit loup, vous aimez ça, on dirait ? Vous voulez que je monte sur vous ?Il a croisé les bras derrière sa nuque en opinant simplement ; jai enjambé son ventre, masseyant cuisses repliées comme une grenouille, son gland palpitant contre mon entrejambe. Jai glissé une main entre nos ventres pour diriger sa verge et poser le gland sur ma vulve bien ouverte par la position. Et jai reculé doucement, faisant pénétrer la lourde colonne en moi ; jétais abondamment lubrifiée mais il était si épais et moi si étroite que lintroduction était délicate.Les yeux rivés dans ceux de Grégory, jai pesé toujours plus fort, appréciant chaque centimètre de la hampe de chair qui forait son chemin. Je réalisai que ma bouche formait un O et que je haletais sourdement, comme le gland massif venait de buter contre le col de mon utérus. Vous aimez ? Je vous sens tout au fond de moi. Je ne suis pas entièrement en toi mais cest très agréable, crois-moi. Vous voyez. Alors, vous me trouvez comment ? Bien mieux que je ne pensais, en fait. Je mattendais à autre chose.En parlant, je remuais le bassin et exécutais de petits allers-retours souples et très lents, revenant buter à chaque fois contre mon col. Petite douleur, raidissement, relâchement. Vous vous attendiez à quoi ? Une pute, une connasse que je démolirais avec plaisir avant de repartir à New-York. Et alors ? Et alors, cest raté ; tu es jolie, décidée, un brin moqueuse, drôle. Tu aimes quand je tencule, tu ma sucé divinement. Et toi, comment tu me trouves ? Impressionnant ; dur, sûrement capable de violence ; très beau, aussi, surtout quand vous souriez ; là vous devenez craquant.Je respirais plus fort alors que jaccélérais mes mouvements sur lui, ma peau couleur miel se couvrait de sueur et je ne pus retenir un gémissement de plaisir ; jétais à deux doigts dun orgasme dont je savais déjà quil serait puissant, mes tétons gonflés appelaient les caresses. Je me suis redressée, accroupie pour peser sur la gigantesque verge dont le gland appuyait sur le col. Pas question de mestropier pour les beaux yeux de mon amant ! Je me suis redressée pour diriger le gland sur mon anus encore ouvert avant de descendre.