Depuis le treize avril deux mille treize, Martine, employée polyvalente dans un supermarché m’est offerte comme soumise par son époux Pierre qui est policier. Ses règles de soumission sont fort simples. Je donne mes ordres par écrit afin que son époux puisse les lire et la faire obéir strictement. Les comptes rendus sont aux aussi rédigés par écrit par la soumise et sous la surveillance de son époux. Je suis autorisé à tout lui faire et lui faire faire à l’exception de lui administrer des raclées trop sévères. Je ne perdis donc pas de temps, ce même jour en matinée elle dut donc aller faire ses achats de la semaine en jupe, bas résille noirs et talons hauts, sans culotte, dans le supermarché où elle travaille.
Elle se fit terriblement chambrer d’être ainsi habillée comme une pute par ses collègues femmes et hommes, ce qui l’excita énormément. Ce couple dont les enfants ont quitté le foyer conjugal dispose derrière sa maison de ville d’une petite cour et d’un petit jardin cachés à la vue de tous. Elle fut donc obligée de séjourner une heure en talons hauts et en bas résille, une paire de boules de geisha enfoncée au fond du vagin, sans rien d’autre dans cette petite cour. C’était un des premiers jours de beau temps de l’année deux mille treize, comme quoi cette soumise est une petite veinarde, le même jour elle est offerte à un nouveau maître et elle prend un bain de soleil au jardin. Le reste de l’après-midi elle a dû astiquer toute la maison et cuisiner en talons et en bas résille. Son époux ne se priva pas d’abuser de la situation quand elle repassait ou passait l’aspirateur ainsi vêtue et garnie. Son époux me fit savoir en lui faisant rédiger le compte rendu de cette journée qu’il avait fort apprécié ce premier jour de dressage.
Le quatorze avril deux mille treize le couple devait aller passer la journée chez leur fille. Je décidai que ce serait en bas résille, talons hauts et avec un bouchon anal pour la soumise. Après des négociations, il fut convenu que la soumise porterait cependant une jupe longue sur ses bas résille pour ne pas trop faire pute chez sa fille. C’est donc dans cette tenue que Martine se trémoussa tout le dimanche le bouchon anal bien enfoncé dans le cul chez sa fille et sous les yeux brillants de désir de son tendre époux. Pour l’exciter encore plus, il lui susurrait des insultes à l’oreille dès qu’il le pouvait et la pelotait. Elle me fit part en soirée de son état d’excitation tout au long de cette adorable journée. Afin de lui apprendre les bonnes manières, je lui ordonnai de s’installer à plat ventre sur les genoux de son époux confortablement assis afin qu’il la fesse à main nue jusqu’à ce qu’elle le supplie de bien vouloir arrêter.______
Le quinze avril deux mille treize je lui demandai si elle avait envie d’une mission pour pimenter sa journée au supermarché. Elle me répondit qu’elle devait m’obéir sans discuter. Au moins la situation était claire. Je lui demandai si les travaux de cette journée lui permettraient de porter des bas sexy et des boules de geisha dans son anus mais de ne pas porter de petite culotte. Elle m’assura que c’était tout à fait possible. Ce choix fut donc validé. Je lui demandai ensuite si ses travaux de ce jour étaient compatibles avec le port de talons hauts, elle me répondit qu’elle travaillerait à la caisse assise toute la journée. Le port des talons hauts fut donc également accepté. Je lui proposai d’être ce jour très souriante avec les clients et nettement plus stricte avec les clientes, elle valida ce comportement imposé pour cette journée. Je souhaitai une bonne journée à ma soumise et lui demandai incidemment si elle avait besoin d’une fessée. Elle me répondit qu’elle n’en avait pas vraiment besoin mais qu’elle était tenue d’obéir à tous mes ordres. Je lui demandai alors si elle disposait d’un martinet. Sa réponse fut affirmative. La sachant sans petite culotte et portant les boules de geisha dans son anus, je lui ordonnai de s’administrer vingt bons coups de martinet sur les fesses. Ainsi elle pensera à son maître quand elle sera assise sur son fauteuil au supermarché et elle mouillera pour lui. Elle me fit savoir qu’elle était totalement nue, qu’elle allait s’habiller puis se maquiller et qu’elle n’oublierait pas de s’administrer les vingt coups de martinet avant de partir prendre son bus. Je lui souhaitai une bonne journée humide au travail et elle remercia son maître. La soumise me demanda de faire circuler les ordres et les comptes rendus par mail afin que son mari puisse en profiter. Je lui expliquai qu’avec ma soumise russe, nous avions remarqué que les mails étaient fort longs à arriver en Russie et à en revenir et nous avons opté pour une messagerie instantanée. Nous utiliserons donc une messagerie instantanée et elle devra enregistrer les conversations afin de les montrer à son époux pour qu’il puisse appliquer mes ordres strictement. La soumise acquiesça. Ce même jour en soirée elle dut me raconter sa journée. Elle quitta son domicile juste après s’être administrée les vingt coups de martinet sur les fesses. Le port des boules de geisha lui donnait sans discontinuer l’envie de déféquer, la sensation était fort désagréable, mais en soumise docile elle les garda en elle le plus longtemps possible selon mes ordres. Elle était contente de s’être fait interdire le port d’une petite culotte, en effet l’air frais lui faisait du bien aux fesses après la raclée qu’elle s’était administrée à l’aide du martinet. Elle me fit savoir qu’elle avait pu garder les boules de geisha à l’intérieur de son anus de son départ du domicile conjugal peu après sept heures en bus à sa pause de douze heures. Je la félicitai pour la réussite de sa première mission sur son lieu de travail. Elle m’en remercia fort poliment. Elle m’informa qu’avec ses sourires, maintenant certains clients la regardaient avec insistance. Je lui demandai si elle se sentait prête pour une mission dès le lendemain. Elle fit savoir à son maître qu’elle n’avait pas le choix et devait lui obéir en tout. Elle travaillerait le lendemain, le seize avril deux mille treize au réassortiment et à l’étiquetage. Cela consiste toute la journée à courir entre l’entrepôt et les rayons pour les remplir de marchandises tenues à la disposition de la clientèle et à étiqueter les rayons. Devant courir toute la journée ou à tout le moins marcher, il fut convenu qu’elle ne porterait pas de talons hauts. Elle porterait cependant des bas très sexy et une jupe fort courte, en effet une jupe longue ne lui permettrait pas de bouger suffisamment. Elle me fit remarquer à juste titre que ses collègues porteraient des pantalons et qu’elle ne passerait pas inaperçue. Je lui demandai alors si elle possédait un œuf vibrant doté d’une télécommande. Elle me répondit affirmativement. Elle devrait donc porter cet œuf en permanence dans sa chatte et le faire vibrer le plus souvent possible à l’aide de la télécommande. Telle serait la mission pour cette journée. Elle me fit remarquer qu’elle ne pourrait le faire que quand elle serait seule car son œuf vibrant était assez bruyant. Je lui confirmai qu’elle devrait avoir la télécommande en permanence à portée de main dans sa poche et que dès qu’elle aurait une seconde de relative intimité, elle devrait immédiatement actionner le bouton déclenchant les vibrations. Elle me fit savoir qu’elle serait très émoustillée car elle avait déjà utilisé cet œuf vibrant dans un restaurant et elle savait donc qu’il n’était pas très discret. Elle m’indiqua que son mari lisait notre conversation avec un grand plaisir. Je lui appris ensuite que j’avais écrit deux romans érotiques dont j’avais assuré moi-même la publication. Je lui expliquai où elle pourrait lire gratuitement sur internet les quatre premiers chapitres du deuxième roman, et lui demandai de me dire ensuite franchement ce qu’elle en penserait. Une fois qu’elle fut sur le site internet je lui expliquai comment procéder afin de pouvoir lire un extrait du roman. Elle me promit de lire ces quatre chapitres au cours de cette soirée. Je l’informai que le lendemain soir je ne serais pas là mais à mon club de bridge comme tous les mardis et lui souhaitai une bonne lecture.
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Le seize avril deux mille treize, après les salutations d’usage, je demandai à la soumise si elle avait lu de début de mon deuxième roman avec son époux au cours de sa soirée de la veille. Elle me fit savoir qu’elle l’avait lu seule. Je lui demandai si elle avait aimé l’héroïne Solange. Elle me répondit qu’elle était folle. Je lui précisai que ce n’était pas le cas, mais qu’elle aimait les sensations fortes. Elle me confirma qu’à part les passages du roman où l’héroïne se fait frapper, elle avait effectivement adoré cette histoire. Je la rassurai en lui indiquant qu’il n’arrivait jamais rien de grave à mon héroïne. Elle me précisa qu’elle avait particulièrement aimé les scènes se déroulant au supermarché, en m’informant que je savais pourquoi. En effet cette soumise travaillait dans un supermarché et avait pu se représenter tous les détails croustillant de ce passage du roman. Je lui confirmai que l’idée de menotter l’héroïne du roman au chariot et de lui faire retirer ses bas à la caisse afin de pourvoir payer sa gamelle en inox de soumise m’avait bien plu. Elle me fit savoir que cela semblait irréel, je lui répondis qu’en fait elle ne savait pas tout … Elle avait par contre adoré le passage dans le sex-shop à l’abri des regards et l’interrogatoire en soirée par Madame Irma. Elle avait trouvé le passage avec le voisin, qui avait fait courir l’héroïne deux heures en talons de quinze centimètres sur un tapis de course un peu dur. Je lui fis remarquer que c’était pour durcir et muscler l’héroïne car elle en aurait besoin au cours des événements qui allaient suivre. Elle me fit savoir que de son côté elle avait déjà mangé dans la gamelle en inox du chien. Ceci ne tomba pas dans l’oreille d’un sourd ! Je lui indiquai qu’elle était déjà une soumise bien dressée et elle m’en remercia. Je lui demandai alors si elle souhaitait recevoir mes deux romans dédicacés et de me confirmer que son prénom réel était bien Martine. Elle m’indiqua que son époux se nommait lui aussi réellement Pierre. Je compris le message et lui promis de dédicacer mes deux romans à l’encre bleue pour Martine et Pierre. Elle remercia alors chaleureusement son maître. Je lui indiquai que je dédicacerais les deux romans ce jour et qu’ils arriveraient ce même jour par mail. Je lui recommandai encore une fois de bien utiliser son œuf vibrant ce jour et lui indiquai qu’elle ne pourrait pas me parler ce soir car je serais à mon club de bridge. Elle m’informa qu’elle passerait demain matin prendre ses ordres et me remercia encore une fois pour ces dédicaces à leurs deux prénoms. En début de soirée avant de partir bridger, je lui donnai par mail les ordres suivants. Si elle travaillait le lendemain à la caisse ce serait en talons de quinze centimètres, en bas sexy et avec un bouchon anal. Si elle travaillait le lendemain ailleurs qu’à la caisse, ce serait après une sévère fessée qu’elle s’administrerait le matin à l’aide de son martinet et elle devrait porter les boules de geisha dans son vagin le plus longtemps possible.
Le dix-sept avril deux mille treize, avant de partir travailler elle me contacta. Je lui demandai si elle avait bien reçu mon mail. Elle m’en confirma la lecture et m’informa que ce jour elle travaillerait à la caisse. Je ne pus que lui répéter mes ordres, elle devrait donc se rendre à son travail en bus en talons hauts, bas sexy et avec son bouchon anal. Elle m’informa qu’elle obéirait strictement à mes ordres. Je la questionnai sur la couleur des chaussures à talon, des bas et du bouchon anal qu’elle allait porter cette journée. Elle me fit savoir que les chaussures seraient noires, les bas noirs et transparents et le bouchon anal noir. Je lui fis remarquer que sa tenue serait particulièrement sexy et elle me répondit que ce serait pour faire plaisir à son maître. J’eus alors envie de la punir sur le champ pour sa lubricité et ses envies coquines. Mon ordre tomba aussitôt. Je lui ordonnai de se pincer immédiatement et fortement les tétons devant son maître. Elle me fit savoir qu’elle était une perverse et qu’elle méritait bien cette punition, puis qu’elle se pinçait les tétons avec ses doigts sans retenue. Dans le même ordre d’idées, je lui demandai alors si elle avait à sa disposition des pinces à seins en acier ou de solides pinces à linge en bois. Elle me répondit négativement et m’indiqua qu’elle ne possédait que des pinces à linges normales en plastique. Je l’informai que les bonnes vielles pinces à linge en bois avaient plus de mordant, qu’elles étaient écologiques et qu’en plus les soumises les adoraient, bref qu’elles n’avaient que des qualités. Je lui ordonnai ensuite d’orner chacun de ses seins de cinq pinces à linge et chacun de ses tétons de deux pinces en plastique.
Elle me fit part qu’elle était déjà en train d’exécuter mes ordres. Je lui appris que plus elle les porterait longtemps, plus elle en aurait les larmes aux yeux quand elle les retirerait. Mais je la rassurai en lui indiquant que j’étais presque certain que cela lui plairait. Puis elle m’informa qu’elle arborait fièrement les quatorze pinces à linge. Je lui demandai si elle était déjà excitée à l’idée du port de sa tenue au travail et de son bouchon anal. Elle me fit savoir qu’elle s’habillait et qu’elle avait déjà le bouchon anal sous les yeux. Je lui demandai si ses deux seins étaient maintenant ornés comme des sapins de Noël, elle répondit affirmativement à son maître. Je lui ordonnai de s’introduire le bouchon anal au fond du cul immédiatement, afin qu’elle soit prête à partir travailler. En effet son maître ne souhaitait pas la mettre en retard. Elle m’indiqua être en train de se préparer, qu’elle garderait le bouchon anal dans son cul le plus longtemps possible et qu’elle allait se maquiller. Je l’informai que je l’observais pendant sa séance de maquillage et que le bouchon anal enfoncé au fond de son cul de soumise la rendait très excitante. Elle m’informa que depuis quelques jours, certains collègues masculins la regardent différemment. Elle pensait que c’était à cause de ses talons hauts. Pierre son époux lui expliqua qu’ils avaient vu en elle une putain bonne à baiser. Elle me remercia de mes compliments et m’annonça qu’elle devait me quitter pour finir de se préparer puis partir travailler. Avant de la laisser filer je lui souhaitai une bonne journée et je lui demandai si elle voyait un inconvénient à ce que j’écrive un roman sur sa vie de soumise. Elle me fit savoir qu’elle en serait très fière mais me supplia de n’y faire figurer que son prénom. Je lui promis de ne publier que son prénom. Elle me donna son accord pour son prénom : Martine. C’est à ce moment que je pris la décision d’écrire et de publier ce roman. Je lui donnai ensuite l’ordre de se sauver au travail, je ne voulais pas qu’elle soit en retard à cause de son maître. Elle me remercia et me dit qu’elle devait maintenant se dépêcher. Je lui expliquai que ce matin je la libérais à sept heures trois car j’étais en congés mais que quand je retravaillerais, je devrais la quitter pour aller prendre mon autocar dès six heures quarante.si vous voulez lire la suite de ce roman :
http://www.bookelis.com/romans/1244-martine-la-soumise.html
Une histoire érotique bdsm toute en sensualitée qui vous a été proposé par un nouveau Paul, n’hésitez évidemment pas à lui laisser vos impressions en commentaires.