– 1-En cette belle journĂ©e d’étĂ©, Maryse se console d’être encore devant son Ă©cran d’ordinateur en se disant qu’il ne lui reste qu’une heure avant de quitter son bureau. On est mercredi, son travail et ses horaires lui permettent d’avoir sa demi-journĂ©e, ce qui Ă©tait très pratique lorsque ses enfants Ă©taient plus jeunes. Maintenant qu’ils ont treize ans pour le dernier et seize ans pour sa fille aĂ®nĂ©e, elle profite de ce temps pour vaquer Ă ses occupations. Mais d’abord elle doit finir sa comptabilitĂ© si elle ne veut pas avoir son chef sur le dos le reste de la semaine. Ce dernier dĂ©boule dans son bureau, sans frapper comme toujours, accompagnĂ© d’un stagiaire Ă tout faire :— Maryse, pourriez-vous me rendre un service ? Il faut que nous nous dĂ©barrassions de quelques cartons d’archives et je crois que la dĂ©chèterie est sur votre chemin…Et sans lui laisser le temps de rĂ©pondre :— Bref, j’ai demandĂ© au petit Martin de vous aider Ă charger les quelques cartons dans votre voiture. Ă€ demain.Le pauvre « petit » Martin ne sait plus oĂą se mettre, le chef comptable M. Ribière vient de le laisser en plan dans le bureau de cette dame qu’il connaĂ®t Ă peine avec une mission qui ne doit pas l’enchanter. Maryse laisse la surprise passer, puis elle demande au jeune homme de la rejoindre devant son bureau dans une demi-heure pour l’aider. Il lui reste peu de temps, mais elle rĂ©ussit Ă prendre de l’avance sur son travail. Elle retrouve le jeune Martin devant son bureau.— Vous a-t-il dit au moins quels cartons devaient ĂŞtre jetĂ©s ?— Oui, madame.— Bon, je vais chercher la voiture et vous, vous commencez Ă sortir les cartons.Les cinq cartons chargĂ©s, Maryse se dit que vraiment Ribière exagère, quel goujat. Mais par les temps qui courent, mieux vaut garder son emploi. Et puis la dĂ©chèterie est sur son chemin. Elle rentre sa voiture sur le terrain, voit deux utilitaires garĂ©s. Deux hommes sont en train de jeter leur dĂ©tritus, un Ă la benne de recyclage des dĂ©chets organiques et l’autre Ă la ferraille. La casse de voitures se trouve juste Ă cĂ´tĂ©. Un homme en tenue de chantier s’approche d’elle.— Bonjour M’dame, vous avez votre carte ?Maryse reste un moment interdite. Quelle carte ? De quoi parle-t-il ? En plus il a un regard lubrique, il la dĂ©vore des yeux.— Euh bonjour… de quelle carte parlez-vous ?— Ben, je dois savoir si vous habitez le coin et si vous avez bien payĂ© vot’taxe pour jeter vos ordures chez moi !Maryse se dit qu’en plus d’être lubrique, le bonhomme n’est pas très aimable…— J’habite la ville d’à cĂ´tĂ©, d’habitude mon mari se charge de ça, mais lĂ on m’a demandĂ© de jeter des vieux dossiers…— Ouais OK, j’ai pas toute la journĂ©e. Montrez voir votre carte d’identitĂ© et vous reviendrez demain avec vot’carte pour que je valide.Elle fouille son sac, sous le regard de l’employĂ© qui n’en perd pas une miette. Pourtant elle est habillĂ©e sobrement comme toujours. Sa robe Ă motif vert est fraĂ®che, mais elle la couvre jusqu’au cou. Elle lui tend sa carte d’identitĂ©.— OK c’est bon, pour le papier, c’est la dernière benne. Par contre, faut revenir demain avec votre carte si vous voulez pas recevoir une amende.— Merci.Elle dirige sa voiture vers la dernière benne. Les deux autres hommes la regardent passer. Elle commence Ă ĂŞtre troublĂ©e par le comportement de tous ces hommes. Elle se dit qu’il vaut mieux qu’elle se dĂ©pĂŞche de jeter tous ces papiers pour rentrer chez elle. Les cartons Ă©tant bien trop lourds pour elle, elle jette dossier par dossier dans la benne dont l’ouverture se trouve un peu au-dessus de son visage. L’employĂ© ne perd pas une miette de ce spectacle. Ce n’est pas si souvent qu’une femme vient lui rendre visite. Celle-lĂ dans sa robe verte lui plaĂ®t bien. Il peut deviner une belle paire de seins qui ballottent Ă chacun de ses mouvements et ses fesses bien rebondies lui ouvrent l’appĂ©tit. Les deux autres non plus n’en ratent pas une miette. D’ailleurs ils se font quelques commentaires imagĂ©s qui ne laissent aucun doute. L’un d’eux s’adresse Ă l’employĂ©Â :— Eh Francis ! T’en reçois du beau monde aujourd’hui ! Tu nous avais cachĂ© ce joli petit lot.— Moi, je lui p’loterai bien les nichons !Et Francis de rĂ©pondre :— Ouais, tu peloterais n’importe quoi toi de toute façon !S’en suivent des Ă©clats de rire bien gras. Les hommes n’ont pas Ă©tĂ© très discrets et Maryse a tout entendu de l’échange et des premiers commentaires Ă©changĂ©s. Et elle est mal Ă l’aise. Elle n’ose rien dire. Son cĹ“ur bat la chamade. Son souffle est plus court. Les efforts pour jeter ses fichus dossiers, se dit-elle. Mais elle sait qu’il y a autre chose, elle a une boule dans le ventre. Elle n’ose y croire, mais elle est excitĂ©e par les commentaires des ces vicieux. Il faut qu’elle se reprenne. Francis l’employĂ© approche d’elle.— Madame, n’oubliez pas de revenir demain. J’ouvre Ă 8 heures et je ferme Ă 17 heures 30. Sauf le mercredi oĂą je ferme Ă 14 heures. D’ailleurs l’heure approche, faudrait vous dĂ©pĂŞcher.Le bonhomme s’en va sans mĂŞme l’aider. Quel goujat, pense-t-elle. Et encore ce regard lubrique braquĂ© sur sa poitrine. Il faut dire que les efforts (ou bien est-ce autre chose) lui font pointer les seins. Ses tĂ©tons tendent outrageusement le tissu de sa robe Ă travers son soutien-gorge.Les derniers papiers jetĂ©s, elle quitte la dĂ©chèterie. Pendant le trajet de retour elle ne peut s’empĂŞcher de repenser Ă ces derniers moments Ă la dĂ©chèterie. Elle a Ă©tĂ© troublĂ©e par le regard des hommes et surtout celui de Francis. Sans parler de leurs commentaires. ArrivĂ©e chez elle, elle prend un bon bain, se prĂ©lasse puis s’occupe de la maison en attendant le retour de son mari et des enfants. Elle ne parle pas de cet Ă©pisode qu’elle essaie d’oublier.Le lendemain matin, elle dĂ©cide de repasser Ă la dĂ©chèterie car elle ferme trop tĂ´t le soir. Francis la voit arriver, mais il la laisse venir vers lui. Elle descend de voiture et, comme la veille, il la dĂ©vore des yeux. Aujourd’hui, elle s’est habillĂ©e d’un pantalon et d’un chemiser assez ample. Comme la veille son regard est attirĂ© par ces deux lobes qui bougent en cadence quand elle marche. Son regard la gĂŞne, elle-mĂŞme n’ose pas le regarder trop longtemps comme si elle risquait de libĂ©rer les pulsions de l’autre en le regardant.— M’dame.— Bonjour, je vous ai ramenĂ© ma carte.— C’est bien, ça. Voyons voir…il inscrit son nom sur son registre.— Il me faut votre tĂ©lĂ©phone aussi, Madame LĂ©pie.— Pourquoi ?— C’est comme ça. J’fais pas le règlement.Elle lui donne son numĂ©ro de portable machinalement.Elle s’apprĂŞte Ă remonter en voiture quand Francis l’interpelle :— Eh M’dame LĂ©pie, la prochaine fois faudrait venir habillĂ©e plus sexy !Elle est abasourdie par ce qu’elle vient d’entendre. Elle ne sait quoi rĂ©pondre. Et il lui tourne le dos et s’en va dans la casse de voitures. Elle se dit que cet homme est un vĂ©ritable goujat, vulgaire et rĂ©pugnant. Et pourtant, le reste de la journĂ©e elle repense encore Ă cette phrase et au regard de Francis qui la dĂ©shabille, la transperce…- 2 -Une semaine passe dans la monotonie de son travail. Son mari lui annonce :— Maryse, ma chĂ©rie, je suis dĂ©solĂ©, mais dans trois semaines je dois partir en dĂ©placement pour le boulot.— Ce sera long ? Cela tombe mal, les enfants sont justement chez leurs amis Ă cette pĂ©riode, cela nous aurait permis d’être juste tous les deux…— Je sais, je suis dĂ©solĂ©, mais je ne peux pas faire autrement. Je me ferai pardonner, promis.Oui, mais elle, elle doit rester Ă la maison seule. Cela obscurcit un peu sa journĂ©e. Elle repense encore Ă sa discussion avec son mari quand son chef dĂ©boule dans son bureau :— Maryse, puisque vous connaissez la dĂ©chèterie, il faudrait y retourner aujourd’hui pour jeter encore quelques archives. Ă€ demain !Encore ! Il a osĂ© lui refaire le coup soi-disant avec humour ! Elle s’en prend Ă Martin qui est restĂ© dans l’encadrement de la porte, en lui disant sèchement :— Revenez dans une heure pour charger les cartons !Le pauvre n’y est pour rien, mais il fallait qu’elle passe ses nerfs sur quelqu’un ! Les cartons chargĂ©s, elle remonte en voiture et se dirige vers la dĂ©chèterie. En route, elle repense Ă sa dernière visite et la dernière remarque de Francis se rĂ©pète sans arrĂŞt. Aujourd’hui, elle est habillĂ©e encore une fois de manière assez classique. Une jupe qui lui arrive aux genoux, un chemisier blanc fermĂ© jusqu’au cou, des chaussures Ă petits talons. Mais pourquoi passe-t-elle en revue sa tenue ! Cela n’a aucun sens, se dit-elle. Mais une autre voix lui dit qu’elle pourrait ouvrir quelques boutons de son chemisier. Elle s’arrĂŞte sur le bord de la route. Elle regarde autour d’elle, pas une voiture. Ce n’est pas Ă©tonnant Ă cette heure-lĂ . Il est plus de 13 heures. D’ailleurs il faut qu’elle se dĂ©pĂŞche. Elle dĂ©fait ses deux premiers boutons et puis un troisième. Elle se regarde dans le rĂ©troviseur. Son cĹ“ur bat Ă nouveau la chamade. Est-il possible qu’elle soit excitĂ©e Ă ce point-lĂ Â ? Elle redĂ©marre et arrive Ă la dĂ©chèterie. Cette fois elle est seule, il n’y a pas d’autre voiture. Elle s’arrĂŞte devant la benne de papiers et commence Ă jeter ses dossiers. Elle n’entend pas arriver Francis derrière elle et elle sursaute quand il lui adresse son salut :— M’dame LĂ©pie. J’espère que vous avez votre carte aujourd’hui.— Bon… Bonjour, M. Francis. Oui, je l’ai, la voici.Elle lui tend la carte sous son regard. Il peut voir la naissance de ses seins et le sillon entre les deux. Il a un sourire en coin. Elle est de nouveau bouleversĂ©e par ce regard libidineux. Elle n’a plus de doute sur son excitation. Pourtant l’homme qui se trouve en face d’elle, dans sa tenue de travail tachĂ©e, n’est pas son type. Il n’est pas très grand, il commence Ă avoir une petite bedaine. Il est mal rasĂ© et coiffĂ© n’importe comment. Bref il n’est absolument pas son type d’homme. Après avoir notĂ© les informations dont il a besoin, il la laisse en plan. Elle recommence Ă jeter ses dossiers.— Je ferme dans dix minutes !— Oui, oui, je me dĂ©pĂŞche.Toujours aussi aimable, se dit-elle. Mais son trouble est bien lĂ , elle en tremble ! Elle quitte l’endroit quelques minutes avant qu’il ferme. Sur le chemin, elle reçoit un SMS sur son portable.— La prochaine fois encore plus sexy !Ă€ nouveau elle ressent une boule dans son estomac. Les battements de son cĹ“ur s’accĂ©lèrent. Elle ne peut voir le numĂ©ro, mais elle sait que c’est M. Francis qui lui a envoyĂ© ce message. Elle l’efface et rentre chez elle. Elle dĂ©cide de se calmer avec un bon bain, un thĂ© et une sieste sur la terrasse au soleil.- 3 -Une nouvelle semaine passe dans une monotonie relative. Les derniers Ă©vĂ©nements ont beaucoup perturbĂ© Maryse. Elle n’a rien dit Ă personne et son mari met son attitude sur le compte de son dĂ©placement qui approche. Le mercredi matin, elle s’habille plus lĂ©gèrement. Les tempĂ©ratures sont chaudes et elle a fait quelques emplettes ce week-end pour renouveler un peu sa garde robe. Elle choisit de mettre une petite robe plissĂ©e avec un beau dĂ©colletĂ© qui met sa gorge et sa poitrine en valeur sans ĂŞtre vulgaire tout en camouflant son petit ventre. Elle se regarde dans la glace et est très contente de son effet. Elle se doute que son chef va encore dĂ©bouler dans son bureau pour l’envoyer Ă la dĂ©chèterie. Il est tellement prĂ©visible. Elle sent une pointe d’excitation Ă l’idĂ©e de cette nouvelle rencontre.Et son chef ne manque pas de lui demander d’aller Ă la dĂ©chèterie. Martin en chargeant la voiture ne manque pas de la regarder Ă la dĂ©robĂ©e. Cela la conforte sur son apparence. ConfortĂ©e certes, mais son trouble grandit au fur et Ă mesure qu’elle approche de la dĂ©chèterie. Sa respiration est courte. Elle se demande mĂŞme ce qu’elle est en train de faire. Puis elle se dit qu’elle ne fait rien de mal. Elle arrive enfin Ă la dĂ©chèterie qui est une nouvelle fois dĂ©serte. Elle gare sa voiture. Cette fois, elle ne veut pas se laisser surprendre par M. Francis qui ne se montre toujours pas. Elle est déçue de ne pas le voir. Elle ne peut pas partir sans s’être enregistrĂ©e, cela ne serait pas très honnĂŞte. Elle dĂ©cide de partir Ă sa recherche. Elle se dirige vers les piles de voitures entassĂ©es et ne tarde pas Ă entendre un bruit. Une sorte d’écoulement. Elle regarde Ă travers les portières d’une voiture Ă©crasĂ©e par les cinq ou six autres qui sont au-dessus et se fige sur place.Elle s’arrĂŞte de respirer. Le sang lui bat les tempes. Elle a l’impression que son cĹ“ur bat tellement fort qu’on peut l’entendre Ă cent mètres Ă la ronde. Elle voit de l’autre cĂ´tĂ© M. Francis en train d’uriner sur la voiture. En fait, elle ne voit que le sexe mou de l’homme, duquel s’échappe un gros jet d’urine. Il a retroussĂ© la peau de son gland et un fois qu’il a fini d’uriner, il la fait aller et venir afin de se dĂ©barrasser des gouttes qui restent. Il remballe son sexe dans son bleu de travail et se dirige vers la benne. Maryse panique. Elle ne peut lui laisser deviner qu’elle l’a vu, mais comment faire pour retourner Ă sa voiture sans Ă©veiller ses soupçons ? Le temps qu’elle rĂ©flĂ©chisse Ă tout ça, il est trop tard.— Alors, ça te plaĂ®t de me mater en train de pisser ?Elle est tĂ©tanisĂ©e. Elle se relève brusquement. Il la regarde avec son sourire en coin. Il parait encore plus pervers que les autres jours. Il regarde ses seins. Il caresse sa barbe naissante de sa main droite tandis que l’autre est sur sa hanche.— Alors, ça t’a plu ?Elle rĂ©alise qu’il la tutoie.— Je suis dĂ©solĂ©e, je ne voulais pas… je venais me faire enregistrer…— Ouais, je vais t’enregistrer, t’en fais pas.Elle est toujours tĂ©tanisĂ©e.— Bon, je vais fermer, rejoignez-moi Ă ma caravane derrière ce tas de bagnoles lĂ . J’ai laissĂ© ma pointeuse lĂ -bas.— Euh oui, euh mais…Il ne lui laisse pas le temps de continuer qu’il s’en va fermer la grille de la dĂ©chèterie. Elle approche sa voiture de la caravane. Elle ne savait pas qu’il logeait ici. Et toujours cette boule dans l’estomac et sa respiration qu’elle ne contrĂ´le plus. Un bref regard dans son rĂ©troviseur lui rĂ©vèle le regard d’une proie affolĂ©e.Elle n’a pas le choix, elle descend de voiture. Il ouvre la porte de sa caravane et lui indique de monter. Elle sent son regard sur elle. Elle sait qu’il regarde ses fesses et ses jambes. Elle reste un instant figĂ©e quand elle voit les posters aux murs de la caravane. LĂ des femmes nues, exhibant leurs seins Ă©normes et leur sexe rasĂ© dans des positions impudiques, ici des femmes habillĂ©es de latex et un autre poster montrant une femme Ă la chevelure brune la bouche grande ouverte et tenant un sexe Ă©norme qui lui gicle sur le visage une grosse quantitĂ© de sperme.— Rentrez, soyez pas intimidĂ©e.Il referme la porte derrière lui.— Alors Maryse, tu m’as pas rĂ©pondu ! Ça t’a plu de me mater ? Moi, j’aime bien te mater et je vois que tu as fait des efforts aujourd’hui. Ça te plaĂ®t de m’exciter, je le sais. Et je suis sĂ»r que tu es toute excitĂ©e, toi aussi.Maryse est tĂ©tanisĂ©e, elle est sous l’emprise de cet homme commun, vulgaire, qu’elle n’aurait jamais regardĂ©, qui ne l’aurait jamais intĂ©ressĂ©e, elle en est sĂ»re, mais la voilĂ seule dans cette caravane avec cet homme.— Fous-toi Ă poil !Que fait-elle lĂ Â ? Elle regarde autour d’elle. Elle ne fait pas partie de ce monde et pourtant presque mĂ©caniquement elle dĂ©fait la fermeture Ă©clair qui se trouve sur le cĂ´tĂ© de sa robe. Elle retire une première bretelle, laissant apparaĂ®tre un sein prisonnier dans un soutien-gorge couleur chair. Puis l’autre bretelle tombe et la robe glisse sur ses hanches. Elle a encore un geste de pudeur en plaçant un bras sur sa poitrine. Elle ne se rend pas compte qu’en faisant cela elle exhibe un peu plus ses seins lourds devant son voyeur. Lui observe sa proie avec son petit sourire en coin. Il est fascinĂ© par le spectacle. Il n’en rĂŞvait pas autant. Il aime ses courbes, son petit ventre lui donne plus de charme. Il se retient de s’approcher et de la peloter. Il veut qu’elle s’abandonne Ă lui.Sans rien dire, les yeux baissĂ©s, elle dĂ©fait son soutien-gorge. Et elle est obligĂ©e de lui montrer sa poitrine pour retirer sa culotte couleur chair. Ses seins pendent quand elle se penche pour enlever le dernier morceau de tissu qui la protège du monde extĂ©rieur. Il adore ce qu’il voit. Elle a de belles arĂ©oles roses. Et ses tĂ©tons sont tendus, il sait que la tempĂ©rature n’y est pour rien, elle est excitĂ©e !— Tourne-toi, que je puisse te voir entièrement.Elle s’exĂ©cute, elle tourne sur elle-mĂŞme dans l’espace confinĂ© de la caravane.— T’es vachement bien foutue, tu sais. Faut que je prenne quelques souvenirs !Ses yeux s’agrandissent ! LĂ , cela va trop loin, mais elle a Ă peine le temps de rĂ©pondre qu’elle voit un premier flash, puis un second.— Vas-y, tourne ! Et prend des poses comme les salopes sur les posters ! Fais pas ta mijaurĂ©e, t’es comme elles, sauf que tu le sais pas encore, eh eh eh !Maryse ne pense plus ou pense trop vite. Elle est perdue. Le souffle lui manque. Elle est très excitĂ©e par la situation et elle finit par l’admettre. Elle commence par tourner sur elle-mĂŞme sous les flashes de l’autre. Il prend autant de photos qu’il peut. Elle commence Ă prendre des poses. D’abord en lui tournant le dos et en tendant ses fesses vers lui. Elle essaie de se cambrer au maximum. Elle transpire. Elle se replace face Ă lui et se malaxe les seins. Ils sont lourds sans ĂŞtre trop fermes. Les tĂ©tons sont tendus. Elle se caresse la toison qu’elle a fournie. Se retourne et Ă©carte les jambes. Elle lui offre une vue des plus Ă©rotiques sur ses deux orifices. Sa chatte s’ouvre et M. Francis peut voir qu’elle mouille en abondance. Elle se tient Ă la paroi d’une main et se caresse le clitoris de l’autre. Et elle jouit bruyamment sous les flashes de cet homme. Elle ne tient plus sur ses jambes. Elle se retourne et s’assoit devant son voyeur. Quel spectacle elle vient de lui offrir ! Il est heureux, jamais il n’aurait cru cela possible. Elle le regarde comme enfiĂ©vrĂ©e.— C’était vachement bien ! Tu m’as excitĂ© Ă mort. Regarde !Elle regarde son entrejambe. Son bleu est dĂ©formĂ© par son membre tendu. Il baisse sa fermeture Ă©clair et lui exhibe son sexe tendu. De taille normale, mais tout veinĂ©, ce qui excite Maryse. Il s’approche. Elle sait ce qu’il va lui demander. Son regard passe de son sexe au regard de la brune qui se fait Ă©jaculer dessus. Elle sait qu’elle va finir comme elle. Elle veut voir sa bite Ă©jaculer. Il arrive Ă hauteur de son visage.Elle lui prend la tige et commence Ă le branler. Il continue Ă prendre des photos le salaud, mais elle est trop excitĂ©e pour s’en faire et cela participe Ă son excitation. Elle se dĂ©couvre une nouvelle facette, l’exhibitionnisme. Mais elle n’a pas le temps de penser. Elle veut qu’il lui Ă©jacule dessus. Et Ă entendre ses râles cela ne va pas tarder. Elle ne le suce pas. Mais le branle vigoureusement. Elle sent la bite se tendre dans sa main. Il prend des photos par pur rĂ©flexe et soudain c’est l’explosion ! Un gros jet vient s’écraser sur son front et ses cheveux. Puis un autre finit sur sa joue. Un troisième moins puissant arrive dans sa bouche qu’elle a ouverte de surprise. Le dernier se dĂ©pose sur son sein gauche. Il grogne sa jouissance. Il reprend peu Ă peu ses esprits. Il prend quelques photos de Maryse couverte de son sperme. Elle goĂ»te son sperme au goĂ»t fort, elle se sent… salope. Et cela lui plaĂ®t.— Putain c’était bon ! Mais la prochaine fois quand je te dis suce, tu suces ! Sinon…Elle ne rĂ©pond pas. Elle est encore sous le choc de ce qui vient de se passer.— Mets tes fringues… Non, pas tes sous-vĂŞtements ! Ça, je les garde ! Va falloir faire encore mieux la semaine prochaine Ă la mĂŞme heure. J’en ai pas fini avec toi !Maryse se rhabille après s’être essuyĂ©e du mieux qu’elle le pouvait. Et quitte la caravane en compagnie de M. Francis qui va lui ouvrir la grille. Il faut maintenant qu’elle se dĂ©pĂŞche de rentrer pour prendre une douche. Le retour est Ă nouveau rempli de visions de ce qui vient de se passer. L’excitation ne la quitte pas.