Résumé de l’épisode précédentLa lutine du bois magique vient d’être dégustée aromatisée de salade de fruits sauvages par le loup lubrique, elle a envie de se venger…Je finis par redresser ma tête le visage barbouillé de ta liqueur intime, je te souris et, après nous être regardés pendant une minute, tu me dis :— Maintenant Voyou, je vais m’occuper de toi, si tu n’es pas trop ivre, vu la quantité de liqueur que tu as bue.Tu descends de la table ; ta jupe venant recouvrir ton divin trésor, tu me demandes de me lever, je suis debout à côté de la table. Ô Lutine du bois magique, tu te dis qu’il est temps de canaliser l’énergie du loup ; et le mieux pour toi, c’est de la guider pour mieux la maîtriser. Doucement, un regard malicieux vérifiant l’état de nervosité du loup voyou, tu commences à m’effeuiller, après avoir débouclé ma ceinture, tu descends d’abord mon pantalon sur les mollets, puis doucement avec douceur ; comme par peur de blesser la tige fragile emballée de dans, en écartant l’élastique tu libères cette petite chose fragile, dure comme du verre, et tu descends l’emballage jusqu’au genou.Tu penses maintenant, dans cette tenue même : « S’il devient trop violent, il ne saura jamais m’attraper si je m’enfuis ».Tu caresses doucement de la paume de la main, le glaive de ce chevalier, bien obéissant afin de lui donner une fière allure, de le faire reluire, pour qu’il soit prêt à servir.— Dis-moi chevalier du bois magique, aimes-tu être câliné par une petite lutine ?— Ô douce lutine, tes mains sont douces et magiques, comme cette salade de fruits rouges.Tu admires mon glaive ; sa pointe rouge légèrement arrondie ; brillante sous les reflets de la lumière, ensuite, tu vérifies que sa base est agréable au toucher, recouverte d’un léger duvet foncé, agréable et douce comme une peau de chat angora. Le glaive est maintenant bien tendu, dur à souhait, croquant sous la dent, il est temps penses-tu de mettre ce beau chevalier dans sa tenue de combat.— Chevalier, laisse-toi faire, je vais te mettre dans ta tenue de combat, pour séduire ta belle.Tu commences par déboutonner mon chemisier, caressant la peau velue de ce loup, puis pour l’amadouer, le domestiquer, tu y poses un chaste bisou, l’animal ferme les yeux et remue la queue en signe de plaisir. Lorsque le chevalier, est complètement en tenue de combat, une tenue digne d’Adam, tel un joli toutou, tu l’emmènes vers la couverture, placée près de la cascade, là tu lui demandes de se coucher et de se laisser faire. Afin d’éviter d’être dévorée, tu lui donnes quelques cuillérées de salade de fruits, couché, il en a partout autour de la bouche. Tu en profites pour laper le jus sur sa bouche tout en continuant de flatter sa fierté personnelle, tu veilles à ce qu’elle reste pointée au beau fixe, il te semble que maintenant l’animal commence à ronronner de plaisir, il semble domestiqué, maîtrisé en tout cas pour le moment.Oh ! Surprise, une main viens de s’aventurer, sous ta jupe, l’animal ne s’était pas endormi, penses-tu. La main part en exploration, de manière un peu désordonnée comme si elle était aveugle et qu’elle ne trouvait pas la piste de ton divin trésor, pourtant dans ta position à genoux sur la couverture le chemin te semble assez dégagé.— Oh Beau chevalier, que faites-vous ?Le loup ne répond pas et continue de ronronner, surtout quand tu lui poses de doux bisous sur les sommets de sa poitrine, en collant ton oreille sur le thorax, tu entends les ronronnements de plaisir de la bête, tu fais varier la vitesse de tes caresses et autres bisous, et tu peux en mesurer directement l’effet à la fréquence des ronronnements du loup.La petite bête qui s’était aventurée sous ta jupe, viens de trouver le chemin de ton divin trésor et explore cette cache secrète, ce petit jeu dure encore un moment, puis le chevalier te regarde.— Ô Lutine du bois magique, veux-tu apprécier une démonstration de maniement de mon glaive ?— Ô chevalier, je ne voudrais pas que tu te blesses, il est si joli, et avec qui feras-tu la démonstration ? Moi, je reste spectatrice.— Oui mais maintenant dans les spectacles à la mode, les spectateurs sont amenés à participer au spectacle, tu seras ma spectatrice favorite.— Oui mais je ne suis pas en tenue.— Ne t’inquiètes pas, je suis assez agile pour contourner ta légère armure, un rempart a déjà été conquis.Soudain comme un éclair, l’envie de vaincre ta timidité traverse ton esprit, de toute façon, personne ne saura jamais rien de ce qui se passe dans cet univers magique, toi seule en gardera un souvenir et le loup a l’air apprivoisé. Bien que ta maman t’as toujours dit de te méfier des choses amusantes, car dangereuses, paraît-il, tu as envie de jouer avec la bête, tu as toujours un faible pour les petites bêtes à poils, déjà petite, tu avais un gros nounours pour te cajoler la nuit.C’est décidé, brusquement tu te lèves, tu te places au-dessus de moi et comme une magicienne tu te libères de ta jupe portefeuille, qui s’envole rejoindre mes habits, tu commences à faire un petit défilé doux et langoureux, passant et repassant, d’abord au-dessus de mes yeux, qui au passage lui prodiguent une douce caresse virtuelle, puis au-dessus du glaive comme pour le provoquer. Tu finis plantée juste au-dessus de ma poitrine, une jambe de chaque côté du chevalier, tu le regardes un regard amusé. Que vas-tu proposer au chevalier ?« D’essayer de t’attraper, fuyant à travers la clairière dans l’espoir de te faire rattraper, puis il te plaquera au sol, et tu seras mangée toute crue par le loup déchaîné. »« Ou essayer de le piéger en simulant une fuite jusqu’au bord de l’eau, espérant le piéger et l’envoyer se rincer dans l’eau fraîche de la cascade, une démonstration d’escrime dans l’eau pourrait t’amuser, même si il y un concours de tee-shirt mouillé en prime. »Puisque le chevalier veut une joute, tu vas lancer la première attaque et lui emprisonner son glaive dans la fente de ta grotte, et tu essaieras de l’y immobiliser. Une partie d’escrime cela se fait debout, Tu attrapes le chevalier par la racine de son glaive l’obligeant à se relever, et tu l’attires au corps à corps. Il va falloir te décider avant que le glaive du chevalier soit fondu sous la chaleur du soleil, mais tu as encore envie de rêver, de te montrer audacieuse, provoquer le loup en t’enfuyant à quatre pattes, lui présentant toute ta splendeur, lui offrant le choix du terrain pour sa démonstration d’escrime.Ô Lutine du bois magique, le nain saltimbanque, un peu voyou, se demande qu’elle suite il va devoir jouer, il t’aurait bien proposé de jouer de la flûte, mais il ne sait pas si tu aimes cet instrument de musique.Finalement, tu as peur d’effrayer ton chevalier servant, tu lui dis en l’aidant à se lever— Ô Chevalier, attrape-moi, montre-moi ta force…Et tu t’enfuis vers le centre de la clairière en pensant que le concours de t-shirt mouillé à l’eau froide est un aller simple pour une visite au docteur, (ce serait amusant, une Lutine un peu timide visitée par le docteur voyou).Quand tu sors de tes pensées, tu as traversé la moitié de la clairière, ton petit derrière dansant pour affoler l’envie du loup qui te poursuit, la course-poursuite se termine par une chute sur le tapis de feuille, l’espèce de chevalier voyou terminant sur ton dos, quand il essaye de t’attraper les mains, tu sens sa poitrine massant ton dos à travers ton chemisier et son glaive se promener sur tes formes généreuses.Tu ondules comme un poisson au bout d’une ligne, avec le faux espoir d’échapper au prédateur qui vient de t’attraper, ce body massage est très agréable.Tu sens le glaive venant flirter tour à tour avec tes deux boucliers bien bombés ne trouvant pas le chemin de ta vallée de l’amour.Cette fois une main du chevalier voyou vient se glisser entre le tapis de feuille et ton corps, essayant de se faufiler dans tes protections des zones charnues et sensibles de ta poitrine.— Ô Voyou satyre, cochon lubrique que vas-tu faire ? Tu n’as pas le droit, je ne t’ai pas autorisé.Mais tu continues à onduler de tout le corps, aidant ma main à s’infiltrer dans tes défenses, tes boucliers gardant éloigné le glaive de son étui, aiguisant son agressivité et son ardeur au combat. Quand tu sens que le beau chevalier risque d’atteindre sa cible, comme par magie et aussi vive qu’une carpe, tu te retournes pour le défier du regard et lui monter que tu n’as pas peur, tu seras aussi vaillante que la chèvre de ce pauvre Monsieur Seguin.Nos visages sont l’un en face de l’autre, tu as arrêté de bouger, tu te rends, laissant tout loisir à ce loup chevalier de profiter du butin de sa chasse.Ô Lutine du bois magique, tu attends l’attaque, tes yeux me dévisagent, tu me regardes, silencieuse, la bouche entrouverte, les bras le long de tes hanches, prête à te rendre, tu t’offres et tu attends. Tu ressens une légère frayeur, la peur de l’inconnu, mais vaincre ta timidité serait une plus grande victoire que cette reddition offerte à ce chevalier voyouMes yeux bleus te déshabillent, je m’approche, je me penche légèrement, ma figure s’approche de la tienne. Tu me regardes toujours, tes lèvres tremblent, tu te sens fondre, tu attends avec une certaine impatience le baiser, signe de la victoire du loup. Le baiser a un effet inattendu, le loup devient la proie, la petite lutine se transforme en louve et en quelques instants la situation est complètement renversée, avec un appétit de féline tu t’apprêtes à déguster ce naïf chevalier du web.Au milieu d’une clairière, loin de toute civilisation, tu m’as allongé sur une large couverture, tu as remis ta jupe afin de mieux captiver mon attention par un spectacle « ombres et visions furtives ». Je suis complètement nu, à ta merci. Debout au-dessus de moi, tu me contemples un sourire carnassier sur tes lèvres, tu as la poitrine à l’air, les tétons pointant à l’horizontal, et pour tout habillement une jupe fendue laissant deviner la peau douce du haut de tes cuisses, au-dessus de la lisière du bas, tes cheveux, tout ébouriffés par les joutes précédentes.Tu me promets de me vider les bourses, je te dévore des yeux, essayant de glisser mon regard sous ta jupe pour découvrir ton petit trésor encore turgescent suite à mes dernières sollicitations, tu marches autour de moi, en oscillant du bassin, ta jupe laissant entrevoir de belles perspectives bien arrondies, tes nichons, tels deux beaux ballons se balancent au gré de ta marche, au passage mes mains caressent furtivement tes mollets, dès qu’elles le peuvent. Tu constates la brillance de mon regard, et un début de gonflement du petit être vivant présent entre mes cuisses. Tu as envie de le provoquer, de le faire grandir, de le faire pointer vers le ciel comme une mini tour Eiffel.Tout en marchant lascivement autour de moi, le sourire carnassier de plus en plus gourmand, tu enjambes ma poitrine, tu es au-dessus de moi, un pied de chaque côté de mon torse, Doucement une de tes mains vient trousser ta jupe, découvrant ton joli abricot bien mur, alors que tu suces sensuellement ton index, bien raide de ton autre main. Très doucement, tu commences à plier les genoux, tout en regardant mon visage.— Voyou, interdiction de me toucher, tu regardes, si tu veux tu peux te masser ton petit chose, faire saillir ton glaive.Alors que mes mains caressent avec douceur mon bazar, mes yeux dévorent ton entrejambe, redressant ma tête pour mieux voir ce spectacle, ta deuxième main commence à caresser ton abricot qui gonfle encore sous la douceur de la caresse, tu coinces les pans de ta jupe dans la ceinture, tu offres ton ventre à mes regards, ton autre main venant écarter tes lèvres intimes gorgées de sang comme les rideaux d’une salle de théâtre, pour que les spectateurs puissent mieux apprécier le jeu de mains des acteurs.Les jambes bien pliées, ta chatte est juste à quarante centimètres de mes yeux, je ne peux rien rater de la pièce de théâtre que vont jouer tes doigts malicieux et agiles. De la main gauche, tu maintiens tes lèvres écartées, de la droite tu caresses l’entrée de ta chatte, parcourant tes chairs ou abondent une humidité intime au parfum érotique et suave, provoquant chez le mâle qui te regarde un effet secondaire, qui t’amuse.Tes doigts prennent un malicieux plaisir, à s’enfoncer et à sortir de ta grotte intime, le jeu de lumière de tes ongles colorés de rouge vif attirent et fixent le regard du spectateur sur cette scène, leur chorégraphie provoquant une ouverture maximum des rideaux, comme pour mieux faire pénétrer de la lumière dans le fond de ta grotte, afin que le spectateur puisse en apprécier la sensibilité des peintures dont en sont tapissées les parois.Tel le loup de Tex Avery, mes yeux vont bientôt sortir de leurs orbites pour venir prêter main forte à tes doigts dans leurs aventures de spéléologie animale, de plus, leurs mouvements provoquant des jeux d’eau entre tes parois devenues vivantes comme des membranes, leur vibrations génèrent une douce musique de suintements intimes, provoquant dans mon cerveau de brusques décharges électro-érotiques.Tu jettes un œil, sur la deuxième partie de mon cerveau et tu constates que je suis en pleine ébullition, tu jubiles de plaisir, tu vas pouvoir te venger et me soumettre à la torture du plaisir. Doucement, tu te retournes, te plaçant à genoux au-dessus de moi, la scène de ton théâtre intime, juste devant mes yeux, ta figure, légèrement en surplomb, de mon dard en pleine activité sismique.— Voyou, masse-moi les nichons avec tes mains, pas touche ailleurs.Mes mains quittent ma queue, et viennent atterrir sur tes deux globes qu’elles massent tendrement, passant de caresses furtives à des massages malaxant la chair de tes globes, bien ronds, le pôle sud de chacun, commencent à s’ériger.Tes doigts continuant, leur pièce de théâtre, passent à l’acte deux, ta main droite massant le fruit rouge situe au-dessus de ta grotte, alors que les doigts de la main gauche caressent l’entrée tout en écartant bien, les rideaux rouges ayant une tendance naturelle à se refermer. Tu te penches vers mon bâton en sucre d’orge, tu poses un doux bisou capiteux sur son sommet, tu sens tout de suite une réaction, le sucre d’orge de lui-même essaye de mieux s’offrir à ta dégustation, son rôle c’est d’être mangé, et il a en a une grande envie.Puis le bout de ta langue sort doucement de tes lèvres, et vient en caresser le sommet, tu donnes de petits coups de langue qui font tressaillir de plaisir le sucre d’orge en pleine extase, sentant arriver le début de la dégustation.Ta langue commence à masser tout le bout arrondi du sucre d’orge qui fond doucement, laissant perler de temps à autres une goutte de son jus en son sommet, que ta langue étend avec joie, mélangeant ce jus à ses propres secrétions, le bout brillant de mille reflets, suite au rayon de soleil venant se refléter sur le film humide qui le tapisse.Ô Lutine du bois magique, louve féline, ton appétit commence à grandir, tu as envie de l’avaler tout cru, et de le dévorer rapidement, ta bouche suivant tes envies, tu viens poser tes dents à la base du bout, et doucement tu commences à refermer ta bouche, ta langue malaxant le sommet de la hampe. Je ne peux retenir de petits gémissements, ni refréner les tremblotements de mon bassin, le sucre d’orge commence à danser sur place, la base coincée dans tes dents et massée par le frottement de tes lèvres, tu sens la tension monter dans tout ce petit dard, tu souris, tu te dis, que plus la tension va monter, plus vite il va exploser, et se vider, alors tu le pomperas, le vidant de sa créativité lubrique.Rétractant tes dents, tu commences de doux massages sur la hauteur du bâton, tu l’avales presque entièrement, puis remontant tes lèvres sur le bout arrondi. Le sucre d’orge commence à sauter sur place, les tentacules malaxant tes globes commencent à être tendues, un peu plus brusques, tu entends les spectateurs gémir de plaisir devant la représentation donnée par tes doigts.Tu commences, tout en faisant coulisser tes lèvres sur ce beau bâton, à essayer de l’aspirer, afin d’en extraire plus rapidement un maximum de substance liquide, doucement tu augmentes la cadence, il te semble que le sucre d’orge s’allonge encore ; quant tu étais petite fille et que tu en suçais un, plus tu le suçais, plus il devenait petit ; Ici il est mignon à croquer au début, et plus tu le suces, plus il grandit et augmente de volume. Ah ! Petite fille comme tu aurais été contente d’en avoir un comme celui là , tu l’aurais sucé toute la journée, plus tu le sucerais, et plus il grandirait, il t’aurait donné du plaisir à l’infini.Celui ci, il est plus doux au toucher et moins sucré, bien gros, tu as le ventre en feu, tu sens mon regard, captivé par les acteurs continuant à jouer dans ta grotte intime, et tu entends mes gémissements de plaisir, ainsi que mes gentils commentaires, demandant aux acteurs de la pièce de mieux ouvrir les rideaux, tu sens monter dans ton ventre une houle de chaleur, et ta petite chatte se liquéfie, ton ventre est en feu, tu as une grande envie de calmer cette démangeaison, certes agréable, mais déchaînant en toi des envies de mâles en rut. Brusquement, rapidement, tu te retournes, et te plaçant accroupie sur moi, tu t’empales sur ma bite, faisant de petits mouvements du bassin, alors que de ta main gauche tu gères ton équilibre, les doigts de la droite s’occupent de ton clitoris, rouge sang et littéralement en feu.À califourchon, sur ma bite, tel un hussard, tu tressautes sur ta monture au rythme du galop, tu sens la selle humaine vibrer au même rythme et le bâton de sucre d’orge venir caresser le fond de ton puits d’amour. Tu agites ta tête de gauche à droite, ta crinière désordonnée, tressautant elle aussi de gauche à droite, telle une walkyrie sur le chemin de la guerre.Brusquement, tu sens un tir ennemi, venir se vriller au plus profond de ta chair, le sucre d’orge s’est encore raidi, s’enfonçant au maximum dans ton bas-ventre, ce tir assassin, provoque chez toi comme une petite mort, un voile blanc passe devant tes yeux, tu t’agites tel un pantin désarticulé, en transe, des ruisseaux de sueur coulant sur ta poitrine dont s’élève les cris de ton plaisir, laissant échapper toute la tension accumulée durant cette charge.Puis tu t’effondres sur mon torse, le sucre d’orge, toujours au chaud et encore bien gonflé, meublant ta grotte intime, Les traits de ton visage sont détendus, tu me regardes, les yeux rieurs, reprenant haleine :— Voyou, tu m’as tuée, maintenant je vais me venger ; je vais te mettre à mort. Je vais te vider les bourses, tu ne pourras plus.Tu me souris toujours, le regard pétillant de malice, tu commences à masser la poitrine avec tes deux globes, espérant que le cochon, encore dans ton ventre, ne va pas s’endormir et va retrouver rapidement toute sa vigueur. Les ondulations de ta poitrine se propagent jusqu’à tes abdominaux, provoquant un doux frottement sur la tête de mon dard.Le regard brillant, un grand sourire, tu ajoutes :— Ne bouges pas, je vais t’emmener visiter ma cité coquine.Tu plonges sur ma bouche, tu m’embrasses tendrement, afin de prolonger la magie de l’instant et éviter un atterrissage trop brusque, cette fois, massant ma hampe de petits coups de bassin pour maintenir prisonnier mon glaive magique dans ta cité interdite, dans l’attente d’un défilé de chars érotiques, une foule de festivités magiques, et d’un feu d’artifice final haut en couleur.