Tout a commencé par une rencontre imprévue, pendant un de mes déplacements professionnels. En effet, je suis responsable du service Achats pour une société qui fabrique des câbles en fibre optique. Toujours à la recherche du meilleur compromis qualité/coût, je dois régulièrement me déplacer chez de nouveaux fournisseurs potentiels.Nous étions début septembre et je n’avais repris le travail que depuis une semaine. J’étais nettement moins assidu, car j’avais encore l’esprit en vacances. Ma secrétaire m’avait pris ce rendez-vous en fin de journée pour contenter un homme qui n’avait pas arrêté de laisser des messages pour obtenir un entretien. La perspective de finir tard ne me réjouissait pas.Il est pas loin de 18 h 30 lorsque j’arrive à la société. Pour arranger les choses, je me suis perdu en pleine campagne.Je rentre dans la société et sonne à l’interphone.− Bonjour, j’ai rendez-vous avec le directeur.− Bonjour, vous êtes ?− Oh oui, excusez-moi, je suis M. Umberto de la société OPTIFIBRE SARL.− Entrez, je vous ouvre et à tout de suite.Sur ces derniers mots, je sens un sourire s’échapper de cette voix douce. En raccrochant l’interphone, un trouble m’envahit. Quelle magnifique voix !Pendant que je me rends à l’entrée, j’essaie de mettre un corps sur cette voix.Je commence à imaginer physiquement la personne avec un si bel organe.Elle ferait dans les 1m70 environ, avec une silhouette mince avec des formes suffisamment prononcées. Elle aurait les cheveux brun clair, coupés au carré au ras des épaules. Son visage serait arrondi avec une bouche généreuse. Ses yeux seraient grands et marron clair.Mon esprit déambule dans cette énumération de caractéristiques de cette hypothétique femme, quand, tout à coup, la porte du hall s’ouvre devant moi :− Bonjour, je suis M. Pierre, le directeur de la société.− Bonjour, M. Umberto, excusez-moi de mon retard, je me suis perdu dans la campagne et en plus, mon GPS est tombé en panne ce matin.− C’est pas très grave, je finis toujours très tard de toute façon, c’est plutôt pour vous.− Il n’y a pas de problème, vous êtes mon dernier rendez-vous pour aujourd’hui.− Je tiens à vous remercier d’avoir accepté cette rencontre.− Vous sembliez tellement insistant et enthousiaste au téléphone avec ma secrétaire.Tout en marchant, nous échangeons quelques banalités et politesses diverses.Nous nous rendons dans un bureau au fond d’un long couloir. Il ouvre la porte et me présente la personne debout face à moi.− Je vous présente ma collaboratrice, Mathilde, elle est en charge des aspects techniques et logistiques de nos produits !− Bonjour.− Bonjour, monsieur Umberto.À ces trois mots, je suis troublé, non pas parce qu’elle connaît mon nom, mais simplement parce que je viens de reconnaître cette voix. C’est celle de l’interphone. Mon premier réflexe est de la détailler physiquement, afin de voir si elle est telle que je l’imagine.Elle porte une robe noire assez serrée qui arrive à mi-cuisses avec un décolleté qui se finit à la naissance des seins. Sa taille est mince avec une silhouette qui met en avant ses formes plutôt généreuses. Ses hanches sont larges et arrondies. Sa poitrine n’est pas trop imposante, ni trop petite, je dirais moyenne, mais avec tout de même deux magnifiques seins. Son visage est de forme allongée avec des joues légèrement rondes. Ses cheveux sont châtain clair légèrement ondulés qui lui arrivent au ras des épaules. Elle possède une bouche charnue et généreuse surmontée de deux grands yeux marron clair.Le directeur m’invite à m’asseoir et nous commençons l’entretien.Je hoche régulièrement la tête pendant l’exposé du directeur. Mais mon esprit n’écoute pas vraiment son discours. Je suis plutôt concentré sur Mathilde. Elle est juste en face de moi avec le directeur sur sa droite. Par moment, elle prend la parole et c’est d’ailleurs à ces moments-là que ma concentration est la plus relâchée.Sa voix me berce littéralement, je navigue entre profonde excitation et émerveillement. Si bien que par moments, mon regard se perd dans ses yeux. Tout me plaît chez elle, son grain de peau, sa couleur légèrement bronzée ou encore sa gestuelle légère et gracieuse. À mes yeux, je suis devant une superbe jeune femme.L’entretien touche à sa fin quand subitement le directeur sort son téléphone portable de sa poche et consulte un SMS. Et tout à coup, il se retourne vers moi, et dit :− Je suis désolé, mais je dois partir en urgence, ma femme va avoir notre enfant, je dois partir absolument. Je vous laisse terminer avec ma collaboratrice. À bientôt, j’espère !− Bon courage pour votre futur enfant et peut-être à bientôt.Donc, je reste seul avec elle. Après quelques minutes, elle s’arrête peut-être parce que je ne l’écoute que très sommairement.− Il se fait tard et je commence sérieusement à avoir faim, me dit-elle. Si cela vous tente, je vous propose de continuer notre entretien devant un bon repas. Vous préférez quoi ? Chinois, italien ou cuisine familiale ?− Vous savez, je suis sur la route toute la semaine, et les restaurants, j’y vais que trop souvent, alors je ne dirai pas non pour un repas simple.− Très bien, j’en suis ravie, vous pouvez me suivre avec votre voiture ?− Oui, bien sûr.Je me dirige vers ma voiture avec une certaine excitation. La perspective d’être seul avec elle m’enthousiasme au plus haut point.Pendant le trajet, je n’arrête pas de penser à Mathilde. Je suis complètement envoûté par elle. Sa douceur et sa volupté me rendent totalement fou. J’essaye de m’imaginer en train de lui faire l’amour.La voiture de Mathilde se faufile dans les rues de la ville. Mon esprit a beaucoup de mal à se concentrer sur la route, si bien qu’à un moment donné, je perds la voiture de Mathilde.Je décide de continuer tout droit… Ouf, bonne intuition, je retrouve sa voiture ou plutôt c’est elle qui me retrouve, puisqu’elle m’attend bien sagement sur le bas-côté de la route.Au bout d’un bon quart d’heure de route, nous arrivons. En descendant de la voiture, je suis surpris de me trouver dans une petite rue, avec deux maisons individuelles de part et d’autre. Intriguée par mon étonnement, Mathilde s’approche :− Que se passe-t-il, il y a un problème ?− Mais où est le restaurant ?− Quel restaurant ? Ah oui ! Je comprends ! Quand j’ai dit familial, je pensais à un repas fait par moi.Je reste immobile et silencieux.− Vous ne dites rien, me dit-elle.Je réponds par un large sourire.Arrivée sur le seuil de la porte, elle s’arrête et me pince fermement l’avant-bras.− J’ai deux choses à vous dire, premièrement, puisque je vous invite à dîner chez moi, arrêtons de nous vouvoyer. Deuxièmement, n’allez surtout pas imaginer des choses, je tiens à rentrer chez moi, car je suis partie très tôt ce matin et j’ai oublié de nourrir mon chat. Je veux que cela reste professionnel.− Entendu, j’ai bien reçu le message.En une seconde, les propos de Mathilde me refroidissent. Je viens de prendre une douche glacée.Une fois à l’intérieur et afin de dissiper mon trouble, je commence à revenir sur les détails de l’éventuel contrat entre nos deux sociétés.Tout en m’écoutant, elle prend ma veste et m’invite à m’asseoir au bar face à la cuisine.Je me trouve à l’intersection de la salle à manger et la cuisine. Décorée dans un style ancien, la salle à manger est scindée en deux parties avec une partie salon et une autre salle à manger.Je suis assis sur une chaise haute qui me permet de voir tout ce qui se passe en cuisine.− Tu veux un petit apéritif?− Oui, mais pas trop fort, je dois rentrer après.− Bien sûr. Un petit vin blanc, ça ira?− Oui, parfait.Après m’avoir servi, elle attrape les croquettes pour le chat dans un placard.− J’allais oublier mon Pierrot, d’ailleurs où il est passé ce coquin, sûrement en train de courir les petites chattes de la rue.− Quelle magnifique vie ! Manger, dormir, batifoler, et en prime faire des câlins à sa maîtresse ! Que demander de plus ?− Serait-ce une pointe de jalousie ? dit-elle en riant aux éclats.− Non, enfin oui peut-être…− Tu sais, il y a des choses que même Pierrot ne peut pas faire.− Ah oui, de quoi tu parles ?− Alors là , c’est clair, il ne peut pas remplacer la compagnie d’un homme.− Oui, c’est vrai, sur ce point, je te l’accorde.− Il me reste pas grand-chose au réfrigérateur, je peux te proposer des pâtes avec un steak haché.− C’est très bien pour moi.− Sinon, comment vois-tu la collaboration entre nos deux sociétés, au final ? Es-tu intéressé pour conclure ce contrat ? dit-elle.J’étais parti dans un long exposé détaillé de notre éventuelle collaboration, jusqu’à ce qu’elle m’interrompe :− Alors, c’est quoi le résultat au final ?− Pour moi, je suis plutôt favorable, mais mon big boss doit encore valider le contrat.− Très bien, je suis soulagée.− Pourquoi ça ?− Mon patron m’a mis une telle pression sur cette affaire, que je n’avais pas vraiment le choix, si je voulais rester encore collaboratrice et pas redevenir une simple secrétaire.− Écoute, si ça peut t’aider…− Ouf, voilà une bonne chose de faite, maintenant, nous pouvons parler d’autre chose, alors parle-moi de toi, tes passions, tes loisirs, enfin tout quoi.Je ne sais pas si c’est son soulagement à la conclusion du contrat, mais son attitude change du tout au tout, pour devenir plus chaleureuse et moins distante. Si bien que pendant que je parle, Mathilde me regarde avec un petit sourire aguicheur. Je vois bien qu’elle est en train de me narguer. Son attitude devient de plus en plus explicite. Je sens bien qu’elle cherche autre chose.Plus elle me parle, plus mon envie envers elle grandit. Je sens mon excitation monter. Je commence à me dandiner sur ma chaise car mon membre a du mal à trouver sa place. À un moment donné, je dois me lever pour essayer de libérer un peu d’espace dans mon pantalon.Au moment précis où je me mets debout, Mathilde s’approche pour me tendre une assiette de gâteaux apéritifs et s’assoit à mon côté. Concentré sur le moyen de détendre la pression, je ne remarque pas qu’elle me regarde en fixant la bosse de mon pantalon.Trop gêné, je m’assois immédiatement, en prétextant une crampe à la jambe. Enchantée par l’effet produit, elle se lève et va chercher quelque chose dans la cuisine. Tout en se levant, la robe remonte d’un ou deux centimètres, pour s’établir aux trois quarts des cuisses. Faisant comme si de rien était, elle continue à bouger.Maintenant, j’ai compris. Elle semble aussi réceptive à mon charme. Moi qui croyais qu’elle ne voulait pas aller plus loin. Quel idiot je suis !Mathilde continue à préparer le dîner quand en sortant les assiettes d’un placard du bas, elle les lâche :− Que je suis maladroite, ce soir !− Attends, je vais t’aider. Tu as un balai et une pelle ?− Oui, dans le cellier à côté du réfrigérateur.Quel soulagement ! Enfin debout, je me sens un peu plus soulagé car mon membre peut enfin se déployer légèrement. La bosse que forme mon membre reste très clairement explicite. Je dirais même trop explicite à mon goût. J’essaie d’éviter qu’elle le remarque encore une fois et fais tout pour lui cacher.J’attrape le balai et la pelle et me dirige vers les débris. Je commence à balayer en prenant soin de dissimuler le résultat de mon excitation.− Mais que fais-tu ?− Bah, je balaie.− Et puis quoi encore, va te rasseoir, c’est à moi de le faire.− Ça me dérange pas, t’inquiète…− Très bien, donne-moi la pelle alors…La pelle en main, Mathilde se baisse et s’avance vers les débris. Je baisse les yeux pour voir ce que je fais, quand je vois les genoux de Mathilde. Mon regard remonte progressivement le long de ses cuisses pour finir sur un joli morceau de tissu couleur pourpre. En se baissant, la robe est remontée suffisamment pour que je puisse voir sa culotte.Comme si de rien n’était, elle continue son geste.Pendant de courtes secondes, mon regard reste fixé sur son entrejambe. Je fixe la dentelle située sur le bord. J’essaye de détailler le moindre centimètre carré.Ayant arrêté de balayer, Mathilde relève la tête et constate que je la regarde, ou plutôt que je suis hypnotisé par son intimité.Je relève légèrement la tête pour venir guetter sa réaction.Son visage s’est figé, un sourire un peu crispé est encadré par deux joues rouges. Son réflexe est d’esquiver mon regard en baissant la tête.Tout cet incident a pour effet de gonfler un peu plus la bosse de mon pantalon. Maintenant, il me devient impossible de lui cacher. Je déborde d’envie de me soulager. Mais impossible pour moi de me dégager de cette situation, Mathilde est focalisée sur mon membre.Tout en fixant mon sexe, elle se relève et s’approche de mon visage.Nous nous embrassons pendant une longue minute. Elle s’arrête et me dit :− Je crois que notre dîner va attendre.− Oui, de toutes les façons, j’ai plus vraiment envie de manger, c’est d’autre chose que j’ai envie…− J’ai remarqué, ajouta-t-elle en posant sa main sur mon sexe.− Tu es vraiment une femme très attirante, tu sais…Je l’attrape par la taille et je la serre contre moi. Je plonge mon regard dans le sien et l’attrape par ses deux fesses en les pinçant fermement.Sa réaction est de pousser un cri de surprise. Profitant de ce moment, je glisse ma langue dans sa bouche grande ouverte. Je l’embrasse fougueusement. Elle répond à mes baisers avec la même intensité.Je me sens complètement déconnecté du lieu et des circonstances, seul compte mon fort désir pour cette femme. Nous sommes littéralement aspirés dans un tourbillon de nos désirs réciproques.Tout en continuant à l’embrasser intensément, je l’attrape par la taille et me dirige avec elle quelques pas en arrière. Je remonte sa robe jusqu’à la retirer en la passant par la tête.Je peux contempler un magnifique ensemble soutien-gorge et string de couleur pourpre.Je l’embrasse encore et encore, pendant ce temps, je dégrafe le soutien-gorge et le jette à terre.Mathilde ne semble pas surprise par ma fougue, à mon grand plaisir, elle continue à s’offrir ardemment à moi. Réconforté par son envie, je continue de plus belle, maintenant, plus rien ne peut faire obstacle.Je glisse ma main dans son string pour atteindre son mont de vénus. Mes doigts parcourent son intimité. Au premier contact avec sa peau, je peux constater l’absence de poils pubiens. À mon grand plaisir, Mathilde est intégralement rasée.Lentement mes doigts parcourent sa fente et viennent s’enfoncer dans son sexe. Je peux sentir très clairement que Mathilde est prête à s’offrir à moi. J’introduis un autre doigt. Je sens beaucoup d’humidité et de chaleur à l’intérieur de sa grotte d’amour. Je ressors mes doigts pour continuer mon exploitation.En remontant, mes doigts atteignent son clitoris, ce qui a pour effet de déclencher un sursaut chez elle. Je peux sentir son clitoris clairement en érection. Je n’ai aucun mal à le saisir entre mon index et mon pouce. Je le pince et le tortille légèrement. La réaction de Mathilde est immédiate, elle respire plus fort et plus vite. Progressivement, j’accélère le mouvement. Sa forte respiration laisse la place à des petits cris d’excitation. J’essaie de l’embrasser, mais elle refuse. Mathilde tourne la tête par refus. Impossible pour elle de faire autre chose, sa bouche doit rester ouverte pour mieux respirer. Maintenant, ses cris sont de plus en plus importants.Dans un pincement un peu plus fort, Mathilde sursaute et pousse un cri. Tout à coup, elle pousse des gémissements clairs et nets d’une forte intensité. Je sens son corps vaciller. Sentant que ses jambes risquent de flancher, je place mon autre main derrière elle entre ses deux fesses, pour éviter qu’elle ne tombe. Subitement, son corps se met à trembler. Elle pousse un cri assez fort et finit par avoir un orgasme très intense.Je recule ma tête pour regarder son visage. Elle a les yeux fermés et la bouche entrouverte. Je peux voir sur son front et sur ses joues écarlates des gouttes de sueur. En retirant ma main de son string, je constate qu’il est complètement trempé. La puissance de son orgasme a été si importante que le long de ses cuisses coulent ses sécrétions.Je m’approche et lui fais un petit baiser. Je sens qu’elle est gênée et essaie de se détourner de mon regard.− Que se passe-t-il ? Tu as l’air gêné ?− C’est la première fois que cela m’arrive, enfin de cette façon.− Et…− Je crois que j’ai rarement eu autant de plaisir, tu m’as rendue folle, je suis dans un de ces états.− Je voulais absolument te faire plaisir…− C’est largement réussi, mais tu… enfin toi… tu es toujours autant excité, dit-elle en touchant mon membre.− Ne t’inquiète pas, la soirée n’est pas finie, d’autres choses peuvent se passer…− Oui, tu as raison, attends, je reviens, je vais m’arranger un peu et passer un peignoir.− Non, je veux que tu restes comme tu es.− Tu es vraiment sûr ? Je suis…− Oui, reste comme tu es.− Allez, viens me rejoindre dans le salon, me dit-elle.− Oui, j’arrive.Je m’assois au bord du canapé. Mathilde s’agenouille face à moi, attrape ma chemise, et défait les boutons un à un. Une fois terminé, elle la retire d’un geste brusque. Son regard n’est plus le même, elle me fixe et passe sa langue entre ses lèvres.− Maintenant, c’est à mon tour de m’occuper de toi, pour commencer, je vais voir si la bosse est toujours là .Elle pose sa main sur mon membre et l’inspecte minutieusement. Elle le parcourt soigneusement avec ses doigts. Dans un mouvement de bassin, je lui fais signe qu’il serait bien qu’elle défasse mon pantalon. Mathilde lève la tête et plonge et s’arrête. Elle semble ne plus vouloir continuer.− Ne sois pas si pressé, je sais que tu as très envie, mais laisse-moi faire, soit patient et tu le regretteras pas.Elle défait ma ceinture, enlève le bouton du pantalon, baisse ma braguette. Elle attrape mon pantalon et va pour le retirer, mais impossible sans que je me lève. Alors, elle me fait signe de me mettre debout. Dans un geste brutal, elle le retire. Dans son mouvement, elle a aussi attrapé mon boxer.Mon sexe se dresse devant elle à l’horizontale. Sans aucune contrainte, il se déploie dans toute sa longueur. Mathilde le regarde avec délectation. Elle le saisit d’une main et tire dessus vers le bas. Elle veut que je m’assoie.Mathilde ouvre sa bouche et commence à y mettre mon sexe. En s’approchant, elle constate que sa bouche à demi ouverte ne suffit pas. Elle doit l’ouvrir encore plus.Maintenant, elle s’enfonce sur mon membre. Sa bouche est pleinement occupée, sa main entreprend un va-et-vient sur mon sexe. Son geste est ferme et régulier.Sa bouche n’arrête pas de s’ouvrir et se refermer pour englober un peu plus à chaque fois mon membre. Elle s’empale littéralement sur mon membre. Elle a totalement mon sexe en bouche et lève les yeux pour me regarder droit dans les yeux.Je la regarde aussi et lui souris. Elle se recule et ressort mon membre.En reprenant son souffle, quelques filets de salive s’écoulent de sa bouche, mon membre est lui aussi totalement enduit de sa salive.Après une petite pause, elle remet mon membre en bouche, mais cette fois s’arrête juste après mon gland. Avec une main, elle saisit mon sexe et va-et-vient le long de mon membre. Avec l’autre main, elle attrape mes bourses et les masse.Elle ne cesse de s’activer, je commence à avoir du mal à contenir la montée de ma sève. Avec ma main, j’essaie de la repousser pour qu’elle comprenne que je vais bientôt jouir. En réponse, elle pince mon gland fortement entre ses lèvres, je pousse un gémissement de surprise et me laisse aller.Il ne faut pas longtemps pour que je jouisse. À mon grand étonnement, Mathilde continue son action et ne tarde pas à recevoir de longs flots de ma semence. Sans en rejeter une goutte, elle recueille le tout en pleine bouche. Me fixant comme pour me narguer, elle avale le tout en une seule fois.Je n’en reviens pas de ce qui s’est passé. Je reste muet, sans aucune réaction.− Je ne pensais pas que…− Il faut se pas se fier aux apparences.− Personne jusqu’à présent ne me l’a fait avec autant de passion.− Je voulais te remercier à ma façon pour tout à l’heure.− Que dirais-tu de manger un morceau ? Je commence à avoir faim.− OK, laisse tomber les pâtes, je vais préparer un en-cas.Nous sommes restés dans nos tenues respectives, c’est à dire elle vêtue seulement de son string et moi de rien. Mathilde se lève et va vers le réfrigérateur et dit :− Il me reste des biscottes, du lait, du beurre, de la confiture… enfin, de quoi faire un petit déjeuner.− Un petit-déj’ à 23h, pourquoi pas !− Café, thé, chocolat…− Un café, ça ira bien, avec une biscotte beurre-confiture.Mathilde prépare le petit en-cas tout en parlant de tout et de rien. Je ne peux m’empêcher de l’observer ou plutôt l’admirer. Je suis très attiré par elle. Son corps, sa voix, sa démarche et je dirais même sa personnalité me plaisent.Mathilde s’affaire en cuisine et très vite, tout est prêt. Je m’assois à ses côtés, à la table de la cuisine. Je commence à déguster ce très bon café et une biscotte. Nous arrêtons de parler pour mieux savourer. Cet en-cas est très réconfortant après nos ébats.Je me prépare une deuxième biscotte quand par inattention elle m’échappe de la main. En essayant de la rattraper, je la casse en petits morceaux projetant par la même occasion de la confiture sur elle. Je remarque de la confiture sur son visage, dans son cou et même sur ses seins.Mon réflexe est de me précipiter pour essayer de les enlever, mais j’ai oublié que ma main est aussi couverte de morceaux de biscotte remplis de cette maudite confiture. Cela a pour effet d’en étaler un peu plus sur son corps.− Arrête, tu m’en mets partout, toi aussi tu es maladroit.− Attends, je vais te nettoyer.− Prends des essuie-tout derrière toi.Je me lève et attrape de quoi réparer mes bêtises et me dirige vers elle.Je m’essuie les mains et jette les papiers.− Tu n’oublies pas quelque chose ?− Non, je crois pas…Je m’approche de Mathilde et vais pour l’embrasser lorsque je lui lèche la joue. Avec ma langue, je retire soigneusement la confiture. Je ne m’arrête pas à sa joue, je redescends dans le cou pour finir sur ses seins. Une fois devant ces deux magnifiques collines, je les saisis toutes deux, pour les masser avec soin. Je parcours chaque centimètre et finis par titiller ses tétons.Je remarque qu’ils se dressent droit devant tels deux phares dans la nuit. Avec mon pouce et mon index, je m’amuse à les tordre légèrement, à tirer dessus et les pincer. J’essaie d’augmenter progressivement l’intensité de mes mouvements, si bien que Mathilde finit par passer des gémissements aux cris clairement explicites. De plus en plus forts, ses gémissements résonnent en moi.Je sens son excitation monter. J’embrasse ardemment Mathilde. Nos bouches s’emmêlent, se croisent et se décroisent. Nos langues se touchent et se caressent. Nous brûlons de désir l’un pour l’autre.Je quitte sa bouche pour venir, par successions de petits baisers, attraper un téton entre mes deux lèvres. À mon contact buccal, Mathilde m’attrape ma tête et l’attire encore plus vers elle. À ce geste, je mordille doucement son téton, je le saisis et tire dessus. Mathilde crie, je m’arrête aussitôt.− Ne t’arrête pas, s’il te plaît, j’ai envie de toi, dit-elle.− Lève-toi et viens avec moi.Je me place face à la table de la cuisine. D’un geste brusque avec mon bras, je déplace ce qui se trouve sur la table. Une tasse vole par terre, le pot à confiture se renverse, la plaque de beurre se retourne, tout est sens dessus dessous.− Approche et allonge-toi.Mathilde s’installe sur le dos. Je me penche en avant et l’embrasse un peu partout. Je retire son string avec les deux mains. Je peux contempler son sexe.Je peux encore constater le résultat de l’orgasme qu’elle a eu auparavant. Si bien que Mathilde resserre ses jambes pour me le cacher. Sans attendre, j’empoigne ses genoux et les écarte. Je lèche ses deux lèvres pour venir taquiner son clitoris. Pendant de longs instants, ma langue effleure, caresse son sexe. J’introduis un doigt, puis deux. Ils entrent très facilement. Mathilde semble prête à me recevoir.− J’ai envie de toi en moi, viens, prends-moi.Je me relève et attrape mon sexe. Sans peine, je m’introduis en elle. Je sens une douce chaleur envelopper mon membre. Je commence mon va-et-vient. Son corps bouge au rythme de mes mouvements. J’accélère progressivement la cadence, Mathilde gémit en rythme. Par moments, je la pénètre d’un coup, provoquant un cri plus aigu.Si je continue à cette cadence, dans moins de deux minutes, je risque de jouir. Je m’approche de son oreille et lui chuchote :− Je veux que tu te retournes, je veux te prendre.− Mais je n’ai jamais…− Tu me fais confiance ?− Oui, mais…Je me recule et commence à vouloir la retourner, mais Mathilde semble hésiter. Puis, elle se résigne non sans une certaine appréhension.Je présente mon gland à l’entrée de ses deux lèvres et m’avance. Je sens Mathilde réagir avec ferveur. Son excitation semble être à son apogée. Alors, j’en profite pour ralentir la cadence voire quasi m’arrêter.Je caresse ses fesses et tente d’introduire mon index dans son petit trou. Elle me résiste alors je l’enduis de ses sécrétions, et recommence. Cette fois, je l’introduis sans trop de peine. Je continue de temps en temps à la pénétrer avec mon membre. J’essaie maintenant de rentrer deux doigts. À ma tentative, elle bouge son postérieur.− Tu veux que j’arrête ?− Je veux pas avoir mal.− Attends, je sais ce qu’il te faut. Tu as toujours confiance ?D’un hochement de tête, elle me dit que oui. Je prends la plaquette de beurre et attrape un morceau avec mon index. Je l’applique sur sa rondelle et y entre un doigt, puis deux. À mon contact, elle se recule, mais je continue.− Maintenant, je vais y aller, n’aie pas peur, détends-toi.Je sors mon membre de son vagin et enduis mon gland de beurre. Je me présente à l’entrée de son petit trou. Je pousse légèrement pour rentrer, mais c’est impossible. Je saisis fermement les hanches de Mathilde et enfonce mon gland à l’intérieur. Mathilde ne peut s’empêcher de pousser un cri de douleur. Je reste immobile en attendant qu’elle reprenne ses esprits.− Je veux que tu te masturbes, pendant que je te pénètre.Elle glisse sa main entre ses jambes et se caresse. Dès qu’elle a retrouvé son état d’excitation, je m’enfonce un peu plus et avance millimètre par millimètre. Pour ne pas crier, Mathilde mord son doigt tout en se caressant de l’autre main. Je m’arrête, arrivé au bout. J’entreprends très lentement un va-et-vient. Mathilde continue à se caresser.Je suis sur un nuage, mon plaisir est intense. Je suis bientôt à l’orgasme, alors je décide d’accélérer le mouvement. Mathilde ne crie plus de douleur, avec l’habitude et ses caresses, le plaisir est de retour. Mes mouvements sont plus amples et rapides si bien que mes bourses viennent toucher son vagin. Elle crie maintenant de plaisir, l’orgasme semble approcher.À l’issue de plusieurs allers-retours plutôt forts, Mathilde explose. Au même moment, mon corps se remplit de douce chaleur. Je ressors mon membre et répands ma semence sur son dos.Mathilde se lève et vient m’embrasser. Nous échangeons un long baiser, puis elle m’invite à venir prendre une douche. Après avoir nettoyé la conséquence de nos ébats, elle me propose de rester dormir.Le lendemain matin, nous appellerons respectivement nos bureaux pour leur dire que nous sommes très malades, pour essayer de prolonger nos différents plaisirs.