Comme vous l’avez sans doute remarqué, je n’écris que des récits qui mettent en scène des femmes opulentes, voire même obèses. À chacun ses plaisirs, non ? Ceux que cela dégoûtent ne sont nullement obligés de lire mes récits, en tout cas ils ne sont pas contraints à m’envoyer des mails insultants. Merci.Je ne suis pas un lève-tôt, c’est le moins qu’on puisse dire, et il n’est pas rare que je sois le dernier à embaucher. Au fil des ans, mes collègues en ont pris l’habitude, ma réputation est établie, mais comme je n’ai pas, à proprement parler, besoin de ce job pour vivre, ils font contre mauvaise fortune bon cœur.Ce matin-là était donc exceptionnel, à mettre dans les annales ! Nous avions un gros client, une commande importante à honorer et, comme de bien entendu, j’étais fort en retard dans l’établissement du contrat en question. J’ai donc pris sur moi et me suis levé aux aurores. La tête dans le potage – une vieille cuite de la veille –, j’ai pris tristement le chemin de la boîte.Le parking était désert, ça changeait des habitudes… Personne à saluer, j’ai filé directement dans mon antre… Et je me suis mis au boulot dans le calme… une demi-heure tranquille et puis, bruits d’aspirateur et ça parlait dans le couloir…Un peu plus tard un mulâtre moustachu, le type indien, fait irruption dans mon bureau, stupéfait d’y trouver quelqu’un. « Bonjour », « Bonjour », échange de politesses. Et il repart aussi sec bientôt remplacé par… une femme pas très grande mais obèse… une énorme noire assistée d’un aspirateur vrombissant et pétaradant qui me fait redresser la tête.Elle me demande si cela me dérange si elle passe l’aspirateur. Oh que non ! Ça ne me dérange pas du tout. Simplement je m’arrête de travailler, ses formes pleines et opulentes me rendent déjà fou. Je passe mon temps à la mater, à deviner ses luxuriantes mamelles sous sa blouse et son fessier énorme qui dandine devant mes yeux ébahis. Vraiment mon type de femme, je ne tarde pas à bander comme un porc en imaginant ses bourrelets graisseux…Bien sûr qu’elle remarque mes yeux braqués sur elle, comment pourrait-elle l’ignorer alors que je ne cesse de la déshabiller du regard ? Elle n’est certes pas des plus jolies, des traits assez grossiers, la quarantaine bien tassée, sans doute plus proche de la cinquantaine, mais quel corps mes aïeux ! Quelles jolies formes orgiaques ! J’en ai la trique rien que d’y penser…— Vous z-êtes sûr que ça ne vous dérange pas ?— J’en suis certain, au contraire, plongeant à nouveau entre ses gros nichons. Vous travaillez souvent ici ?Elle a arrêté l’aspirateur pour discuter le bout de gras. Je la dévisage, elle semble amusée de mon intérêt pour elle. Elle m’excite malgré son triple menton, ou peut-être à cause de son triple menton… Et j’aimerais bien voir le reste de sa personne.— Je suis en remplacement ces jours-ci, d’habitude je travaille à la banque…— Puis-je vous poser une question indiscrète ?Elle éclate d’un rire gras et épais, elle sait où je veux en venir bien entendu. Un peu décontenancé, je hasarde quand même :— Vous êtes mariée ?— Oui bien sûr, vous ne voyez pas mon alliance…Elle me tend la main. Machinalement je lui saisis et abuse de ses doigts.— Vous me plaisez !Dieu que j’ai l’air con de dire de pareilles banalités !Et elle de rire de plus belle :— Mais que dira mon mari quand il apprendra ça !— Vous n’allez pas me dire qu’une jolie femme comme vous n’a pas parfois quelques aventures !Toujours aussi hilare :— Allons, taisez-vous… rejoignez-moi plutôt dans dix minutes dans la réserve et nous verrons si l’on peut s’arranger.Je n’en crois pas mes oreilles, l’instant d’après elle a quitté les lieux sans me donner le temps de réagir. J’y vais, j’y vais pas ? J’y vais bien sûr. J’ai un paquet de capotes au fond du tiroir…Je patiente encore un peu, sauvegarde mon document dans l’ordinateur et file la rejoindre sans plus attendre.Et ce n’est pas un lapin, elle est bien là , derrière la porte, elle a même commencé à déboutonner son tablier en m’attendant la coquine. De suite, j’écarte les pans de la blouse et découvre ses deux obus soutenus par un soutien-gorge hors normes. Hummm, quelles belles grosses tétasses, je me penche pour les embrasser, ma trique a repris aussi sec : ces énormes mamelles bien lourdes me mettent hors de moi. Je les libère bientôt pour les voir tomber sur son ventre rebondi, complètement affolé par ces gigantesques appas bien sombres qui ne demandent qu’à être palpés, malaxés et bouffés. Je suis comme un fou, à genou devant ses gros nichons en train de lui lécher ses larges aréoles marron. Et je lui mordille les tétons tandis qu’elle me caresse la joue.Puis, pressant sur ma tête, elle m’invite sans équivoque à descendre plus bas m’occuper de son sexe, ce que je fais sans rechigner après avoir baissé sa large culotte de coton blanc, non sans avoir remarqué la large tache jaune qui montre à quel point elle est déjà excitée.En effet sa large chatte ornée d’une belle forêt frisée et abondante est plus qu’humide. Elle est trempée et odorante, il en émane un fumet aphrodisiaque incomparable. Cette odeur forte me rend fou. Je lui broute le con à pleine bouche en malaxant son gros fessier un peu mou. Et tout en m’appuyant la tête contre sa chatte, elle se cambre un peu plus, m’invite à la baiser avec ma langue.Bientôt ses jambes flageolent. Elle s’allonge sur le dos sur les cartons et écarte largement ses grosses cuisses ébène. Je la bouffe sans retenue, aspirant sa mouille qui ne cesse de couler, je ne sais pas combien de temps – j’ai perdu toute notion – et elle commence à couiner, de plus en plus fort. Je sens le plaisir qui vient entre ses cuisses, je redouble d’attention… Je la fais jouir rien qu’avec la bouche, elle éclate, elle se tord, elle crie sa jouissance sans fausse pudeur, tandis qu’un flot de mouille inonde ses cuisses…Hummm, je continue à la sucer, à la bouffer, à l’aspirer, elle n’en peut plus, j’ai l’impression qu’elle va exploser à nouveau et lorsque j’enfonce enfin mes doigts en elle, elle se met de nouveau à crier… Je continue à la branler, à l’astiquer en profondeur, le temps que l’orgasme retombe et qu’elle se calme enfin…Elle a à peine repris ses esprits qu’elle me demande déjà si j’ai des capotes. Dieu, elle en veut cette nana !Aussitôt dit, aussitôt fait, j’enfile le petit capuchon et plonge mon dard sans plus attendre entre ses belles grosses cuisses. Mon dieu qu’elle est bonne ! Et que c’est agréable de prendre une chatte qui ne demande que ça. Je la ramone lentement en regardant ballotter ses pis. J’ai envie que ça dure. Je grave dans ma mémoire l’image de ces deux grosses outres un peu molles qui balancent sur son ventre rebondi au gré de mes coups de queue… Humm quel délice !Comble de plaisir, bientôt je sens cette salope qui écarte mes fesses avec ses doigts et qui me pénètre le trou du cul vicieusement. Je sens son doigt qui va-et-vient dans mon fondement au même rythme que ma bite en elle. Et elle y va de bon cœur. À un moment, elle ressort ses doigts et se les lèche avant de les replonger dans mon cul, c’est divin de me faire enculer par cette grosse cochonne.Et puis, soudain, je sens une autre main sur mes fesses, une autre main et aussi quelque chose de chaud qui frotte sur ma raie culière… Je me retourne, intrigué… Le moustachu est là , presque entièrement nu, la bite dressée, il la présente entre mes fesses. Ma compagne n’a pas vraiment l’air surprise, d’ailleurs elle ouvre un peu plus mon cul avec ses doigts pour présenter mon trou à cet étrange visiteur.Je suis partagé entre la peur qui me pousserait à tout laisser tomber, à me lever et à les planter là tous les deux et l’envie vicieuse de me faire mettre par le moustachu. Même si je ne suis plus puceau de ce côté-là , cela fait bien longtemps que cela ne m’est pas arrivé. La dernière fois, je devais encore être encore étudiant… Mais là , au boulot, par un inconnu et à mon âge, il y a de quoi hésiter…C’est ma compagne qui fait pencher la balance par quelques propos grivois :— Vas-y, bourre-moi à fond avec ta grosse bite bien dure. Vas-y bien à fond, engrosse-moi mon salaud en regardant mes nichons… ils te plaisent mes gros lolos, avoue, cochon… Et laisse-toi faire, Kavi a l’habitude de sodomiser mes amants !Du coup, je la laisse écarter mes fesses et préparer le terrain à mon propre enculage. Je relâche mes sphincters et goûte aux délices de ce gland bien chaud qui frotte tout près de mon petit trou. Puis je finis par avouer :— Ouiii, vas-y, encule-moi, j’ai envie d’une pine…Mais ce petit diable prend son temps et se laisse désirer, l’idée de me faire défoncer la pastille tout en baisant cette belle grosse femme me met hors de moi. J’arrête de bouger de peur d’exploser. Elle écarte mes globes fessiers bien à fond tandis que mon sodomite glisse ses doigts humides dans mon trou…Et soudain la colonne de chair s’enfonce en moi, lentement mais inexorablement. J’ai tellement bien été préparé que je n’en éprouve aucune souffrance, juste l’immense plaisir de sentir ce membre bien raide me remplir le cul. J’en bande de plus belle. Et lorsque mon enculeur se met à bouger en moi, je reprends les mouvements à l’unisson dans le con détrempé de ma belle grosse maîtresse. Elle semble encore plus excitée par cette situation, complètement hors d’elle-même, elle bredouille plus qu’elle ne parle, elle ne parvient plus à aligner deux syllabes. Complètement déchaînée, elle donne des coups de reins pour que je vienne plus fort en elle…Humm, quel plaisir et quelle excitation ! Bientôt je sens qu’elle va venir et je suis presque, moi aussi, au bord de l’explosion. Lorsqu’enfin je sens les parois de son vagin se contracter autour de ma queue, je me laisse aller et me vide à mon tour.Reste mon copain de derrière qui accélère la cadence, qui me pine désormais le cul avec force et véhémence en ahanant. Je m’effondre sur les grosses tétasses de ma maîtresse tout en tendant un peu plus mon fessier pour mieux me le faire trouer, tout au plaisir de cette sodomie vigoureuse… J’ai l’impression qu’il me tue, une jouissance intérieure me submerge…Au dernier moment il ressort de mon cul, ôte sa capote et nous asperge tous les deux de son foutre épais, maculant nos visages de sa bonne semence bien grasse… Je lèche le visage de ma compagne pour récupérer tout ce bon jus et elle fait de même avec le mien tandis que mon amant frotte son gland dans mes cheveux…Et puis nous nous rhabillons tous les trois sans rien dire, en faisant vite car il est déjà tard et mes collègues vont arriver…Ouf il était temps, c’est la secrétaire qui pointe son nez. Tout en l’embrassant, je me rends compte que je dois sentir le fauve, peut-être même le cul, quelle honte. Mais elle ne fait aucun commentaire évidemment !Depuis, j’ai appris qu’il s’agissait d’un couple, l’homme et la femme, parfaitement complices. En voilà deux qui savent varier les plaisirs… Je recommencerais bien à l’occasion avec eux… mais pour cela il faudrait que je mette mon réveil plus tôt !