Résumé de l’épisode précédent : Clara a dû retourner dans sa famille pour quelques jours et en a profité pour redécouvrir les joies de la famille par alliance. Elle, qui adore le sexe, ne refuse jamais une occasion de s’amuser…Après la chaude soirée passée avec son cousin par alliance et son ami, Clara était fourbue. Mais elle ne s’en plaignait pas, ça faisait bien longtemps qu’elle n’avait pas pratiqué le triolisme, et elle se disait qu’elle ne laisserait pas autant de temps passer avant d’y revenir. Elle se sentait délicieusement endolorie, rappel constant de la double pénétration de la veille. Si elle n’avait pas eu vraiment envie de rentrer chez elle, elle aurait volontiers rappelé les garçons pour remettre ça ce soir. Elle avait beau avoir le même âge qu’eux, elle avait beaucoup plus d’expériences sexuelles à son actif et aurait pu leur faire découvrir beaucoup de choses…Pourtant il était temps qu’elle rentre. Elle n’avançait à rien avec son père. Celui-ci ne semblait toujours pas prêt à lui pardonner son incartade avec son ami. Elle était désolée qu’il ne puisse pas passer outre. Ça finirait par passer un jour. Au moins, sa mère n’était au courant de rien.Ce matin-là, elle descendit dans la cuisine pour prévenir cette dernière qu’elle partirait dans la journée.— Déjà ? J’aime bien t’avoir à la maison…— Je sais, mais il faut que je retourne travailler et que je me remette au boulot pour la fac. Mais je te promets de revenir plus régulièrement à la maison. Et rien ne t’empêche de venir à Paris !— C’est vrai… Tu pars bientôt ?— J’ai un train à 18 h.— Parfait, je dois aller aider ta tante à sa boutique ce matin, je serai revenue pour le déjeuner.Elle partit, laissant Clara seule à la maison. Elle décida de se chouchouter pour sa dernière journée de vacances : long bain, gommage, massage. Après une heure de ce traitement, elle se sentait divinement bien. Descendant en peignoir dans la cuisine pour se faire un café, elle entendit la sonnette de l’entrée.Resserrant les pans du vêtement autour d’elle, elle se dépêcha d’aller ouvrir.Sur le pas de porte se trouvait Franck, le père de Noé.— Franck ? Bonjour ! Ça fait longtemps !Il entra et ils se firent la bise.— J’ai vu ta mère arriver à la boutique, je me suis dit que c’était l’occasion de venir saluer ma nièce.Elle trouva ça surprenant. Sa tante et lui n’étaient pas mariés depuis longtemps, il ne l’avait jamais connue petite et elle ne le considérait pas vraiment comme un oncle. Il était un peu plus jeune que sa tante, et plutôt beau mec. Moins de cinquante ans, athlétique, il avait la silhouette sèche des marathoniens.— Euh… C’est gentil. Tu veux un café ?— Avec plaisir. Ton père est à la maison ? interrogea-t-il en regardant autour de lui.— Non, il bosse toute la journée.Il la suivit dans la cuisine et prit place à table. Il la regarda œuvrer autour de la machine à café, d’un œil scrutateur. Posant la tasse devant lui, elle décida de lui demander directement ce qu’il voulait.— Excuse-moi de te poser la question, mais que fais-tu ici ? On ne peut pas dire que nous ayons une relation nièce/oncle des plus classiques…— C’est vrai… Mais que veux-tu, je te trouve très intéressante, ma petite Clara…Son regard parcourut son corps de ses pieds nus à sa gorge, encore humide de la douche.— C’est-à-dire ? demanda-t-elle.Elle commençait à se sentir excitée sous son regard appréciateur. Il se passait les doigts sur les lèvres, dans un geste qui trahissait son état émotionnel. Elle connaissait ces regards : il avait envie d’elle.— Samedi soir, avec ta tante, nous sommes allés à un mariage dans les Flandres… Nous devions y dormir mais ta tante ne se sentait pas très bien. Nous sommes rentrés plus tôt.Clara se sentit pâlir.— Ne t’inquiète pas… Il n’y a que moi qui suis entré…Elle se souvint du craquement de plancher qui l’avait fait sursauter.— Pascale s’était endormie. J’ai mis la voiture dans le garage et l’ai laissée dormir.J’ai été étonné par les bruits que j’ai entendus à l’étage quand je suis entré… et plus encore par le spectacle quand je suis monté. Putain… c’était mon fils qui était en train de te baiser et pourtant je n’ai pas pu détourner les yeux. S’il n’avait pas été là, je me serais joint à vous…Il se caressait la lèvre de plus en plus vite, semblant au bord de l’extase à l’évocation des souvenirs de la veille.— Tu étais magnifique dans la jouissance, tu semblais tellement aimer ce que te faisaient leurs deux queues… C’était le cas ? Tu as aimé ?Clara était émoustillée par son émoi apparent. Elle s’approcha de lui et se pencha pour lui susurrer des mots à l’oreille, lui dévoilant en même temps son décolleté.— J’ai adoré. Ce n’était pas la première fois pour moi, tu sais… J’aime cette sensation d’être prise de chaque côté, d’être utilisée, d’être un objet de jouissance… Mais au final, c’est toujours moi qui décide, qui leur dis où me la mettre… C’est ce que tu as envie de faire Franck ? Tu as envie de me la mettre ?Il leva les mains et les posa sur les revers du peignoir qu’il écarta lentement, révélant ses seins fermes. Elle le laissa faire, sans bouger, attendant de voir quel serait son prochain mouvement.— Je ne pense plus qu’à ça. J’ai même envisagé de te faire chanter pour te baiser…Depuis hier, je ne rêve que d’une chose : enfoncer ma queue dans ta bouche, jouir dans ton petit corps, te faire crier avec ma bite, la mienne…Clara s’était redressée, le peignoir ouvert retombant de chaque côté de son corps dénudé, ne cachant plus grand-chose.Il était toujours assis, face à elle, passant le dos de sa main sur ses côtes, ses tétons, son ventre. Elle avait des frissons, la situation était très érotique.— Tu sais, je suis une fille très serviable, lui murmura-t-elle, il suffit de me le demander gentiment…— Et ta tante ?— Ce sera notre secret…Elle défit sa ceinture et laissa tomber le peignoir sur le sol de la cuisine. Il paraissait hypnotisé, son regard ne sachant où poser ses yeux devant un tel festin.— Putain… Tu as un cul et des seins magnifiques…— Touche-les…Il leva les bras et prit ses deux seins à pleine main. Il fit rouler les tétons et laissa ensuite glisser ses mains jusqu’à son pubis. Clara était tellement excitée par la situation qu’elle mouillait déjà abondamment.— J’adore les chattes entièrement épilées… J’ai envie d’y mettre la langue dès que j’en vois une…Clara leva une jambe qu’elle positionna sur une chaise, exposant ainsi son sexe aux yeux de Franck. Ce dernier ne se fit pas prier et passa la langue sur son clitoris. Elle enfouit ses mains dans ses cheveux, l’attirant davantage à elle.— Ahhh oui, lèche-moi fort… Bouffe-moi…Encouragé, il lui dévora littéralement la chatte. Aimant être possédée mais n’oubliant jamais que c’est elle qui commandait, elle guidait sa tête vers les endroits qu’elle souhaitait stimuler.Excité comme un fou, il se leva et saisit ses seins à pleines mains. Sa queue bandée déformait le devant de son pantalon. Clara défit la braguette, et plongea la main dans le caleçon. La bite de belle taille était dure comme du granit. Elle commença à faire aller sa main dessus, doucement.— Tu t’es branlé en pensant à moi hier ? demanda-t-elle.— J’ai baisé ta tante… Elle a eu la baise de sa vie, mais pendant tout ce temps, c’est ta petite chatte que je voyais, ta bouche de suceuse qui prenait les queues à tour de rôle, ton cul défoncé par la grosse bite de Tom…— C’est ce que tu veux me faire ? Me défoncer ?Il se rassit sur la chaise et l’attira sur lui, son dos reposant contre son torse.— Écarte les jambes.Elle s’exécuta et il plongea la main entre ses cuisses. L’autre continuait de s’occuper de ses seins, triturant impitoyablement ses tétons. Il glissa deux doigts dans sa chatte déjà trempée.— Putain, ce que tu es excitée !Il faisait aller ses doigts en elle, dans un bruit mouillé qui résonnait dans la pièce.Elle roula des hanches, lui tirant des gémissements d’extase.— Je suis incapable de refuser un beau mec avec une queue aussi dure que la tienne… Continue de me doigter, c’est bon…— Tu es une vraie salope… Putain, j’adore ça… On va se voir souvent… Ce n’est pas la dernière fois qu’on fait ça Clara, tu vas la voir souvent ma queue… Tu aimes ça ? Tu aimes quand je te mets mes doigts bien profonds ?— Ahhh… Oui… C’est bon…Elle s’appuya davantage sur lui, sa tête reposant dans son cou.— Putain, il faut que je te prenne, j’en peux plus…Il lui souleva les fesses et glissa sa queue dans la fente de la jeune femme. Il laissa échapper un grognement, entre la souffrance et le plaisir. Clara, elle, se sentit remplie, pleine. Encore une fois, elle se dit que la sensation qu’elle ressentait quand on la prenait était incomparable. Elle savait qu’elle en était dépendante mais s’en moquait. Elle adorait profiter de cet aspect de sa vie.Il écarta les jambes pour avoir plus d’appui et accompagna ses mouvements tandis qu’elle effectuait des mouvements de va-et-vient sur lui, alternant entre des mouvements vers le haut et des mouvements circulaires.— La vache c’est bon…Il serrait sa taille entre ses grandes mains, pour la pénétrer plus loin. Il avait des mouvements frénétiques, elle sentait ses couilles taper contre ses grandes lèvres à chaque mouvement. Il continuait à lui parler, semblant adorer lui dire des mots crus.— Je t’ai regardée les sucer… Tu prenais leurs queues dans ta gorge de petite salope… J’aurais aimé qu’ils jouissent dans ta bouche ouverte, te voir avaler leur jus…— J’avalerai le tien tout à l’heure… À genoux, devant toi… Bouche ouverte…— Putain oui… Qu’est-ce que tu es serrée ! J’aimerais tellement te baiser le cul, mais je ne vais jamais pouvoir tenir…Elle accompagnait ses mouvements, contractant ses muscles internes pour le serrer plus fort. La cuisine résonnait de bruits mouillés, et des claquements du dossier de la chaise contre la table. Elle gémit quand il enfonça deux doigts dans sa chatte, accompagnant les mouvements de son membre.— T’aimes ça ?— Oui… Ahhhh… Vas-y plus fort…Il lui saisit la taille pour qu’elle se relève. La retournant, il la plia en deux pour qu’elle prenne appui sur la table. Relevant ses fesses au maximum, elle s’étala sur la surface froide, pensant au petit déjeuner familial qu’elle avait pris sur cette même nappe à carreaux quelques heures plus tôt.Il la pénétra à nouveau d’un seul coup de reins, et se mit à la prendre à grands coups.Il suça son pouce qu’il ficha directement dans son anus.— Putain, ce que tu étais belle hier ! Un fantasme vivant… Tu avais tellement l’air d’aimer… Tu avais les yeux fermés, la bouche entrouverte… Je voyais ton visage dans le miroir… Tes joues rougies, ton petit cul qui accueillait ces assauts…Elle ne pouvait plus parler. Sa queue et son doigt la réduisaient au silence, elle prenait un plaisir fou.Il alla encore plus fort, faisant se déplacer la table sous son assaut. Au plaisir de sa queue s’ajoutait celui de l’interdit, le fait de prendre son pied avec lui, savoir que ce secret resterait entre eux…Clara caressa son clitoris, sentant qu’elle était sur le point de jouir.— Ahhh… Je viens, je viens ! !Elle fut prise de spasmes, la jouissance la prenant d’un coup. Elle appuya fort sur son clitoris pour accompagner les sensations le plus longtemps possible. Sentant qu’il allait venir lui aussi, Franck se retira rapidement.Elle se retourna et se mit face à lui. Elle lécha la queue qu’il était en train de branler au-dessus de son visage. Il finit par éjaculer et elle ouvrit la bouche pour en avaler le maximum. Il avait les yeux exorbités, sa main allante et venante sur son membre, tout en continuant à passer son gland sur les lèvres de la jeune femme.— C’était incroyable…Elle se releva, nullement gênée par sa nudité et par les traces qui maculaient son corps. Elle adorait ces moments où elle se révélait, prenant à leurs propres jeux ceux qui avaient essayé de profiter d’elle. C’est elle qui menait le jeu, qui décidait. Elle savait dire non quand elle ne voulait pas. Mais quand elle trouvait l’occasion excitante, pourquoi refuser ? Elle pensa à Stéphane et se dit qu’une occasion de vivre de nouvelles expériences incluant Franck pourrait lui plaire.— Il faudra que tu viennes à Paris… Je connais quelqu’un avec qui on pourra s’amuser…