Maximilien le bucheron
Je m’appelle Maximilien, je reviens justement de mon service militaire, j’ai vingt-an. Je suis bûcheron, je viens de suivre un stage sur la protection de la forêt.
Ils viennent de me mettre en montagne, à Luc-en-Diois, avec le quatre, quatre de la maison, me voici au bord d’un ruisseau, plutôt un pe
Proposée le 31/10/2022 par soleil-levant Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Forêt, campagne, natureType: Roman
Le premier jour
Je m’appelle Maximilien, je reviens justement de mon service militaire, j’ai vingt-an. Je suis bûcheron, je viens de suivre un stage sur la protection de la forêt.
Ils viennent de me mettre en montagne, à Luc-en-Diois, avec le quatre, quatre de la maison, me voici au bord d’un ruisseau, plutôt un petit torrent, loin de toute habitation, loin des routes. Loin de tout au point : 44°42’. Je ne vous en dis pas plus, je ne veux pas être dérangé. Si vous voulez me trouver, il vous faudra me chercher, car je ne reste pas en place.
Mon travail, créer des par-feu, dont ils m’ont donné la carte, mais également le contrôle des environ.
J’adore la montagne et la solitude, je n’aime pas être emmerdé par le monde. Je suis aux anges, personne ne viendra me chercher ici.
Dans la voiture, j’ai tout ce dont j’ai besoin. Quatre grands panneaux solaires avec une bonne batterie, ordinateur, portable, que je m’installe tout de suite, ma tente, j’ai même un petit réfrigérateur.
J’adore la musique classique. Cela me suffit pour commencer. Je joue de l’accordéon dans mes temps libres.
Je vais me poser des pièges à perdrix et à lapins. On verra bien si ça mord. Le temps est au beau fixe, sous les arbres, il règne une chaleur douce, je sens l’odeur des pain et autres, j’entends tous ses bruits insolites. Je vais donc me chercher de l’eau, pour me faire un café, j’ai le temps pour commencer mon boulot. Je me tire une petite branlette avant de continuer.
Je crois que je me suis trouvé une bonne place, comme je dois rester assez longtemps, je me construis une petite maison avec les arbres que j’abats.
Mes pièges fonctionnent, du moins un, je vais pouvoir me faire un civet ce soir, avec les champignons que je viens de me ramasser.
Solange.
Je me nomme Solange, j’ai dix-huit ans, j’habite à Valence. J’adore voler en planeur, et je ne m’en prive pas. Mes départs, je les fais au treuil, comme cela, je n’ai besoin de personne.
J’aime être seul, dans mon planeur, c’est idéal. J’ai la solitude et en plus le silence. Je reste des journées entières si le vent ou les courants me le permettent.
Je suis encore étudiante, à l’université de droit, petite fille de papa, j’obtiens tout ce que je veux. Je sais lui faire comprendre ce que je veux.
Je trouve tous les garçons et les filles de ma classe, de vrais connards. Il ne pense qu’à se faire valoir. Oh regarde ma nouvelle voiture, papa l’a payé prés d’un million, regarde ma robe, je l’ai payé huit-mille euros.
J’aime mieux aller faire un tour en planeur. Chaque fois, la même chose, après la classe, ils vont se soûler la gueule.
Moi, je monte dans mon planeur, je soulève ma jupe, et je me branle, je me fais jouir, quelques fois même avec un vibrateur.
Après avoir eu mon orgasme, je respire un peu, je vole et pendant toute la duré du vol, je jouis, je mouille, plusieurs litres même.
J’emporte d’ailleurs toujours une serviette sous mes fesses. Je me branle même en vole. Là , je me dénude entièrement, j’adore et je laisse le vent bercer mon planeur, au rythme de ma musique, caressant mes seins, ma chatte. J’admire les montagnes autour de moi, je jouis encore.
La chasse
J’ai déjà rassemblé pas mal de bois, que je me mets à tailler, à la scie et à la hache, en deux jours, ma maison, plutôt ma cabane, tient débous. Pour m’amuser, je décide de me faire un arc, pour chasser.
Du noisetier pour mon arc, du buis pour mes flèches. Bien armé, je me mets en marche. Le gibier est abondant, je crois que je vais me régaler.
Ouais, le gibier est abondant, mais mes flèches ne veulent pas toucher les lapins qui cours trop vite ou les perdrix qui vole trop haut. Mes mains sons trop grosses. Je continue quand même ma chasse.
Je me casse la figure dans un trou que je n’avais pas remarqué, je déchire mon short. Ça, je ne l’avais pas prévu, je n’en ai pas de rechange. Je le retire, ou plutôt ce qu’il en reste.
Je décide de rentrer bredouille et presque à poil, je crois que la chasse à l’arc, je vais le laisser aux Indiens, je vais continuer avec mes collets, c’est plus sûr. Surtout si je veux manger
De retour dans ce château que je m’étais construit, Nu comme un ver, je me fous à l’eau.
Putain, la secousse, l’eau se trouvait, à , au moins dix degrés, peut être encore moins. Je vais chercher d’abord un tronc d’arbre, que je fais rouler avec mes grosses mains, et j’entreprends de me faire une baignoire .
L’eau, je la récupère dans ma baignoire avec des branches que j’ai creusées.
Encore un tube de métal d’un mettre de long environ, un feu bien garni en dessous, voilà mon chauffe-eau.
Après ce travail, qui a pris son temps, quelques bonnes petites branlettes et je déguste ma baignoire. J’ai branché mon ordi. Et je me regarde un film japonais porno, entrecoupé de branlettes, j’aime bien.
Le vol plané.
Je suis ici depuis une semaine, j’ai quand même réussi à faire presque un demi-km de déboisage, mes patrons sont bien contents de moi, les arbres abattus seront rassemblés, défeuiller, sur le bord de ce couloir, également comme pare-feu.
Solange comme de coutume, est dans son planeur nue comme un ver. Elle a projeté de rester longtemps dans les aires, boisson et alimentation pour la journée sont à bord.
Elle survolait très souvent la région, mais cette fois quelque chose attire son regard, une petite colonne de fumée s’élève, presque rien.
Elle descend un peu avant de le signaler, pour apercevoir, avec ses jumelles, la petite maison de Maximilien. Donc pas de problème, elle cherche maintenant les vents et les courants ascendants qui la feront remonter.
Le planer ne peut pas prendre les courent ascendant, elle continue de descendre, cela devient dangereux, il n’y a aucune place pour se poser.
Elle cherche à tenir le nez en l’air, pour ne pas piquer. Elle se casse dans les arbres sur le pare-feu, pas très loin de la cabane, elle est éjectée de sa cabine, elle est tombée dans les pommes. Elle a atterri heureusement sur l’herbe et la mousse des bois.
Le bruit de la casse, n’est pas passé inaperçu et me fait sursauter. J’aperçois le planeur détruit accroché dans les arbres et Solange inerte sur le sol.
Je me précipite, surpris de trouver Solange à poil, nue comme un ver. Réagi, en me rappelant, que moi aussi j’étais nu. Je m’occupe tout d’abord de Solange, cela est plus important que de mettre mon slip.
Je tourne et retourne Solange, sans trouver une blessure sur son corps. Et je peux me rendre compte de la beauté de cette fille, de la douceur de sa peau sous mes doigts, mais je n’y fis pas plus attention, Je ne voulais pas de fille, pas plus que de garçon d’ailleurs.
Je la portais dans ma cabane pour lui donner un cognac, mes grosses mains englobaient sans problème ses petites fesses bien rondes, mais Solange, se réveille à ce moment dans mes bras.
– Que fais-tu là toi ? Demande-t-elle, lâche-moi, tous de suite.
– Je dois te lâcher, ou te poser avant ? Elle lui cris au visage
– tu dois me lâcher, tout de suite, j’ai dit.
– J’écarte les bras, pour la laisser tomber, elle se fait mal.
– Tu es complètement con, de me laisser tomber comme ça.
– Je te l’ai demandé, tu m’as dit de te lâcher. Elle lui cris encore au visage
– Mais tu ne dois pas me faire de mal connard. Maintenant, je suis en colère. J’étais rouge de colère. Je me mis à parler bas, lentement.
– Écoute-moi bien, jolie demoiselle, avec moi, on parle sur un autre ton, puis j’élève la voix. Petite-fille, je voulais t’aider, mais je n’en ai plus l’envie, tu fous le camp, je ne veux plus te voir ici, car ici, tu es chez moi. Alors, disparaît. Allez vite.
– Tu crois peut-être que je ne peux pas trouver mon chemin hein ?
– Je m’en fous, tu disparais. Et je me remets dans ma baignoire, mon casque sur les Oreilles, je ne la regarde plus, je l’ignorais.
Elle s’en va, elle remonte un peu la montagne, mais elle n’arrive pas à atteindre son planeur, qui se trouve pas très haut, dans les arbres, elle a faim, ses vêtements, son portable se trouve également là -haut, elle a froid.
Elle s’est assise sous son planeur, mais il ne vient pas tout seule, son estomac commence à grogner, elle na jamais connu la faim et le froid. Elle revient donc lentement la tête basse vers la cabane.
– Eh toi, j’ai faim, j’ai froid. Je ne réponds pas, je la regarde, je regarde cette beauté, elle est vraiment belle. Elle ne me laissait pas indifférent.
– Je ne veux pas que tu me regardes, je suis toutes nue. Maximilien se détourne. Je t’ai dit, que j’avais faim et j’ai froid. Pas de réponse. Elle se met à pleurer. S’il te plaît, j’ai faim et j’ai froid. Alors à ses mots. Je me lève, je vais chercher une couverture, que je lui lance et une assiette de poissons avec des pommes de terre.
– Merci, dit-elle. Elle se roule sans plus attendre dans la couverture.
– Lorsque tu dis s’il te plaît, tu obtiendras de moi presque tout ce que tu voudras. Comment t’appelles-tu ? Moi, c’est Maximilien
– Solange.
– Comment se fait-il que tu sois à poil ?
– Je pilote à poil et mes vêtements sont dans le planeur. Donne-moi ton téléphone.
– Tu me le demandes comme il faut et je verrai si je peux te le prêter.
– Merde Maximilien, tu dois me ramener en ville encore, je veux demander, que mon père vienne me chercher. Mais je ne peux pas rentrer à poil, pour toi, avec tes mains énormes, ce n’est rien de grimper aux arbres.
– Si je comprends bien, tu me demandes d’aller chercher tes affaires dans ton avion et de te descendre en ville. Réponse. Je ne grimpe pas dans les arbres la nuit, Je ne te raccompagnerais pas en ville ce soir. Point final.
– D’abord, ce n’est pas un avion, mais un planeur. Il faut que je rentre.
– Tu peux téléphoner à ton père, il viendra te chercher demain à quatorze heures devant la mairie, pas avant.
– Maximilien, il faut…
– je viens de te le dire, demain quatorze heures devant la mairie.
– Où vais-je dormir ?
– Dans le quatre-quatre.
– Maximilien, je veux rentrer ce soir. Ce n’est pas difficile avec tes grosses mains
– D’abord, le Roi dit, nous voulons, toi tu me dis, j’aimerais, rentré ce soir et moi, je te dis non. C’est moi le patron. Je ne veux pas prendre le risque de me casser la gueule pour toi, mème avec mes grosses mains, je ne te connais même pas. Elle ne répond pas, elle sait qu’il n’est pas comme son père, que s’il a dit non, cela reste non.
Après leur repas, bien copieux, je lui fait son lit dans le quatre-quatre, qui est sur la banquette très moelleuse et confortable, elle va se coucher dans son lit.
À peine cinq minutes se sont écoulés, elle se trouve à côté de mon lit, elle me dit la tête et la voie très basse.
– Maximilien, j’ai peur, je ne pourrais pas dormir à côté de toi ? Il y a une petite place, cela me suffit.
– Si tu ne bouges pas, autrement, je te fous en bas du lit.
Elle ferme les yeux, mais sursaute, une grenouille coasse, elle se redresse.
– Qu’est-ce que c’est ? Demande-t-elle, apeurée.
– Dors, c’est une grenouille. Elle se couche, sursaute de nouveau, se redresse.
– Maximilien, ce n’est pas une grenouille, cette fois.
– Non, c’est le Hibou, tais-toi, dort merde et laisse-moi dormir.
Solange a continuellement peur, chaque bruit la fait sursauter. Elle n’ose plus rien dire. Alors elle se retourne, se sert contre moi, sa poitrine nue contre mon dos, sa chatte contre mon cul nu. Mon Dieu, se dit-elle. Il est bouillant, il est vachement doux.
Tout d’abord, elle pause sa main sur mon épaule, qui glisse continuellement sur mon ventre, ce ventre, un peu chevelu. Putain, c’est beau, son ventre est bouillant. Elle commence lentement, mais sûrement à mouiller, et de plus en plus, mon cul est trempé, mais je dort. Solange tremble, elle jouit presque. Je me retourne en dormant.
Cette fois, ma queue se trouve, à demi-ramolli dans sa touffe elle pousse de petites plaintes de plaisir. Elle se pousse lentement contre moi, Elle a tous d’un coup un spasme assez violent, qui me réveille. Je la trouve contre moi, je me mets à bander sérieusement. Je m’aperçois tout d’un coup que la place est trempée.
– Solange, t’as pissé ?
– Non, je n’ai pas pissé.
– Alors…
– Oui, j’ai envie dit-elle.
– Tu as déjà baisé ? Demande Maximilien.
– Bien sûr, qu’est-ce que tu crois. S’empresse-t-elle de me dire. Je revois la beauté de ce corps, qui me donnais encore plus d’envie. De toutes façons, je ne la reverrais plus, une fois n’est pas coutume, mais aujourd’hui, J’en avais vraiment envie.
Je bandais, aussi sans plus me soucier, je décidais de prendre l’occasion. Il la caresse lentement, sa poitrine son ventre.
Je lui embrasse ses seins. Elle se laisse faire, elle me laisse prendre toute l’initiative. Je l’embrasse, ma bite remonte doucement, son gland est devenu énorme, j’atteignis les petites lèvres roses de Solange, elle sursaute avec un petit cri, elle pose ses petites mains sur mes fesses en appuyant dessus.
– Maximilien, tu ne me fais pas mal hein ?
– Solange… putain, avoue, que tu n’as encore jamais fait l’amour avec un mec. Elle ne répond pas de suite, je perds mon envie, je ne bande plus.
– Non Maximilien. Elle laisse glisser ses mains sur les fesses de Maximilien, sur son dos, mais j’ai envie.
– Solange, tu es la fille la plus conne que je n’ai jamais connue, tu m’as menti, tu m’enlèves mon envie, laisse-moi dormir. Si tu me l’avais dit, nous serions en train de faire l’amour. Maintenant, laisse-moi dormir. Je n’ai plus envie. Je me retourne et je la laisse là , pleurant, me caressant encore doucement ma poitrine.
– Maximilien, j’ai vraiment envie, je te jure. Rien à faire, je ne réponds plus, je ne me retourne plus, je l’ignore.
Solange n’a pas encore abandonné. Elle continue, inlassablement de me caresser, de m’embrasser dans le cou, dans le dos, elle réussit même à m’embrasser sur les fesses.
Elle me caresse maintenant le ventre, le bas-ventre, mes poils fins. Elle se surpasse, elle fait glisser ses doigts sur mes testicules, doucement sur ma bite qui reprend du volume.
Elle prend doucement cette bite dans sa main, fait monter sa main de haut en bas, elle me branle délicatement, lentement. Je ne pouvais plus me retenir, je me retourne doucement de côté, je lui prends son visage entre mes grosses mains pour l’embrasser, elle fait de même. Mon gland est revenu entre les petites lèvres ruisselantes de Solange.
Elle se crispe, elle a visiblement peur, mais dit rien, elle a peur que je ne veuille plus. Mon gland continue son chemin, il s’enfonce indéniablement, dans sa chatte.
Elle se mord les lèvres, un soubresaut, la bouche ouverte, un petit cri, elle se dévergonde maintenant, elle se tord de gauche à droite, mord ma poitrine.
Ma bite lui procure, dans le ventre quelque chose de nouveau, d’inattendu, tellement beau ! Elle appuie sur mes fesses de toutes ses forces contre elle, pour mieux sentir cette bite dans son antre entre ses chaires.
Dans des cris stridents, elle jouit, c’est la première fois qu’elle jouissait avec une telle intensité, avec une telle force. J’éjacule dans la grotte de Solange, et pour chaque jet de sperme, elle criait, elle se convulsait de plaisir. Mes mains serraient chacune de ses fesses, comme de la pâte à pain elle tirait mes fesses contre elle.
– Je t’ai fait mal ? Lui demandais-je doucement. Toute essoufflée, elle mit longtemps à répondre. Ses deux bras serrés autour de mon cou.
– Non, mais je n’avais jamais vécu ça. Maximilien, on le refait ?
Je n’ai pas répondu. Oui j’avais apprécié, mais je ne voulais pas recommencer. Je ne voulais même pas faire l’amour avec elle, je m’étais fait piéger. Oui, j’avais eu vraiment beaucoup de plaisir, mais je voulais en rester la.
Je me réveille au matin, elle se trouvait à plat ventre sur moi, je m’étonne de trouver ma bite bien profonde dans ses entrailles, ma bite aussi raide qu’hier soir.
Je cherche à me dégager d’elle. Je ne réussis qu’à la réveiller. Elle s’accroche, elle se serre contre moi, m’embrasse, me caresse.
– Maximilien, on recommence, c’était trop beau.
– Non, je dois travailler, je dois grimper pour aller chercher tes affaires, je dois t’emmener à Luc-en-Diois. Elle recommence à exciter mon corps, le caresser, l’embrasser. Je devenais mou, je me laissai faire, sans aucune résistance.
– Maximilien, dit-elle, aller chercher mes affaires, nous rendre en ville, cela peut attendre. Faire l’amour, cela ne peut pas attendre, j’ai attendu trop longtemps, je ne savais pas que c’était si bon, aussi beau, encore Maximilien, j’en veux encore, aller vient.
Le parachute
Solange avait envie, moi aussi, je devais me plier, je me pliais même avec joie. Je n’ai pas résisté longtemps. Deux ou trois fois, plus on faisait l’amour et, plus je voulais faire l’amour avec elle. On ne voulait plus s’arrêter.
Vers les dix heures, j’ai eu énormément de difficulté pour grimper à l’arbre, pour récupérer ses affaires, mes jambes tremblaient tellement, je l’avais baisé, aimé.
Je fis tomber le planer, je découpais la coque en morceau, les ailes, puis le tout fut soigneusement posé en lisière, la radio, le navigateur et les objets précieux démontés.
Enfin prête, nous montons en voiture, je la raccompagne enfin au village. Je ne suis même pas descendu de voiture. Je suis parti faire mes courses, m’acheter un short.
Ma vie prit de nouveau son train, abattre les arbres, prendre mon bain, et maintenant habitué, je vivais la plupart du temps nu. Je ne pensais plus à Solange, même si je me branlais.
Une bonne semaine est passée, au moment de prendre mon bain, un petit parachute miniature, atterri à côté de ma baignoire, un petit contrepoids, un billet. Maximilien, viens me chercher demain devant la mairie, à midi, je serais là .
Je n’étais pas très content, je ne le voulais pas.
– Que me veut encore cette connasse, elle ne peut pas me laisser en paix. Elle en veut encore plein le cul, j’en suis sûr et bien moi, je ne le veux pas, elle peut courir, je n’irais pas la chercher.
Aussi, le lendemain, je ne me suis pas dérangé, je me suis blotti dans un coin en tremblant. Je me demandais si j’avais bien fait. Elle avait dû prévoir le coup, deux heures plus tard, un piper passe au-dessus de ma baraque, je lève le nez, pour voir un parachute atterrir presque sur mon nez.
Elle se dandinait, accrochée à son parachute, qui descendait lentement, avec une très bonne précision, se posa à côté de ma baignoire. Elle laissa tomber son parachute. Elle ôta ses vêtements, puis elle se jeta à mon cou.
– Maximilien, viens prendre un bain avec moi.
– Tu ne vois pas que tu me casses les couilles. Tu ne vois pas que je veux rester seul ici ? Seulement je bandais déjà .
– Il n’y a pas de problème, tu fais comme si je n’existais pas, je veux juste faire l’amour avec toi, viens avec moi dans ta baignoire.
– Demande à tes potes de l’uni, mais fou moi la paix.
– figure-toi, que j’ai essayé.
– De me foutre la paix ?
– Ça… non, je l’avoue, ce n’était pas mon intention, mais de baiser avec mes potes je te le dis, cela ne marche pas, j’ai besoin de toi, avec ses connards, je n’arrive même pas à mouiller. Ici, je n’avais pas encore touché terre que j’étais déjà trempé. Allez, vient, fais-moi jouir, fait l’amour avec moi, dit oui. J’aime beaucoup avec toi.
Elle avait déjà planté ses mains sur mes fesses, elle appuyait dessus pour m’obliger à sentir ma queue bien raide sur son ventre. Elle en tremblait. Je me laissais faire, oui, j’avais aimé avec elle. J’étais même prêt à recommencer. Ses caresses me foudroyaient, je n’avais plus la force d’aller contre. Je me repentais de ne pas avoir été la chercher.
Solange me caressait le ventre, mes Noyaux, elle les prit en bouche, j’étais foudroyé.
À genoux devant moi, elle mouillait. Ce phallus, cette verge dressée devant ses yeux, elle léchait ce gland gonflé de sang rouge sombre, elle caressait cette verge, raide entre ses doigts et ses lèvres.
Je grognais de plaisir, je la caressais les deux grosses mains, derrière sa nuque, suivant le mouvement de sa tête. Je n’avais encore jamais eu une telle fellation, je tremblais sur mes jambes, je sentais des fourmis se déplacer dans mon bas-ventre entre mes cuisses.
Elle n’arrêtait pas de me caresser, d’embrasser toutes les parties de mon corps. Elle ne me quittait plus des yeux, qui brillait maintenant amoureusement dans la pénombre.
J’avais maintenant envie de la prendre dans mes bras, de la pénétrer au plus profond, de la remplir de mon sperme, de lui faire prendre son orgasme dans mes bras.
Trot-tard, avec force, j’éjacule dans sa bouche sur son corps. J’étais heureux, je sentais cette fille qui elle aussi semblait heureuse. Elle se pressait maintenant contre moi, le corps couvert de sperme.
Je me mis, moi aussi à genoux, je lui caresse son corps souillé, je l’embrasse. Ma bite est toujours bien raide, j’ai encore envie d’elle, ma trique trouve le chemin sans difficulté, nous roulons ensemble sur le sol, elle crie de plaisir elle me mord, me frappe l’orgasme était très puissant.
Cette Solange m’a ensorcelé, je n’ai jamais eu cette intense envie de faire l’amour, je la presse contre moi, je l’étouffe entre mes mains, entre mes bras puissants. Enfin, je la remplis, je la comble. J’éjacule de nouveau, chaque dégorgement la fait crier de plaisir, la fait se contracter, pour chaque jet, dans son trésor, elle sursaute et se presse contre moi, m’embrassant.
Il fait maintenant nuit noire.
– J’ai faim, annonce-t-elle.
– Moi aussi dis-je.
– j’ai apporté des pizzas, mais elles sont certainement froides.
– Je les fais chauffer.
– Tu vois Maximilien, je n’ai aucun problème à faire l’amour avec toi, mais je n’arrive pas avec les copains, ils sont froids, ils me font mal, je n’aime pas leurs spermes, mais j’aime le tien, j’aime ton odeur, mais surtout, j’aime la façon que tu as de me prendre, de me pénétrer, de me faire jouir, j’aime avoir mes fesses dans tes grosses mains, j’aime lorsque tu me serres contre toi, je sens ta chaleur qui me fait jouir, je suis heureuse dans tes bras, j’aime tes grosses mains qui malaxe mes petites fesses mes petits seins. Je ne veux plus que tu t’arrêtes.
L’enlèvement
Je n’ai pas débandé de la nuit, je n’ai pas eu une minute de libre, elle s’endormait sur mon ventre, ma queue dans sa chatte, mes grosses mains englobant ses petites fesses rondes et lisse. Elle se réveillait, pour une tournée de sexe, puis se rendormait. Heureusement, le lendemain était un dimanche.
– Maximilien, tu me raccompagnes, mon père m’attendra à midi.
Je ne répondis plus, j’avais perdu, c’était elle la maîtresse. Avant de repartir, elle replia son parachute.
Ce fut pendant toute une semaine, l’accalmie, avant l’orage. Mes pensées se portaient de plus en plus souvent sur Solange, il m’arrivait même de rêver d’elle, quelques fois.
Je me surpris devant un arbre que je voulais abattre, de la voir, nue, souriante devant moi.
Aujourd’hui, vendredi soir, je finis mes comptes-rendus de la semaine, un gros quatre-quatre, arrive. Un homme en descend, ouvre la porte arrière, une deuxième personne en descend, s’adresse à moi.
– Vous êtes bien monsieur Maximilien ?
– Oui, que me vaut l’honneur ?
– Voici une lettre de votre patron, il vous demande de nous suivre, habillez-vous correctement, vous rentrez dimanche soir.
– Que me veut-il ?
– Il ne nous a rien dit, monsieur.
– Et si je refuse, que se passera-t-il ?
– Rien monsieur, ce n’ait pas un enlèvement, nous lui ferons part de votre décision.
– Que dois-je emporter ?
– Rien. À si, votre compte-rendu.
– Mon ordinateur ?
– Vous n’en aurez pas besoin.
Je suis curieux, comme je n’ai rien, je n’ai également rien à perdre, allons-y.
– Voulez-vous fermer votre maison, votre voiture ?
– Monsieur, il n’y a rien à voler dans ma maison, je ferme ma voiture.
Nous voilà partis, sur ce long chemin cahoteux, vers la ville que je connaissais très bien. Nous n’avons même pas fait de halte au village, directement sur l’autoroute, direction : Lyon.
Nous arrivâmes devant une très belle villa, le portail s’ouvre et se referme derrière nous automatiquement, Je n’avais pas peur de me perdre dans mes forets, mais ici c’était une catastrophe. Je n’étais pas en mesure de retrouver la sortie. Je fus donc conduit dans uns salle immense, certainement la salle de séjour, ici m’attendais un homme très élégant, sympathique, qui de loin me demanda.
– Bonjour Monsieur. Vous êtes bien monsieur Maximilien ? Sans attendre la réponse, asseyez-vous, prenez place. Vous buvez ??? Cognac, bourbon, café, tee ?
– Un café, répondis-je, le tout était très insolite, je me posais doucement des questions. Que me voulait, cet homme élégant, moi, le pauvre bûcheron.
– Monsieur, avez-vous votre compte-rendu ?
– Oui monsieur, le voici. Il le lit.
– C’est parfait, c’est parfait repetât-il. Bien Monsieur, vous admettrez que vos vêtements de travail ne passent pas ici, nous avons donc décidé de vous habiller. Il sonne un petit bouton sur son téléphone, sur sa table. Trois hommes ne tardent pas à entrer.
– Voulez-vous bien me suivre, monsieur Maximilien demande l’un d’eux, je vais vous montrer votre chambre et nous prendrons vos mesures.
– Monsieur Maximilien, je vous retrouve pour le dîner die le patron.
– Monsieur, voici votre chambre, vous avez dans le fond, la salle de bain et les toilettes, ici, votre lit. Dans ce réfrigérateur des boissons, ici vous pouvez appeler si vous désirez, d’autre boisson, ou autre chose. Je vous demande de retirer vos vêtements, nous allons prendre vos mesures, voici une robe de chambre. Vous avez la télé, des CD, faites comme chez vous, vous êtes, chez vous.
Je ne savais plus où j’en étais, je me décidais à prendre un bain, dans une baignoire aussi grosse qu’une piscine, je regarde les CD, ce sont justement mes favorites. Alors allons-y, une belle musique, Nabuco je me jette dans la baignoire.
Je ferme les yeux, j’apprécie cette tranquillité, ce silence, seule cette musique en sourdine. Je revois la belle Solange faire l’amour avec moi, m’embrasser, me caresser ma bite, me faire bander, me faire éjaculer pendant que je caressais, que je malaxais doucement les jolis petits seins, je lui embrassais ses mamelons, les roulant entre mes lèvres. Je bande maintenant, je suis obligé de me faire jouir seul, j’astique ma bite lentement.
Les yeux clos, je la voyais distinctement, elle me caressait, elle me prenait les testicules dans sa bouche, ma bite Ă©galement. Elle me caressait mes fesses, je la sodomisais, je la faisais jouir entre mes bras, dans sa bouche.
J’avais besoin d’elle, maintenant, tout de suite, je voulais faire l’amour avec elle, je voulais l’embrasser, la caresser. Qu’a-t-elle fait de moi, je n’en voulais pas, maintenant, je la réclame. Enfin j’éjacule, j’ouvre les yeux.
Là , dans le miroir, c’est elle. Je me retourne d’un bloc, je la prends par les épaules, je la fais presque voler par-dessus moi et je la tire maintenant, contre mon corps, dans la baignoire. J’ai presque crié de soulagement, elle était là . Je l’embrasse avec force et dans l’action ma bite se trouva déjà enfoncée, jusqu’au plus profond de son antre.
Elle gémit, elle se tord dans mes bras, Je ne vais pas assez vite, elle me presse, nous somme sortis de la baignoire pour nous rouler, tremper sur le carrelage, serrer l’un contre l’autre, s’embrasser, jouir ensemble, éjaculer ensemble. Après le tsunami.
– Solange, que fais-tu, ici ?
– La même chose que toi
– comment, il est ton patron ?
– Non, il est mon père.
– Tu es complètement folle, nous ne nous connaissons même pas.
– Nous sommes en train de le faire.
– Je n’ai pas une tune.
– C’est en train de changer.
– Regarde à quoi je ressemble.
– C’est également en train de changer, bien que tu me plaises comme tu es, avec ta salopette, et même à poil. Je dirais même que je t’adore à poil.
– Mais je ne peux pas…
– Tais-toi, en fait… C’est moi qui commande.
– Laisse-moi retourner dans ma cabane.
– Après-demain, ses trois jours, Maximilien, je veux que tu me les donnes, la semaine prochaine, on inverse, mais cette fin de semaine, elle est pour moi. Si tu ne veux pas me les donner ? je te les prends.
– Merde, Solange, laisse-moi repartir. Je ne suis pas à mon aise.
– Je te l’ai dit, je te le répète et je te le redis, c’est non, ses trois jours, tu es à moi, à moi toute seule. Fais-moi jouir, tu le fais si bien, mais ne dit pas non, cela n’est pas joli à entendre, je serais même obligé de te violer, crois-moi, j’en suis capable. Le téléphone vibre.
– Monsieur Maximilien, est-ce que mademoiselle Solange est près de vous ?
– Ou monsieur !
– Pourriez-vous lui faire savoir, que nous passons à table.
– Solange, ils m’ont piqué mes vêtements !
– Cela ne fait rien, tu viens en robe de chambre, tes vêtements arrivent demain matin. Bien entendu, elle s’était rhabillée.
Elle va embrasser son père. Puis nous nous mettons tous les trois à table, Solage à côté de moi, en face du père.
Trois jours
Je fus servi comme un roi, le père me regardât manger un moment.
– Maximilien, je t’ai fait venir, pour plusieurs raisons. J’espère que tu accepteras que je te dise tu.
• Solange me l’a demandé, je voulais faire ta connaissance.
• Je voulais connaître, le bûcheron qui s’occupe aussi bien de mes forêts.
• Je voulais connaître l’homme qui a accueilli et aidé ma fille lors de son accident.
• Enfin je voulais te faire part d’une de mes décisions, je te nomme maître de foret. Pour mes autres décisions, attendons encore un peu.
Je ne savais que dire, sauf « merci monsieur ». après ce succulent repas, nous, les deux hommes, nous avons bu un cognac, Solange restait coller à mon bras, les genoux repliés sous ses fesses, elle me tenait amoureusement par la taille.
– Si tu le désires, tu peux utiliser la piscine, Solange, montre-lui, tu veux bien ?
– Monsieur, je n’ai rien pour me baigner, je suis nu.
– Eh bien Maximilien, c’est une excellente tenue pour nager. Je me tourne vers Solange qui se dénudait, je regardais le père qui lui, était déjà à poil. Puis tous les trois dans notre plus simple appareil, nous nous dirigeâmes vers la piscine.
Naturellement, Solange ne me quittait plus d’un millimètre. Au bout d’une demi-heure, le père se retira.
– Bonsoir les enfants, Maximilien, nous nous reverrons la semaine prochaine, amusez-vous bien. Il a disparu, Solange en profite pour venir se presser contre moi.
– Solange, lui dis-je, je ne reviendrais pas la semaine prochaine, si tu le veux, tu viens, mais moi, je ne viendrais pas, je ne veux pas me blâmer devant ton père, je ne suis pas à l’aise.
– C’est entendu, mon chou, mais pour l’instant, tu viens me faire l’amour. Maximilien, je dois te faire un aveu. À plat ventre sur mon ventre, elle me prend mes joues entre ses mains, ses lèvres presque sur les siennes. Maximilien, je t’aime, je t’aime à la folie. Elle ne me laissa pas répondre, elle m’embrassait et elle s’est déjà plantée sur ma bite, ses deux bras bien serrés autour de ma taille. Je voulais bien entendu lui répondre, mais on entendit que :
– Ou, ouff, ma bouche étant pleine de la langue de Solange. Chaque fois que j’essayais d’en discuter, la bouche de Solange se plaquait sur la mienne, elle savait naturellement pourquoi.
D’une manière naturelle, sans en parler avant, nous dormîmes tous les deux dans ma chambre. Elle se couchait sur mon corps ma bite dans son fourreau, sa bouche sur la mienne nos mains sur nos fesses, plutôt ses fesses dans mes mains.
Les Bûcherons
La fin de semaine se passa, pour moi, je dois dite, très bien, son père n’était pas la. La fin de semaine était la nôtre.
Nous Ă©tions du matin au soir Ă poil, ensemble, nous embrassant ou baisant.
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Le dernier jour, je réussis quand même à placer quelques mots, comme : La semaine prochaine, je ne viendrais pas. Elle était adorable, elle me répondait même sans me contrarier, elle avait toujours un mot doux.
– Oui mon chou, la semaine prochaine, tu ne viendras pas, j’ai compris.
– La semaine prochaine, je ne porterais pas ta saloperie de costume et de cravate.
– Non mon chéri, tu ne porteras pas de cravate, ni de costume, mais la semaine suivante.
– Non, je…
– Embrasse-moi plutôt avant de me raconter des bêtises.
– Je voulais…
– Maintenant, tais-toi, sois un ange, fais-moi l’amour, embrasse-moi.
Elle avait de nouveau gagné. Je ne disais plus rien, je la caressais, je la titillais, je la pénétrais, je la faisais sauter, trembler, hurler de plaisir.
Même lorsque je me branlais dans un coin, je la voyais devant mes yeux, devant ma bite. Je devenais fou d’elle, dès qu’elle faisait un mouvement. Je la caressais, je l’embrassais. Enfin, je l’aimais, c’était certain.
Je ne pouvais pas comprendre qu’une femme puisse avoir tant d’emprise sur un homme, en l’occurrence moi, un homme, fort qui en plus ne voulais pas de femme à son côté, je ne pouvais rien contre. Devant elle, ma force ne me servait à rien.
Le dimanche soir, son père m’a fait ramener par son chauffeur, Solange était naturellement avec moi, comme de bien entendu, nue. Elle me caressa pendant tout le trajet, se blottissant comme un chaton dans mes bras.
Le lendemain, j’étais encore heureux, je faisais mon travail en chantant, ce que je ne faisais jamais.
Tous les soirs elle me téléphonait de l’université de Lyon. Le vendredi, je reviens le midi, deux bûcherons construisait une tente, ils avaient apporté des scies. En me voyant, ils se présentèrent.
– Vous êtes, je suppose Maximilien. Nous avons reçu l’ordre de nous mettre à vos ordres, à partir de lundi, nous travaillons avec vous. Le patron arrivera dans la soirée avec sa fille. Il nous a donné congé, après que nous aurons fait un bon feu de bois.
– Faites, dis-je. Je ne pouvais même pas protester.
J’étais en rage, fini ma tranquillité. Elle va voir ce soir de quel bois, je me chauffe, je vais la foutre dehors, je vais lui dire deux mots à celle-là .
Lorsqu’elle arriva avec son père, ce fut tout autre.
– Solange qu’est-ce que ses bûcherons viennent faire ici ?
– Papa a eu l’idée que ses messieurs pouvaient bien faire le travail à ta place.
– Ton père ou toi ?
– Tous les deux, là , tu es content ? Il m’a dit tu serras le garde forestier, responsable de la nature. Ton bureau sera à Lyon.
– C’est également une idée de ton père
– Oh là , la bien sûr que j’ai aidé, j’aide toujours mon père dans ses décisions.
– Eh bien c’est non. Je ne le veux pas. Je veux vivre dans ma cabane, je ne veux pas vivre en ville. JE VEUX VIVRE ICI, TU AS COMPRIS.
Le père entre-temps avait fait dresser la table, il avait tout apporté de Lyon, un menu princier.
– Bien sûr que j’ai compris, ses deux bras autour de mon cou, ne te fâche pas, cela va te faire bander, dit-elle doucement et je ne peux pas faire l’amour avec toi, il y a trop de monde, mais je t’assure que j’en ai envie.
– Maximilien, dit le père, nous avons discuté avec ma fille, tu prends deux semaines de vacance, avec elle et tu pars bien entendu demain, avec elle. Aujourd’hui, avec les cartes tu expliques aux bûcherons ce qu’ils ont à faire pour les semaines suivantes.
– Mais… Le père avait disparu. Je n’avais plus la possibilité de le questionner
– Solange ! C’est encore ton Idée de m’envoyer en vacances, je suis dans la boutique depuis un peu plus de trois mois, et je reçois des vacances, tu me fatigues à la fin.
– Oui bien sûr, tu viens de le dire, je te fatigue, ou je t’emmène, tu pourras te reposer tu pourras vraiment te reposer, cela va te plaire, j’en suis sûr. Embrasse-moi mon amour, mais ne remonte pas ma jupe, je n’ai pas de culotte. Instinctivement, je passe discrètement ma main pour contrôler, c’était vraiment vrai.
Avant que je n’use le temps de réagir, elle m’entraînait dans la cabane, fermant la porte derrière nous. Bien entendu, je voulais rouspéter.
– Mon chou, mon chéri, ne rouspète pas maintenant, je veux que tu me fasses jouir, avant que l’on nous cherche.
Sa bouche sur la mienne, mon short sur les chevilles, elle avait déjà enfoncé ma bite dans son fourreau, qui depuis longtemps attendait ce moment. J’avais perdu ma colère, je l’embrassais de nouveau, je la caressais, je la faisais jouir. Elle m’embrassait pour ne pas crier, mon sperme dégoulinait de sa toison noire, serré contre moi.
– J’ai encore envie, lui dis-je, mais ton père va nous chercher.
– Ha, je vous cherchais justement, dit-il en nous voyant sortir de la baraque. Solange, ils viennent vous chercher dans une heure, préparez vos affaires, ils ne peuvent pas rester longtemps.
– Où va-t-on ? Demandais-je
– Tu vas voir, je suis sûr que cela va te plaire. Tu emballes tes shorts, t-short, chaussettes et tes chaussures.
– Pas de costard ?
– Bien sûr que non, j’ai pensé à toi.
– Il va pleuvoir. Pas de costard.
– Ne raconte pas toujours des bêtises. Tiens, ils arrivent.
Nous n’étions plus que nous deux, tout le monde avait disparu, on entendait tout d’un coup claquer les pales d’un hélicoptère qui venait nous prendre.
La poussière volait, sa jupe volait, me laissant voir sa chatte et son cul, elle ne portait toujours pas de culotte.
Une jeune dame descendit pour nous faire monter, un jeune homme pris nos bagages en charge. La jeune dame nous attacha sur un siège, Solange contre ma poitrine, son cul contre ma bite.
Je bandais, ce qui la faisait rire, ma main sur sa chatte pour la lui cacher, car sa jupe remontait sans arrêt. De l’autre, je lui tenais un de ses seins enfermé à l’intérieur, ou plutôt je pétrissais ce sein.
Elle se retourne pour m’embrasser, et dans ce mouvement, elle a réussi à faire entrer ma bite dans sa chatte, Je me mis à grogner de plaisir, je me vis dans l’obligation de lui prendre ses deux seins, dans mes mains.
Ses petites mains avaient glissé dans mon short, sur mon cul. Mes cuisses étaient trempées, elle pissait sa cyprine. Personne ne pouvant nous voir.
je faisais glisser mes doigts de ses seins sur son joli mont d’amour, et sur son clitoris. Il nous avait installé sur un siège, devant la porte restée ouverte, les pieds de Solange étaient dans le vide. Certainement à sa demande. En se tortillant sur ma bite, elle réussit, il faut rajouter sans beaucoup de difficulté à me faire éjaculer.
Nous avions une vue magnifique sur ses montagnes boiseuses, un très beau spectacle. Puis enfin, comme dans un conte de fées, sur le pic d’une montagne, un château splendide, se dressait là . Aucune route n’était visible, on se demandait comment y accéder.
La difficulté résidait maintenant à sortir ma bite de sa chatte sans que l’on ne nous voie, je bandais toujours. L’hélicoptère se posa délicatement sur une plateforme.
La femme sauta la première, et donna ses ordres, c’est ce moment que j’ai choisi, pour cacher ma verge. Sa cyprine avait inondé ses jambes, les miennes également bien sûres, mais mon sperme dégoulinait sur ses cuisses.
Avec mon mouchoir, je réussis à la nettoyer un peu. Nous fûmes conduits dans une suite, la plus haute du château, pas de mur, pas de vis-à -vis, tous en verre, seul le côté couloir et escalier était en dur.
Nous avions une vue imprenable sur les environs, Ă quelques centaines de km Ă la ronde, tout en vert, que des arbres et des monts. Cette plateforme, cette suite, qui en plus tournait lentement sur elle-mĂŞme.
Je me tenais en extase devant cette beauté paradisiaque, immobile. Pendant que je regardais, elle réussit à me dénuder, elle se colla, son dos contre ma poitrine.
Machinalement, j’avais pris ses petits seins dans mes mains, elle avait les siennes sur mes fesses, sa joue contre la mienne, elle avait fermé les yeux, souriant aux anges, elle était heureuse de voir que cela me plaisait au plus haut point.
Je bandais, ma bite contre ses fesses, elle mouillait, mais ne bougeât pas, trop heureuse de me voir aussi content.
Dans le bonheur de cette vue, je soulevais délicatement ma petite Solange, que j’emmanchais délicatement sur ma bite. Tout en regardant la nature, sans beaucoup me remuer, je jouissais fortement.
Je jouissais, d’abord de ce paysage, ensuite de Solange. Je n’avais encore jamais vu une personne aussi heureuse de ma vie et cette personne, pour mon bonheur, se trouvait justement dans mes bras.
Sans bouger de beaucoup, j’éjaculais même abondamment, dans ses entrailles, elle jouissait, je crois, bien plus que moi encore. Elle restait là , accrochée sur ma bite, qui ne débandait pas, gémissait en perdant le foutre dont je lui avais remplis son trésor, il dégoulinait sur nos jambes, avec sa cyprine.
Il faisait presque nuit noire lorsque je la reposais sur le sol, nous avions faim. Nous avons mis nos peignoirs de bain avant de nous rendre dans la salle de restaurant, ou nous étions seules, tout le personnel s’occupait de nous deux.
C’est à nous.
Cela me faisait tout drôle, quatre ou cinq personne nous servait, remplissait nos verres, avec de grand, « Mademoiselle Solange », ou de grand « Monsieur ».
Après avoir bu un digestif, elle me prit par la main, pour me faire visiter. À chaque pas que nous faisions, son peignoir s’ouvrait sur son corps luisant beau et parfait.
– Viens voir, mon chou, je te fais visiter notre paradis. Voici tout d’abord notre chambre, avec sa véranda tournante, unique au monde. Nous avons ici notre balcon sur le monde circulaire autour de notre véranda. Notre piscine. Derrière la plate-forme d’hélicoptère, notre hélicoptère, je te fais remarquer, le nom de cet hélicoptère, « S-M »
– Pourquoi dis-tu ? « Notre ».
– Par ce que c’est à nous. Tu peux remarquer que ce bâtiment est complètement neuf, le rez-de-chaussé n’est pas complètement terminé.
– Je vais te raconter une petite histoire, nous nous connaissons depuis maintenant plus de six mois. Lorsque tu m’as dépucelé, je crois mème un peu avant, j’étais tombé amoureuse de toi, le coup de foudre.
– Comme j’avais une semaine sans cour, je voulais déjà venir te voir, mais les vents, on eut raison de moi, j’atterris sur un mont d’environ trois milles mettre quarré. Pas de casse, mais impossible de repartir seul.
– Je téléphone à mon père qui vient avec un hélicoptère. En attendant qu’il arrive, je regardais ce paysage exclusif. À l’arrivée de mon paternel, je lui dis :
– Papa, je veux un hôtel ici. Le soir même, je fis mon croquis. Il commande une compagnie chinoise, qui a fini mon paradis, ou presque finis, en très peu de temps, l’ouverture officielle aura lieu samedi, nous n’avons plus une chambre de libre.
– Combien coûte une chambre ?
– La moins chère neuf mille Dollars par nuit, plus les repas midi et soir environ mille et deux milles par repas L’hélicoptère et gratuit le premier et dernier jour, entre-temps mille dollars.
– C’est ton idée ?
– Bien sûr, même notre paradis.
– Pourquoi dis-tu notre ? C’est bien à toi ! Pas à moi ! Nous ne sommes pas mariés.
– Ben, nous pouvons changer notre statut.
– Comment ça ? Tu as de nouveau quelque chose derrière la tête ?
Elle me fixe dans les yeux, son peignoir est tombé, elle fait tomber le mien, puis elle lève la jambe, mon gland se faufile, merde, je viens de perdre contre elle de nouveaux.
– Mon chou, tu m’aimes ?
– Bien sûr que je t’aime.
– Je veux me marier avec toi, tous de suite, maintenant, elle fait bouger son bas ventre, ma queue dans sa cramouille, je faiblis, de plus en plus.
– Mais ma chérie… Ses fesses se dandinaient, ses mains sur mon cul qu’elle caresse, elle m’embrasse, elle a gagné, je viens de perdre ma vie de garçon, mon célibat. Quand veux-tu te marier ? Demandais-je doucement.
Le Mariage
– Nous nous marions samedi pour l’ouverture de l’hôtel d’accord ?
– Cela ne sert à rien que je dise non, tu fais comme tu le veux.
– Oui, mais ne vient pas me dire que je ne t’ai pas demandé.
Le jour du mariage, l’hôtel attendait environ cent personnes, le père de Solange presque le même nombre.
– Solange, tu portes une culotte, et une jarretière.
– Ah bon ? Justement je ne voulais pas mettre de culotte.
– Justement, ils vont chercher à te piquer ta jarretière c’est la tradition. Ils verront que tu n’as pas de culotte.
– Si je mouille, ils verront que j’ai une culotte mouillée.
– Tu ne dois pas mouiller.
– Tu es marrant, tu bandes comme un cheval, et je ne dois pas mouiller. Où va-t-on pour notre voyage de noce ?
– Dans ma cabane, j’y tiens, et aujourd’hui tu ne gagneras pas.
– Comment, peut tu es aussi certain ?
– Tu ne peux bas baiser avec moi avant ce soir. Et d’ici là toutes nos décisions seront prisent.
– Si je comprends bien, j’ai perdu ?
– Oui, pour une fois
– Je t’aime encore d’avantage© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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