Mélange d’histoires vraies et rêvéesCéline était nouvellement embauchée dans la société et sa jeunesse et sa beauté ont tout de suite éveillé en moi un certain désir. Brune, les yeux noisette, elle s’habillait toujours avec goût et un petit côté sexy qui me plaisait bien. J’habitais encore sur Paris et souvent on se rencontrait dans les transports sur le chemin du bureau, on parlait de choses et d’autres, une complicité était en train de naître.Puis un jour, en arrivant au bureau, elle me dit que j’avais de belles mains. Je crois que je suis resté interloqué sans grande réaction, peut-être un merci et puis je suis reparti à mon bureau. Arrivés à l’heure du déjeuner, nous sommes sortis tous les deux nous promener dans un parc près des Champs-Élysées. Je me rappelle qu’elle portait une longue jupe blanche et un chemisier blanc légèrement transparent.Assis sur un banc, on s’est rapprochés jusqu’à échanger notre premier baiser, nos langues se sont tout de suite trouvées pour un ballet endiablé. On aurait bien voulu profiter plus longtemps de ce moment, mais le travail nous attendait et on a eu peur que quelqu’un du bureau nous voie. Elle en couple, moi marié, on a tout de suite pensé qu’il fallait rester discret. Une relation secrète était née. L’après-midi ne fut pas très productif et nous avons échangé plusieurs messages. Il était clair pour chacun de nous que nous ne nous voulions pas mettre en danger nos vies respectives.Le lendemain, nous nous sommes retrouvés de bonne heure au bureau à la cafeteria. Je l’ai embrassée tendrement puis beaucoup plus passionnément, mes mains ont soulevé son chemisier pour je puisse être au contact de sa peau qu’elle avait très douce.Ses mains ont fait pareil pour venir caresser mes pectoraux et agacer mes tétons. Je ne voulais pas en rester là et lui ouvrit son chemisier pour pouvoir mordiller et lécher ses seins. Ses gémissements m’indiquaient que j’étais sur la bonne voie, ses tétons durcissaient sous ma langue, je bandais comme un fou.C’est à ce moment-là qu’on a entendu quelqu’un arriver et Céline s’est précipitée aux toilettes pour pouvoir ajuster sa tenue ! On a regagné nos bureaux respectifs et la première chose que j’ai faite fut de lui envoyer un message lu disant combien j’avais aimé ce moment. C’était réciproque.— C’est dommage d’avoir remis ton soutien-gorge, lui dis-je.— Qui te dit que je l’ai remis ? qu’elle me répondit.Ni une ni deux, je partis la voir dans son bureau. Effectivement, ses seins étaient libres sous son chemisier et en me penchant au-dessus de son bureau, je pouvais presque voir ses aréoles. Sur notre messagerie, nous avons passé la journée à nous écrire des messages de plus en plus chauds, nous raconter ce qu’on aimerait faire à l’autre.Le soir venu, nous sommes partis tous les deux, non pas par l’ascenseur, mais par l’escalier que l’on savait très peu emprunté.Entre deux étages nous nous sommes arrêtés pour nous embrasser et reprendre nos caresses là où les avait arrêtées le matin même. Mes mains ont eu vite fait de remonter sa jupe afin de caresser ses fesses. Ses gémissements me poussaient à continuer. Ma main droite s’insinuait sous l’élastique de son tanga pour parcourir le sillon entre ses fesses. Je descendis jusqu’à son sexe, il était trempé et rien que se contact lui fit dire :Je plaquai ma main sur son sexe pour caresser son clitoris avant de glisser un doigt au plus profond.Nos langues continuaient leur danse, on avait du mal à reprendre notre souffle. Ma main caressant toujours son sexe, je me baissai pour embrasser ses seins, ses tétons étaient gonflés et durs.— Ouuiii, c’est bon… continue, me dit-elle en caressant mes cheveux.Elle me plaquait la tête sur ses seins quand je reprenais mon souffle. Son bassin en demandait aussi en se frottant à ma main. Mon index rejoignit mon majeur, mes doigts allaient et venaient en elle doucement, mais profondément.— On est fou de faire ça ici, dit-elle— Tu n’aimes pas ?— Ooohh si… C’est troop…Je venais de lui couper la parole en enfonçant un doigt entre ses fesses.Je me mis à genoux devant elle et ma langue vint remplacer mes doigts, elle était si excitée que mon visage fut très vite trempée de sa mouille. Mes mains caressaient ses fesses, les écartaient, les pétrissaient, ma langue allait et venait en elle.— Prends-moi, implorait-elle, je te veux.— Non, je n’en ai pas fini avec toi, lui rétorquai-je.Ma langue remonta sur son clito et doucement j’introduisis mon pouce dans sa chatte et mon index dans ses fesses.— Salaud, tu vas me faire jouir… mmmm, oooh oouuuiii.— C’est ce que je veux.Doucement, je refermai la pince que formaient mes deux doigts, ils se touchaient à travers sa fine paroi pendant que ma bouche suçait son clitoris.Haletante, son bassin bougeait de plus en vite, sa mouille abondante et la crispation de ses mains dans mes cheveux m’indiquèrent que j’avais atteint mon but.Mon visage était trempé, ma main aussi. Je me redressai et elle m’embrassa doucement au moment où on entendit du bruit.Elle remit de l’ordre dans sa tenue et en me caressant mon sexe elle me dit :— Je me vengerai, mon salaud.On redescendit doucement l’escalier en se tenant la main pour prendre la direction du métro.— Je garde l’odeur de ton sexe sur mes doigts, lui dis-je en respirant ma main.— Un souvenir pour le trajet du retour, me répondit-elle.Un long baiser pendant lequel mes mains glissèrent sous son chemisier et on se séparait à contrecœur.Le lendemain j’arrivai au bureau en retard à cause de ces maudits transports et quand j’ouvris ma boîte mail j’avais un message de sa part :— Je me suis caressée en pensant à ta langue sur mon sexe, hier soir…— J’aurais bien aimé être une petite souris pour voir ça, lui répondis-je. Fais-moi une photo la prochaine fois.— Peut-être, répondit-elle…Dix minutes après, je recevais une photo d’elle, ou plutôt de sa chatte avec deux doigts qui écartaient ses lèvres luisantes.L’échange par mail recommença.— Bien envie de sentir encore l’odeur de ton sexe.— Viens-y mettre tes mains…— Je ne peux pas, j’ai un rapport à terminer dans l’urgence, par contre tu pourrais me donner quelque chose qui a cette odeur…— Mmmummmm qu’est-ce que je ferais pas pour t’exciter encore plus…— Arrête, je bande déjà.— Donne-moi cinq minutes.Comme promis elle arriva dans mon bureau peu de temps après en prétextant un renseignement comptable. Son chemisier largement ouvert, comment avait-elle traversé les bureaux ainsi, elle se pencha sur mon bureau pour me laisser admirer ses seins libres.Renseignement pris, elle fit demi-tour et sortit du bureau en me laissant admirer ses fesses.Je remarquai assez rapidement qu’elle avait laissé un stylo sur mon bureau et au moment de partir lui ramener je recevais un nouveau message :— Alors tu as senti mon désir sur le stylo ?Je sentis le stylo et qu’elle ne fut pas ma surprise de retrouver dessus les effluves de son sexe découvert il y a quelques jours.— Salope, tu me fais bander fort.— Mmuuummm. Fais voir, répondit-elle.Après un moment d’hésitation, je me rendis aux toilettes pour prendre une photo de mon sexe bien dur. J’eus à peine le temps de revenir à mon bureau que j’avais sa réponse :— Ça me donne envie de le sucer longuement…— Envie de te satisfaire.— Ce soir ?— Pourquoi attendre ? Ce midi, il y a une réunion, tout le monde sera occupé.Et rendez-vous fut pris à 12 h aux toilettes près de la cafétéria. Pas très romantique, mais l’envie était tellement forte…À midi, donc je pris mes affaires comme si je partais déjeuner et rentrai dans les toilettes. La porte des toilettes femme s’ouvrit et je fus stupéfait de voir Céline, le chemisier ouvert, qui me tendait la main et de l’autre se caressait la poitrine.— Je n’en peux plus, j’ai pensé à toi toute la matinée— Je suis là, répondis-je en en lui embrassant le cou.Je remontai lui mordiller le lobe de l’oreille tandis que je sentis déjà ses mains sur mon pantalon pour ouvrir mon jean. Elle me plaqua au mur et doucement s’accroupit devant moi en faisant glisser mon pantalon sur mes cuisses. Sa bouche s’approcha pour déposer de petits baisers sur mon caleçon qui grossissait très très vite. Elle me mordilla délicatement puis elle fit descendre mon caleçon et recommença sur mon sexe libre en me fixant du regard.— Je suis tellement excité que je pourrais jouir tout de suite, lui dis-je.— Je vais te boire jusqu’à la dernière goutte.Et doucement elle me prit en bouche, je sentis sa langue titiller mon gland. Sa bouche allait et venait sur mon sexe, sa langue me léchait comme s’il s’agissait d’une glace. Elle alternait entre délicat léchage et rapides allées et venues au fond de sa gorge. Très vite je pris sur moi de me retenir, je voulais profiter au maximum de ce moment-là.— Je ne vais pas pouvoir tenir longtemps, attention.— T’inquiète pas, me dit-elle.— Huuummmm, c’est bon.— Tu viens ?— Ouuuiiiii… aaaahhhh, ouuiiii. Je plantai mes yeux dans les siens pendant que je me vidai dans sa bouche.Comme promis elle me lécha jusqu’à la dernière goutte et, toujours en me regardant, se releva en déglutissant.— C’est la première fois que l’on fait ça.— J’en avais envie, dit-elle, et puis t’as bon goût.— C’est vrai ?Pour toute réponse, elle vint m’embrasser à pleine bouche, un baiser plus salé que d’habitude.— J’ai des courses à faire, tu m’accompagnes ?— Volontiers, que je répondis.— J’ai vu une belle paire d’escarpins, ce matin.— Plus que volontiers alors.— Pourquoi ?— J’ai un faible pour les talons hauts.— Qui te dit que c’est des talons hauts ?— Sinon, je ne viens pas.— Tu peux venir alors…Et nous voilà partis, côte à côte, sans nous tenir la main, on ne voudrait pas se faire voir par des collègues. Quelques minutes après on se retrouve devant la vitrine et elle me fait voir la paire désirée. Une paire rouge vif à talon aiguille. J’aime bien, lui dis-je. Et nous rentrâmes dans la boutique. Rapidement une vendeuse vint nous voir. Je remarquai tout de suite sa poitrine qui débordait d’un petit pull en laine. Céline lui indiqua la paire à essayer puis me lança un regard interrogateur.— C’est pour ça aussi que je voulais que tu viennes, tu as vu ses seins ? Tu aimes ?— Appétissant, dis-je, mais les tiens sont très bien et très bons aussi. Ou alors il faudrait pouvoir comparer, peser le pour et le contre.Elle n’eut pas l’occasion de répondre que la vendeuse était déjà là. Elle s’accroupit devant Céline pour l’aider à essayer une chaussure. Son jean taille basse découvrit la jolie dentelle d’un tanga. Une vision qui de suite me provoqua une montée de sève.J’en souriais quand Céline se leva avec les escarpins rouges. La vendeuse lui demanda ce qu’elle en pensait.— Très bien, confortables, dit-elle. J’adore la couleur. T’en penses quoi, rajouta-t-elle en me regardant.— Un poil plus haut, j’aurais préféré.— C’est déjà assez.— À peine 9 cm dit la vendeuse. J’ai un autre modèle de la même couleur à vous faire essayer si vous le voulez.Céline n’eut pas le temps de répondre que j’acquiesçai et la vendeuse repartit.— J’avais une vue plongeante sur ses seins, me dit-elle.— Et moi sur son joli string.La vendeuse revenait déjà en me souriant et dit :— Je pense que cela devrait plaire à monsieur et à vous aussi, madame. Elle sortit les escarpins de la boîte : rouge vif aussi, talons fins de 12 cm précisa la vendeuse, mais avec une légère plateforme devant qui compensait un peu et très décolletés dans l’intérieur du pied.— Ça va être impossible de marcher avec, me dit Céline.— Mais non, dit la vendeuse, j’ai les mêmes et ils sont très confortables.Céline les enfila et commença à marcher avec. Je recommençais à bander, ces chaussures mettaient en valeur ses jambes et ses fesses. Un délice. Céline s’éloigna un peu pour se regarder devant une glace. La vendeuse toujours accroupie leva la tête vers moi.— Alors ? Vous aimez ?— Beaucoup, répondis-je en plongeant mes yeux dans son décolleté.— Non, les chaussures ?— Aussi, oui.— Pas facile pour tous les jours, dit Céline en revenant.— Prends les deux paires alors, répondis-je, je t’offre celle-ci.— Je vais prendre les autres en noir, répondit Céline à la vendeuse.— Monsieur est très généreux, lui dit la vendeuse en me jetant un œil.Céline me regarda en souriant et pendant que la vendeuse se dirigeait vers la caisse avec les boîtes me dit :— Je crois que tu as un ticket avec la vendeuse, elle te plaît ?— Mignone et sexy, oui.— Gggrrrrrr— Allez, ne sois pas jalouse, c’est avec toi que je repars.Et nous voici repartis vers le bureau.— Tu aurais dû garder aux pieds tes nouvelles chaussures, dis-je.— Les rouges, je parie.— Bien sûr oui, j’ai remarqué qu’avec, tu avais tes fesses à la bonne hauteur.— La bonne hauteur ? Pourquoi ?— Tu verras bien.— Obsédé ! me répondit Céline— Je vois que tu as compris.L’après-midi fut beaucoup plus studieux puisque nous avions des rendez-vous tous les deux de notre côté. Cependant je reçus un texto me demandant si j’étais dispo pour aller prendre un verre après le taf. Je répondis oui et on convint d’un rendez-vous au café en face le métro. Dès la fin de mon rendez-vous, je partis vers le café. Céline était déjà partie, me dit-on.En arrivant au café, je me dirigeai directement vers le fond de la salle où j’aperçus Céline. Elle ne me vit pas venir et je la fis sursauter en lui posant mes mains sur ses épaules.— T’es fou, toi.— Oh oui !Je m’assis à côté d’elle en posant une main sur sa cuisse et un baiser dans son cou.— Tu as vu ? me dit-elle en plaçant sa jambe sur mes cuisses— Magnifique. Elle avait mis ses nouvelles chaussures achetées le midi.— Je te plais ?— Très sexy oui, comme j’aime.Je plaçais ma main sur sa jambe et commençai à lui mordiller doucement l’oreille. Je savais que cela la faisait frissonner. Ma main sur sa jambe glissa doucement vers son pied et je me mis à caresser sa cheville et son pied pendant que nous discutions de choses et d’autres.— T’es pas un peu fétichiste ?— Je pense que si, lui dis-je, je craque pour les filles en talons hauts.— J’ai bien fait de les prendre, alors.— C’est le petit plus qui me fait craquer, oui.Tout en parlant, Céline avait posé sa main sur ma cuisse et le bout de ses doigts venait discrètement titiller mon sexe.— Mmmm, ça m’excite, ça.— Quoi donc ? Mes chaussures… ou ça ? dit-elle en posant fermement sa main sur mon sexe.— Les deux, je crois.Céline continua de me caresser à travers mon jean et glissa même un doigt entre deux boutons. Mon gland en frissonna.— J’ai encore envie de te boire me dit-elle à l’oreille.— Une prochaine fois, il fait déjà nuit, je dois vraiment rentrer, lui dis-je à regret, mais je dois rentrer.On paya et prit la direction du métro. Et en passant la porte, on croisa la vendeuse du midi. Elle remarqua les chaussures de Céline.— Alors, vous les avez adoptées ?— Je m’y fais très bien— Je vous l’avais dit, à bientôt sans doute.— J’espère, lui répondis-je sans réfléchir.On s’éloigna et Céline me jeta un regard noir.— Ah tu ne manques pas d’air, salaud, me dit-elle.— Excuse-moi, c’est sorti comme ça.— Je plaisante, c’est vrai qu’elle très mignonne.— Elle te plaît aussi ?— Si j’avais envie d’une fille, oui.— Huuummmm— N’y pense même pas, obsédé.Et nous éclatâmes de rire. Arrivés devant la bouche du métro, je lui pris la main et l’attirai vers moi pour l’embrasser doucement jusqu’à glisser ma langue entre ses lèvres.— Il faudrait que l’on se voie plus longuement— Oui, j’aimerais, mais pas facile avec nos familles.— Je vais y réfléchir, on pourrait s’organiser un « séminaire de travail ».— Pas bête, on pourrait aller au fond des dossiers.On s’embrassa à nouveau et mes mains descendirent sur ses fesses.— Mmmm… Pas là, me dit-elle en me prenant par la main.Nous nous éloignâmes un petit peu et on trouva un banc à l’entrée d’un square. Céline me fit asseoir et m’enjamba pour s’asseoir face à moi.On recommença à s’embrasser et elle vint coller son bassin au mien.— Je te sens mieux ainsi.— Oui, mais je dois vraiment y aller, je vais finir par rater ma correspondance.— Avant, j’ai envie de te sentir bander très fort contre moi.Mes mains se glissèrent sous son pantalon, sur ses fesses pour encore mieux la coller à moi.— Tu me sens mieux ?— Oui, mais peut mieux faire, me dit-elle en commençant à onduler son bassin.Je glissai une main un peu plus bas jusqu’à atteindre son petit trou.— Dommage que tu sois en pantalon, lui dis-je.— Je te croyais pressé.— Ouuiii… si tu continues à te frotter ainsi, tu vas me faire jouir.— C’est ce que je veux. Et, à ce moment-là, elle glissa une main entre nous pour défaire ma ceinture et ouvrir mon pantalon.— Mmm… Arrête, si quelqu’un nous voit.— Dépêche-toi de jouir alors.Et tout en serrant fort mon sexe dans sa main, son bassin ondulait comme si j’étais en elle. Nos langues ne se quittaient plus, mon doigt essayait de pénétrer son petit trou, mais je n’avais pas la place et tout d’un coup je me vidai dans sa main. Elle me branla doucement pour faire venir les dernières gouttes comme on tire sur le pis d’une vache.— T’es vraiment bon, dit-elle en commençant à lécher sa main.— T’es une sacrée cochonne, lui dis-je en refermant mon pantalon.Elle finit de s’essuyer avec un mouchoir et on reprit le chemin du métro.Au moment de partir, elle mit ses doigts devant le nez et me dit :— Je vais garder ton odeur pour le trajet du retour.— Moi aussi, fis-je en portant ma main à mon nez.Lorsque j’arrivai le lendemain, je savais que Céline était déjà là, l’effluve de son parfum flottait dans le couloir. Ce qui me donna tout de suite envie d’elle. Sans faire de bruit, je me suis arrêté pour la regarder. Elle avait revêtu une robe pull rose qui lui arrivait aux genoux et une paire de bottes montant aussi aux genoux. Sublime, pensai-je. Je m’avançai vers elle, afférée à préparer un café et lui mis les mains sur les yeux.— Je t’avais entendu arriver— Moi qui croyais te faire sursauter, c’est raté. Mais je vais te faire frissonner alors.Et je lui remontai ses cheveux pour lui déposer de petits baisers sur sa nuque jusqu’à son oreille. Instantanément elle frissonna.— Mmmm, la journée commence bien, dit-elle.— Et attends la suite.— j’ai hâte.On s’embrassa alors longuement. Mes mains descendirent le long de son corps jusqu’à ses fesses que je commençai à caresser à travers la robe. Je remontai une main sur sa poitrine et lui dis :— Mais tu n’as rien en dessous ?— Tu crois ? Vérifie.Doucement, je me mis à remonter sa robe. Au-dessus des bottes, je sentis le toucher soyeux de nylon, puis la dentelle d’une jarretière et enfin sa peau nue. Je continuai la remontée de sa robe pour découvrir son sexe nu.— Mmmm, t’es une vraie…— Salope ?— C’est le mot, oui.— J’avais l’impression que tout le monde me regardait dans les transports, comme si j’étais nue.— Mais tu l’es ! lui dis-je remontant encore sa robe pour plaquer son sexe contre ma cuisse.— Arrête s’il te plaît, ton chef ne va pas tarder.— Mais j’ai envie de toi.— je le sens bien, dit-elle en plaquant sa main sur la bosse de mon jean.Ni une ni deux, je lui pris la main et l’entraînai dans mon bureau, je fermai la porte et la plaquai au mur. Nos bouches se trouvèrent tout de suite, nos langues aussi. Pendant que Céline s’attaquait à la fermeture de mon jean, je remontai une main sous sa robe. Son sexe était trempé, mes doigts n’eurent aucun mal à la pénétrer.— Prends-moi vite et fort, me chuchota-t-elle.Je la pénétrai d’une seule poussée en lui remontant une jambe derrière mon dos.— Ouuiiii, c’est bon ça, prends-moi fort.— Tu veux plus fort ?— Ouuuiii, aahah… oui.Je la soulevai presque à chaque poussée puis je la retournai, elle se cambra et je pénétrai à nouveau au fond de son sexe. En regardant ses fesses qui venaient à ma rencontre à chaque aller et viens, pris d’une folle envie, je retirai mon sexe luisant de ses sécrétions.— Nooon, qu’est-ce que tu fais ? J’ai envie de te sentir te vider en moi, vite.— Attends, je déguste.Et là, j’appuyai mon sexe sur sa rondelle qui s’écarta rapidement pour me laisser passer.— Mmmm… Salaud !— C’était trop tentant.— Vas-y doucement.— Faudrait savoir… mais je ne vais pas tenir longtemps… aaaarrrggghhh..— C’est bon, je te sens te vider, ooouuiiii.C’est à ce moment-là que l’on a entendu du bruit et en un clin d’œil on a remis un peu de décence dans nos tenues et elle quitta le bureau. Mon chef arriva peu de temps après pour me demander un travail urgent. Plus tard dans la matinée, j’avais un message de Céline :— Merci, c’était intense comme j’aime.— De rien, à ton service.— Ailleurs la prochaine fois, j’ai croisé ton chef en sentant ton sperme me couler entre les cuisses !— Promis, je nous organise un petit séminaire.— J’ai hâte.Le lendemain, je lui indiquai que je nous avais réservé une nuit dans un hôtel à Blois.— T’es fou ? Pourquoi Blois ?— Il y a l’inauguration de notre nouveau chantier pas très loin, ça crédibilise notre alibi. On est invité et on dort sur place. Je t’ai même fait un carton d’invitation pour ton mari si tu veux.— Tu penses à tout, dis donc.— J’ai vraiment envie de pouvoir profiter de toi plus longuement.— Mmmm… j’en salive d’avance.— Mmmm… je bande déjà.Le jour J arriva très vite. On s’était donné rendez-vous à la gare d’où on prenait facilement la route vers Blois. Quand j’arrivai, Céline était déjà là, magnifique. Elle portait ses escarpins rouges que je lui avais offerts, un leggings en cuir noir ainsi qu’un petit manteau rouge. Je klaxonnai et me garai. Elle arriva vers moi, déposa un chaste baiser au coin de mes lèvres et monta en voiture pendant je mettais sa valise dans le coffre. Je repris ma place et je fus accueilli par un baiser beaucoup plus sensuel avec sa main qui se posait déjà sur mon entrejambe.— C’est un bon début, en route, dis-je.On discutait de choses et d’autres ma main caressant sa cuisse de temps en temps. Elle en faisait de même. Une fois sur l’autoroute elle défit les boutons de son manteau et je manquais de faire une embardée en voyant qu’elle portait un chemisier rouge en dentelle qui laissait deviner un soutien-gorge de la même couleur qui faisait remonter ses seins largement découverts par les trois boutons ouverts.— Wahou, t’es très excitante comme ça.— Pas trop vulgaire ?— Limite quand même, mais tu seras ma salope pour ces deux jours alors ça me va.— Mmmmummm… minauda-t-elle en glissant sa main sur mon sexe.Elle accentua la pression puis voyant la route dégagée défit les boutons de mon jean pour caresser mon sexe à travers mon caleçon. De mon côté, je mis ma main entre ses jambes et essaya de défaire aussi le haut de son pantalon.— Attends, je vais t’aider, me dit-elle.Et elle se souleva légèrement pour pouvoir faire descendre un peu son pantalon.Elle portait un petit string rouge. Un vrai petit chaperon rouge.Aussitôt, je plaquai ma main sur son sexe et glissai un doigt sous son string pour caresser doucement son petit bouton.Elle me caressa jusqu’au bord de ma jouissance.— Ce ne serait pas raisonnable dit-elle, je me rattraperai plus tard.— J’y compte bien.On arriva à l’hôtel en fin d’après-midi et nous prîmes possession de notre chambre avec une belle vue sur la Loire. Debout devant la fenêtre on admirait la vue.— On mange ici ? demanda-t-elle.— Non, j’ai réservé un bon restaurant à 20 h.— J’ai le temps de me faire belle, alors.— Et on a le temps pour d’autres choses, rajoutai-je en posant mes mains sur ses fesses.— Impatient, va.— Le trajet en voiture m’a bien excité et…— Et quoi ?— ChutJe plaquai ses deux mains sur la vitre au-dessus de ses épaules et lui intimai l’ordre de ne pas bouger.— J’ai envie de profiter de ton corps.— Je suis ta prisonnière, fais de moi ce que tu veux.Je me plaçai derrière elle et entrepris de défaire les boutons restants de son chemisier, puis vint le tour de son soutien-gorge.— On peut me voir, dit-elle.— De loin oui, mais ça m’excite.— Mmmm… moi aussi.Je caressai ses seins en tirant sur ses tétons tous durs jusqu’à entendre ses gémissements de plaisir et de douleur mêlés. Je couvris son dos de baisers en descendant, j’ouvris sa braguette pour descendre le pantalon juste en dessous de ses fesses.— L’autre jour, quand on a acheté ces escarpins je t’ai dit qu’avec tu serais à la bonne hauteur.— Ouuiiii, je pense avoir compris, aaahhhh.Et je la pénétrai doucement, juste le besoin d’écarter la ficelle de son string.Ses seins prisonniers de mes mains, je profitais pleinement de la vue de mon sexe allant et venant au fond du sien.Ses fesses revenaient vers moi à chaque fois, mais c’est moi qui imposais le rythme et je me retirai de temps en temps pour la faire languir et pour faire durer aussi ce plaisir.— Viens, me dit-elle, je veux te sentir en moi.— Mmmm…— Allez, plus fort, oouuuiiii.Mais je continuai doucement et profondément. Brusquement, elle s’arracha de mon emprise et s’agenouilla devant moi.— Je t’ai dit que je voulais te sentir en moi.— Oui ?— Et je vais te sucer jusqu’à la dernière goutte.— Vas-y, je suis tout à toi.Et comme une affamée, elle engouffra mon sexe entre ses lèvres. Elle alternait léchage du bout de la langue et gorge profonde.— Je vais venir.— Viens, ne te retiens pas.— Aaaaarrrggg, ooouuuiiiii.Je me vidai en elle tandis qu’elle me branlait.Elle ouvrit la bouche et je vis tout mon sperme sur sa langue et ses yeux plantés dans les miens, elle avala.— J’avais très faim.— Je vois, j’espère qu’il te restera un peu de place pour tout à l’heure.— Les autres orifices sont aussi à combler.— Salope, j’adore.— Direction la douche, maintenant. Vas-y en premier.— Pas tous les deux ?— Non, sinon on va mettre en temps fou.Je me douchai donc seul et me changeai. Quand je sortis de la salle de bain, Céline était allongée sur le lit en train de regarder la télé et se caressait doucement les seins.— Besoin d’aide ?— Ça va aller, je faisais passer le temps.Elle se leva et en passant devant moi laissa traîner sa main sur mon entrejambe et je me retournai pour admirer ses fesses disparaître dans la salle de bain. Elle mit un temps fou à se préparer, mais qu’elle ne fut pas ma surprise lorsqu’elle sortit.— Je suis prête, dit-elle.— Je vois, tu es magnifique et terriblement excitante.Elle portait une robe noire moulante qui lui arrivait au-dessus des genoux et qui remontait jusqu’au cou. Ses jambes gainées de noir étaient juchées sur de magnifiques escarpins noirs.— Après le chaperon rouge, tu t’es transformée en chaperon noir, tu es très belle.— Merci, répondit-elle en se retournant, le verso te convient aussi ?Son dos était largement décolleté, la robe semblait fermée par un simple bouton dans son cou.— Je ne sais pas si on va aller au restau, j’ai bien envie de consommer sur place.— Je serai le dessert, dit-elle, en route.Elle prit une veste et nous prîmes la direction de l’ascenseur. Je ne pus m’empêcher de poser une main sur ses hanches et de descendre sur ses fesses. Le contact des jarretelles m’électrisa.— Pas touche, ce n’est pas l’heure.À regret, on prit le chemin du restaurant. Je lui ouvris la portière de la voiture et avec sensualité elle releva un peu sa robe pour pouvoir s’installer. Ainsi elle me laissa voir la naissance de la bande de dentelle de ses bas.— Mmmm, terriblement sexy tout ça.— Allez, dépêche-toi de monter.Je m’installai à mon tour et dès que l’on fut parti je posai une main sur son genou. Elle écarta légèrement les jambes pour me laisser remonter sur la dentelle, mais repoussa ma main dès qu’elle atteignit la peau nue.— Doucement, ne va pas trop vite, il faut faire monter le plaisir.— Ne t’inquiète pas, il est déjà bien monté, dis-je en posant sa main sur la bosse de mon pantalon.— TssTssTss, pour plus tard, j’ai dit.Nous arrivâmes au restaurant et tout le monde se retourna sur notre passage jusqu’à notre table dans un coin de la pièce.— Tu fais des envieux et des jalouses, je dois dire.— Je dois t’avouer que ça m’excite.— Allez, trinquons à notre soirée.— Et à notre nuit, répondit-elle.