MES PREMIERES PIPESSur mes frères, tout simplement. Je m’explique… Mes deux frères ont respectivement 2 et 3 ans de plus que moi. Je suis la “petite ” soeur… A la maison, la nuditĂ© a toujours Ă©tĂ© naturelle. Et puisquemaman s’Ă©pilait, j’ai fait pareil Ă 14 ans. J’Ă©tais une mignonne petiteblonde, (ce que je suis toujours ! aujourd’hui Ă 18 ans), des yeux bleus, avecune petite poitrine, mais des seins biens ronds aux tĂ©tons qui pointent (mafierté…) , les longs cheveux blonds une jolie cambrure et des fesses rondes.  Si chaque membre de la famille pouvait Ă l’occasion croiser un autre membretout nu, ce qui se passait dans les chambres Ă©tait plus secret… Ainsi, nosparents n’ont jamais su que mes frères et moi nous enfermions pour des sĂ©ancesde masturbation qui pouvaient durer tout un après midi ! Chacun se branlait enregardant les autres, et j’en garde un souvenir aussi Ă©mu qu’excitant en meremĂ©morant leurs gestes. Est-ce anormal ? J’avais 17 ans, eux 18 et 19 ans… A ces âges lĂ , leshistoires du sexe sont, me semble t-il, prĂ©sentes dans les esprits. Mes frèresĂ©taient vicieux. Ils avaient bien des petites copines, mais Ă part se laissertripoter, l’une d’entre-elle n’avait jamais touchĂ© une bite, l’autre lebranlait de temps en temps, mais pas plus. Des filles plus sages que moi,puisque je faisais l’amour depuis quelques mois dĂ©jĂ . Alors puisqu’on sedisait toute notre vie sexuelle pendant nos sĂ©ances, j’avais de la matière Ă raconter. C’est ainsi que je me suis laissĂ©e toucher la 1ère fois. Puisqu’ilsne baisaient pas, je les ai laissĂ© me caresser et me toucher la chatte. Ilsont pu plonger leurs doigts dedans pour en dĂ©couvrir la douceur, et je leur aiappris Ă bien branler une fille, comme j’aime. Je crois que je leur ai bienrendu service Ă ce sujet, tellement j’ai rencontrĂ© d’hommes qui tripotent unechatte comme un beefsteak ! N’Ă©tait-ce pas le paradis, deux branleurs Ă disposition Ă la maison ? Un jour de sortie des parents, suite Ă un enregistrement secret du porno deCanal+, nous voici tous les 3 devant la tĂ©lĂ©vision Ă regarder le film. Je n’enĂ©tais pas Ă mon 1er film X, loin de là … Et j’ai toujours Ă©tĂ© fascinĂ© de voirces filles engloutir ces beaux sexes avant de les faire jouir. Ce jour lĂ ,Alain me demande si je suce mon petit copain. Heuuu… non. Sorti dumissionnaire, nous ne sommes pas très inventifs en fait et je leur dis leregretter. Bien Ă©videmment, ces braves frĂ©rots sont volontaires ! Moi qui neles ai jamais touchĂ©s… C’est ainsi que j’ ai fais non pas MA, mais MESpremières pipes, en suçant mes deux frères l’un après l’autre. Quel bonheur !! ! Comment dĂ©crire autant de plaisir et de douceur de la part de bâtons quisemblent si durs ? J’Ă©tais vraiment stupĂ©faite de trouver ça aussi gĂ©nial. Ilest vrai que d’en sucer un pendant que l’autre me caressait devait aussiajouter Ă mon trouble… Et VLAN ! Je n’ai rien compris du tout… Alain venait d’Ă©jaculer. Je fustellement surprise Ă ce moment la que je me suis reculĂ©e en arrière et letemps Ă semblĂ© s’arrĂŞter pendant que je regardais ce sperme sortir de sa queuepar saccades. Étonnant ! RĂ©sultat, j’en avais plein la figure et les cheveux.Une photo polaroĂŻd pour le souvenir, avec une bonne rigolade après pour seremettre de cette aventure… Je garde toujours cette photo d’ailleurs. Et ceuxqui l’ont vue ne savent pas qui m’a Ă©jaculĂ© dessus  Bien sĂ»r, Christopheattendait, donc ce fĂ»t son tour, et cette fois, je prenais plus de temps Ă goĂ»ter mon plaisir de sucer, en essayant de sentir les changements dans saqueue suivant ce que je faisais, quand le lui caressais les couilles, lorsqueje le suçais fort ou pas, vite ou lentement etc. Et puis l’idĂ©e a germé… Etsi je le laissais Ă©jaculer dans ma bouche ? Je m’y attendais cette fois. J’aidonc tout avalĂ© Ă chacune des saccades de son Ă©jaculation, et je lui ai rendusa queue toute propre ! Les voilĂ mes premières pipes… juste un peu mal aux mâchoires, mais j’en suistrès fière ! Ensuite, plus tard… pourquoi s’arrĂŞter alors que mon plaisir fut si intense ?Sucer mon petit copain ne me donnait pas trop envie, il jouissait tout desuite et ne voulait que rejoindre ses copains juste après. Je suis doncdevenue la suceuse de mes frères, toujours avec le mĂŞme plaisir, tout enaffinant mes techniques. De la petite pipe rapide du matin aux longues pipessavoureuses lors d’après-midi de tranquillitĂ©, j’Ă©tais aux anges ! Et commemes frères sont des garçons charmants, ils ont tenu Ă me rendre la pareille enme lĂ©chant la chatte. C’est ainsi que pendant deux ans nous passions une bonnepartie de nos temps libre de cette façon. Et puis, et puis il y a eu la facpour l’un qui a du changer de ville, et l’autre tombait amoureux de sa copine,et moi qui me sentais bien avec mon copain du moment aussi… Tout ça s’est doncarrĂŞtĂ© naturellement. Aujourd’hui nous sommes tous les trois heureux de cette pĂ©riode. Ce sont desgarçons absolument charmants qui auront une bonne situation, je sais qu’ilssavent parfaitement branler et lĂ©cher une fille (un bon dĂ©but, non ?) et monmec ne se lasse jamais de toutes les pipes que je peux lui faire tellementj’adore ça. Mais nous sommes toujours complices mes frères et moi. Plus de branlettesensemble, mais je sais tout Ă propos de leurs parties de jambes en l’air avecleurs copines et je leur ai prĂŞtĂ© une cassette que j’ai faite avec mon copain,qu’ils puissent regarder la petite soeur baiser. Alain, lui, m’a montrĂ© desphotos de sa copine en train de le sucer. Christophe n’a que ses mots… Maisles images viendront, j’en suis sĂ»re   En attendant, imaginez mon plaisir sur les plages naturistes Ă les regarderprès de leurs copines, Ă m’imaginer leur bouche en train de sucer leurs bellesqueues que j’ai sous les yeux, Ă regarder furtivement leurs chattes en sachantparfaitement comment elles se la font câliner…VoilĂ , l’histoire est finie. Sauf que… Ils ont bien vu sur la cassette que monpetit trou aimait bien se faire prendre aussi… Mais cette histoire la n’est pas encore Ă©crite dans la rĂ©alitĂ©.Peut-ĂŞtre pour leur mariage… Joli cadeau, non ? N’oubliez jamais que cela doit rester des fantasmes …Forcer un enfant au sexe dans la vie rĂ©elle mĂ©rite la prison !