Nous avions arrêté notre récit alors que M Clément, le narrateur et Mme Besson, sa dentiste, étaient tête bêche sur le fauteuil, dans le cabinet dentaire.Comment décrire fidèlement ce qui m’est si généreusement offert ? Comme je l’ai précisé plus haut, Mme Besson ne pratique pas l’épilation intime et c’est une vraie brune ! Moi qui aime les chattes poilues je suis aux anges, c’est un vrai bonheur. Sa toison recouvre largement son sexe, déborde sur le haut des cuisses et donne à sa raie culière un aspect soyeux des plus craquants ! On ne sait comment aborder ce paradis des cinq sens. Il y en a pour la vue, le toucher, l’odeur bien évidemment, le goût, l’ouie (ah, le délicieux clapotis lorsque mes doigts investissent son intimité !).Son magnifique minou me fait penser à ce splendide tableau qui fit scandale en son temps et qui s’appelle « L’origine du monde »Pendant mon observation, mes mains ne restent pas inactives, mais devant tant de trésors offerts, ne savent plus où donner de la phalange !Je caresse, je palpe, je pince (avec différentes intensités), je soupèse, j’introduis, je tâte.En vérité, je teste les réactions de Mme Besson pour faire plus ample connaissance et voir ce qui lui plait. Je suis aux aguets de la moindre de ses réactions, le moindre soupir, la plus petite contraction ou crispation, le plus imperceptible relâchement ou mouvement dans ma direction, destiné à me faire comprendre que ce que je suis en train de faire convient à cette belle femme mûre qui se donne sans retenue.Un proverbe dit : « Méfie toi de l’eau qui dort, c’est la plus profonde ! »Je ne suis plus à l’age des premières expériences et j’ai beaucoup donné et reçu dans ce domaine et plus le temps passe, plus j’aime me consacrer entièrement au plaisir de ma partenaire, encore plus que celui qu’elle me procure.Mme Besson de son côté non plus, n’est semble-t-il plus une novice !Le traitement qu’elle est en train de faire subir à ma verge en est la preuve. Quand je dis « verge », le terme est quelque peu restrictif car pour l’heure ma dentiste est affairée à gober mes testicules, l’un après l’autre en les faisant rouler délicieusement de sa langue, à un point tel que je me demande par instant si elle n’a pas deux langues !Je ne vais pas pouvoir tenir la distance si elle persiste !Pour ne pas prendre trop d’avance sur elle, je délaisse le spectacle de son cul pour prendre d’assaut son petit clitoris. Que dis-je ? En réalité le « petit clitoris » ressemble plus à un gland masculin. Pour l’heure le magnifique bouton de Mme Besson est cramoisi, gorgé de sang à l’instar de ses petites lèvres rouge foncé qui disent bien l’état d’excitation de leur propriétaire, c’est superbe !Je pose donc le bout de ma langue à la commissure de ses petites lèvres et se sens une onde de chaleur qui émane de ce bout de chair. Je le pince entre mes lèvres et je constate qu’un grand frisson parcours l’échine de Mme Besson, je ne suis pas surpris mais elle a l’air d’aimer le traitement que je lui fais subir. Encouragé par cette réaction je me mets à téter de plus belle, j’aspire de mes lèvres et masse la petite excroissance qui roule délicieusement sur ma langue affolée par le goût de son jus.Mme Besson se liquéfie !Devant cet assaut elle n’offre plus de résistance et cesse de son côté tout activité pour se concentrer sur son propre plaisir qui se manifeste par une abondante sécrétion de cyprine qui me dégouline sur le menton. Je perçois ses gémissements étouffés, sa bouche est contre ma peau, entre scrotum et anus.Encouragé par ces manifestations, je redouble d’activité. Le tout va crescendo, plus je me démène, plus elle dégouline, plus cela m’excite et m’incite à me démener.Mme Besson, ne bouge plus, tendue comme un arc, attentive à la vague de plaisir qui grossit et grossit encore et qui ne va pas tarder à déferler. Je pousse ma langue au plus loin à l’intérieur de son vagin et m’en sert comme d’une petite verge. J’en ai mal aux mâchoires mais c’est trop délicieux, c’est un peu salé mais c’est un divin nectar dont je prendrai volontiers, une bonne rasade chaque matin en guise de petit déjeuner !Pendant encore de longues minutes, je m’active encore à la source de ma victime consentante. Elle ne se manifeste plus que par de longs soupirs et de tous petits cris d’approbation. Soudain, tout son corps tout entier se met à vibrer. Une longue giclée de foutre féminin me coule sur la langue et Mme Besson, totalement détendue, libère ses entrailles d’un long pet sonore, suivi de quelques autres plus discrets qui se suivent en mitraille. Nous ne bougeons plus et dans le silence du cabinet, j’entends un petit rire nerveux et le corps de Mme Besson, toujours au-dessus de moi est secoué d’un petit accès de gaîté.Sa tête est toujours entre mes cuisses,— « Excusez moi, M Clément »— « Je vous en prie Mme Besson, c’est tout naturel »— « J’espère que je ne vous ai pas choqué ? »— « Du tout, je prendrai même cela pour un compliment… »— « Jamais je n’aurai imaginé un jour péter au nez d’un de mes patients ! »— « Le contexte est particulier et pour l’heure, suis réellement dans la position d’un patient classique ? »— « Effectivement, en principe, les caries ne se situent pas à ce niveau ! » et elle est reprise par son petit rire nerveux.Elle descend du fauteuil et constatant une demi berne à mon entrejambe, s’exclame :— « Il va falloir que je m’en occupe car il a été abandonné en chemin »Elle installe son siège à la bonne hauteur et avant que je ne réponde quoi que ce soit, la voilà qui englouti mon sexe. Sous ce traitement, il reprend une forme plus conquérante. La satisfaction se lit dans le regard de Mme Besson qui me suce de plus belle.Quel travail ! Elle pourra donner des cours le jour où son métier ne lui conviendra plus ! Je veux bien être son assistant.Je me laisse aller à son doux traitement qui arrive très rapidement à ses fins.Sentant venir les spasmes, Mme Besson creuse les joues de plus belle pour hâter mon éjaculation. Mon sexe prisonnier de sa bouche gourmande se libère violemment de son jus en longues saccades. Je n’en verrai pas une seule goutte ! Mme Besson a horreur du gâchis et ne veux pas que je souille sa belle moquette.— « Voilà qui est mieux ! Je vais pouvoir reprendre votre détartrage en toute décontraction. »Sur ces mots nous nous réinstallons pour terminer cette consultation mais dans le plus simple appareil.— « Au fait, M Clément, quand m’emmenez vous faire un petit tour d’avion sur le Massif de la Chartreuse ? »— « Votre jour sera le miens Mme Besson, mais en ce moment il fait très chaud, même en altitude »— « Si vous le permettez, je me mettrai à l’aise ! D’autant plus que personne d’autre que vous, ne pourra me voir ! »— « Dans ce cas pourquoi pas samedi matin, votre cabinet est fermé ce jour là ? »— « D’accord »Elle termine son travail, nous nous rhabillons et elle me raccompagne jusqu’à la sortie, me serre fort civilement la main et me souhaite une bonne soirée.— « A samedi Mme Besson »— « A samedi »A suivre…………..3ème épisode.Nous avions arrêté notre récit alors que M Clément, le narrateur et Mme Besson, sa dentiste, s’étaient donné rendez vous pour une promenade aérienne après une séance de détartrage peu commune.Le samedi matin, nous avons rendez-vous, Mme Besson et moi à l’aéro-club où j’ai mes habitudes.J’arrive un peu en avance pour préparer l’avion, effectuer la visite avant vol et vérifier que tout va bien.Malgré la matinée peu avancée il fait déjà très chaud et j’ai opté pour une tenue on ne peut plus décontractée, short, tee-shirt et chaussures de sport. Le short est loin d’être un bermuda et il me couvre juste les fesses, pourvu que Mme Besson ne soit pas trop choquée.Elle n’est toujours pas arrivée et je commence à m’inquiéter lorsque je vois arriver une Twingo bleue qui se gare devant le parking de l’aéro-club. C’est bien Mme Besson.J’avais tort de m’inquiéter sur ma tenue car de son côté elle s’est également mise en tenue légère et c’est un euphémisme !Elle n’a pas mis son pantalon de travail, fort heureusement car elle aurait cuit doucement. Elle n’a pas non plus choisi le short comme je pensais mais contre toute attente une jolie jupette qui ne couvre pas grand-chose de ses jambes qui sont fort agréables à regarder. Décidément les cinquantenaires du 3ème millénaire ne sont plus celles du 19ème siècle.Pour couvrir son abondante poitrine, elle a choisi un léger boléro assorti qui à beaucoup de mal à cacher que Mme Besson ne porte pas de soutien-gorge.Est-ce la perspective de s’envoyer en l’air, euh, je veux dire, faire une promenade en avion, toujours est il que ses tétons sont bien visibles sous le tissu trop fin.Elle descend de voiture et l’espace d’un instant il me semble entrevoir un slip noir mais ai-je bien vu ? Je ne pourrais l’affirmer.— « Bonjour M Clément, j’espère que je ne suis pas trop en retard ! »— « Pas du tout, j’ai eu le temps de tout préparer on va donc pouvoir y aller, d’accord ? »— « Maintenant que je suis au pied du mur, je dois avouer que j’ai un petit peu peur en avion, j’espère que vous serez prudent… »— « Ne vous inquiétez pas, je prendrai soin de vous. Tout d’abord nous allons jeter un œil sur la carte pour que je vous explique notre itinéraire et ensuite, je vous aiderai à vous installer à bord car comme vous pouvez le constater, mon avion n’est pas un Airbus ! »— « Oh effectivement il est tout petit ! On va bien se tenir chaud là dedans, heureusement que je me suis mise à l’aise… »Je lui explique les détails de notre promenade et lui montre comment monter sur l’aile de l’avion pour pouvoir s’installer sur le siège avant.Elle s’exécute, alors que je reste derrière elle au pied de l’avion pour parer à toute éventualité.Bien sûr, une jupe ce n’est pas aussi pratique qu’un short pour lever la jambe, aussi remonte-t-elle un peu le tissu, si bien que je constate, à mon grand émoi, que ce tout à l’heure j’avais cru prendre pour un slip noir n’est en fait que l’abondante toison de Mme Besson.Fort heureusement, compte tenu de l’heure il n’y a pas un chat (si chose dire) aux alentours.L’installation à bord est à l’avenant. Ce petit avion possède pour le piloter, ce que l’on appelle communément un « manche à balai », que ce soit côté pilote ou côté passager, précisément là où Mme Besson tente de s’installer avec force contorsions. Elle fait si bien qu’elle se retrouve les fesses sur le siège, la jambe gauche à sa place de l’autre côté du « manche » mais la jambe droite elle, n’est pas encore à bord, en raison d’un petit manque de souplesse de sa propriétaire.Comme entre temps je suis monté sur l’aile pour aider ma passagère, je saisis sa cheville et lui facilite le mouvement pour que l’intégralité de Mme Besson soit à bord !Inutile de dire qu’à ce moment là je suis aux premières loges pour lorgner l’intimité de ma dentiste.Celle-ci, un peu amusée, les joues rosies par l’effort me regarde et dit, en toute innocence :— « J’aurai peut-être du mettre une petite culotte, mais il fait si chaud ! »— « Ne vous inquiétez pas, nous allons prendre un peu d’altitude à la recherche d’un peu de fraîcheur »En réalité, au fil des minutes la température à l’intérieur du petit avion allait rapidement atteindre des valeurs record !Mme Besson à bord, je m’installe à mon tour. Comme il fait de plus en plus chaud une fois la verrière fermée je me dépêche à faire les actions avant la mise en route et nous commençons à rouler vers la piste.Mme Besson est ravie et pause tout un tas de questions. Je m’efforce de répondre à son attente et petit à petit, ma « tension » retombe un peu. Pour une courte durée.Parmi les vérifications obligatoires avant le décollage figure les essais de débattement du fameux « manche à balai ». Il faut vérifier que l’on peut utiliser cette commande dans son plein débattement, de gauche à droite et de l’avant vers l’arrière. La sécurité du vol en dépend. Comme nous avons tous les deux les jambes de part et d’autre de ce manche, je demande à ma passagère d’écarter les cuisses. Elle ne se fait pas prier et les écarte, largement plus que nécessaire, ce qui a pour effet de dévoiler une fois de plus son entrecuisse pileux. Elle me regarde en coin et dit :— « Avouez que cela aurait été dommage pour notre sécurité que je mette une jupe longue, qui n’aurait fait que m’entraver dans mes mouvements ! »Je lui souris pour toute réponse.Je termine mes vérifications et nous sommes rapidement autorisés à décoller par la tour de contrôle.En quelques centaines de mètres notre petit coucou est en l’air et subitement Mme Besson ne dit plus rien, je la sens quelque peu tendue.Je lui montre que tout va bien et que notre vol, compte tenu des conditions météorologiques idéales a de fortes chances de se dérouler au mieux.Elle finit par se décontracter et admire enfin le paysage qui défile sous les ailes.— « Vous m’aviez dit qu’il ferait moins chaud en altitude, ce n’est pas tout à fait vrai »— « Vous savez, il faudrait monter très haut pour trouver des températures plus fraîches ! Mais comme personne ne vous vois mettez vous à l’aise… »Elle ne me fait pas répéter ma proposition et se retrouve torse nu. Ses deux gros seins sont vraiment magnifiques et j’en suis à me demander s’ils sont naturels.Je n’ose pas poser la question et tente de me concentrer sur mon pilotage.— « Est-ce que cela vous tenterai de piloter ? »— « Ici, maintenant ? J’ai un peu peur… »— « Je vous montre, c’est très simple »Après deux ou trois explications techniques elle se saisit délicatement du manche et très concentrée essaie de maintenir une ligne droite et de conserver l’altitude.La vue de sa jolie main, aux beaux ongles rouges vifs, entourant délicatement le manche de l’avion provoque chez moi une petite bouffée chaleur et un peu de jalousie. Pourquoi l’avion et pas moi ?Mais je suis un petit coquin car me voilà les mains libres.Tout en surveillant la trajectoire de l’avion je porte ma main gauche vers la poitrine nue de Mme Besson qui sursaute sous cet assaut.— « M Clément, ce n’est pas bien, vous allez me faire faire une bêtise et je ne peux pas me défendre ! »— « Vous avez envie de vous défendre ? »— « Euh…pas vraiment, mais n’en profitez pas ou je lache tout ! »— « Mme Besson, j’ai bien l’intention de profiter de cette situation »Lâchant le téton que je faisais depuis peu rouler entre mes doigts, je porte ma main vers son sexe. Je constate que le tissu du siège est un peu humide, pour tout dire, franchement poisseux. Il faut dire que la petite jupe, lors de l’installation à bord a franchement reculé vers l’arrière.Mme Besson est loin de souffrir de sécheresse vaginale.— « Je suis confuse, je vais tacher vos jolis sièges »Je ne relève pas, concentré sur ma caresse. La position assise ne facilite pas l’opération mais ma passagère-pilote fait le maximum pour me faciliter le travail. Je sens son corps se détendre et se crisper alternativement. Mon traitement a l’air de lui convenir.La trajectoire de l’avion elle, en souffre beaucoup ! Mon pilote occasionnel ne se concentre plus que sur son plaisir, qui monte lentement mais sûrement ! Il va falloir que je l’abandonne à contre cœur mais notre survie en dépend.A suivre …