Mon ami Jacques
RĂ©cit d’un weekend de pĂŞche au bord d’un lac au QuĂ©bec qui ne se dĂ©roule pas exactement comme prĂ©vu. On devait taquiner la truite, mais la chaloupe restera Ă quai…
Proposée le 29/08/2021 par beagle Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: HHLieu: Forêt, campagne, natureType: Fantasme
Dans une précédente histoire « Un massage qui fait du bien » j’avais évoqué un collègue de travail qui m’avait conseillé un masseur pour soulager mes muscles. Si vous l’avez lue vous avez appris que le masseur en question a soulagé bien plus que mes muscles. Ce masseur m’avait également révélé que mon collègue était assez pudique, très poilu et qu’il s’était montré très gêné quand il avait eu une érection devant lui.
Je voudrais maintenant vous parler de mon collègue et de ce qui est arrivé par un beau weekend d’été quelque temps après.
Jacques est un peu plus jeune que moi, mi-cinquantaine. Il est grand et mince, il a toujours fait attention à son corps, il est solidement bâti lui aussi car notre métier de déménageurs entretient nos muscles. Il porte les cheveux courts qui sont encore foncés. Je ne l’ai jamais vu porter la barbe ou la moustache. Il est comme je le disais plus haut très poilu partout sur le corps au point que son sexe parait parfois petit et perdu au milieu de sa fourrure mais en réalité la nature l’a pourvu d’un beau pénis et de belles couilles. Il a fait carrière longtemps dans la police, sa femme ne s’ennuyait certainement pas d’avoir cette grosse matraque circoncise dans son corps. À présent divorcé, sans enfant, il est comme moi célibataire par défaut. À ce que je sache, il est hétéro.
Bien qu’il se soit montré pudique avec Jean-Yves le masseur cela est exceptionnel. Après le travail tous les gars prennent leur douche ensemble et Jacques n’a jamais manifesté de gêne à être nu au milieu des autres. Il est de nature très affectueux et comme nous sommes de vieux amis nous nous faisons des câlins, à nos anniversaires par exemple. Nous les hommes nord-américains sommes de nature plutôt réservés à ce sujet, alors qu’il est courant de voir les Français ou les Italiens se faire sans gêne la bise entre hommes. C’est dans leur culture. Jacques est en revanche capable de poser des gestes de familiarité envers moi qu’il se garde de faire en public, de peur que certains, nos collègues entre autres, leur attribuent une connotation sexuelle. Je n’ai de toute manière jamais pensé que cela pouvait révéler de sa part une attirance envers les hommes et pour moi en particulier. Il peut tirer sur ma moustache ou l’effleurer de sa main, me taper une fesse en signe d’amitié. Tenez, aujourd’hui après la douche les autres gars avaient quitté, j’étais nu devant mon casier, je faisais dos à Jacques, je me penche pour ramasser mon slip tombé par terre, Jacques me prend par les hanches, m’attire contre lui en me disant qu’il allait m’enculer. Il appuie son sexe velu contre ma raie, se frotte un peu et fait un petit mouvement du bassin. Ses couilles chatouillent mes fesses. Ses poils sont drus. Je me dégage en riant mais cette fois-là je dois dire qu’il m’a fait l’effet d’un courant électrique. Auparavant, c’était un amusement sans conséquence mais depuis mes aventures avec Jean-Yves le masseur je ne réagis plus de la même façon… Au contact du sexe de Jacques le mien s’emballe… Je me retourne devant lui sans gêne :- « T’as vu ce que t’as fait idiot? » dis-je en souriant en montrant mon pénis en demi-érection. Comment je vais faire entrer ça dans mon slip maintenant?
– « Ah ah! le moustachu est en manque de sexe on dirait! Je lui fais de l’effet. Une bonne injection de sperme ça te dit? Je peux t’arranger ça right away»
– « Non pas vraiment. L’abstinence causĂ©e par la COVID te serait-elle devenue si insupportable que tu voudrais maintenant attenter Ă ma vertu? »
– « Abstinence? Ta main droite a dĂ» travailler fort depuis un an! »
– « Et la tienne donc! »
Il me lança :
– « C’est pas avec une petite affaire comme ça que tu peux faire jouir quelqu’un! » dit-il en reluquant ma queue qui dĂ©bandait dĂ©jĂ .
– « Penches-toi en avant, tu vas voir que la petite affaire comme tu dis, quand je te l’aurai mise jusqu’au fond elle va t’arracher des hurlements de douleur ou de plaisir! »
– « Ce que tu peux ĂŞtre prĂ©tentieux! Regarde, c’est ça un vrai sexe de vrai mâle » me rĂ©pondit-il en exhibant son membre qui Ă©mergeait de sa jungle de poils tout en flattant brièvement ma moustache du revers de sa main.Nous nous habillâmes avec entrain puis nous allâmes prendre une bière avant de regagner nos foyers. C’était vendredi et comme on annonçait du beau temps Jacques m’offrit de passer le weekend Ă son chalet. On pourrait taquiner la truite, se baigner dans le lac et prendre du bon air. Je pourrais aussi l’aider dans quelques travaux d’entretien. La semaine avait Ă©tĂ© harassante, on avait vidĂ© une ancienne usine de son contenu, il faisait chaud et c’était un endroit très sale. Rien de mieux que de dĂ©compresser au milieu de la nature, surtout que son chalet Ă©tant plutĂ´t isolĂ©, c’est très tranquille, aucun voisin Ă proximitĂ©.Le lendemain matin il vint me chercher chez moi. Le chalet Ă©tait Ă moins de deux heures de route de la ville. En chemin nous sommes arrĂŞtĂ©s Ă une ferme nous procurer quelques Ă©pis de maĂŻs frais que nous mangerions Ă la mode quĂ©bĂ©coise, bouillis dans l’eau et servis avec beurre, sel et poivre. Deux beaux steaks Ă cuire sur le BBQ accompagneraient le maĂŻs pour notre repas du soir, avec de la bière. Il faisait chaud, en arrivant Jacques se rendit dans sa chambre et ressortit en maillot de bain me disant qu’il allait nager dans le lac.- « Câlisse, j’ai oubliĂ© mon maillot » lui dis-je en jurant.
– « C’est tellement isolĂ© ici, t’en a pas vraiment besoin. Tiens, on va ĂŞtre Ă©gaux. »Il enleva son maillot et je pus le contempler dans toute sa pilosité… Nous descendĂ®mes le petit quai puis ce fut le plongeon dans le lac. L’eau Ă©tait froide et je sentis ma queue battre en retraite. Tout-Ă -coup je ne vis plus Jacques. Il ressortit brusquement de l’eau la tĂŞte entre mes jambes, mon sexe enfoncĂ© dans sa nuque et il me souleva avec ses Ă©paules. Je ressentis une douleur fulgurante aux testicules.
– « Eh l’homme fort! tu m’écrases les couilles! » Je me dĂ©gageai puis nous luttèrent un peu dans l’eau. Je le saisis par devant, collai mon sexe sur le sien, apprĂ©ciant toute la pilositĂ© de son corps. Il rĂ©ussit Ă se dĂ©faire de mon emprise puis s’empara de moi par l’arrière. Son sexe s’appuya contre mon petit trou. Je ne bougeai plus, fĂ©brile. Je sentis qu’il avait un dĂ©but d’érection, son gland dur forçait le passage tĂ©lĂ©guidĂ© par l’instinct. Je frissonnais de plaisir, mon sexe commençait Ă durcir. Jacques se sĂ©para de moi brusquement, mal Ă l’aise, sans un mot. Nous sortĂ®mes du lac. Dans l’après-midi nous fĂ®mes quelques travaux d’entretien au chalet puis au souper on fit bouillir le maĂŻs, griller les steaks. On a bien mangĂ©. La soirĂ©e se termina autour d’un feu, discutant de tout et de rien. On alla ensuite se coucher. Je ne dors toujours pas au bout d’une demi-heure lorsque j’entends des gĂ©missements provenant de la chambre de Jacques. Je me lève, plutĂ´t inquiet et je vais dans sa chambre dont la porte est ouverte. Je suis nu cars je dors toujours ainsi. La lumière est allumĂ©e. Je ne m’attendais pas Ă ce spectacle… Jacques est Ă©tendu sur le dos, les yeux fermĂ©s, les jambes relevĂ©es. Il est bandĂ© dur, je n’avais jamais vu son membre en Ă©rection. Il est beau. Ses couilles et sa bourse contractĂ©es forment une belle pelote de poils. Il frotte son membre lentement de sa main droite et de la gauche agite dans son cul un godemichet très rĂ©aliste de bonne taille pour augmenter sa jouissance. Mon sexe se redresse Ă son tour. Il s’aperçoit de ma prĂ©sence mais continue tant il est concentrĂ© dans sa jouissance. Je monte sur le lit. Je saisis la main qui agite le gode, tranquillement nous le retirons. Je mets sa main sur mon membre durci et il le guide dans sa chair. Je le pĂ©nètre doucement et m’introduit complètement en lui me substituant au pĂ©nis de plastique. Quoi de mieux que mes matières naturelles… Le gode Ă©tait bien plus gros que ma queue mais ses entrailles s’adaptent rapidement et son anus enserre bien ma queue. Je vais et je viens comme disait Gainsbourg dans sa chanson, chanson qui nous fait rouler par terre de rire de nos jours mais totalement scandaleuse Ă son Ă©poque. Jacques gĂ©mit de plaisir. Je flatte son torse, excite ses mamelons qui durcissent. Son pĂ©nis est dur et palpite.Vient le moment oĂą son sexe n’en peut plus, Jacques pousse un grand gĂ©missement et une première et puissante giclĂ©e de semence se dĂ©pose sur son menton, la seconde est expulsĂ©e sur son torse, le reste de son Ă©lixir se rĂ©pand dans sa toison pubienne et reste emprisonnĂ© dans sa main. Je sens que mon tour approche, j’essaie de me retenir tant que je peux mais je finis par exploser en lui, mon corps se raidit Ă chacune des giclĂ©es, Jacques contracte et soulève ses fesses, referme ses cuisses en sentant mon sperme chaud s’étaler profondĂ©ment en lui, il Ă©prouve un plaisir intense. Je retombe sur Jacques, vidĂ© autant qu’on peut se vider dans un moment pareil. Nos torses se touchent, mes poils rĂ©coltent une partie de la semence qui a atterri sur le sien. Ma langue ramasse le sperme sur son menton, je force sa bouche et lui fait goĂ»ter son liquide de vie. Mon sexe finit par ressortir de son corps. Nous allons nous nettoyer, il vide son cul de ma substance. Nous ne pouvons plus dormir seuls chacun de notre cĂ´tĂ©. On se recouche dans son grand lit. Ses lèvres cherchent les miennes Ă travers ma moustache. Les longs poils le piquent, lui chatouillent le nez et les lèvres mais il aime la sensation. Les lèvres sont une zone Ă©rogène et les sensations sont amplifiĂ©es par mes poils. Nos langues s’unissent. Nous nous endormons finalement au son du chant des grillons.Le lendemain matin nous aurions dĂ» aller aux truites. Nous restons au lit. On se caresse, on se masse, on explore les moindres recoins du corps de l’autre. On ne se demande pas si on est gay, hĂ©tĂ©ro, bi, seule la chaleur des sens compte. Je frotte ma moustache dans l’intĂ©rieur de ses cuisses, avec ma bouche j’aspire dĂ©licatement ses couilles, puis je dĂ©guste son membre. Il me rend la politesse puis je comprends qu’il veut me possĂ©der. Je m’étends sur le ventre, son gland explore ma raie puis tout doucement il sollicite l’entrĂ©e de mon antre. Petit Ă petit son membre fait son chemin, Jacques me pĂ©nètre de toute sa longueur. Il s’agite en moi doucement, Ă chacune de ses poussĂ©es je sens ses couilles velues s’appuyer sur mes fesses, cela m’excite au plus haut point. Jacques est attentionnĂ©, je ne ressens pas de douleur. Sa queue stimule si bien ma prostate que j’éjacule sous moi. Lui continue ses mouvements mais je sens qu’il accĂ©lère, la sève monte en lui comme un Ă©rable Ă sucre au printemps. Ses mains se resserrent soudainement sur mes Ă©paules, il se vide avec vigueur dans mes entrailles en gĂ©missant de plaisir puis vaincu s’abat sur mon corps. Un peu plus tard, le contenu de nos vĂ©sicules sĂ©minales rechargĂ©, nous nous dĂ©gustons mutuellement dans un « 69 ». J’avale ses petits nageurs, il absorbe les miens. VoilĂ une bonne source de protĂ©ines un dimanche matin.Toute bonne chose ayant une fin, en après-midi nous quittâmes le chalet pour nos foyers sans avoir pris un seul poisson. Il faudra raconter une histoire de pĂŞche aux collègues si un d’entre eux nous interrogeait sur nos prises… En tout cas, c’était une maudite belle fin de semaine!© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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