Je ne résiste pas au plaisir de faire partager la petite aventure qui m’est arrivée il y a peu, dans un train corail, en milieu d’après-midi…Je disposais d’une petite semaine de vacances, mais pas mon mari. Afin d’occuper un peu cette semaine, j’ai décidé de rejoindre pour trois jours une amie, elle aussi en vacances. Mais ma voiture devant aller en révision et mon mari ayant bien sûr besoin de la sienne, j’ai décidé d’y aller en train, une fois n’étant pas coutume. Mon mari m’a donc conduite à la gare de notre petite ville, mon amie devant m’accueillir à la gare d’arrivée.Cela faisait bien une dizaine d’années que je n’avais pas mis les pieds dans un train !J’ai la quarantaine, brune à cheveux courts et plutôt bien en chair. Je précise qu’il n’est pas dans mes habitudes de me livrer à des aventures de ce type.J’ai un mari que j’adore, une vie de couple « normale », pas de tendance particulière ni à l’exhibition ni au voyeurisme, mais ce jour-là je ne sais vraiment pas ce qui m’a pris, cette situation m’a mise en feu tant elle était excitante et surtout… imprévisible !J’étais installée sur un siège au fond du wagon, seuls quelques passagers se trouvaient très à l’écart de ma place, plus à l’avant du wagon : un couple de personnes âgées, un couple plus jeune et trois dames d’un certain âge en plein bavardage…Après un peu plus d’une heure de voyage, à l’arrêt d’une petite ville, un homme assez jeune, 30 – 35 ans je dirais, monta dans le wagon… Plutôt pas mal, bien habillé, bref, le jeune homme que toutes les belles-mères imaginent comme « gendre idéal » ! Je n’ai pas fait attention sur le moment, mais j’ai quand même remarqué qu’il regardait le compartiment avec attention en montant, comme s’il cherchait quelque chose. Puis il est venu s’asseoir en face de moi, avec un large sourire, et le train a repris sa route…Je râlais intérieurement, car sur l’instant je l’ai trouvé « gonflé » de venir s’asseoir en face de moi alors qu’il y avait plein de places libres ailleurs… Sur le coup j’ai songé un instant à changer de place, et puis je me suis dit que s’il m’ennuyait, je changerais à mon tour et j’irais m’asseoir à côté de quelqu’un d’autre à l’avant du wagon…Je lisais sans trop faire attention, mais au bout d’un moment j’ai remarqué que l’homme posait ostensiblement sa main sur sa braguette de temps à autre, avec des petits mouvements de va-et-vient discrets… et qu’une bosse commençait à se former sous sa braguette !Je ne sais pas dire pourquoi, même en étant offusquée intérieurement, j’étais comme attirée par ce petit manège, discret au début, puis qui m’a semblé plus insistant. Je regardais à la dérobée derrière mon magazine, le feu aux joues et des titillements dans le bas-ventre. Au bout d’un moment n’y tenant plus, j’ai baissé ma revue et regardé plus franchement.L’homme ne se cachait qu’à moitié, et me regardait droit dans les yeux ! J’ai alors perçu, tout à coup, une véritable décharge dans mon entrejambe, senti ma chatte et mon clito se gonfler et j’ai été prise d’une très violente envie de me masturber…Il faisait très, très chaud ce jour-là , c’était pendant les quelques jours de canicule. Je portais une robe d’été avec un haut en forme de cache-cœur et le bas portefeuille, ce qui, je l’avoue sans préméditation aucune, m’a bien facilité la tâche ! Dessous un slip en dentelle mais pas de soutien-gorge car, quand je ne travaille pas, j’adore sentir ma poitrine nue sous mes vêtements.Un peu honteuse tout de même, mais terriblement excitée par le petit manège de mon voisin, j’ai commencé par écarter légèrement les cuisses et soulevé un pan de ma robe. J’ai vu un petit sourire sur son visage, puis j’ai glissé une main sous mon slip en cherchant mon clito. Vraiment j’étais incroyablement excitée par cette situation que je n’avais jamais connue, cet homme qui se caressait nonchalamment devant moi. La proximité des autres passagers, à l’avant du wagon, m’excitait aussi…Le train roulait depuis un certain temps, et l’homme en face de moi se caressait maintenant avec plus de force, appuyant la paume de sa main sur la bosse qui était maintenant très conséquente ! Ce petit jeu dura quelques minutes, mais en voyant les yeux de mon voisin rivés sur ma main et mon entrejambe, j’ai eu envie d’en montrer plus…En me soulevant légèrement de mon siège, je fis alors discrètement glisser mon slip sur mes talons, et hop, le fourrai dans mon sac, dévoilant mon petit triangle de poils bruns… Comme toutes les brunes je suis très poilue, mais je m’étais fait épiler le maillot « à la brésilienne » une huitaine de jours avant, ne laissant qu’un minuscule triangle de poils bruns. Ce qui fait que mes lèvres et mon clito étaient parfaitement visibles… Un clito que j’ai très gros et, lorsque je suis excitée, qui devient rouge, énorme et tout gonflé, entouré des grandes lèvres. Mon mari en raffole !J’ai posé un pied en appui sur mon siège de façon à bien écarter les cuisses, et révéler toute mon intimité à mon voisin. Celui-ci avait les yeux fixés sur ma chatte que j’écartais au maximum, totalement impudique. Mon voisin me murmura alors en se penchant vers moi :— Magnifique ! Ah, ce clito… Vous m’excitez, c’est dingue… tout en continuant à frotter sa braguette.Prise d’une folie sensuelle, j’eus envie de sortir mes seins de ma robe, la forme cache-cœur s’y prêtant très bien. Après un rapide coup d’œil à l’avant du wagon pour être sûre que tout était calme, je plongeais la main dans mon décolleté et sortis tour à tour mes deux gros seins (je fais du 95 C), eux aussi gonflés par l’excitation, les tétons bien ressortis et pointant en avant. Je me sentais complètement lubrique, exposée ainsi à la vue de cet inconnu, jambes écartées sur ma vulve gonflée et seins à l’air… Je crois que je me serais fait baiser par n’importe qui, n’importe comment, tant j’étais excitée !Les yeux de mon voisin étaient exorbités et rivés tour à tour sur ma chatte et mes seins et, après lui aussi s’être assuré d’aucun mouvement suspect, il déboutonna sa braguette et en sortit (avec difficulté !) un pieu énorme, d’une longueur normale, mais surtout très épais, massif, avec un gland tout gonflé, bien décalotté et cramoisi… Chacun, les yeux rivés sur le sexe de l’autre, nous avons commencé à nous masturber… Moi, l’index tournicotant sur mon clito, écartant mes lèvres, pénétrant ma chatte, je sentais le plaisir monter à une vitesse fulgurante… Mon voisin avait sorti ses couilles par sa braguette serrée, ce qui les faisait gonfler démesurément, comme deux balles de tennis.Jamais je ne m’étais trouvée dans une telle situation, et je trouvais magnifique ce sexe d’homme offert à mes yeux ! Voir cette main inconnue s’agiter sur cette grosse queue, ces couilles énormes gonflées de sperme à quelques centimètres de mes yeux et de ma chatte m’a carrément mise en transes !Je sentais bien que lui aussi était au bord de l’explosion, à sa respiration qui devenait de plus en plus saccadée… N’y tenant plus, toujours vigilante quand même, j’ai avancé les fesses au bord de mon siège, écartée comme une chienne… Il a fait de même en s’approchant le plus possible, et nous avons continué à nous masturber de plus en plus vite, à quelques centimètres l’un de l’autre.C’était une situation incroyable et terriblement excitante, et j’avais terriblement envie de tenir cette queue dans ma main, de sentir la sienne dans ma chatte… J’ai tendu ma main « disponible » et j’ai commencé à caresser ses couilles, il a alors poussé un petit cri étouffé ponctué de :— Oui… oui… vas-y, caresse-moi…Excitée au plus haut point, je me sentis devenir folle. Je lui pris la main et la posai sur mes seins… Il les empoigna, les triturant, les soupesant, tirant sur les tétons… puis son autre main se posa sur ma chatte, le pouce tournicotant sur mon clito et ses autres doigts fouillant ma chatte. Je me sentais au bord de l’explosion.Imaginez la situation : assis face à face, nos jambes écartées au maximum et entrecroisées, mes deux mains sur sa bite et ses couilles, les deux siennes à la fois sur mes seins et sur ma chatte, le tout dans un wagon à quelques mètres des autres passagers ! Lorsqu’il a commencé à respirer de façon saccadée, me murmurant les yeux révulsés « je vais gicler… je vais gicler », j’ai lâché prise et j’ai joui à mon tour comme je crois n’avoir jamais joui…Au moment d’éjaculer, il dirigea sa queue sur ma chatte, et sentir son sperme sur mes doigts, sur mon clito, sur mes lèvres fut une explosion totale ! J’avais le cœur qui cognait, les tempes en feu et des mouches devant les yeux.Je crois avoir mis plusieurs minutes à reprendre mes esprits et remettre de l’ordre dans ma tenue… Le plus difficile je crois, devant tant d’excitation, fut d’exploser quasiment en silence en se mordant les lèvres, pour ne pas rameuter les quelques voyageurs à l’avant du wagon, probablement à mille lieues d’imaginer ce qui se passait au fond du compartiment !Après ce moment « d’égarement », je replongeai dans ma lecture, et fis comme si de rien n’était… Nous n’échangeâmes pas un mot jusqu’à l’arrivée. Il descendit à la même gare que moi et, au moment où je rejoignais mon amie sur le quai, il passa à côté de moi et me glissa discrètement à l’oreille un :— Merci, c’était génial… Bonne continuation…Mon amie me demanda alors si je le connaissais, et je lui répondis que je lui avais tout simplement prêté un magazine pendant le voyage…Si elle savait !Depuis, lorsque je fais l’amour avec mon mari ou que je me masturbe, je ne peux m’empêcher de penser à cet inconnu, à son sexe dans mes mains, aux siennes fouillant ma chatte, et à la formidable jouissance que tout ça m’a procurée !