Mon beau-père, cet étalon couleur ébène !
Voici le premier chapitre de mon histoire « Mon beau-père, cet étalon couleur ébène ! ». Il s’agit de l’histoire d’une aventure très coquine entre un jeune beau-père et sa belle-fille en émoi. Bonne lecture !
Proposée le 26/02/2015 par JeuneGourmande Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Cette entrée en matière risque d’être maladroite, mais je pense qu’il est nécessaire d’introduire mon histoire avant quoi que ce soit.Je m’appelle Marine, j’ai dix-huit ans, je suis depuis peu étudiante en économie. Je vis actuellement avec ma mère et Charles, son compagnon de trente-deux ans, ce qui lui fait huit ans de moins que ma mère.Charles est un bel homme d’origine ivoirienne. Il conserve un très beau corps grâce à une pratique sportive régulière. Il est très grand puisqu’il mesure plus d’un mètre quatre-vingts, contrairement à moi qui fais à peine un mètre soixante. Je suis donc d’apparence menue. Je dois ma longue chevelure blonde et ma peau très claire aux origines russes de mon père que je vois très peu, le dernier étant trop occupé par le bon fonctionnement de son entreprise.Charles, tout comme mon père, est un homme qui a réussi, puisque à tout juste trente-deux ans, il est déjà à la tête d’une entreprise fructueuse, ce qui fait de lui un homme très sûr de lui à l’opposé de ma timidité, bien que j’ai un peu changé cette dernière année.
Ce soir, je sors assez tard de mon cours de macroéconomie qui fut long et fastidieux. Je suis donc heureuse en retrouvant Charles seul à la maison. Nous profitons alors d’un moment de détente privilégié devant une émission consacrée à notre écrivain favori, la littérature étant notre passion commune. On se taquine tout en accordant une importance particulière à l’émission. Alors que cette dernière touche à sa fin, Charles éteint la télé avant de s’adresser à moi : >. Chose que je m’empresse bien sûr de faire.J’admets que c’est un peu déroutant de lire cela, de but en blanc, sans plus d’explications. Je vais alors revenir au début de cette relation un peu particulière. Cela a commencé il y a environ un an.
C’était lors d’un week-end où ma mère était partie pour le travail.J’étais alors une jeune fille dont l’expérience sexuelle était très limitée. En effet, j’avais perdu ma virginité encore un an auparavant dans les bras de mon petit ami de lycée. Bien que j’appréciais notre relation, elle ne fut jamais, sexuellement parlant, à la hauteur de mes espérances.
Charles était arrivé de nos vies depuis déjà quelques mois, il m’avait tout de suite fait beaucoup d’effet. Je fantasmais alors régulièrement sur lui, m’imaginant son corps et que les rumeurs sur les hommes noirs étaient fondées. Le premier soir de ce fameux week-end, en rentrant, je surpris Charles, sortant de la douche, complètement nu. J’en fus bouche bée, ce qui eu pour effet de faire sourire mon « beau-père », surement conscient de l’effet que son corps pouvait avoir sur une femme.Une fois seule dans ma chambre, je me jetai dans mon lit pour m’adonner au plaisir solitaire similaire à celui que je m’offrais régulièrement en pensant à Charles, à la fois honteuse et excitée.
Mais je fus vite interrompu. En effet, après quelques minutes, Charles pénétra dans ma chambre en disant : >
Il s’arrêta net, me voyant m’agiter sous ma couverture, gênée. Il se mit alors à sourire :>
Cet ordre me laisse sans voix, mais sans bien savoir pourquoi, j’obéis. Je m’avance au bord du lit, j’ouvre la braguette de son jean pour me saisir de son sexe. Je pose alors timidement ma bouche sur son sexe si imposant. Je lui offre une fellation délicate, comme je l’ai toujours fait.
Il pose sa main sur ma joue qu’il commence à caresser. >Il passe sa main sous mon short, désormais, il n’y a plus que le tissu de mon boxer qui sépare sa main de mon sexe : « C’est ça que tu veux, hein ? >> dit-il en me regardant droit dans les yeux.
Timidement, je fais oui de la tête.
Obéissante, je me mets à genoux devant lui et ouvre son pantalon. Je fais descendre ce dernier le long de ses jambes avant de lui enlever entièrement. Ensuite, je me lève pour lui retirer son tee-shirt avant de m’asseoir à côté de lui. Sa main recommence l’exploration de mon corps, il commence par ma poitrine qu’il caresse en douceur avant de se consacrer à mes tétons déjà très durs. Il les pince, ce qui a pour effet de me faire gémir. Il adore ça. Sa main descend alors délicatement sur mon ventre, je frissonne comme jamais auparavant.Sa main ayant continué son ascension se retrouve sur mon sexe qu’elle a survolé du bout des doigts, avant de les plaquer contre mon clitoris. Ses doigts commencent à tourner délicatement, je gémis, mon corps de plus en plus excité par la caresse qu’il prodigue à mon sexe déjà humide. Ses doigts deviennent plus rapides, au même titre que mon rythme cardiaque. Mon plaisir frôle alors son paroxysme. Il s’arrête, attend quelques secondes avant d’enfoncer un de ses doigts en moi. Je suis à la fois frustrée par cet orgasme refusé, mais satisfaite de le sentir me remplir. Je me remets à gémir, après quelques instants, il insère un nouveau doigt dans mon sexe étroit. Il est très agile et sait comment s’y prendre, mon sexe est trempé, il m’offre alors un troisième doigt. Mon sexe n’a jamais été autant ouvert et pourtant, j’adore ça. Mon bassin ondule comme si je n’avais jamais connu le plaisir auparavant. Prise d’excitation, je le supplie >. Ça le fait sourire, il va plus vite :>Je réponds avec un mouvement de bassin et par mes gémissements. Il tire alors mes cheveux pour me ramener vers lui. Il m’embrasse à pleine bouche. Puis il me plaque contre la table avant de se pencher pour embrasse mon dos de mes fesses à ma nuque. Il me chuchote à l’oreille :