Une histoire d’amourAgé aujourd’hui de 30 ans, je suis enfin un homme très heureux. Marié avec Isabelle depuis 7 ans et père de deux enfants, je vis une vie faite de bonheur et d’amour. Ma femme, une belle plante blonde aux seins généreux et montée sur la plus belle paire de jambes que je connaisse, est une experte dans l’art du plaisir.Lorsque j’ai connu Isabelle, elle avait la fraîcheur de ses 20 ans, tout comme moi. Chacun de notre côté nous avions découvert le sexe, moi à 16 ans et elle à 17. Ma « première » était une amie de ma mère de vingt ans mon aînée, une pointure qui en quelques séances m’avait fait faire le tour du câlin, du soft, du hard et de petites perversions. Par la suite, filles et garçons de mon âge ont profité de l’expérience acquise…Avec Isabelle, je suis rentré dans le rang, et dans sa famille. Son père, un militaire stricte et rigide, sa mère l’inverse de sa fille, petite blonde un peu effacée devant son mari, mais toujours charmante et attentive au bien-être des siens et à l’harmonie de sa maison. En deux ou trois mois, j’étais comme chez moi. Celui que j’allais appeler Roger me faisait participer à ses activités extra-professionnelles : sport (footing, randonnée et vélo) tous les dimanches et discussions animées sur tous les sujets d’actualité.Elisabeth, la douce, s’appliquait à nous inventer des moments chaleureux, autour d’une table ou lors de longues promenades à pied dans toute la région. Isabelle, elle, pourvoyait à mon insatiable envie de sexe le soir dans sa chambre de jeune fille (bon ok, plus tout à fait). Enchaînant tout à la fois plaisirs manuels, plaisirs charnels et jeux érotiques raffinés. À chaque fois, ma verge ressortait essorée et repue, et ma douce remplie dans tous les sens du terme.Le changement dans mon petit monde est survenu à l’approche de notre mariage, les préparatifs étaient stressants, mais nous avions une organisatrice hors pair, Elisabeth. Tous les détails étaient préparés, étudiés, et avec toujours le même objectif : qu’Isabelle et moi soyons les fêtés du grand jour.Un soir où j’exposais mon admiration pour tout le travail de sa mère à Isabelle, celle-ci me fit part d’une confidence faite par Elisabeth :— Ma chérie, ton Maxime (moi) est l’homme dont toute femme voudrait être l’épouse, il est toujours là pour toi, en fait c’est la perle rare que tu devras savoir garder et combler.Et moi de répondre :— Ça c’est du compliment.Isabelle de rajouter :— Et ce n’est rien, car elle a ajouté :— Un homme bien et un amant excellent à priori.Moi de m’étonner :— Pardon ?— Et oui, il semble que nos ébats soient assez torrides pour être entendus de sa chambre.— Quand même, tu es parfois bruyante c’est vrai, mais de là à extrapoler…— Ma mère m’a avoué n’avoir jamais connu d’autre homme que mon père, et que pour la bagatelle ce n’était pas très brillant. Mon père se consacre plus à son travail et à ses aventures qu’à Maman. Elle n’a jamais connu d’orgasme, si ce n’est lors de caresses solitaires.— Et tu sais ça, toi.— Et oui, je me suis toujours confiée à ma mère et elle m’a depuis longtemps avoué avoir besoin de câlins solitaires. D’ailleurs, je lui ai même conseillé de prendre un amant, mais tu la connais. Depuis que tu vis chez nous, je crois qu’elle prend conscience du manque d’amour qui existe dans sa vie et nos ébats viennent agrémenter ses fantasmes quand elle est trop seule.À partir de ces confessions, j’ai pris l’habitude de regarder plus souvent Elisabeth, disons avec un œil moins « gendre » mais plus « homme ». Avec ses 45 ans, son 1m63, une poitrine que j’estime à un petit 85b, je découvrais une femme toujours très soignée, habillée avec raffinement, parfois d’une pointe de coquetterie sexy. Comme par exemple ce tailleur avec jupe fendue, mais pas trop, un chemisier assorti fermé avec juste le bouton de trop et sans doute une paire de bas. Le genre de femme mature sur laquelle les hommes pourraient facilement fantasmer. Moi entre autres…Un soir où nous étions tous les deux seuls à discuter après le repas sur la terrasse, je me risquai à un compliment.— Elisabeth, vous êtes très en beauté ce soir.— Merci Maxime… Vos compliments me vont droit au cœur, car j’en entends si peu souvent. Roger vous savez est avare en ce domaine.— Quel dommage, car vous êtes comme toujours charmante, et votre mari devrait vous le dire. Vous avez plus de charme que bien des jeunes femmes que je connais. Hormis votre fille bien sûr.— Voyons Maxime, je vais rougir…Et moi de poursuivre :— Ne soyez pas timide, ni gênée Elisabeth, c’est une réalité, parfois je vous trouve même très… désirable… Pardon… Enfin, je veux dire…Je ne savais plus comment finir ma phrase.— Oh, dites donc, est-ce bien vous Maxime, le futur époux de ma fille, qui tient ce genre de propos, c’est parfaitement déplacé.Puis dans un souffle :— Même si c’est très très plaisant à entendre.Peut-être avais-je ce soir-là bu un verre de vin en trop, toujours est-il que je continuai :— Et bien oui, c’est juste un constat, regardez ce soir, un bouton de votre chemisier ouvert en plus et je contemplerais avec délice un décolleté que je devine très attirant. Je vois même vos petits seins libres sous le tissu, prêts à être cueillis.— Arrêtez, je vous en prie.Le trouble s’installait, je la sentais fragile et je poursuivis :— D’ailleurs que pourrais-je découvrir aussi sous votre jupe fendue, une femme bien sage ? Non. Je distingue vos bas et s’ils sont là c’est pour vous rappeler votre parfaite féminité, votre désir de plaire et à qui ? Votre mari ne vous regarde plus, me semble-t-il. Alors que moi, je suis là dans votre maison, donc cette tenue c’est un peu pour moi non ?— Maxime, Arrêtez, dit-elle la voix tremblante.Et avant que je puisse réagir, Elisabeth, d’un bond, quitta la terrasse. À cet instant, je sais, oui, je viens de mettre à jour ma future belle-mère. Aujourd’hui, elle aussi me regarde comme un amant potentiel.À mon tour, je regagne la maison et notre chambre. Là , Isabelle m’attend sagement endormie, semble-t-il. Après m’être déshabillé et avoir éteint la lumière, je me suis glissé dans le lit, le sexe tendu par ces instants très particuliers que je viens de vivre. Je sens alors une main prendre possession de ma queue et la voix d’Isabelle à mon oreille :— Ben dis donc mon cochon, c’est quoi ça ? Tu viens d’où ?Heureusement pour moi, sans attendre de réponse, Isa est descendue prendre le problème en bouche et d’une fellation experte m’a amené vers les rives du plaisir. Mais, dans ma tête, c’est une autre qui venait de me vider les bourses.Les jours qui suivent, je ne fais que croiser Elisabeth. Elle est toujours tendue, occupée, ou absente. Le malaise est vite perçu par Isabelle qui m’en fait part.— Je crois que Maman a des problèmes, il faut que je parle avec elle.— Ah bon, je n’ai pas vraiment remarqué…Plus tard, elle me confiera :— Elle ne veut rien me dire, je ne comprends pas…Tout va basculer en un jour. Isabelle est en déplacement professionnel pour la semaine, Roger en mission à l’étranger. Après le boulot, je rentre ce le soir-là tard et fatigué. Elisabeth est dans le salon et m’appelle.— Maxime, je vous ai préparé à manger dans la cuisine, il faut juste réchauffer.— Merci mais je n’ai pas faim, la journée a été harassante alors je vais me coucher.— Vous ne venez même pas un moment pour me tenir un peu compagnie, pour moi aussi la journée a été longue.Je suis surpris car, en deux phrases, elle m’a plus parlé que ces quinze derniers jours. Je reviens vers le salon, j’y entre. De suite, je sens son parfum, lourd et voluptueux, et là , je la découvre assise sur le canapé dans une splendide robe vietnamienne de soie bleue. Son visage est maquillé sublimement, ses yeux me fixent d’un air moqueur.— Même pas quelques minutes pour votre belle-mère préférée ?Je m’assois à ses côtés et constate que la robe est fendue laissant apparaître une bande de chair blanche. Elle me sourit et me dit :— Pas de compliments ce soir ?Avant même que je puisse répondre, elle se lève et tourne rapidement sur elle-même, les deux pans de sa robe s’envolent et je découvre que la fente remonte de chaque côté bien plus haut que les cuisses. Une fraction de seconde, je crois voir une fesse nue.Je me lève à mon tour et sans aucune parole je plaque Elisabeth contre mon corps et dépose au coin de sa bouche un léger baiser. Sa bouche s’entrouvre et nous échangeons un long baiser. Sa langue, un instant timide, vient jouer avec la mienne, s’enroulant, reculant puis forçant ma bouche, le baiser profond se poursuit longuement.M’écartant d’Elisabeth, je la contemple, elle semble tellement fragile, une petite poupée de porcelaine. Je regarde son corps menu moulé dans cette robe et constate qu’au travers du tissu, deux tétons pointus se dressent fièrement. Je me place derrière elle et me colle à son dos, ma bouche dépose de petits bisous furtifs sur sa nuque et mes mains parcourent ses épaules, descendant rapidement sur ses seins.Là , je constate que leur taille est juste celle de la paume de mes mains, je les cueille littéralement malaxant les tétons au travers du tissu. Puis, je parcours ses hanches, revenant sans cesse sur son petit ventre presque plat. Son souffle devient rapide et d’une voix faible elle murmure :— Maxime, oh mon grand.Jouant toujours sur son corps, je glisse doucement vers son mont de vénus, l’instant suivant, je suis posé sur son sexe dont je sens qu’il est libre sous la robe. D’un élan, elle se retourne vers moi, ses yeux sont remplis de larmes.— Pourquoi ces larmes, Elisabeth ?— Max, je suis heureuse mais aussi honteuse. Je t’aime en secret depuis des mois, je veux le bonheur de ma fille, mais mon corps me rappelle sans cesse que je te veux aussi pour moi. Je rêve de toi toutes les nuits.Ses mains jusqu’ici retenues me prennent à la taille et m’attirent à nouveau vers elle. Son corps épouse le mien. L’instant magique est venu.Saurez-vous patienter ?