C’est fait !Voilà déjà plusieurs mois que je raconte à mon homme l’envie de me faire prendre par mon dentiste, lors de nos ébats. Je me gode pendant qu’il me prend, et franchement, j’aimerais bien un jour les avoir tous les deux à la maison dans le même lit. Je savais de source avérée, que la taille de sa bite était incroyable, dixit une vieille amie, et à chaque fois que j’y allais, mon regard glissait toujours sur la déformation de son pantalon. Il n’est pas exceptionnellement beau, mais j’avais très envie de voir sa grosse bite !À force d’entendre mon homme me dire que je devrais jouer à la salope, qu’il aimerait que je l’invite, j’ai osé, j’ai franchi le pas… J’avais me semble-t-il déjà senti du désir dans les yeux de mon dentiste, mais je n’en étais pas sûre. Nos mains se sont souvent frôlées, des regards un peu trop longs…C’était une fin de semaine, afin de ne pas attirer l’attention de mon danseur officiel, devant l’éventuelle veste à laquelle je m’attendais de la part de mon praticien, vu les photos de famille sur son bureau, ce qui me faisait douter de la réussite de mon dessein. J’ai mis discrètement dans mon sac une mini-jupe, et un chemisier diaphane. Je me suis hâtivement rhabillée dans un immeuble voisin et en sortant, le regard d’un passant en a dit long sur ma tenue, j’étais enfin prête, je voulais le faire craquer !Je sonne, entre comme d’habitude, me dirige droit dans la salle d’attente. Je ne croise personne, ce qui me rassure, je dépose mon sac à mes pieds, mes jambes tremblent, je me dis que j’aurais dû mettre des Dim-up. Je parfais mon maquillage, avec mon rouge Dior, mon cœur bat excessivement vite, j’ai l’impression de l’entendre. J’ai l’impression de faire plus glamour que jamais, comme quand je m’expose sous les flashs des photographes. Mon chemisier ne cache rien de ma jolie poitrine. S’il ne comprend pas les messages que je lui envoie, je me fais nonne, mais craquera-t-il ?Je rêvasse dans cette salle d’attente et me souviens que, lors de nos jeux sexuels avec mon compagnon, il m’avait demandé d’y aller avec cette mini-jupe, et sans culotte. Je souris, et je me dis que je vais exaucer son vœu. Je me lève, remonte ma mini-jupe pour enlever mon string, j’attrape les ficelles, les fait glisser et me rassois. Au moment où je lève mon genou pour enlever mon string, la porte s’ouvre brutalement ! Je panique, mes orteils se prennent dans mon string, je suis presque coincée.Confuse, je resserre mes jambes. C’est mon cher dentiste, il sourit, j’ai trop honte. Il me prévient qu’il est avec un client, qu’il en a pour deux minutes et qu’après qu’il est tout à moi… Je suis verte, j’ai envie de m’enfuir. En me levant, je place mon string dans mon sac et réajuste ma mini. Je veux sortir mais j’entends sa voix derrière la porte, je l’entends raccompagner son client. Il ré-ouvre toujours aussi brutalement la porte et dit :Le sourire qu’il affiche, est celui d’un vainqueur olympique, avec une touche d’ironie.— Vous êtes particulièrement ravissante aujourd’hui, s’exclame-t-il en pénétrant dans la salle de soin. Prenez place.Il me tourne le dos, pour récupérer ma fiche. Je prends place sur le fauteuil. Je me rends compte que ma mini-jupe remonte beaucoup trop… et que j’aperçois la naissance de mon doux abricot ! Je rougis, je suis tétanisée. Il prend sa place habituelle, sans se démonter, il me sourit, en mécanisant son fauteuil, ce qui a pour effet de me retrouver pratiquement allongée devant lui. Ma tête calée, il place son fauteuil afin de s’asseoir lui-même, allume sa lumière aveuglante et positionne sa loupe :— Ouvrez la bouche, s’il vous plaît.Il ne pense pas une seconde à ce que je pense, sinon il n’aurait pas ce ton aussi indifférent.— Vous avez une tenue bien légère, ose-t-il !— En fait, je sors d’une séance de prises de vues.Je crois avoir bien rattrapé le coup, car il sait que je suis mannequin occasionnelle, quand il m’anéantit avec son :— Ah ! Dommage, je croyais que c’était mon anniversaire.Je le laisse œuvrer quelques secondes qui me paraissent être une éternité, quand je prends mon courage à deux mains :— Ça ne l’est pas ? Je me serais trompée ? dis-je en écartant les jambes, espérant attirer son regard sur la douceur de mon abricot épilé.Il marque un temps, lorsque je sens un doigt pénétrer mon abricot. Je suis trempée, je mouille comme une folle, il me pénètre de plus en plus. Je me cambre. Son autre main ouvre mon chemisier, et il me palpe avec délicatesse les seins. La lampe et sa loupe m’empêchent de bien voir son visage. Ma main glisse naturellement vers son entrejambe et je ne suis pas déçue de ce que je sens sous son pantalon.Sa main relâche la pointe de mon sein, ce qui commençait à m’exciter… mais avais-je besoin de cela pour être excitée, je ne crois pas. Il fait descendre son fauteuil au maximum, éteint sa lampe et repousse sa loupe. Il approche son visage de ma bouche, qu’il n’a pas eu le temps de travailler, pour m’embrasser longuement, tout en me doigtant profondément.Quand il se lève pour enlever sa blouse blanche et ouvrir sa braguette, je suis au paroxysme du bonheur. Enfin, je vais pouvoir la voir, la sentir, la sucer. Ma première réaction a été un choc ! Elle est légèrement plus grande que celle de mon homme, mais deux fois plus large, peut-être trois !Encore pas tout à fait rigide, il place sa bite devant ma bouche. Je ne savais pas quoi faire, je me demandais si je pourrais le sucer. Je saisis ce monstre avec mes deux mains, elles n’en faisaient pas le tour. Tant bien que mal, je le gobe, le lèche, l’avale. Il pince la pointe de mes deux seins.Les longs va-et-vient entre mes lèvres finissent par lui donner sa rigidité, même si elle n’a pas plus grandi. Mon abricot, comme mon homme aime l’appeler, me titille. D’une main, j’entreprends de le finir dans ma bouche, et me caresse activement de l’autre quand il coupe le silence, fait de bruits de succion, en m’avertissant qu’il a envie de moi. Soudain, je suis prise de panique. Primo je ne pense pas qu’il puisse me pénétrer du fait de sa taille, secundo je n’avais pas prévu de préservatif, s’il en existe à sa taille !En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il sort sa bite de ma bouche, il fait le tour, enfourche le fauteuil, place sa bite devant ma petite chatte trempée et m’empale. Jamais je n’avais senti cette sensation d’être prise pleinement. Il commence par de petits coups de reins. Je sens ses bourses frapper mes fesses (j’adore ça !) Il commence par me traiter de petite salope et plus les mouvements de son bassin s’accélèrent, plus les mots crus fusent. Il me demande de lui répéter que je suis sa chose.En accentuant ses coups de reins :— Je n’entends pas, dis-le petite pute.— Je suis ta pute !— C’est bien, petite salope.— Je suis ta salope !Je répète dans l’action tous les adjectifs dont il me qualifie.En un éclair, je sens sa bite me libérer. Il me traîne sans ménagement à l’autre bout de la pièce, devant son bureau, me forçant à m’accouder et lui montrer mes fesses. Saisissant d’une main un étui à cigare qui traînait sur le bureau, il le place à l’entrée de mon petit trou et me l’enfonce. J’étais aux anges, jusqu’à ce qu’il décide de me reprendre. Prise de partout, il met son doigt sur mon clito. Ce savant mélange, lorsqu’il a fait tournoyer son doigt, m’a fait découvrir ce qui a été mon plus grand orgasme. Je perdis la tête quelques secondes en hurlant !Dans un rugissement, tel un tigre du Bengale, et sans délicatesse, il me dit :— Donne-moi ta bouche.Le temps de me tourner et de m’accroupir, toujours avec l’étui coincé dans mes fesses, il me gicle dans la bouche déformée par son membre turgescent. Ma mini-jupe ressemble à un morceau de tissu fripé, mon sexe est béant, quelques bruits pas très esthétiques viennent entrecouper le silence qui régnait dans cette atmosphère médicale.Une fois rhabillée, il me fait une proposition : celle d’être une salope et je devais lui être totalement soumise. Sans franchement réfléchir, j’ai acquiescé d’un geste timide de la tête, avec mon plus beau sourire. Après avoir discuté de nos vies, échangé nos numéros de téléphone, il me raccompagne à la porte qu’il avait pris soin de fermer après son dernier client (le coquin !) Ça fait dix minutes que je déambule dans la rue. Je n’ai pas envie de rentrer, quand mon téléphone sonne, c’est lui. Il me demande de revenir, d’entrer et de fermer derrière moi.Il est devant son ordinateur, avec la photo d’une blonde avec de gros seins, tout l’inverse de moi, en compagnie de trois hommes. Il s’astique, sa bite est vraiment très grosse. Il est aussi obsédé que mon homme. Il me demande de me déshabiller entièrement et de le sucer. Il ne faut pas longtemps pour que je finisse assise sur lui, enfichée sur sa bite, les jambes écartées sur la table. Je ne peux plus bouger, il jouit en moi, et sans autre ménagement me demande de partir rapidement.Cela fait déjà six mois que je suis sa chose. Lorsque je lui ai raconté que nous étions un couple libertin, il m’a fait faire les pires choses : sucer les clients qu’il m’envoyait du restaurant du Château de la Pioline, me faire baiser par deux ouvriers sur un chantier à Luynes… Mais je prends mon pied comme jamais avec lui. Le jeudi soir, quand mon homme me croit au sport, je me fais sauter. Cela me fait parfois sourire, quand mon homme m’imagine avec lui. Il est loin de la vérité et si cela vous plaît, dites-le moi, je vous raconterai…-ooOoo-P.S. : Mon cœur, comme je sais que tu vas certainement lire ce texte, je veux juste te dire que je lui appartiens corps et âme, mais je peux être aussi ta chose. C’est bien ce que tu voulais ? Alors fais-moi faire ce que tu veux, mais ne me préviens pas, je crois que c’est ce que j’aime !