C’est encore moi, Kevin. Je vous ai appris comment j’avais découvert que mon épouse n’était pas aussi coincée qu’il n’y paraissait. Le soir même de cette découverte, en rentrant à la maison elle a subi de bonne grâce une agression en règle où, je le reconnais humblement, les préliminaires avaient été, une fois n’est pas coutume, aux abonnés absents.Pris d’une folle envie de me réapproprier son corps, je lui ai fait l’amour comme si c’était la dernière fois, sans qu’elle comprenne la raison réelle de cette débauche sexuelle. J’avais en tête le récit d’Emmanuel qui décrivait Allison en train de jouir, léchée par sa copine avec ses doigts fourrageant son intimité alors que lui, branlé par la main experte de ma femme, zébrait de sperme son visage et sa poitrine. J’avais aussi en mémoire des gestes de Jennifer sur la croupe et les reins d’Allison, beaucoup moins innocents qu’il n’y semblait, à la lumière de ce que j’avais appris, et me permettant de me demander si cette liaison ne se poursuivait pas, ne serait-ce qu’occasionnellement.Emmanuel m’avait promis de ne rien me cacher des moments passés avec mon épouse et il a tenu parole, alors que nous nous étions donnés rendez-vous chez lui, histoire de me présenter à sa jolie rousse, Abby (Abigaëlle de son vrai prénom). Elle était au courant de son histoire avec Allison mais je la sentis excitée d’en connaître les croustillants détails. Elle voulut absolument entendre le récit promis, sûre que ce serait une excellente mise en bouche. C’est ainsi qu’Emmanuel, amusé par notre excitation, commença la deuxième partie de ses confidences, confortablement installé dans le grand canapé, Abby et moi face à lui dans les deux autres fauteuils du salon.ooooOOOOooooAllison, nous dit-il, était plutôt contrariée d’avoir été piégée par Jennifer et moi. Elle nous faisait la gueule, évitant de se retrouver seule avec nous et ne nous parlant que dans le cadre du travail ou pour échanger les banalités journalières. La fellation dont m’avait gratifié ton épouse – enfin, ta future épouse – loin de m’avoir calmé au motif que j’étais arrivé à mes fins, m’incitait à renouveler l’expérience, d’autant que je n’avais pas pu faire connaissance avec l’antre du plaisir. Je relançais régulièrement Jennifer qui, bien que réticente compte tenu de la manière dont avait réagi Allison, finit par lui proposer un tête-à-tête pour mettre les choses à plat, m’assurant qu’il valait mieux adopter le profil bas en attendant et voir venir.Allison, à court d’excuses, finit par accepter mais en terrain neutre. Elle proposa le centre sur l’heure de midi pendant la fermeture. Nous serions tranquilles et personne ne viendrait nous déranger. Tout le monde accepta et c’est ainsi qu’un midi, dès les portes fermées, Allison, Jennifer et moi nous nous sommes retrouvés.Je parlai le premier et expliquai à Allison que tout était de ma faute et que j’avais entraîné Jennifer dans cette histoire un peu malgré elle. Sa beauté m’avait fait flasher sur elle depuis mon arrivée au centre. Je rajoutai qu’avec le recul je regrettais les circonstances particulières qui m’avaient permis de m’inviter dans leurs ébats mais que si elle était honnête elle devait reconnaître qu’elle aussi avait pris un pied d’enfer pendant notre petite séance. Je dis aussi que quoi qu’il arrive, je n’oublierais jamais cette intimité qui nous avait réunis.Allison, d’abord sur la défensive, se détendit petit à petit, peut-être flattée des compliments et un peu amusée de la tournure des évènements. C’est ensuite Jennifer qui prit la parole. Elle ne s’est pas trouvé d’excuses, disant simplement à Allison qu’elle était désolée d’avoir profité de son état ce soir-là (ma femme était complètement pompette) mais qu’elle aussi avait envie d’elle. Elle rajouta qu’elle avait senti, à ses regards volés vers son entrejambe, qu’elle n’était pas insensible au charme féminin et que cette soirée un peu trop arrosée avait peut-être permis de lever quelques tabous et de donner libre cours à leur libido.Elle demanda à Allison de se souvenir comme elles avaient bien rigolé et comme elles s’étaient bien entendues tout de suite. Bien sûr, il y a eu l’arrivée d’Emmanuel mais il est intervenu bien après le début de leurs caresses. S’il n’était jamais venu, elles auraient de toute manière fait l’amour et ça n’aurait pas été si grave. Elle demanda à Allison de lui pardonner d’avoir fait participer Emmanuel à leurs ébats et lui tendit les bras. Allison n’hésita pas longtemps avant de s’y loger et de reconnaître qu’elle en avait eu envie elle aussi mais que ce qui l’avait contrariée c’est de m’avoir sucé, dans un intense moment d’excitation, comme dans un état second. Pour elle, on lui avait forcé la main – enfin, la bouche. Elle était pratiquement en train de jouir lorsque ça s’était fait. À un autre moment, ça ne serait peut-être pas passé.Jennifer releva le « peut-être » en disant qu’elle savait qu’Emmanuel lui plaisait. S’ensuivit un dialogue me concernant, qui donna à peu près ça :— Regarde-le. Tu as le souvenir de sa queue dans ta bouche, franchement, ça t’a déplu ?— Non, ça ne m’a pas déplu. J’ai aimé ça, mais…— Mais quoi ? Moi j’ai envie de toi, j’ai envie de sa queue aussi, je le sais, tu le sais, et alors ? On pourrait se lâcher un peu, non ?— Oui, c’est vrai, on pourrait, mais…— Arrête avec tes mais. Lâche-toi. Là, je te parle de sexe, pas de sentiments. Tu étais d’accord pour qu’on fasse l’amour et pourtant on n’est pas des lesbiennes. Il n’était pas question d’amour, de vivre ensemble et tout et tout. Regarde sa queue, dit-elle en ouvrant ma blouse. Bon, elle n’est pas à son avantage car ce qui nous excite, c’est une bonne queue bien dure, agressive avec les veines apparentes, le gland gonflé, mais il suffit de peu de choses pour qu’elle redevienne intéressante.Joignant le geste à la parole, elle se pencha pour m’emboucher en commençant quelques va-et-vient sur ma hampe. Rapidement, mon chibre se redressa, presque dans l’état où je l’avais présenté à la bouche d’Allison. Elle le regarda, luisant de salive, s’assura que nous n’étions bien que tous les trois, puis revint sur lui, comme inexorablement attirée. Elle passa nerveusement la pointe de sa langue sur ses lèvres et, comme hypnotisée, regarda Jennifer qui commençait à me lécher les couilles, plaquant mon membre bien relevé sur mon ventre.Jennifer leva les yeux vers Allison et lui dit qu’on était entre adultes consentants, qu’elle pouvait refuser et s’en aller mais que si elle en avait envie elle pouvait tout aussi bien s’agenouiller à ses côtés et faire ce qui la démangeait, c’est-à-dire prendre en bouche cette superbe queue, prête à gicler de sa plus belle semence. Allison ne fut pas longue à se décider. Des fourmillements dans son bas-ventre devaient déjà mettre à mal sa volonté. Elle attrapa un drap sur une des étagères, le posa sur le sol et s’y laissa tomber à genoux pour embrasser à pleine bouche sa copine et lui souffler, les yeux pétillants de malice :— Bon, OK, c’est vrai, bandée comme ça j’en ai envie. On verra bien ce qui arrivera. J’espère ne pas avoir à le regretter.C’est comme cela que j’ai eu droit à ma deuxième pipe prodiguée par ta future épouse. Un peu timide au début, elle a rapidement pris de l’assurance, me léchant le dessous des bourses pour remonter jusqu’au méat, déclenchant des spasmes de plaisir dans mon ventre et ma colonne vertébrale. Jennifer n’était pas en reste car, laissant Allison s’occuper de ma verge turgescente qui délivrait par saccades des coulées de liquide séminal, elle a fait mettre Allison accroupie, la moule offerte entre ses jambes et a enfilé entre ses lèvres intimes le vibromasseur qui nous servait lors de nos jeux amoureux et qu’elle avait préalablement recouvert d’un préservatif. Elle le faisait coulisser de plus en plus profondément dans sa chatte ouverte.Allison dégoulinait sur ses doigts. Quant à moi, l’envie de jouir une nouvelle fois par sa bouche était bien moins forte que celle de la posséder, de connaître enfin le plaisir de lui ouvrir le ventre et me frayer un passage entre ses chairs intimes. Je l’ai repoussée doucement en lui faisant comprendre de se tourner tandis que Jennifer s’allongeait à même la moquette, en ouvrant le compas de ses cuisses après avoir retiré prestement sa petite culotte trempée de cyprine. Allison a plongé la tête en avant, cabrant son fessier vers moi, consciente de mon désir pressant, puis a commencé à humer le sexe de sa copine, lui disant qu’elle lui remplissait les narines d’une odeur de bête en chaleur.Elle a commencé à la lécher tandis qu’après avoir enfilé un préservatif, je posais la tête de mon gland devant l’entrée convoitée. J’avais une irrésistible envie de m’y engouffrer sans ménagement. En appuyant légèrement sur ses fesses, je voyais les chairs s’ouvrir un peu plus avec une vision imprenable de l’intérieur rouge cramoisi, luisant de mouille, d’une indécence combien excitante. J’arrivai à me maîtriser pour ne pas l’enfiler d’un coup jusqu’à la garde comme le dernier des machos. Au contraire, je m’enfonçai doucement pour apprécier ma progression dans son fourreau jusqu’au dernier centimètre, jusqu’à ce que mes couilles m’empêchent d’aller plus loin.Lorsque la possession fut complète, j’ai senti mes jambes se dérober tant mes sensations mais surtout mes sentiments étaient forts. L’indicible satisfaction de posséder enfin cette femme inaccessible, le plaisir de communier par la chair, les contractions de son ventre serrant mon membre, c’était trop. Je me suis appuyé sur ses reins en la remerciant de m’accueillir dans son ventre et j’ai commencé à la pilonner, doucement d’abord puis, l’excitation augmentant, de plus en plus vite et de plus en plus fort.Je l’ai agrippée aux hanches et je l’ai littéralement secouée, ressortant complètement de son ventre pour m’y ré-engouffrer en écartant les chairs avec une facilité déconcertante tant l’endroit était inondé. L’accouplement était devenu saillie tant mon désir était fort. On entendait un bruitage sexuel augmentant encore, si cela était possible, mon désir de m’épancher dans ses entrailles. Allison participait activement à cette saillie, reculant à la rencontre de mon vit pour se sentir perforée jusqu’au plus profond de son ventre, criant entre deux coups de langue que c’était trop bon, qu’elle se sentait chienne mais que c’était le pied.Elle enfouit le vibromasseur récupéré dans la main de Jennifer directement dans la chatte ouverte de sa copine, dégoulinante aussi de ses secrétions. Elle lui imprima des allers-retours à la mesure du désir qu’elle ressentait d’être elle-même perforée et déclencha le mécanisme. Jennifer aussi se mit à geindre en se tordant de plaisir, excitée autant par l’accouplement que nous lui offrions que par les ondes distillées par la langue et les vibrations du vibromasseur au plus profond de son intimité. Des phrases et des sons incompréhensibles ont commencé à sortir de sa bouche. Elle était en train de jouir sur la langue d’Allison. Ses feulements rauques lorsqu’elle se libéra ont précipité ma propre jouissance, j’ai littéralement secoué le cul d’Allison, plantant mon dard aussi loin que possible, accélérant comme un damné mes coups de boutoir pour arriver à l’explosion finale.Allison, prise par les hanches et secouée sans ménagement, s’est recroquevillée sur elle-même et a laissé éclater à son tour son bonheur, en nous prévenant qu’elle aussi était en train de jouir et qu’elle avait l’impression de se vider. Un dernier coup de reins et je me suis accroché à ses hanches, laissant mon foutre se répandre dans cet affreux préservatif. J’ai regretté à ce moment de ne pas pouvoir lui déverser tout mon jus directement à l’intérieur du vagin.Je ne sais pas combien de temps avait duré notre petite séance mais je peux t’assurer que nous avons fait un boucan d’enfer. Nous nous sommes écroulés tous les trois sur la moquette, profitant d’un salutaire retour au calme.Nous nous sommes revus, Allison et nous, régulièrement par la suite, alternant les rendez-vous chez l’un ou chez l’autre, voire pendant la pause du midi au centre. Allison, qui avait remarqué que Jennifer et moi n’utilisions pas de préservatif entre nous, a voulu elle aussi pouvoir le faire et c’est ainsi qu’après les formalités d’usage et une promesse, d’ailleurs tenue, de ne pas forniquer avec d’autres partenaires sans protection, que j’ai pu lui inonder la chatte et lui faire boire mon foutre aussi souvent qu’elle en avait envie.Parfois, je profitais d’une pause entre deux clients pour appeler Allison ou Jennifer, c’était selon leur disponibilité, pour me faire sucer dans mon bureau ou leur faire une petite minette baveuse entre les dossiers des patients. Entre nous, je préférais me faire sucer car, autant l’une que l’autre, elles adoraient avaler mon foutre. Elles me buvaient jusqu’à la dernière goutte et remettaient ensuite mes outils en place, prêts pour le prochain emploi.C’est le meilleur moment que j’ai eu dans ce centre car depuis ton arrivée dans la vie d’Allison, c’est devenu beaucoup plus calme, mais j’ai Abby. Ce qui me manque, c’est la petite compétition qui existait entre elles pour me faire jouir le plus de fois possible dans la semaine.ooooOOOOooooDevant mon insistance, Emmanuel a fini par m’avouer qu’après m’avoir connu il est peut-être arrivé encore deux ou trois fois qu’Allison, excédée par l’air entendu que Jennifer prenait en sortant de son bureau après l’avoir sucé, y rentre à son tour pour le faire jouir dans sa bouche et montrer ensuite à sa collègue un peu de sperme, qu’elle déglutissait lentement en sa présence. Je me suis alors rappelé que certains soirs elle faisait un peu la fine bouche pour me sucer et avaler. Ce devait être une relation de cause à effet. Mais ses petites indispositions passagères pour la fellation et le sperme avaient été bien plus nombreuses que le chiffre annoncé. Se pouvait-il que la petite compétition entre ces deux coquines ait duré bien plus longtemps et que ma chère Allison soit revenue certains soirs à la maison, la gorge et l’estomac tapissés du sperme de son amant, me le faisant partager lors de nos baisers passionnés ?La soirée ne s’est pas terminée avec le récit d’Emmanuel, car nous étions, le narrateur, Abby sa copine et moi-même, comme vous pouvez vous en douter, passablement excités. Abby, que j’observais de temps en temps durant ce récit torride, s’était d’ailleurs progressivement rapprochée de son homme pour se retrouver à ses pieds, une de ses mains dans son short en train de le branler doucement, au rythme de sa propre excitation. Voyant ensuite que je la regardais s’occuper du chibre dressé d’Emmanuel, elle a relevé lentement ses jambes vers sa poitrine, me faisant découvrir qu’elle ne portait rien sous son grand t-shirt et, que son sexe était luisant de sa propre mouille. À la fin, elle s’est carrément agenouillée entre les jambes d’Emmanuel pour sortir sa queue et le sucer en ronronnant comme une chatte en chaleur, tandis qu’il m’invitait à m’approcher en attirant doucement le t-shirt tâché de mouille pour me présenter une croupe somptueuse, au milieu de laquelle suintait une vraie chatte rousse. Mais cela est une autre histoire, que je vous raconterai certainement sur Rêvebébé.Concernant mon épouse, je savais désormais qu’elle avait été capable de s’éclater sexuellement et que ce que je lui proposais aujourd’hui pouvait lui sembler un peu fade et manquer de piment. Une idée lubrique bien masculine commença à germer dans mon esprit. Mais réveiller l’appétit d’une telle femme, visiblement en hibernation sexuelle, ne pouvait-il pas être imprudent et faire courir de grands risques à notre couple ?