Cette quinzaine de vacances était jusqu’ici absolument parfaite. Quarantenaires tous les deux, nous étions partis pour la première fois en solo depuis la naissance de notre fils. Nous l’avions déposé chez ses grands-parents avant de décoller pour le paradis : un hôtel magnifique au pied duquel la mer des Caraïbes nous invitait au plaisir. La Dominique tenait de loin toutes ses promesses.Nous avions passé dix jours à randonner et nous balader à travers l’île aux mille cascades, profitant de paysages merveilleux sans jamais croiser personne, ou presque. Ma femme, Claire, très sage en métropole, avait envie de se lâcher un peu. Ses shorts de marche moulants mettaient en valeur ses magnifiques fesses rondes et ses jambes qui bronzaient de plus en plus chaque jour. J’étais très souvent derrière elle à marcher, et il fallut plusieurs fois qu’elle me montre un paysage tellement je scotchais sur ses courbes… Dans la même veine, après les baignades sous les cascades et le bronzage topless, le haut de maillot de bain restait la plupart du temps dans le sac pour le retour. La vision de sa poitrine qui gonflait le t-shirt et de ses tétons qui pointaient sous la chaleur m’avait souvent donné envie de faire une pause coquine au détour d’un chemin…Nous ne croisions presque jamais personne et Claire était visiblement aussi échaudée que moi par l’ambiance tropicale. Par deux fois, nous avions fait l’amour dans la forêt, à la va-vite, comme un jeune couple trop pressé.Les fins de journée à l’hôtel et les nuits étaient encore plus torrides. Pour ces vacances nous avions décidé d’un gros plaisir, et notre bungalow de luxe entouré d’une palissade avait sa piscine privée avec un grand « day bed » à côté (sorte de grand lit pour farniente au soleil). Nous faisions l’amour tous les jours ou presque, et j’admirais ma femme se baigner nue au retour de chaque randonnée.Le restaurant de l’hôtel était très agréable et il disposait d’un bar d’ambiance juste à côté, nous alternions donc nos soirées entre dîner dans la chambre en room-service et soirées au restaurant. Claire était encore plus coquette que d’habitude et j’avais droit à un défilé avant chaque soirée, avec essayages de plusieurs tenues ravissantes. Je l’encourageais à être toujours plus sexy, et les décolletés plongeaient de plus en plus alors que les jupes moulantes succédaient aux pantalons fins… Les regards se tournaient souvent vers elle et j’adorais surprendre ceux des hommes sur son corps.Un soir en particulier, une jupe longue mettant particulièrement ses fesses en valeur avait valu de nombreux regards appuyés sur la forme de son joli tanga que l’on devinait nettement. De retour dans la chambre, je lui dis à quel point cela m’excitait de la savoir désirée. Nous avions un peu bu et je savais qu’elle aimait la désinhibition que cela lui procurait. Elle me répondit qu’elle avait elle aussi senti ces regards et que ça l’avait bien échauffée. Je me gardai bien de répondre, car c’était la première fois qu’elle me parlait ainsi. De fait, j’avais depuis très longtemps le fantasme d’un trio avec un autre homme. Mais à chaque fois que j’osais amener le sujet sur la table je me faisais rembarrer gentiment, mais fermement.Ces mots sortant de sa bouche m’excitèrent donc passablement, et je sautai sur ma femme, mes mains passant sous sa jupe pour saisir ses fesses alors que je l’embrassai. Je glissai ensuite une main sur ses seins, jouant avec son téton que je devinai bien excité. Mais ma surprise fut entière quand mon autre main s’approcha de sa vulve que je découvris déjà très sensible et très, très mouillée. Dans un souffle, elle me dit de la prendre là , tout de suite, debout dans l’entrée du bungalow. Je ne me fis pas prier et après avoir libéré mon sexe qui bandait comme jamais et soulevé sa jupe, je m’enfonçai doucement mais d’un seul long geste au fond de son sexe bouillant et trempé. Un soupir s’échappa de ses lèvres et elle commença à gémir de plaisir alors que j’allais et venait en elle de plus en plus vite. À peine posai-je mes doigts sur son clitoris qu’elle décolla dans un orgasme ravageur, et les contractions de son sexe sur ma queue me firent exploser également. Elle fila ensuite à la douche, et je restai au bord de la piscine, fumant mon pétard sous les étoiles, le sourire aux lèvres.Son comportement m’avait surpris. Je ne l’avais pas vu aussi excitée depuis très longtemps et, elle qui adorait d’habitude les préliminaires et qui ne jouissait pratiquement jamais sans eux, avait eu un magnifique orgasme en quelques minutes de pénétration. Je commençai à me dire que mon fantasme n’était plus de l’ordre du rêve mais devenait envisageable, lorsqu’elle me rejoignit, nue après sa douche.Elle était magnifique. Je coupai les lumières et seule la lune illuminait son corps, ses seins lourds et ronds, son ventre tout mignon, ses jambes superbes entre lesquelles son sexe rasé luisait encore un peu. Elle me proposa une bière, et j’eus tout le loisir d’admirer ses belles fesses rondes et fermes qui se balançaient lorsqu’elle partit en chercher à l’intérieur… la soirée parfaite, et pourtant je n’étais pas au bout de mes surprises…— C’était vraiment très bon tout à l’heure, j’ai adoré, me dit-elle avec le regard brillant.— Moi aussi j’ai adoré, c’était… différent. Était-ce ta tenue et les émotions qu’elle a provoquées au restaurant qui t’ont excitée ainsi ? (j’avais posé la question sur un ton léger, mais elle connaissait mes pensées et j’avais un peu peur que tout cela cesse d’un coup, mais l’alcool et le pétard m’avaient rendu téméraire…)— Oui, je dois dire que de sentir ces regards sur mon corps lorsque je traversais la salle m’a rendu toute chose, me dit-elle en baissant les yeux.— En tout cas, moi aussi cela m’a beaucoup excité de voir tous ces hommes te mater, et j’ai été absolument ravi du résultat, répondis-je avec un clin d’œil. Regarde, rien que de repenser à ce moment, je bande à nouveau.— Et moi je crois que j’ai encore faim ! rit-elle avant de se pencher et de lécher mon sexe sur toute sa longueur.Quelques secondes après, nous étions en 69, et je constatai que ma femme si sage en métropole était à nouveau toute mouillée de savoir qu’elle avait marqué certains esprits. Je la léchai passionnément, j’adore le goût de son sexe, et je me concentrai sur son clitoris alors que mes doigts jouaient sur son anus. Elle avait toujours adoré les caresses à cet endroit, et je sentis son orgasme qui montait de plus en plus fort. Elle jouit longuement sous ma langue alors que mon doigt pénétrait son cul divin. Elle me mit alors debout, et à genoux devant moi, elle s’activa à me faire jouir à mon tour. Elle me suça, me caressant les fesses, puis, alors que mon sexe luisait de sa salive, elle l’emprisonna entre ses seins et en quelques mouvements elle me fit éjaculer sur sa poitrine, avant de nettoyer ma queue avec un petit sourire satisfait. Il était grand temps de dormir…******Le lendemain marqua le premier jour de farniente du séjour. Nous avions marché pendant dix jours, et la fin de nos vacances furent dédiée à la paresse, au plaisir, et à célébrer notre couple. Allongé sur un transat sur une plage de sable blanc, je ne me lassais pas de regarder mon amour, qu’elle fût en train de bronzer ou en train de se baigner. Son bikini blanc mettait son corps en valeur, de plus en plus avec le bronzage qui dorait sa peau de blonde. Elle profitait à fond de la plage et des différentes activités, mais aussi du repos complet à admirer la mer. À plusieurs reprises, je vis son regard s’attarder sur un de nos voisins, un homme d’une cinquantaine d’années grand et doté de grands muscles fins… un sportif, pour sûr ! Je me gardai bien de tout commentaire, au contraire je laissai mon imagination s’évader et me retrouvai avec une érection d’enfer que je calmai en allant nager quelques minutes.Lorsque je revins, je vis que Claire discutait avec notre voisin, qui partit juste avant que je sorte de l’eau et m’installasse sur mon transat.— Alors, il est sympa notre voisin de plage ?— Oui, il s’appelle Christophe, il est de Guadeloupe et il a pris une semaine de vacances pour décompresser de son boulot. Il me demandait conseil pour un restaurant, mais comme je lui ai dit que nous étions restés à l’hôtel jusqu’ici, il est parti demander conseil à la réception.— Il est super bien foutu, j’en suis presque jaloux ! dis-je avec un grand sourire.— Il est plutôt pas mal, c’est vrai, fut la réponse laconique de mon amour.— Bon, fini la plage, on va faire les boutiques ?L’hôtel était à quelques centaines de mètres d’une petite ville touristique avec des magasins de tous types. Ma femme noua son paréo, et nous partîmes découvrir tout cela. Après avoir acheté quelques souvenirs et cadeaux pour la famille, Claire s’arrêta devant une boutique de vêtements.— Ça t’embête si je rentre voir ? J’ai envie de nouveaux trucs…— Au contraire, si ça me permet d’avoir un petit défilé de mode, je ne vois rien de mieux à faire !Elle me fit un petit sourire coquin et on entra. La vendeuse était charmante, et comme la journée semblait calme pour elle, elle chouchouta ma femme. Après avoir essayé deux paréos, elle trouva pour Claire une robe longue blanche très fine, que je trouvai magnifique. Lorsque ma femme sortit de la cabine, je laissai un « wow » échapper, elle était divine. Le tissu n’était pas très moulant, mais vu sa finesse, il épousait chaque courbe de son corps au moindre mouvement… C’était hypnotisant.— Par contre, elle n’est pas un peu transparente ? Regarde, même mon bikini blanc est très visible, non ?— Oui, mais ça fait tout le charme, et ton bikini est épais, donc c’est normal qu’on le voie, mais avec de la lingerie ça devrait le faire… ou même sans rien ! suggérai-je avec un regard appuyé.— Tu crois ? Attends, j’essaie.Elle retourna dans la cabine et quand elle ressortit, je sentis mon short devenir étroit. Ses gros seins tendaient l’étoffe et ses tétons pointaient clairement, cela la rendait particulièrement sexy, mais sans transparence, c’était parfait. Son corps tout en courbes était parfaitement mis en valeur, et l’étoffe bougeait avec ses mouvements, on aurait dit qu’elle avait été créée pour elle.— Tu vois, sans soutif on ne voit pas vraiment, et tu es divine !— Je ne sais pas si j’oserais la porter, mais je suis super bien dedans. Allez, je la prends !— Pendant qu’on est là , tu ne voulais pas acheter un nouveau bikini ?Grâce aux conseils de la vendeuse et aux nombreux modèles disponibles, j’eus droit à un moment de grâce, ma petite blonde sexy essaya une dizaine de maillots. Je l’encourageai à essayer des modèles de plus en plus petits, et elle s’en rendit bien compte.— Tu veux exhiber ta femme à tous les hommes du coin, c’est ça ? me dit-elle alors qu’elle paradait dans un tout petit maillot noir qui soulignait ses fesses callipyges et un haut qui offrait ses beaux seins aux regards.— C’est d’abord pour mes yeux que je parle, mais c’est vrai que ça ne me déplaît pas, au contraire, de voir les têtes se tourner sur ton passage et les bouches s’ouvrir…Elle me regarda avec un air de réflexion intense, puis demanda à la vendeuse de mettre la robe et le bikini dans un sac. Je réglai et nous sortîmes pour rentrer doucement à l’hôtel.— Tu ne serais pas jaloux de me voir me promener habillée comme ça ?— Au contraire, tu me connais… Je trouverais ça très excitant de savoir que les hommes que l’on croise te désirent, et que moi j’ai le droit d’enlever tout ça pour en profiter encore plus. J’adore tes achats du jour, mon amour, et j’ai hâte de te voir dedans.De retour à l’hôtel, je pris ma femme dans mes bras, l’embrassai et lui dis à quel point je l’aimais. Les baisers continuèrent, devinrent plus chauds, et mes mains trouvèrent rapidement sa poitrine que je libérai de son maillot. Je l’embrassai, la caressai juste assez fort pour qu’elle gémisse, et torturai ses tétons de ma langue. Elle s’abandonnait, et respirait de plus en plus fort. Je l’allongeai sur un transat et lui retirai sa culotte, ma langue remonta le long de sa cuisse jusqu’à sa vulve, je léchai doucement ses lèvres, alors que mes mains caressaient son ventre et sa poitrine. Les gémissements commencèrent. Un doigt pénétra son sexe, puis un deuxième, tout doucement, juste pour accompagner ma bouche qui s’attaquait gentiment à son clitoris. Elle appuya ma tête contre son pubis, j’accélérai et alternai entre son clitoris et de grands coups de langue qui remontaient de son anus à son sexe. Je caressai son petit trou et le pénétrai d’une phalange alors que je me concentrais sur son clitoris car je voulais la faire jouir fort. J’y parvins en quelques minutes et sentis ses spasmes compresser mon doigt… j’entendis ses cris étouffés.Elle resta allongée, les jambes ouvertes… offerte. Je fis tomber mon short et posai mon gland à l’entrée de sa chatte trempée. Je poussai doucement et m’arrêtai au bout de quelques centimètres. Elle me regarda et me dit : Je jouais avec elle, faisant de tous petits mouvements avec mon sexe pour la rendre folle, car j’adorais quand elle était ainsi, demandeuse… Elle me regarda droit dans les yeux et me dit : — Baise-moi, je t’en supplie, donne-moi ta queue, je veux que tu me baises fort. Les mots crus sortaient rarement de sa bouche mais me mettaient toujours dans un état dingue. Je poussai donc mon sexe sur toute sa longueur, puis commençai de longs va-et-vient de plus en plus rapides et forts. Elle avait fermé les yeux, mais gémissait des « encore, plus fort » entre deux petits cris. Je me lâchai complètement et donnai tout ce que je pus. D’un coup, elle se releva contre moi, je sentis tout son corps trembler contre le mien, elle jouit longuement, les yeux rivés aux miens. Je jouis en même temps qu’elle et nous pûmes sentir nos fluides couler le long de mon sexe après ce coït magnifique. Elle m’embrassa et fila à la douche pour se préparer pour la soirée.Elle ressortit quelque temps plus tard, dans une jupe noire moulante, avec un chemisier ivoire sous lequel on devinait un soutien-gorge blanc que j’adorais, tout en dentelle et en transparence. Elle était divine et je le lui dis immédiatement. J’allai me préparer et nous sortîmes manger.Après un bon dîner arrosé d’une bonne bouteille de vin, je lui proposai d’aller boire un verre au bar d’ambiance de l’hôtel. Nous entrâmes dans un très bel endroit, aux lumières très tamisées, à la musique dansante et assez forte. Installés à une banquette, les deux Mojitos commandés arrivèrent, et nous regardâmes les gens danser. Claire me demanda si cela me dérangeait qu’elle danse, elle se sentait bien et voulait s’amuser un peu. Je détestais moi-même danser moi-même, mais adorais regarder ma femme bouger, donc au contraire, je m’empressai de lui dire d’aller s’éclater. Elle finit son verre d’un trait et partit sur la piste. Je me perdis alors dans la contemplation de son corps s’agitant au rythme des basses.Puis la musique changea de registre pour des types salsa/slow, et je vis alors Christophe, notre voisin de plage, inviter ma femme à danser. Elle regarda vers moi, me vis avec un sourire tendre, et donna sa main au bel homme. Il portait un pantalon en lin et une chemise fine, il dansait très, très bien. Claire se laissait porter dans ses bras, tournoyait, un sourire immense lui barrait le visage. Les mains de Christophe restaient sagement au creux des reins ou sur la taille, mais leurs corps se collaient régulièrement et l’ambiance se réchauffait doucement. Mes idées recommencèrent alors à vagabonder, et je dus replacer mon sexe dans son boxer car une belle érection déformait mon short.À la fin du morceau, le beau voisin s’éloigna et Claire revint s’asseoir avec moi. Elle m’embrassa passionnément et colla son corps au mien.— Ça va, tu ne t’ennuies pas trop ?— Au contraire, j’ai un mojito délicieux, et la plus belle femme du monde qui danse comme une reine devant moi !— C’est fou comme il danse bien ! J’ai eu l’impression d’être hyper douée mais en fait je me suis juste laissé entraîner.— C’était superbe à voir, tu étais sexy au possible, tu es le désir incarné ce soir.— Moi, sexy ? Regarde toutes les jeunettes en microjupe, je suis loin d’être la plus jolie ce soir !— Cela n’a rien à voir, tu es sensuelle, belle et attirante, pas juste « bonne », et si notre voisin de plage t’a choisie toi, ce n’est pas pour rien !— Ouais, tu dis ça parce que tu m’aimes.— Oh que non, et d’ailleurs je suis sûr que Christophe a un souvenir ému de vos danses !— Qu’est-ce que tu veux dire ?— Que si j’avais été à sa place, tu aurais pu sentir à quel point tu es attirante lors des passages « serrés » de la danse ! Non ?— Maintenant que tu le dis… Elle me fit un sourire innocent, mais ses yeux étaient coquins…— En tout cas, moi, ça m’a fait un effet fou, dis-je en posant sa main sur mon sexe bandé.— Ah oui ! Il va falloir rentrer, monsieur, je dois m’occuper de ça ! dit-elle en éclatant de rire.À peine arrivés à notre chambre, elle me poussa sur le lit et me déshabilla avant de prendre mon sexe en main. Elle commença à me branler doucement, avec un air malicieux.— Alors comme ça tu bandes en regardant ta femme danser ?— Oh que oui ! C’était terrible, tu étais sensuelle au possible, et vous formiez un couple vraiment très beau tous les deux.— Et tu n’étais pas jaloux de me voir ainsi ? dit-elle avant de commencer à me sucer très doucement.— Tu me connais… Et tu vois dans quel état je suis, je crois que ça répond à ta question ! Et toi, tu as trouvé ça comment ? dis-je alors que je la redressai pour la déshabiller à mon tour.— Il danse vraiment super bien, et tu connais mon amour de la danse !Mes mains commencèrent à explorer son corps, et je trouvai à nouveau son sexe trempé, sa vulve était tout excitée. Elle était allongée à côté de moi, et je commençais à la doigter doucement tout en caressant sa poitrine.— C’est la danse seule qui t’a mis dans cet état ? demandai-je avec un sourire complice.— C’est vraiment un excellent cavalier… Continue, c’est trop bon… caresse mon clito… J’obéis.— Je vous ai bien regardé, et pourtant c’est resté très sage, non ?— Si tu veux vraiment savoir, vers la fin du morceau il s’est collé à moi et j’ai senti son sexe contre moi, je lui avais visiblement fait de l’effet et ça m’a rendu toute chose. Voilà , tu es content ? dit-elle alors que je la regardais avec un immense sourire.— Si tu savais comme je t’aime ! Je suis le plus heureux des hommes. Ma sublime femme vient de faire bander un homme et ça l’a fait mouiller comme jamais, je ne pourrais pas être plus excité !Sur ces mots, un délicieux orgasme la traversa et je la laissai récupérer en caressant sa poitrine. Elle me plaqua sur le lit, me monta dessus et s’empala sur mon sexe dans un râle de plaisir. Elle commença à bouger et je lui embrassai le cou en pétrissant ses fesses.— Et quand tu as senti son sexe, tu as pensé quoi ?— J’avoue que j’ai été un peu désemparée sur le coup, puis je t’ai vu me regarder avec un grand sourire et j’ai continué à me frotter à lui…— Et tu as senti son sexe bander ou pas ?— Oh oui, vu la taille et comme c’était dur, il était sûrement bien bandé ! dit-elle entre deux gémissements.Je la mis alors à quatre pattes et la pris en une longue et puissante levrette. Ses gémissements s’accélérèrent, et je sentis son corps commencer à partir dans le plaisir… Je me décidai à risquer le tout pour le tout.— Je crois que si je t’avais vu mettre la main dans son pantalon j’aurais joui sans même me toucher, assis sur ce canapé…Elle partit alors dans un orgasme fulgurant et s’effondra sur le lit. Je me masturbai comme un fou et éjaculai une quantité impressionnante de sperme sur son dos et ses fesses. Je m’effondrai à mon tour à côté d’elle. Elle passa un doigt dans son dos, le glissa dans sa bouche et me dit avec un clin d’œil :— En tout cas, ça nous a fait de l’effet à tous les deux à ce que je goûte…Jamais je n’aurai imaginé ces paroles dans la bouche de ma femme. J’étais aux anges et épuisé. Nous tombâmes tous les deux dans les bras de Morphée.******Le lendemain matin, le petit-déjeuner fut l’occasion d’une discussion des plus marquantes.— Bien dormi, mon ange ?— Après la fin de soirée d’hier, tu m’étonnes, me répondit-elle.— Je trouve cette facette de toi absolument enivrante…— J’ai bien remarqué. Et je dois te dire que je trouve cela aussi excitant qu’effrayant pour être honnête.— Effrayant ? De quoi as-tu peur ?— De l’escalade. Regarde, en quelques jours je suis passé de la mère de famille stable à une femme qui danse sensuellement et fait bander un homme devant son mari !— Écoute, on a toujours discuté de tout, donc quoi que l’on fasse, on ira jusqu’où chacun de nous est à l’aise, et on peut arrêter quand on veut ! Je passe des vacances merveilleuses et je t’aime plus que tout. Ce que nous vivons depuis deux jours est peut-être juste une passade, liée à l’occasion de ces vacances loin de tout. Pour l’instant, je suis très enthousiaste avec tout ce qu’il se passe, mais je veux absolument que cela vienne de toi aussi.— J’aime beaucoup ce qui nous arrive. Ma libido a explosé, le fait d’être en vacances loin de tous ceux qu’on connaît, la chaleur, ton attitude et nos câlins depuis dix jours… J’ai envie de sexe, d’être désirée, et quand Christophe m’a invitée à danser, j’ai eu envie de lui plaire, mais devant toi. Je comprends ce que tu voulais dire quand tu évoquais ces situations, mais aussi excitant que cela soit, je ne pense pas vouloir aller plus loin que ça. Flirter avec un autre m’a donné encore plus envie de te sauter dessus. Quand j’ai vu ton érection en revenant à la table, j’ai commencé à mouiller comme jamais.— Et j’en suis le premier ravi ! Il nous reste deux jours et on rentre en France. Profitons de ce temps qu’il nous reste, laissons-nous aller sans tabou, du moment qu’on en discute et que nous en avons tous les deux envie, il n’y aura ni regret ni remords.— Ni regret ni remords ! Ça me convient tout à fait.En arrivant sur la plage, je fus ravi de découvrir Christophe allongé sur le transat à côté des nôtres. Je fus ensuite frappé par une vision de rêve : Claire enleva son paréo sombre, dévoilant son corps dans son bikini tout neuf. Elle nous tournait le dos et je vis Christophe se délecter du spectacle de ses fesses mises en valeur par ce riquiqui morceau de tissu noir. Elle se tourna vers moi, un grand sourire aux lèvres, et j’eus droit à un regard de braise, elle rajusta son haut, attirant nos regards vers sa poitrine bronzés à peine soutenus par le soutien-gorge. Elle joua ainsi avec ses seins quelques secondes puis fit semblant de remarquer notre voisin.— Oh, Christophe, je ne t’avais pas vu, bonjour !— Ne t’en fais pas pour moi, je ne pourrais mieux me sentir.— Bonjour, Christophe, je suis Bertrand. Claire m’a parlé de vous.Une discussion des plus agréables en découla. Il partait lui aussi dans deux jours, retour au boulot. Cadre célibataire en Guadeloupe depuis cinq ans, il en profitait pour beaucoup voyager et « profiter de la vie ». Il était très courtois, et s’il y eut quelques allusions à Claire, elles furent très agréables, et nous passâmes un après-midi délicieux. Il s’excusa ensuite car il avait un rendez-vous le soir. De notre côté, nous avions envie de manger dans notre chambre.Après un bon dîner au bord de la piscine en room-service, je proposai à ma femme un massage sur le transat. Je commençai à lui pétrir les épaules avec de l’huile et commençai à lui susurrer à l’oreille :— Alors pas trop jalouse que Christophe ait un rendez-vous ce soir ?— Pfff, t’es con… qu’est-ce que ça peut bien me faire !— Ha ha, et puis ça lui permettra d’évacuer sa frustration d’hier soir !— Rhoo, ça va, je me suis à peine frotté le temps d’une chanson !— C’est toi qui m’as dit qu’il bandait, dur en plus.Je commençai à descendre mes mains dans son dos, détachant le haut de son maillot sur mon passage.— Ben, je suis contente qu’il puisse s’amuser ce soir.— Tu imagines, si ça se trouve il est déjà nu avec une femme en ce moment. Tu l’imagines caresser des courbes, découvrir un corps avec sa langue ?— Arrête, t’es con ! dit-elle faiblement.Je lui retirai sa culotte et commençai à verser de l’huile sur ses fesses que je massai tendrement quelques minutes.— Il est peut-être debout, nu, une femme à ses genoux en train de lécher puis sucer son sexe, avant de se mettre en levrette devant lui et l’inviter à la prendre.Je lui écartai doucement les jambes. Mes doigts se posèrent sur son sexe que je découvris ouvert et bien humide. Je commençai à la masturber doucement, tout en caressant son anus avec mon autre main.— Imagine, toi qui a senti son sexe en érection, imagine cette femme qui sent son gland se poser sur sa chatte… imagine la reculer son bassin pour s’enfoncer elle-même cette belle queue…J’avais maintenant deux doigts dans son sexe que je bougeai doucement mais de toute leur longueur, et je massai de plus en plus fort son petit œillet.— Imagine-la le pousser sur le lit, saisir sa queue dans sa main et s’asseoir sur son corps dans un grand cri de jouissance… Imagine-la chevaucher cette belle queue jusqu’à ce qu’elle jouisse, un orgasme long et lent avec un inconnu…Claire gémissait maintenant, je la branlais de plus en plus fort et je doigtais tout doucement son cul.— Imagine-la qui vient de jouir comme jamais, elle se jette sur cette grosse queue et la suce tout ce qu’elle peut… Elle le branle en tétant son gland, et lui commence à trembler, à gémir de plus en plus fort… Imagine-le jouir, imagine son sperme jaillir dans la bouche de cette femme… puis couler sur sa poitrine car elle ne peut pas tout avaler…Ma femme jouit, dans un long cri de bonheur au moment où je terminais mon histoire… Je continuai à la masser doucement, mes caresses la firent rapidement dormir.Je me fis un pétard, me servis un rhum, et je m’installai de l’autre côté de la piscine, le plus heureux des hommes au paradis. Je fus réveillé par un tendre baiser, ma femme me réveilla pour m’emmener dans la chambre où nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre.******Dernier jour avant le retour en Métropole. Je me réveillai seul dans le lit, et en sortant de la chambre je découvris ma femme en train de nager nue dans la piscine.— S’il n’y a qu’une image que je veux retenir de ces vacances, c’est celle-ci ! clamai-je en guise de bonjour.— Bonjour, mon amour, tu me rejoins ? J’ai envie de profiter de chaque minute qui nous reste aujourd’hui. Je ne veux rien gâcher !Et je commençai ma journée par faire l’amour à ma femme dans la piscine, passionnément. Je nageais en plein rêve.À notre arrivée à la plage, nous fûmes tous les deux quelque peu déçus en constatant l’absence de notre voisin. Je plaisantai sur le fait qu’il était sans doute trop fatigué pour venir, puis la journée se passa dans la tendresse, farniente et câlins sans interruption. Le soir, nous décidâmes de sortir, restaurant puis bar, c’était notre soirée de départ. Je suggérai alors à Claire de porter la robe blanche… Si elle ne la portait pas ce soir, elle ne la porterait jamais ! Je la convainquis de l’essayer, au moins. Lorsqu’elle sortit de la salle de bain, je la trouvai fabuleusement sexy.— C’est pas un peu trop quand même ?— Non, cette robe est parfaite sur toi. Le soutif que tu as mis est vraiment discret, et cela souligne ta poitrine et la robe, c’est vraiment magnifique. Allez, s’il te plaît, mets-la ce soir…— Bon, si ça peut te faire plaisir, on peut y aller, alors. Elle se dirigea vers l’entrée.— Par contre, mon ange, on voit très clairement ton tanga sous la robe, là , pour le coup, c’est flagrant. Je pense que tu vas devoir y aller sans culotte.— Non, je vais aller me changer, tu as raison, c’est trop.— Mais non, je t’en prie ! C’est une robe longue, personne ne pourra rien voir, il n’y aura que nous deux à savoir, moi je trouve ça excitant au contraire !— T’es vraiment un petit pervers toi ! dit-elle en éclatant de rire.Mais à mon plus grand plaisir, elle remonta sa robe et descendit son petit tanga blanc avant de me le jeter au visage. La soirée s’annonçait magique !Le dîner fut parfait. Coupe de champagne en apéro, une bouteille de vin à table, et un rhum en digestif, nous étions tous les deux dans une belle ivresse, et Claire m’embrassa passionnément alors que nous nous dirigions vers le bar. Je lui glissai à l’oreille que j’avais envie de la regarder danser. Elle me lança un regard de braise et me dit d’aller commander deux Mojitos. Lorsque j’arrivai à la table, il n’y avait que son sac et je pus la découvrir se déhancher au milieu de la foule, sa robe blanche sous les projecteurs brillait presque et je pus voir beaucoup de regards de poser sur elle alors qu’elle souriait en dansant. Je contemplais ce beau spectacle quelques minutes lorsque je vis un homme se glisser derrière elle et commencer à danser collé-serré.C’était, pour mon plus grand plaisir, Christophe, qui lui chuchota quelque chose à l’oreille, ce qui la fit éclater de rire. Ils dansèrent ensuite pendant quelques minutes et je vis les mains du beau voisin glisser à quelques reprises le long de sa robe. Je commençais à sentir mon boxer se tendre à la vision de ce couple enflammé sur la piste. À la fin du morceau, Claire vint me rejoindre alors que son partenaire de danse allait au bar.— Wahou, mon amour, quel spectacle… c’était d’une sensualité folle !— Ah, tu as aimé ? Moi aussi, me dit-elle d’un air coquin. Par contre, je me suis fait griller, annonça-t-elle avant de descendre la moitié de son Mojito d’une gorgée.— Ah bon, c’est à dire, qu’est-ce qu’il a dit ?— Que j’avais eu raison de ne pas mettre de culotte sous ma robe, que c’était beaucoup plus sexy comme ça !— Hmmm, il a du goût cet homme ! Tu as répondu quoi ?— Rien ! J’ai continué de danser… peut-être un tout petit peu plus collée…— Miam, j’adore ! Mais je trouve qu’il aurait le droit à un peu plus, non ? Je bus une grande gorgée de mon verre à mon tour.— C’est-à -dire ?— J’aimerais que tu enlèves ton soutif.— Quoi ? Qu’est-ce que tu cherches ? Le ton était redevenu sérieux.— Je cherche notre plaisir, ton plaisir. Je cherche à t’exciter le plus possible ce soir… Et j’adore quand tu rends les hommes dingues. J’ai envie de folie ce soir.— Méfie-toi de ce que tu réveilles ! me lança-t-elle avant de m’embrasser profondément.— Même pas peur !Elle finit son verre et me demanda d’aller en commander deux autres, elle devait aller aux toilettes. Lorsque je revins avec les deux verres, elle était déjà retournée sur la piste, attirant à nouveau quelques regards rêveurs. En posant les verres sur la table, je découvris son soutien-gorge posé sur le siège sous son sac, à peine dissimulé. Je recommençai à bander aussitôt. Et encore plus en découvrant Christophe et ma femme dansant un slow quand je relevai les yeux. Il avait les mains très bas sur ses hanches et elle l’enlaçait. Ils formaient un très beau couple et je leur souris à l’une et à l’autre alors que je les regardais danser. Il lui chuchota à l’oreille, et elle rit en le fixant du regard avant de lui répondre en chuchotant elle aussi. Il se pencha à nouveau, lui dit autre chose, et je le vis distinctement passer sa langue sur le cou de ma femme qui ne riait plus du tout. Elle était serrée contre lui et la danse devint d’un coup beaucoup plus sensuelle. Je vis les mains de Christophe descendre et empaumer ses fesses, et en réaction elle poussa son pubis contre celui de son partenaire. Mon sexe me faisait mal tellement mon érection menaçait de faire exploser mon pantalon. Pendant quelques minutes, je pus ainsi contempler ma femme se faire doucement peloter devant moi, elle me souriait et me fixait des yeux dès qu’elle me voyait, je ne croyais pas à mon bonheur. Puis le morceau se termina et le couple se dirigea vers notre table. Elle avait les joues rouges et le regard plus brillant que jamais.— Ta femme est décidément une danseuse excellente ! me dit-il avec un grand sourire. Puis il se dirigea vers le bar.— Alors, comment te sens-tu mon amour ? me demanda-t-elle.— Je suis au paradis avec une femme sublime qui profite de chaque minute qui nous reste ici, sans regret ni remords, il est impossible que j’aille mieux… Et toi ?— J’ai chaud ! Et je suis bien ! Et j’ai faim de toi !— De quoi avez-vous discuté sur la piste ?— Il m’a demandé si tu étais au courant que j’étais nue sous ma robe. J’ai rigolé et je lui ai répondu que c’était toi qui m’avais suggéré de le faire. Il m’a alors dit que tu avais complètement raison, et que je le rendais fou. Puis il m’a embrassé dans le cou.— Tu me rends aussi dingue de désir mon ange !— Cette danse m’a enflammée ! Je veux y retourner, mais ça va aller, toi ? Encore quelques minutes de danse et on rentre, tu as intérêt à être en forme car je veux que tu t’occupes de moi toute la nuit !Je pris sa main et la posai sur mon sexe bandé à mort. Elle se passa la langue sur les lèvres, but une gorgée de Mojito, et repartit sur la piste profiter de la musique. J’étais tellement absorbé par son corps qui ondulait que je ne vis pas Christophe s’asseoir à côté de moi.— Ta femme est sublime… et quelle danseuse !— Oui, j’aime la regarder dans ces moments-là , elle est parfaite.— Ça te dérange si je retourne danser avec elle ?— Au contraire, le spectacle n’en est que meilleur !— Mais tu n’es pas jaloux ?— Écoute Christophe, je rêve depuis des années d’un trio avec un autre homme, mais Claire n’en a jamais voulu. Et là , depuis quelques jours, elle se lâche de plus en plus. Va danser avec elle, mec, et même si je ne te garantis rien, je te promets que ce n’est pas moi qui vais freiner quoi que ce soit !Il me fit un grand sourire et partit rejoindre mon amour. La musique était caribéenne et sensuelle, et Claire se colla immédiatement à lui quand elle le vit. Ses mains étaient posées sur son torse, et lui la tenait par la taille. Elle ondulait contre lui, de plus en plus sexuelle, et elle commença à lui caresser le torse tout en dansant. Il bougea très lentement ses mains qui vinrent se poser sur ses côtes à hauteur de ses seins. Elle me regarda, me sourit, et continua à enflammer nos désirs. Le morceau se termina et enchaîna sur un slow. Elle enlaça immédiatement notre voisin de plage et colla tout son corps au sien, ses gros seins écrasés sur son torse. Il empauma directement ses fesses et colla son visage dans son cou, embrassant, léchant doucement. Elle me regarda fixement, je lui souris. Elle me chuchota de loin « je t’aime », puis elle se recula un peu et embrassa Christophe, intensément, exprimant toute son excitation dans un baiser. Elle fut d’un coup presque soulevée dans les airs tellement il agrippait ses fesses. Une vague d’émotions me traversa, mon excitation me rendit fou et mon sexe voulut traverser mon pantalon tellement il était bandé. Le baiser torride dura jusqu’à la fin du morceau et ils se décollèrent alors. Une musique dansante se lança et ils recommencèrent à se faire monter le désir. Claire avait les fesses collées contre le sexe de son partenaire et ondulait doucement, ressentant sans aucun doute son excitation. Je filai au bar passer commande. Lorsque je revins à notre table, je vis que les mains de Christophe devenaient de plus en plus baladeuses, frôlant un sein, empaumant une fesse, alors qu’il lui embrassait le cou en chuchotant à son oreille. Elle était rouge d’excitation, ses yeux brillaient et elle planta son regard dans le mien tandis qu’elle frottait son corps au sien et que ses mains frôlaient son sexe à travers le pantalon.À la fin de la chanson, elle revint s’asseoir et m’embrassa passionnément, ses mains posées sur mes cuisses remontèrent déjà . Elle n’avait pas vu que Christophe était assis de l’autre côté de la banquette.— On retourne à la chambre ? Je vais te dévorer ce soir, je suis en feu ! me glissa-t-elle à l’oreille.— Ah bon, et qu’est ce qui te met dans cet état ? demandai-je malicieusement.— Cette danse, ce baiser au goût d’interdit, je suis folle ce soir et j’aime ça, mais là j’ai trop envie de toi, fini les jeux, je veux du sexe.Elle finit son Mojito cul sec… Signal du départ, mais j’avais une autre idée, et même si je risquais une fin de soirée gâchée, je jouai le tout pour le tout.— Christophe, demandai-je (Claire découvrit notre voisin de plage à côté d’elle et lui sourit), on ne s’entend pas ici avec la musique, ça te dirait de venir boire un verre à notre bungalow ?Ma femme me regarda d’un air très sérieux soudain. Je venais de faire passer la soirée à un autre niveau : de jeux de flirts et de baisers sans conséquence, s’il venait dans notre chambre la soirée risquait de prendre une tournure tout à fait différente.— Ce serait un grand plaisir pour moi, mais Claire a peut-être envie de rentrer et de passer votre dernière soirée ici en couple ? répondit-il.— Tu es gentil de demander, et surtout, tu as raison. Que veux-tu faire maintenant, mon amour ?Je voyais ma femme dans un tourbillon d’émotions. Je lui souriais doucement, lui indiquant du regard que dans tous les cas ma soirée serait parfaite. Elle sembla réfléchir intensément quelques secondes, me donna un baiser qui enflamma mes sens, puis se tourna vers Christophe avec un large sourire.— Non, Bertrand a raison, j’ai envie de m’amuser comme jamais ce soir, mais j’en ai marre de ce bar. On y va ?Nous partîmes donc tous les trois à pied. Mon cœur battait à 2000 à l’heure alors que je tenais la main de Claire et que nous discutions de tout et de rien. Arrivés dans notre bungalow, Claire éclata de rire et me lança un regard complice : j’avais commandé une bouteille de champagne et trois coupes qui nous attendaient au bord de la piscine. Je servis les bulles et nous trinquâmes à ces vacances au paradis. Je bus une gorgée et allai lancer de la musique, une playlist entraînante, mais douce, que nous écoutions souvent lors de nos ébats. L’ambiance était posée.— Tu n’as plus envie de danser mon amour ?— J’ai toujours envie de danser, tu le sais bien !— Et moi j’adore vous regarder, quel chanceux je suis ! lançai-je avec un clin d’œil en m’installant sur une chaise avec mon verre.Elle but sa coupe cul sec et se mit à danser seule, ondulant avec la musique. Christophe s’avança alors vers elle et le plus beau spectacle de ma vie commença. Elle se colla à lui et la danse commença… sage au début, pour le plaisir de la musique, mais au fur et à mesure les mains commencèrent à s’égarer : elle lui caressait le torse sensuellement, il passait de ses fesses à son cou, longeant ses seins. La robe magique soulignait cette ambiance torride, ses tétons semblaient traverser le tissu, et à force de caresses, l’étoffe étant un peu entrée dans la raie de ses fesses nous dévoila son cul que j’aimais tellement. Je recommençai à bander doucement. Puis elle commença à embrasser son partenaire : quelques petits baisers qui se réchauffèrent rapidement. Je vis sa respiration devenir plus profonde, plus rapide aussi. Alors qu’ils étaient enlacés, je vis les mains de mon amour caresser la bosse de belle taille qui déformait le pantalon de notre ami. Je me levai alors et me glissai derrière elle, prenant ses fesses à pleine main alors qu’ils s’embrassaient toujours. Je lui chuchotai « je t’aime », et sentis sa main se poser sur mon sexe, elle avait maintenant une queue sous chaque main. Elle gémissait doucement sous nos caresses, Christophe lui caressait la poitrine doucement, alors je descendis la fermeture de sa robe, écartai les bretelles, et la fine étoffe blanche tomba au sol, révélant le corps nu de mon ange. Christophe se recula, les yeux grands ouverts, et approcha sa bouche d’un téton, qu’il commença à titiller doucement. Elle bascula sa tête en arrière, sur mon épaule, et un long soupir s’échappa de ses lèvres. Elle me dit « je t’aime » à voix basse, et je lui chuchotai « ni regrets ni remords, mon amour, laissons-nous aller ».Je la sentis se tendre d’un coup et vis alors que notre beau voisin de plage avait sa main posée sur la vulve de ma femme alors que sa tête passait d’un sein à l’autre dans une caresse douce et sensuelle. Ses doigts caressaient les grandes lèvres, prenaient leur temps… Les soupirs de ma femme s’intensifièrent. J’embrassai Claire en lui caressant les fesses et sentis la main de Christophe de plus en plus aventureuse. Elle lui releva la tête et l’embrassa passionnément, leurs langues se dévorèrent à quelques centimètres de mon visage. Elle saisit son autre main et la plaqua sur ses seins, elle aimait les caresses très franches sur sa poitrine et le lui fit savoir.Après quelques minutes, je poussai gentiment ma femme vers le grand « day bed » pour qu’elle s’y assît. Les jambes ouvertes, elle nous regarda avec un air gourmand sur le visage. Elle s’allongea alors, et je constatai que non seulement son sexe était trempé, mais que sa mouille rendait luisante le haut de ses cuisses, elle coulait de désir. Je m’agenouillai sur le lit derrière sa tête, et Christophe, à genoux lui aussi mais au pied du lit, entre les jambes de ma femme, commença à lécher ce nectar pour remonter à sa source. Claire fixa ses yeux dans les miens, et je pus voir ainsi le moment où la langue de notre partenaire atteignit le sexe de ma femme. Ce fut une décharge électrique, elle m’avoua plus tard avoir connu son premier orgasme de la soirée à ce moment-là . Je regardai ensuite la scène, la langue virevoltait entre les lèvres, passait sur son clitoris déjà gonflé, ses doigts caressaient doucement l’entrée de son vagin, et les gémissements reprirent, beaucoup plus intenses. Je caressai ses seins, de plus en plus fort comme elle l’aime lorsque l’excitation monte, j’embrassai et mordillai légèrement ses tétons plus que sensibles. Elle avait saisi le visage de Christophe et de petits cris jaillirent de sa gorge. Notre partenaire de jeu se concentra sur son clitoris à grands coups de langues appuyées et avait maintenant deux doigts enfoncés dans son sexe. Elle commença à se cabrer sous l’effet du plaisir et je vis la vague de l’orgasme la prendre, elle jouit dans un long cri, son corps tremblant tout entier pendant de longues secondes.Elle repoussa Christophe car son clitoris était devenu trop sensible. Il se releva, le visage brillant de mouille, une bosse considérable tendant son pantalon. J’étais moi aussi dans un état d’excitation incroyable. Elle se leva, sublime dans sa nudité, les seins gonflés de désir, et nous offrit la vision de son cul alors qu’elle se penchait pour se servir une coupe de champagne, qu’elle but d’un trait, avant de nous regarder d’un air coquin.— Ce n’est pas très juste, je suis complètement nue et vous êtes encore tout habillés, dit-elle avec un petit sourire innocent. Moi aussi je veux du spectacle…Quelques secondes plus tard, nous étions aussi nus qu’elle, et elle se passa la langue sur les lèvres avec gourmandise. Christophe était vraiment très bien foutu, un corps musclé, mais mince, et un sexe magnifique : large, long, il était légèrement courbé vers le plafond, complètement rasée l’imposante colonne de chair surplombait deux grosses couilles. Claire le regardait avec envie.— Je crois que je n’ai jamais eu une queue aussi grosse sous les yeux.— Elle est magnifique, mon amour, tu as raison. Vas-y, découvre-la, amuse-toi, mon ange.Elle saisit alors le sexe dans sa petite main et le dirigea vers le lit où elle s’assit. Elle caressa cette queue, soupesa les bourses, et me fit un regard de braise avant de passer le bout de sa langue sur toute la longueur et d’emboucher le gland dans la foulée. Christophe laissa échapper un long gémissement, et je m’approchai en me caressant alors qu’elle commençait une fellation dont elle avait le secret. Elle alterna les longues succions avec les coups de langues sur le gland, puis elle se mit en tête de l’avaler en entier. Elle y arrivait avec la mienne, mais cela lui avait pris du temps, et là le défi était tout autre. Lentement, elle s’enfonça cette grosse queue au fond de la gorge, une main sous ses bourses, l’autre se posa sur mon sexe et elle commença à me branler. Ma femme avait deux bites pour elle, et j’étais sur un nuage… Elle parvint, non sans difficulté, à emboucher la totalité de la colonne de chair. Christophe n’en revint pas, et elle le regarda, de la fierté au fond des yeux. Puis la fellation reprit, et ma femme attira ma queue vers sa bouche. Elle nous branla tous les deux, et nous suça chacun notre tour. Nous lui caressâmes la poitrine, et je montrai à notre partenaire qu’elle aimait qu’on malmène avec tendresse ses gros seins. Cela eut pour effet de faire remonter son excitation et je sentis qu’elle s’activait de plus en plus sur nos sexes.Puis elle refit une gorge profonde à Christophe, et fit quelques mouvements avec tout son sexe en elle. Lorsqu’elle ressortit, elle était luisante de salive, et là , elle s’allongea sur le lit, écartant les jambes dans une invitation. Deux mots sortir d’une voix rauque de ses lèvres : Alors je regardai, dans un ouragan d’émotions, cette grosse queue s’approcher de la vulve de ma femme, de mon amour. Je posai ma main sur celle de ma femme qui me branlait toujours pour la stopper, car sinon j’aurais joui au moment où le gland se posa sur ses lèvres. Elle regarda fixement cette colonne la pénétrer tout doucement… entre sa salive et son sexe trempé, il la prit très lentement mais d’un seul mouvement, jusqu’à la garde. Alors elle leva les yeux vers moi, tout son corps répondant à ce sexe en elle, et me dit :— Elle est si grosse, merci, mon amour, je t’aime. Puis elle riva son regard dans celui de Christophe qui commença à aller et venir en elle, ressortant presque totalement avant de replonger au fond de son vagin. De petits cris sortaient de la bouche de ma femme, à chaque pénétration les cris s’intensifièrent. Je caressai ses seins avec mon sexe, puis elle attrapa ma queue et me suça doucement d’abord, mais avec les coups de reins de son amant qui accéléraient, elle suivit le rythme. Il allait maintenant à fond, fort et sans arrêt, en accélérant toujours. Une frénésie de sexe s’empara alors de nous trois, je lui pétrissais les seins, elle me suçait entre deux cris de plaisir et me branlait très vite, je sentais les coups de queue de Christophe se faire sentir dans tout son corps. Puis Christophe se retira, et l’invita à se mettre à quatre pattes. Je me mis devant elle et lui caressai le visage de ma queue, tendrement. Il la prit en levrette d’un seul coup de toute sa longueur, et je vis la bouche de mon amour s’ouvrir pour un long cri silencieux. Il commença une pénétration très puissante et très rapide, en s’accrochant à ses gros seins qui ballottaient divinement sous elle. Tout à coup, un hurlement jaillit de la gorge de ma femme, arquée comme jamais, la longue queue plantée au plus profond d’elle. Les contractions de son sexe lors de cet orgasme eurent raison de la résistance de son amant qui dit dans un souffle :Claire se dégagea, se jeta sur le gland gonflé et le pompa en jouant de sa langue tout en le branlant très vite. Dans un cri, il jouit à son tour, et je vis ma femme, l’amour de ma vie, avaler les premières giclées avant de libérer cette queue qui continua à cracher son sperme sur son menton puis sa poitrine. Sentant que j’allais aussi jouir, je m’approchai de ma femme, qui saisit mon sexe pour le branler, et au moment où j’éjaculai elle me dit « je t’aime », avant d’enfourner ma queue dans sa bouche et de m’avaler jusqu’à la dernière goutte.Elle s’allongea ensuite sur le lit pour récupérer. L’ambiance était surréaliste sous la lumière de la lune. Claire, alanguie, du sperme sur les seins, sur le menton, les yeux brillants, la chatte rougie, heureuse. Christophe et moi, debout à côté du lit, la regardions alors que nos deux sexes dégonflaient. Après quelques secondes, elle se leva et partit vers la salle de bain pour une petite toilette. Nous nous assîmes sur les fauteuils du jardin après nous être resservi une coupe. Je lui proposai un pétard qu’il accepta, et nous étions là , nus, au paradis. J’étais encore en train de réaliser ce qui venait de se passer.— Alors, ça t’a plu, pas déçu ni jaloux ? me demanda-t-il en tirant une bouffée odorante.— Au contraire, c’était le moment le plus fou de ma vie sexuelle, j’ai ressenti de la jalousie, mais mon excitation était telle, et le plaisir de Claire si grand, que cela ne m’a pas du tout dérangé. Et toi ?— Je n’ai pas l’habitude de ce genre de situation, mais c’était tout aussi merveilleux pour moi. Claire est une déesse, c’est une amante formidable.— Ah ça, tu prêches un convaincu ! Mais toi aussi dis donc tu es un excellent amant, et cette queue, impressionnante ! Je jetai un regard sur son sexe maintenant au repos, mais toujours aussi massif.— Merci, mais je dois dire que jamais je n’avais été sucé comme ça, les talents de ta femme m’ont mis dans une forme olympique. Et j’adore comme elle se lâche de plus en plus avec le désir.— Et encore, cela peut aller plus loin ! Elle aime se faire un tout petit peu malmener, dans le respect bien sûr, mais lorsqu’elle se lâche c’est une vraie bombe prête à exploser.Nous savourions cette nuit délicieuse lorsque mon amour sortit de la salle de bain, couverte d’une nuisette noire très transparente et juste assez courte pour me rendre fou.— Je ne savais même pas que tu avais amené cette nuisette !— C’était une surprise pour toi, mais je me suis dit que ça plairait aussi à notre voisin de plage… Elle tourna sur elle-même sous la lune, nous admirâmes cette vision.— C’est… Wouah… !La vision des gros seins à demi cachés, du bas de ses fesses dévoilé, tout cela enlevait les mots de la bouche de Christophe.— Je me disais bien aussi ! dit-elle en riant, ravie de se savoir désirée comme jamais.Elle prit la coupe que je lui avais servie, me piqua le pétard, et trinqua avec nous : — À cette soirée de rêve ! Elle s’installa sur mes genoux, offrant une vue divine sur son corps. Le moment dura, calme et tendre, jusqu’à ce qu’elle se lève pour aller écraser le pétard dans le cendrier. La vue de la nuisette se soulevant, découvrant complètement ses fesses, nous laissant distinguer sa vulve entre ses cuisses, fit que le sexe de Christophe commença à se relever.— Mon amour, je crois que ta tenue a réveillé notre désir, regarde le sexe de notre ami…— Ah bon ? Et si je me penche encore plus comme ça ? Sans se tourner vers nous, elle écarta les jambes et se pencha jusqu’à toucher le sol de ses mains. Ses seins cherchaient à échapper à la nuisette alors que son sexe s’ouvrait devant nos yeux, révélant l’humidité qui commençait à briller sur ses lèvres.— Attention, sinon on va te sauter dessus à ce rythme !— Rhooo, je ne pensais pas que je vous ferais autant d’effet…Elle était féline, allumeuse, sexuelle, et s’amusait visiblement à voir nos deux sexes commencer à bander. Elle s’assit alors devant nous sur un transat, écarta franchement les jambes, et commença à se caresser en nous regardant. Elle faisait aller ses doigts sur son clitoris, et alternait en se doigtant doucement mais profondément. Des petits soupirs s’échappaient de sa gorge, et ses yeux étaient fixés sur nos queues qui gonflaient. Elle se leva tout en léchant ses doigts couverts de mouille et se dirigea vers le day bed. — Venez ! nous lança-t-elle en nous souriant de plus belle. Elle s’assit devant nous, continuant à se caresser.Je m’agenouillai alors à mon tour devant son sexe et, encore une fois, la mouille coulait déjà sur ses cuisses. Je me régalai de cette liqueur et commençai à lui lécher les lèvres puis, jouant de ma langue, je la pénétrai et fis monter son désir encore plus haut. — Quelle queue, mais quelle queue ! entendis-je au-dessus de moi.Je levai les yeux et découvris une image qui se grava dans mon cerveau. Je vis ses seins gonflés de désir tendre le tissu de la nuisette, et à travers celle-ci, je vis les lèvres de mon amour emboucher tendrement le gland de Christophe. Elle tenait sa queue dans une main et caressait ses couilles de l’autre. Je continuai alors à la lécher, de plus en plus fort, et ma langue puis mon doigt s’approchèrent de son anus. J’eus à peine à pousser pour que mon doigt pénètre son petit trou, et un gémissement s’échappa de sa gorge, étouffé par la queue de notre beau voisin. Je la doigtai ainsi tout en lui léchant le sexe, et je posai ensuite un deuxième doigt qui entra lui aussi très facilement. J’avais maintenant deux doigts entièrement dans son cul et ma langue qui lui pénétrait le sexe comme une mini queue. C’était maintenant des petits cris qui sortaient de sa gorge, elle continua de le sucer lentement… Je voulus qu’elle se lâche encore plus.— J’adore te lécher la chatte alors que tu lui suces la queue, mon amour. Les mots crus, c’était quitte ou double, mais je n’en pouvais plus moi-même et cela sortit comme ça.— Si tu savais comme j’aime ça aussi ! Et tes doigts dans mon cul, Hummmmm ! Et toi, je veux tes mains sur mes seins… Vas-y, je veux que tu me pétrisses les nichons.— Avec grand plaisir ! Tu es divine, ma chère, et ta bouche fait des miracles sur ma queue, dit-il en lui attrapant les seins de ses deux mains et en les malaxant.Je rentrai moi aussi à fond dans cette frénésie et posai maintenant trois doigts sur l’anus de mon ange. Si elle avait toujours aimé que je joue avec son cul, nous n’avions jamais été jusqu’à la sodomie, mais cette soirée était celle de toutes les découvertes. Je poussai doucement, et j’eus le plaisir de sentir mes trois doigts pénétrer profondément alors que ses cris s’accéléraient. Je m’activai sur son clitoris tout en lapant la mouille qui coulait, je n’en avais jamais vu autant. Elle eut un nouvel orgasme lorsque je commençai à faire aller et venir mes doigts alors que les mains puissantes de Christophe lui serraient les seins. Elle poussa alors notre partenaire de jeu qui s’allongea sur le dos, lui saisit le sexe, et s’empala d’un coup jusqu’à être assise sur sa queue. Elle me sourit, et la chevauchée débuta. Je m’approchai de cette scène, observant, fasciné, cette grosse queue lui écarter les chairs à chaque mouvement qu’elle faisait. Il avait son visage enfoui entre ses seins et elle adorait ça. Elle avait pris le contrôle.— Oh, putain, elle est vraiment grosse ! Vas-y, bouffe-moi les seins, plus fort, je vais te baiser jusqu’à plus soif.— Mon amour, cette queue dans ta chatte me rend dingue, et j’adore te regarder.— Tu aimes quand je baise, c’est ça ? me dit-elle en amplifiant ses mouvements.Alors qu’elle le chevauchait, je commençai à lui caresser les fesses, puis j’approchai un doigt de son cul et, en sentant sa réaction, je commençai à lui lécher l’anus, la pénétrant légèrement de ma langue. Je sentis la queue qui coulissait à quelques centimètres de ma bouche.— Oh oui mon cœur, bouffe-moi le cul pendant qu’il me baise, c’est trop bon !Elle s’agitait de plus en plus, j’avais du mal à continuer à jouer de ma langue. Tout à coup, le sexe de Christophe sortit de Claire, et dans un réflexe je le pris et le présentai à l’entrée du vagin de ma femme qui s’assit à nouveau dessus. J’avais touché sa bite et n’en étais que plus excité encore. Elle dut le sentir, car elle se dégagea, et se retourna pour me faire face. Je pris alors la queue à pleine main, la branlant quelques secondes avant de l’enfoncer dans ma femme qui me regardait intensément. Elle recommença à bouger, mais j’en voulais encore plus. Alors qu’elle était tout en haut de sa queue, je la stoppai, et Christophe comprit le message, commençant à s’agiter sous elle. Elle faisait comme un pont, les mains sur le torse de notre amant, lui, lui tenait toujours les seins en faisant de grands mouvements de bassin. Je commençai à caresser son sexe qui coulait de mouille, et elle me regarda avec d’un air incroyablement coquin et me dis :Je plongeai vers son clitoris et passai ma langue sur les deux sexes emboîtés. Claire commença alors à jouir, mais sans s’arrêter. Elle criait, s’agitait sur la queue qui l’embrochait, et j’essayais tant bien que mal de lécher tout ce qui passait à portée de langue. Sa jouissance s’acheva dans un grand cri, et elle se dégagea de la colonne de chair qui jaillit devant mes yeux.Je la saisis alors, commençai à la branler doucement, et finalement je posai ma bouche sur son gland. Je sentis le goût de ma femme, mais aussi le sien, j’étais en train de sucer une grosse queue couverte de la mouille de ma femme et j’adorais cela. Elle me regarda avec des yeux surpris mais plein d’amour, et se glissa par terre afin de me sucer également. Après quelques instants de ce délicieux intermède, elle se glissa contre moi, me chuchota un « je t’aime » enflammé, et vint m’accompagner pour une double fellation. Nos langues s’entremêlèrent autour de son gland, nous nous embrassâmes au-dessus et alternâmes de longues succions sur cette si belle queue. Les gémissements de Christophe nous excitèrent encore plus. Je stoppai ma fellation pour regarder mon ange se concentrer sur ce sexe, elle était à quatre pattes dans une position des plus sexuelles. Je dirigeai mes caresses vers l’anus de ma femme que je recommençai à stimuler de plus belle. Deux, puis trois doigts lubrifiés par la mouille pénétrèrent bientôt au plus profond de son cul, alors que je lui mordillai les fesses tendrement. Ses gémissements étouffés par la queue de notre amant reprirent alors, pour notre plus grand plaisir à tous. Je bavais copieusement sur ce cul, amenant sa mouille, lubrifiant tout ce que je pouvais. Elle tourna alors son visage rouge de désir vers moi et me souffla deux mots : Je commençai par la prendre en levrette, dans sa chatte, et ressortis mon sexe luisant de mouille. Son anus trempé m’attirait terriblement. Je posai mon gland sur son œillet et commençai à pousser doucement. Les gémissements s’interrompirent et je vis sa main voleter sur sa chatte, stimulant son clitoris furieusement. Je m’interrompis juste après que mon gland fut passé. Elle reprit la fellation de plus belle tout en se caressant, et recula doucement son cul, s’empalant tout doucement sur mon sexe. Je fus bientôt entièrement en elle, et je débutai de très lents mouvements. Les gémissements reprirent, encore plus intenses. Bientôt, elle accompagna le rythme, projetant son cul divin sur ma queue. Elle tourna la tête vers moi et dis d’une voix rauque :Je me lançais alors dans de grands mouvements, mes couilles claquant sur son sexe, et je lui claquais les fesses, lui arrachant des cris de plaisir. Elle se déchaînait sur la queue de Christophe, je voyais de la salive qui coulait, elle criait maintenant sans interruption, des cris étouffés par le gros sexe qui me rendaient fou. Notre amant avait de plus en plus de mal à se retenir de jouir. Je sentais sur mon sexe sa main qui frottait sa chatte et je sentis soudain son cul se contracter. Un cri suraigu jaillit de sa gorge et elle jouit, tout son corps tendu par le plaisir. Je me retirai et explosai en grandes giclées sur son dos et ses fesses alors que Christophe se branlait à toute vitesse, puis je vis avec ravissement de lourdes traînées de sperme jaillir de sa belle queue, maculant le visage de ma femme qui reprit le gland en bouche pour recueillir les dernières gouttes. Je l’embrassais alors passionnément, goûtant le sperme d’un homme pour la première fois de ma vie. Nous nous écroulâmes alors sur le lit, tombant dans un sommeil profond immédiatement.Je me réveillai en premier et contemplai pendant quelques minutes le corps de ma femme, couverte de sperme, allongée contre notre amant. Je me roulai un pétard et me servis un rhum, contemplant la lune et les étoiles, nu au bord de la piscine.— C’était délicieux mon ange, chuchota ma femme qui se réveillait doucement.— Je n’ai jamais joui aussi fort, mon amour, c’était juste fou.— J’en ai partout par contre, il faut que je me rince, dit-elle dans un éclat de rire.Elle plongea dans la piscine, réveillant son corps et se nettoyant par la même occasion. Les éclaboussures réveillèrent Christophe, qui plongea lui aussi. Je les suivis, et bientôt nous étions tous les trois enlacés, debout au milieu de la piscine, Claire nous embrassant tour à tour. Une fois sortis de l’eau, nous retournions sur le day bed pour partager ce pétard dans un moment de tendresse. Notre amant, absorbé par la vision de ma femme nue sous la lune, avait un sourire scotché aux lèvres. Je posai ma main sur son sexe qui se réveilla immédiatement. Je le branlai doucement, fasciné par cette queue qui nous avait donné tellement de plaisir. Claire se colla le long du corps de Christophe, et commença à l’embrasser alors que j’approchai ma bouche de son gland. Je le suçai alors doucement, tranquillement, en le branlant jusqu’à ce qu’il soit au mieux de sa forme. Je dis alors à mes amants :— Je veux vous regarder maintenant, je veux vous voir prendre votre pied.— Tu me fais mouiller juste avec des mots maintenant, quelle révélation, cette soirée ! répondit Claire dans un sourire. Est-ce que tu peux m’aider ? demanda-t-elle en passant au-dessus de Christophe pour le chevaucher.Je tenais toujours le sexe en main, je le suçai une dernière fois en bavant pour lubrifier au mieux et le présentai sur la vulve de Claire qui s’empala dans un grand mouvement. Elle stoppa ensuite, savourant la sensation de cette grosse queue qui la remplissait entièrement. Après quelques minutes, elle commença à bouger doucement, faisant monter son plaisir à son rythme. Christophe haletait, caressant doucement les seins de ma femme, comprenant nos désirs de tendresse. Nous observâmes tous les deux l’orgasme de Claire monter, doucement, longuement, elle jouait avec cette queue pour prolonger le moment au maximum. Je me caressais tout en les regardant, fasciné par cette image de son sexe qui écartelait les chairs, par les gros seins de ma femme ballottants, emprisonnés dans les mains de notre amant. La jouissance fut longue, très longue, elle était assise et bougeait uniquement son bassin, je vis ses yeux basculer alors que l’orgasme la balayait, merveilleuse déesse du sexe.Constatant que ni lui ni moi n’avions joui, elle se mit à genoux, un air innocent sur le visage, et nous dit dans une voix à l’opposé de son air angélique : — Je veux votre sperme sur moi. Nous nous approchâmes alors, nous branlant énergiquement devant son visage. Je jouis le premier, explosant sur ses seins, et pris d’une impulsion, je saisis le sexe de Christophe et le branlai très vite. Je fis ainsi exploser notre amant qui éjacula une quantité impressionnante de sperme sur le visage de ma femme. Elle en avait partout, sur les cheveux, sur les seins, cela gouttait au sol. Elle m’embrassa passionnément, puis partit vers la douche. Christophe me regarda alors, un immense sourire aux lèvres. Il me remercia et se rhabilla doucement avant de partir en toute discrétion. Je rejoignis mon amour dans la douche, puis nous allâmes nous coucher, épuisés et heureux…Le lendemain, au moment du départ de l’hôtel, alors que j’étais à la réception, je vis Christophe s’approcher de ma femme, et ils discutèrent quelques instants avant qu’elle le prenne dans ses bras pour un beau dernier câlin. Nous rentrâmes vers la France et gardâmes depuis ce jour le souvenir de ces vacances qui nous avaient transformés, et qui nous avaient amenés vers d’autres aventures… Mais ça sera pour une prochaine fois, si ça vous a plu…P.S. Voici donc mon premier texte, qui relate un de mes nombreux fantasmes. J’espère que ça vous a plu, et merci de m’avoir lu !