Bonjour à la communauté,
Je m’appelle Armelle, j’ai 56 ans et je vis près de Dijon. Je ne suis pas à l’aise à l’idée de vous raconter cette histoire taboue parce qu’aujourd’hui encore, elle me fait beaucoup d’effet. J’ai pris beaucoup de plaisir et j’ai envie de le partager.
Je suis en forêt avec mon gendre pour ramasser des champignons. Mon mari et ma fille étaient occupés au travail. Régulièrement, nous faisions ce genre de sortie sauf que celle-ci a été totalement différente. Je me rappelle qu’il faisait très chaud et qu’il n’y avait pas beaucoup de champignons dans la forêt. J’avais mis un vieux pantalon pour crapahuter et j’ai bien fait, car il s’est déchiré. Évidemment, avec ma chance, c’est la couture principale qui a lâché ce qui faisait que j’avais complètement le cul à l’air.
Je ne porte jamais de culotte ce qui fait que lorsque je me suis penchée, le pantalon s’est ouvert, mon gendre a pu admirer mes grosses fesses charnues. J’ai la croupe complètement poilue de l’anus au pubis. J’aime être totalement naturelle et cela plaît énormément à mon mari. Je n’ai pas honte de cela, mais avouez que la situation était bien gênante ! J’ai tout de suite voulu mettre un terme à cette cueillette de champignons, mais mon gendre a réussi à détendre l’atmosphère en faisant quelques blagues salaces. Je le savais taquin et coquin, cela s’est confirmé !
Nous avons donc repris la cueillette de champignons, mais je voyais bien qu’il était toujours derrière moi. Je me suis évidemment doutée que c’était uniquement pour reluquer mon cul. En voulant plaisanter, je lui ai dit que vu que si mon cul l’intéressait plus que les champignons, il n’avait qu’à le regarder une bonne fois pour toutes afin que l’on passe à autre chose. Quelques minutes plus tard, j’étais accroupie en train de ramasser un champignon lorsque j’ai senti le visage de mon gendre s’approcher de mes fesses. Paralysée par la situation, je n’ai pas bougé et l’excitation est rapidement apparue. Il était tout près de ma croupe que je savais fort odorante. Il m’a demandé la permission de toucher, mais n’a pas attendu la réponse. Il a mis sa main sur ma croupe ce qui fait que j’avais mon anus dans sa main et son majeur plaqué entre les lèvres de ma chatte. Je dégoulinai de mouille et d’excitation. Je vous rappelle que je suis position accroupie. Il mettait une main sur mon dos et l’autre sur ma croupe. Je ne pouvais pas me relever et j’étais ainsi soumise à ses moindres caresses.
Son majeur a pu trouver facilement le chemin de mon vagin grâce à la mouille qui ruisselait depuis quelques minutes dessus. Pour tout vous dire, j’étais tellement excitée que j’aurais pu m’empaler sur un tronc d’arbre ! Il m’a doigté le vagin avec une grande expérience ce qui m’a fait jouir rapidement. Lorsque j’ai joui, je me suis laissée tomber en avant en m’appuyant sur mes mains. Si vous avez bien suivi la situation, je me retrouve donc en position de levrette. Mon gendre a baissé son pantalon et s’est enfoncé immédiatement dans ma chatte. La pénétration a été brève, mais intense. Il m’a mis une bonne douzaine de coups de queue dans le vagin et s’est répandu dans mes entrailles. Il ne portait pas de préservatif et l’excitation était à son comble. Il s’est retiré, s’est essuyé sur mes fesses et sur mon anus gluant qui a récupéré la dernière goutte de son foutre. Il a remballé sa bite et ses couilles vides.
Il m’a ensuite aidée à me relever et m’a dit, toujours en plaisantant, que je devais serrer les fesses pour ne pas salir les sièges de sa Mercedes. Voilà comment je me suis fait baiser par mon gendre en forêt pendant que mon mari et ma fille étaient au travail. Ils n’en ont jamais rien su et cela ne s’est jamais reproduit. Je n’avais jamais parlé de ceci à quiconque jusqu’à maintenant dans cette histoire taboue.
Armelle 56 ans Dijon.
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