Mon mac Allemand
C’est l’histoire d’un travesti de 51 ans, bien en chair, adepte de naturisme qui tombe entre les griffes d’un vieux pervers allemand et de ses acolytes…C’est mon histoire, en grande partie fantasmée, mais dont les personnages principaux existent bel et bien ; la rencontre dans la gravière naturiste a bien eu lieu, mais n’a pas eu de suite.
HĂ©las ?
Proposée le 1/03/2018 par soumize Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme soumisPersonnages: HHLieu: InclassableType: Fantasme
C’était il y a une dizaine d’années, j’avais 51 ans, veuf depuis plusieurs mois. Depuis des années je me travestissais occasionnellement, m’épilais intégralement, mais j’avais fait très peu de rencontres, je n’avais été sodomisé qu’une seule fois, avec difficulté.
Depuis deux ans, je fréquentais une gravière en Allemagne, à quelques kilomètres de Strasbourg, j’avais appris par un partenaire éphémère dans un sauna que la plage sud était fréquentée par des homos et était naturiste. C’était vrai et j’y allais souvent en sortant du boulot, de mai à octobre.
J’avais été dragué plusieurs fois (un mec au corps totalement lisse et à poil c’est forcément un pédé qui cherche…), j’avais toujours refusé car je cherchais un mec qui me baise dans un lit, pas dans les fourrés, je tenais à un minimum de confort et de discrétion. Je n’avais accepté qu’une seule fois, un vieux qui m’a emmené dans son appartement à quelques kilomètre de là ; mais il ne bandait plus, il m’a demandé de m’exhiber devant lui en travelo, m’a branlé, m’a léché le petit trou, ça j’ai adoré… Mais je restais sur ma faim, je n’étais toujours pas une enculée …
Je m’installais toujours au même endroit, à quelques mètres d’un homme âgé, environ 65 ans, grand, assez enveloppé (je suis moi-même assez enveloppé), il me plaisait bien mais je n’osais pas l’aborder, nous nous disions juste bonjour /au revoir…
Ce jour-là je décidai de tenter ma chance, j’irai me baigner en sortant du boulot, mais cette fois je lui donnerai un signe ; je mis une petite culotte de satin rose avec dentelle grise, je m’arrangerai pour la voie bien quand j’enlèverai mon pantalon. Peut-être que cela sera suffisant pour qu’il devine mes intentions.Le moment venu, par chance il n’y avait personne d’autre à proximité immédiate, j’enlevai ma chemisette, puis mon pantalon, lentement pour il ait bien le temps de voir ma jolie petite culotte, quand je la retirai j’essayai de le faire de la façon la plus féminine possible. Quand je m’allongeai, il me fit un grand sourire, je suis sûre que j’ai rougi ; je lui ai également souri. De temps en temps je jetai un regard furtif et je constatai qu’il m’observai discrètement. C’était plutôt bon signe.
J’allai nager quelques minutes, quand je revins à ma place il ne me quittait pas du regard, avec un petit sourire, mais ne disait rien ; de mon côté je ne savais comment engager la conversation, lui non plus visiblement. Le soleil tapait dur ce jour-là , je commençai à m’enduire de crème solaire, d’abord devant, poitrine, ventre, cuisse, jambes ; je terminai par le sexe. Je constatai qu’il ne me quittait plus des yeux. Plutôt bon signe. Je me tournai et entrepris de m’enduire le dos, nettement moins facile que l’avant… je me dis que c’était le moment de tenter le tout pour le tout, je poussai de petits soupirs pour bien montrer que j’avais du mal à accéder au milieu du dos…et ça a marché, il m’a demandé si je voulais qu’il s’en charge, je m’empressai d’accepter. Il plaça son drap de bain juste à côté du mien, je constatai que son sexe était en érection. Il m’enduisit copieusement le dos, en massant bien, continua par les jambes puis les cuisses, il me fit remarquer qu’il avait l’impression de caresser une femme, tellement ma peau était lisse et douce. Je répondis que je m’épilai régulièrement.
– C’est vrai que pour porter des dessous fĂ©minins c’est prĂ©fĂ©rable, plus joli dit-il.
On y était, il avait réagi comme je j’espérai. Il s’occupa enfin de mes fesses, il me les tartina généreusement, insista particulièrement sur ma raie, s’attarda sur ma petite rondelle vierge :
– Il faut bien protĂ©ger ta petite chatte du soleil me glissa-t-il Ă l’oreille.
Je poussai un petit grognement de satisfaction, mon sexe était en érection, il dû s’en rendre compte car je me cambai légèrement, il glissa une main sous moi et saisit ma verge :
– Elle est excitĂ©e la petite pute.
– Oui, très excitĂ©e.
– Maintenant c’est Ă ton tour de t’occuper de moi.
Je ne fis pas prier, il se recoucha sur son drap de bain, sur le dos, sa queue bien dressée, une queue assez fine, plus longue que ma petite bite de femelle. Je lui tartinai consciencieusement la poitrine, le ventre, puis comme il m’avait fait je m’occupai de ses jambes, puis de ses cuisses ; quand je fus parvenu en haut de ses cuisses il plaqua une main derrière ma tête et la dirigea vers son sexe toujours tendu, je ne résistai pas et la pris à pleine bouche. Je l’avalai goulument, elle durcissait encore ; il m’interrompit après quelques va et vient en me faisant remarquer que nous n’étions plus seuls sur la plage ; d’autres mecs étaient arrivés entre temps et nous regardaient :
– Il y a trop de monde ici je n’aime pas ça, on va aller chez moi, on sera plus tranquilles.Il m’expliqua qu’il habitait Ă cinq minutes en voiture, dans une maison isolĂ©e, discrète, j’acceptai. Nous allâmes faire trempette une dernière fois pour nous rafraichir, nous nageâmes quelques minutes cote Ă cote. Juste avant de sortir de l’eau, il se colla Ă moi, m’embrassa de force et força mon anus avec un doigt, quand nos lèvres se sĂ©parèrent il me dit :
– Que les choses soient claires, je suis le Mec, tu es ma femelle.
Je confirmai que c’était bien ce que j’avais compris que je serai une petite femelle très très docile. Nous sortîmes de l’eau, nous séchâmes et nous nous rhabillâmes. Quand je remis ma petite culotte il me demanda si j’avais d’autres dessous féminins, je lui dis que j’avais une garde-robe complète, il parut ravi. En allant rejoindre nos voitures il m’expliqua qu’il était veuf aussi, qu’il partageait une grande maison à l’écart du village de Willstätt avec sa sœur cadette. Sa sœur était très discrète et très ouverte, elle ne serait pas choquée de le voir revenir avec un homme, enfin plutôt avec un homme femelle dit-il en riant.
Je suivis donc sa voiture, effectivement nous fumes rendus en moins de cinq minutes, c’était une grande maison isolĂ©e, je pus constater qu’il y avait un grand jardin entourĂ© de hautes haies, on pouvait y faire du naturisme sans crainte de regards indiscrets. Sa sĹ“ur Ă©tait absente, il m’emmena sur une grande terrasse donnant sur le jardin. Il me proposa une bière et m’ordonna de me dĂ©shabiller en ne gardant que ma petite culotte pendant qu’il cherchait la boisson. Je m’exĂ©cutai sans tarder, ma petite bite en Ă©rection. Il revint avec un plateau et deux bouteilles de bière et deux verres. Il se dĂ©shabilla Ă son tour, s’assit, Ă©carta ses cuisses et ordonna :
– A genoux grosse pute, tu vas terminer ce que tu as commencĂ© tout Ă l’heure et applique toi, quand je jouirai tu avaleras mon jus et tu me laveras la queue avec ta langue.
Ce langage me plaisait, je cherchais un homme autoritaire, un vrai mec quoi, qui me traite comme une fiotte.
Je le pompai donc consciencieusement, avec application ; j’alternais des vas et vient avec des léchages de son gland et de ses gros testicules. Je l’entendais respirer lourdement, pousser de longs soupirs, il avait l’air d’apprécier. Pendant de longues minutes je le suçai goulument jusqu’à ce qu’il jouisse, je senti son jet au fond de ma gorge, je reculai légèrement pour bien le recueillir dans ma bouche. J’avais déjà sucé plusieurs fois mais jamais pris du sperme dans la bouche, le gout n’était pas désagréable, bien au contraire. Je lui nettoyai ensuite la queue avec ma langue comme il me l’avait ordonné. Il me saisit par les cheveux, m’obligeant à me relever, puis il m’embrassa de force, introduisant sa langue dans ma bouche. Ce faisant il me pelota les seins puis les fesses, puis il glissa une main dans ma petite culotte :
– Mais elle a joui la petite pute, tu mouilles salope.
Je hochai la tête, il me baissa la culotte et entreprit de me lécher le sexe puis il me demanda de me retourner et essaya d’enfoncer un doigt dans mon petit trou ; je poussai un cri :
– Tu es vierge ?
– Oui
– Plus pour longtemps, je vais m’en occuper.
Il servit les deux bières et avant de me donner mon verre il y trempa sa queue :
– Comme ça tu vas continuer Ă me dĂ©guster.
Je le remerciai et nous trinquâmes, il m’expliqua qu’il était veuf, bisexuel, s’appelait Rolf, retraité de la police et qu’il était à la recherche d’une femelle comme moi, il voulait une « femme à petite bite » à son entière disposition, docile soumise et lubrique. Il précisa qu’il exigeait une obéissance totale sous peine de punitions sévères.
C’était pile ce que je cherchais, j’avais toujours été d’un naturel soumis (dans mon couple ce n’était assurément pas moi qui portait la culotte !).
Quand il eut fini de m’expliquer ce qu’il attendait il m’ordonna de terminer ma bière de me lever et d’attendre, il se leva à son tour, entra dans la maison. J’étais excitée comme une puce, ma culotte était mouillée.
Il revient un instant plus tard avec un sachet nylon, il sortit deux paires de menottes et m’attacha à la pergola, bras écartés ; il me mit également un masque sur les yeux, je ne voyais plus rien :
– Maintenant je t’écoute, prĂ©sente toi et explique moi en dĂ©tail ce que tu cherches.
J’obéissais :
– Je m’appelle Jacquie, je vis Ă quelques kilomètres de Strasbourg, je suis veuf depuis un an et j’aime me travestir, je cherche un homme mĂ»r dominant qui m’initie, je suis vierge, très Ă©troite mais j’ai dĂ©jĂ sucĂ© plusieurs fois.
Je lui avouai que j’avais eu très peu d’expériences avec des hommes jusqu’à présent, aucun n’avait réussi à me détendre suffisamment pour me sodomiser mais que j’avais très envie de me donner totalement à un homme mûr expérimenté et autoritaire.
Il me demanda jusqu’où j’étais prête à aller ; je lui répondis que j’étais disposée à devenir sa femelle, sa propriété.
J’étais prête à accepter le BDSM à condition que cela soit progressif ; à accepter tout ce qu’il exigerait de moi ;
– Tout ? mĂŞme de faire la pute pour moi ?
– Oui, c’est d’ailleurs l’un de mes vieux fantasmes (si j’avais su Ă quoi je m’engageai alors)
– Très bien, on verra. Si tu ne donnes pas satisfaction il t’en cuira, tu as bien compris connasse ?
– Oui j’ai bien compris Rolf.
– A partir de maintenant tu m’appelleras MaĂ®tre, compris pĂ©tasse ?
– Oui MaĂ®tre j’ai bien compris, excusez-moi.
– Tu as dĂ©jĂ choisi un prĂ©nom ?
– J’ai pensĂ© Ă Marlène MaĂ®tre.
– Parfait ça me va. Ton dressage commencera après demain samedi, tu viendras en fin d’après-midi, tu te seras soigneusement Ă©pilĂ©e, tu viens en travesti ou en homme ?
– En homme.
Je pris une grande claque dans la figure :
– En homme Qui ? connasse.
– En homme MaĂ®tre.
Un bruit de moteur se fit entendre :
– C’est ma sĹ“ur qui rentre.
– S’il vous plait MaĂ®tre.
– Quoi ?
– Pouvez-vous me dĂ©tacher pour que je me rhabille ?
– Pas question.
– Mais votre sĹ“ur ?
– Je crois que ma sĹ“ur va apprĂ©cier le spectacle.
– S’il vous plait, implorai-je.
– Ta gueule connasse.
Sa sœur appela :
– Tu as de la visite Rolf ?
– Oui, sur la terrasse, viens.
J’entendis un bruit de pas, puis un petit cri de surprise :
– Ah je vois, Une visiteuse au vu de sa culotte, j’ai l’impression qu’elle est plus femelle que mâle…
– Tu peux aller vĂ©rifier.
– Je vis me gĂŞner
Je sentis qu’on baissait ma culotte :
– Effectivement, elle a une toute petite bite la mignonne pas de quoi exploser une chatte.
Et ils éclatèrent de rire ; je ne m’étais jamais senti aussi humiliée, j’avais envie de pleurer.
– Tu as envie d’une bière ?
– Non plutĂ´t d’un cafĂ© Ă cette heure-ci.
– Je vais en prendre un aussi, installe toi, je vais le prĂ©parer.
Pendant que Rolf était à la cuisine elle m’interrogea :
– Tu t’appelles comment ?
– Marlène.
– Française ?
– Oui madame
– OĂą avez-vous fait connaissance ?
– A la gravière de Kork.
– Ah je vois.
– Tu te travestis complètement ?
– Oui, intĂ©gralement.
– C’est bien mon frère va adorer. Il apprĂ©cie beaucoup les femelles Ă bite, Ă petite bite.
Elle rit, je n’étais vraiment pas à l’aise. Rolf revint de la cuisine avec les cafés. Il lui dit :
– C’est la pouffe que j’avais repĂ©rĂ© depuis des semaines, je ne m’étais pas trompĂ©, elle cherchait bien de la bite…
– Tu as toujours Ă©tĂ© douĂ© pour repĂ©rer les putes.
– Mon mĂ©tier, que veux-tu… j’ai l’œil, je vois tout de suite quand une grosse pouffe aime Ă©carter ses cuisses.
– Tu lui as dĂ©jĂ expliquĂ© ce qu’on attend d’elle ?
– En partie… elle dĂ©couvrira au fur et Ă mesure.
J’étais perplexe, « ce qu’on attend d’elle ? », participerait elle ? Ce n’était pas pour me déplaire, j’avais toujours rêvé de me faire prendre par un homme en présence d’une femme.
Ensuite ils parlèrent à voix basse pendant quelques minutes, puis Rolf dit :
– Il est temps que tu fasses connaissance avec ma sĹ“ur, tu l’appelleras Madame ;
Il retira mon masque, c’était une grande femme d’environ 55 ans, en robe d’été bleu marine à pois blancs très décolletée, une poitrine très avantageuse, de longues jambes, très agréable à regarder, un sourire narquois aux lèvres.
– Je te prĂ©sente ma sĹ“ur Anna.
– Bonjour Madame Anna.
Il retourna s’assoir et glissa une main sous la robe de sa sœur, elle écarta légèrement ses cuisses. Elle éclata de rire et me dit :
– Je suis sa sĹ“ur mais aussi sa femme, ça fait trente ans qu’il me baise et on adore ça.
Rolf souriait, il appréciait visiblement cette situation. Tout en continuant à la fouiller sous la robe il lui dit :
– Tu sais qu’elle est vierge la grosse pute ? Elle suce assez bien mais elle prĂ©tend que sa rondelle est encore intacte.
– Il y a un moyen très simple de vĂ©rifier ça, qu’est-ce que tu as prĂ©vu ?
– Elle viendra samedi soir en travelo et je m’occuperai d’elle.
– Non, samedi je suis prise et je tiens Ă assister Ă son « inauguration », tu sais que j’adore quand tu en dĂ©niaise une, la voir couiner, supplier de ne pas lui faire mal, la voir se tortiller quand tu la bourre. Elle est lĂ , Ă ta disposition alors autant en profiter, tu vas la baiser maintenant.
– Tu as raison, d’autant plus qu’elle m’excite Ă mort cette grosse pouffe, tu prendras des photos pendant que je la limerai, pour notre album.
Je tentai de protester :
– Pas de photos s’il vous plait.
– Ta gueule connasse, tu n’as rien Ă demander. On ne te reconnaitra pas sur les photos.
De toute manière je n’avais pas le choix, j’étais entravée, totalement à leur merci. Ils discutèrent encore quelques minutes à voix basse, je sentais bien qu’ils préparaient quelque chose que je ne devais pas connaitre, mais quoi ?
Je m’étais mise dans une drôle de situation, ça ne correspondait pas vraiment à ce que j’avais imaginé à la gravière ; je pensais être tombé sur un gentil papy qui m’initierait en douceur et en fait j’avais à faire avec un couple dépravé qui visiblement avait des pratiques hard. D’un autre côté, j’avais toujours fantasmé sur une relation Maître/Soumise et sur le fait d’être baisée en présence d’une femme ; j’allais être servie, il me faudrait assumer.
Rolf me détacha de la pergola, me menotta les mains dans le dos et m’entraina dans un escalier, nous descendions dans une cave, il ouvrit une porte, me fit pénétrer dans une pièce, il m’ordonna d’écarter mes jambes et d’attendre. J’entendis la porte se refermer, l’attente dura de longues minutes. Enfin ils revinrent tous deux, il ôta mon masque. Nous étions dans une grande pièce à pierre apparentes, en face de moi il y avait un grand lit à armature fer, il était recouvert d’un drap en latex rouge. Je remarquai aussi qu’aux murs il y avait plusieurs anneaux, il était facile d’en deviner l’usage. Rolf avait revêtu un pantalon bizarre en cuir, son sexe et son derrière étaient largement échancrés, il portait un gilet sans manches, en cuir également. Sa sœur était assise d’un un fauteuil de cuit rouge, elle portait une guêpière seins nus en cuir noir et rouge, des bas résille, mais pas de culotte. Elle était assise cuisses écartées et je pus constater que son sexe était parfaitement épilé. Elle mouilla ses doigts avec sa bouche et commença à se caresser en gémissant.
Soudain, Rolf me gifla violemment :
– Tu te rinces l’œil grosse pute, tu es ici pour prendre de la bite dans le cul, pas pour reluquer la chatte de ma sĹ“ur, elle n’est pas pour ta petite bitoune ridicule. Excuse-toi.
– Pardon Madame Anna.
Il retira ma culotte et me l’enfonça dans la bouche, il constata que je bandais de nouveau :
– C’est la chatte d’Anna qui te fait bandouiller Salope ? je vais t’apprendre Ă te contrĂ´ler, tu ne banderas que quand je te l’ordonnerai.
Il prit mes testicules dans une main et serra, le bâillon étouffait mes hurlements de douleurs, de l’autre main il me gifla de nouveau. Je pleurai, je sentais de grosses larmes couler de mes yeux.
– Vas-y, chiale gonzesse ce n’est que le dĂ©but, tu vas encore en prendre d’autres. J’aime faire souffrir les grosses putes comme toi, tu verras tout Ă l’heure quand je dĂ©chirerai ton trou du cul.
Anna poussa un cri de jouissance et dit :
– Ça y est, je suis toute mouillĂ©e, tu peux te servir.
Il retira le bâillon de ma bouche et alla auprès d’elle et recueillit sa cyprine dans une main, et m’enduit le visage et ma raie :
– Bien, maintenant tu sens la vraie femelle.
Il me fit m’assoir sur le bord du lit, j’étais toujours menottée, il m’intima l’ordre de le sucer, il me saisit par les cheveux et me força à prendre son sexe dans la bouche :
– Pompe moi bien connasse, fais-moi bien bander.
Je m’appliquai autant que je pouvais, il plaqua ma tête contre son pubis, m’obligeant à gober la totalité de sa queue, je suffoquais, elle allait jusqu’au fond de ma bouche.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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