Je vois qu’on lit de tout sur ce blog en histoire taboue et c’est vraiment génial ! Ça change un peu de tous ces sites où on ne lit que des histoires de sexe entre le beau-frère, la belle-mère et le voisin. On est super contents avec mon copain d’avoir trouvé un endroit où raconter une particularité sexuelle que nous vivons grâce à son handicap.
On commence par se présenter traditionnellement. Je m’appelle Margaux, j’ai 29 ans. Mon copain Richard en a 30. On habite à Nantes, on est sans enfants et pacsés. Vous savez tout lol. Mon copain est né avec une agénésie de la main droite. C’est-à-dire que sa main ne s’est pas développée. Il a donc l’avant-bras comme vous et moi puis au début il avait des doigts, mais très mal formés. Le chirurgien lui a conseillé lorsqu’il a fini sa croissance de faire une opération esthétique pour retirer les doigts et faire un moignon propre. Aujourd’hui, son avant-bras se termine par un bout de peau qui est sur son os. Autrement dit, ça lui fait une énorme bite au bout du bras ! Je vous dis ça et je vous imagine déjà en train de rigoler. Ça peut prêter à sourire, sauf que c’est très handicapant pour lui. Il a appris à vivre avec, avec le temps, et c’est lorsque nous avons découvert le sexe ensemble que nous y avons vu une possibilité. Je vous raconte comment cela s’est passé.
Nous nous sommes connus au collège. Nous avons toujours été ensemble et nous avons forcément découvert la sexualité simultanément également. Pendant des années, nous avons appris à faire l’amour et nous amuser avec le sexe sans nous préoccuper de son handicap. Mais voilà, un jour, j’étais terriblement excitée. J’avais très envie de lui et je sais que quand c’est comme ça, non seulement je mouille abondamment, mais ma chatte est très grasse ! Il a beau avoir un moignon, il est très habile de ce bras. Il a pour habitude d’écarter mes lèvres et de me lécher profondément. Et donc ce jour-là, au moment d’écarter mes lèvres avec son moignon, il a ripé… Son avant-bras a glissé d’un coup dans ma chatte et s’y est enfoncé de bien 20 cm. On est restés cons tous les deux ! Il allait retirer son bras lorsque je l’ai retenu. C’était tellement bon ! Je lui dis que je ne voulais pas le gêner ni le mettre mal à l’aise, mais qu’honnêtement c’était vraiment très excitant et plaisant ! Il l’a retiré…. et remis dedans. Il m’a baisée longuement avec son avant-bras comme on pourrait le faire pour le fist-fucking. Et ce qui est génial, c’est que mon mec est costaud. Alors le moignon ça va, mais lorsqu’il commence à pousser, il me dilate au fur et à mesure qu’il s’enfonce dans mon vagin. Ça me fait des sensations étranges et à lui aussi.
On a appris depuis à jouer avec son handicap et en retirer une source de plaisir. Maintenant il met aussi le coude sur le lit et je viens empaler ma chatte dessus. Récemment, il m’a initiée à la sodomie, et ce n’était pas gagné parce que j’ai toujours refusé ! Mais maintenant que je suis bien à l’aise avec la pénétration anale, on a décidé d’essayer la même chose avec son moignon. J’ai hâte de commencer et le fait de vous en parler, je suis déjà toute coulante de mouille !
Ce que je voulais exprimer par le biais de cette histoire taboue, c’est que la sexualité est possible même lorsque l’on est en situation de handicap. J’incite vraiment les autres couples et les autres personnes qui sont dans une situation similaire à venir témoigner. J’espère en tout cas que notre confession intime d’abord vous plaira à vous les valides, mais poussera peut-être les handicapés à raconter leurs propres histoires taboues.
Marco et Richard Nantes
