Javais une vingtaine dannées.. Pas du tout doué pour les études et pressé de gagner ma vie, mais dans des conditions plutot confortable.. Je mexplique .. Je mesurais 1M70, tres mince , très gracile, très efféminé au bout du compte, ca faisait quelques années que je me laissais pousser les cheveux et jaimais cette image de mec très très ambigu, parfois on mappelait mademoiselle et jadorais cela.Seule ma mère et ma sur étaient présentes, pas de père et javoue que jadorais cette atmosphère exclusivement féminine, qui simprégnait en moi depuis des années avec la complicité de ma mère et de ma sur.Ma mère avait réussi à me faire rentrer dans un petit cabinet comptable, qui était essentiellement composé de femmes.Jétais intégré en tant quemployé de bureau et rapportait à ma patronne, jétais un employé modèle, servile et zélé et jaimais cette atmosphère globalement très féminine.Javais toujours un style très féminin, jétais moi et ne me prenais pas la tète, cela ne me posait aucun problème, je me sentais bien. Je nhésitais pas à porter les cheveux détachés en dessous des épaules, à me parfumer, à me maquiller légèrement, à mettre des bijoux, on ne le disait rien, pourquoi ne pas en profiter ??3 mois plus tard, ma patronne nous annonçait quelle vendait son cabinet, elle était proche de la retraite et voulait définitivement se reposer.Nous allions avoir un nouveau boss, et elle mavait pris à parti, en tête à tête : « les choses vont changer Fréderic, ca va être moins familial, je vous conseille d avoir un look un peu plus « dans les normes »Javais compris le message.Après une semaine de vacances bien méritées, jarrivais au bureau situé dans le 9eme arrondissement avec un style résolument « masculinisé », javais écouté mon ex patronne : Un jean , , des tennis, une chemise d homme, un petit sac à dos en cuir un peu girly quand même, les cheveux attachés, pas de bijoux, rien.. Bref, une petite folle un peu efféminée , mais sans plus.Je salue mes collègues sur le coup de 9h, minstalle face à mon iMac et commence la saisie des écritures comptables du jour.. Au bout de 20 mn, je décide de maccorder une petite pause café- cigarette avec ma collègue Françoise, et on se met au balcon à papoter en tirant sur notre cigaretteQuand il arrive Un colosse de 1m90, très élégant, une soixantaine dannée, habillé dun costume manifestement sur mesure.Il fait le tour des bureaux et me déshabille du regard, de la tète au pied Je me sens déstabilisé..Et il me dit « vous êtes Frédéric, cest ça » ?? Heuuu oui Monsieur dis je en baissant des yeuxContinuez votre pause Jadore vos cheveux, vous devriez les laisser défaitsJe réintégrai le bureau un peu interloqué et ma collègue qui me dit en souriant « Tu lui a tappé dans lil, si il te dit que tu peux détacher tes cheveux vas y »Jenlevai mon chouchou et libérai ma chevelure dans une attitude très féminine : Je secouai lentement ma chevelure de droite à gauche tout en croisantle regard de mon nouveau patron qui se rinçait manifestement lil en me regardaant.La routine sinstallait.Je voyais bien que mon patron aimait me regarder, de temps en temps il me faisait un petit compliment, me demandait si javais passé un bon week end et je ne pouvais mempecher de rougir et minauder en lui répondant.Ma collègue Françoise se moquait gentiment en me disant « tu es une vraie fille toi » !Un matin, alors que jétais en train de faire mes saisies sur mon ordinateur, et que j étais seul, il arrive derriere moi en me carressant doucement ma chevelure :« Vos cheveux sont superbes Frederic, mais les pointes sont fourchues, si vous voulez je vous emmène chez votre coiffeur les faire raccourcir. »Nétant plus à une surprise près je dis ok et téléphone à mon coiffeur de quartier.Nous nous rendons sur le coup de midi chez mon coiffeur habituel, avec mon nouveau patron.. Jangoisse !!Je rentre dans le salon, je fais la bise à mon coiffeur, Marco, qui me dit : « alors Fred, on fait quoi aujourdhui », sur un ton enjoué ??Et je nai pas le temps douvrir la bouche que mon patron dit « tu lui coupe les pointes en dégradé, tout en les laissant longs et tu lui fait un brushing bien lisse »Nos regards se croisent avec mon coiffeur habituel, Marco, et devant mon silence, il sexécute : il effile les pointes de mes mèches en formant un superbe dégradé qui tombe en dessous de mes épaules et me faire une coiffure hyper féminine..Je vois dans la glace mon patron, Michel, qui me mate avec insistance et qui a mair satisfait :« cest super, dit il, une vrai secrétaire !! fais lui un brushing bien lisse et on y va »Marco me met de la laque, fait bouger mes cheveux qui tombent largement en dessous de mes épaules en me disant « hey Fred, ca te va trop bien » !!Et mon patron passe au comptoir et paye la séance .. Champoing-coupe-brushing, ce nest pas negligeable.Et on sen va avec mon patron , quasiment bras dessus- bras dessous pour remonter au bureau, avec moi à ses côté qui a lair dune vraie fille toute pomponette.Autant dire que jai bien vu que ca jasait au bureauDu coup, mon patron a commencé à m encourager à me féminiser, par petites toutches,et jai bien constaté que les choses évoluaient.Dorénavant, je partais le matin, les cheveux systématiquement détachées, les yeux légerement maquillés , avec un look de plus en plus féminin : Pantalon taille basse, bottines à talons, parfois un string, un chemisier, une veste cintrée, quelques bagues, bracelets, un petit collier de perles..Mes collègues, tout en me félicitant, me conseillaient de faire attention, il était clair que notre patron en pinçait pour moi mais je trouvais cela plutot agreable.