Mince qui peut bien sonner chez moi à cette heure si tardive ? Nous sommes un samedi soir, à Montpellier, et il est plus de deux heures. Il pleut dehors. J’étais à deux doigts d’aller me coucher, vêtue seulement d’un tee-shirt de mon ex qui traînait, et qui m’arrive à mi-cuisses. Je vais ouvrir, assez mécontente du dérangement causé. – Salut Mathilde. On te ramène Victor, on savait pas quoi en faire. Il a bien trop bu, on veut pas le laisser prendre sa voiture, et vu que tu habites dans le quartier….Victor c’est mon petit frère, et celui qui vient de me parler, c’est Julien, son pote. Victor fait ses études à Montpellier comme moi. Il a à peine plus de dix-huit ans. Nous sommes assez proches lui et moi, mais là pour le coup, ça me gonfle. Si il n’est même pas capable de se contrôler avec la boisson… Je n’avais pas prévu de jouer les chaperonnes ce soir. Il habite dans un quartier extérieur du centre-ville, dans une cité-U, alors que moi j’ai la chance d’avoir mon studio en plein écusson. J’ai eu 20 ans il y a quelques jours. Quand Victor m’a rejoint dans cette ville pour les études, j’ai tout de suite réclamé mon indépendance et refusé qu’il s’installe avec moi. Nous avons donc chacun notre logement.Voici donc Julian qui me remet le colis : mon frère à moitié pêté et tout mouillé par la pluie qui tombe en ce soir de septembre. – Allez viens Victor, allons dans ma chambre, on va se coucher…Mes sentiments maternels reprennent le dessus sur mon petit frère qui n’est pas dans un joli état. Je l’accompagne donc jusqu’à dans ma chambre, sur mon lit. Il est tout trempe, il va chopper la crève. – Il faut te déshabiller sinon tu vas tomber malade. – Aide moi Mathilde, je crois que j’ai un peu trop bu.Au moins il est conscient de son état. Je lui enlève son tee-shirt, ses chaussures, chaussettes et assez difficilement, son jean. Il se retrouve en boxer devant moi. Victor a toujours fait du sport, et c’est un beau jeune homme bien taillé. Il a les cheveux bouclés et châtains. Son sous-vêtement est mouillé, et il va me tacher mes draps avec ses conneries. – Il faut aussi retirer ton boxer, regarde comme il est tout trempe. – Hein ? Ça va pas, je me fous pas à poil devant toi. T’es ma sur. – Ah beh ça il fallait y penser avant de boire et de se pointer chez moi un samedi en pleine nuit…Sans même lui laisser le temps de la réflexion, je lui descends son boxer. Je tombe alors nez à nez sur le sexe de mon petit frère. Il est entièrement rasé et de taille toute modeste. Je ne peux m’empêcher de laisser poindre un sourire amusé. Assise à côté de lui sur le lit, j’admire alors pour la première fois le corps nu de mon jeune frère. – Dis donc, tu es une vraie statue grecque. Parfaitement musclé, mais avec un tout petit zizi, dis-je toute amusée. – Ne te moque pas. Ne sois pas méchante.En disant ses mots, je parcours son corps de caresses avec mes mains. Je pars de ses pectoraux jusqu’aux abdominaux. Je glisse même jusqu’à ses cuisses. Puis je remonte mes mains une nouvelle fois jusqu’à son torse. Je me surprends même à effleurer son petit sexe, d’une extrême douceur.Je découvre mon frère sous un autre jour, et je suis presque hypnotisée par ce corps nu. Il est entièrement imberbe, même si il triche sûrement pour son pubis qui doit être rasé. Mon regard ne cesse de parcourir son corps. Parfois je m’attarde sur ce petit sexe posé au dessus de ses testicules, assez fin et court. Parfois je regarde ses yeux qui ne cessent de me fixer. Je continue mes caresses et il a l’air d’aimer. – Comment tu te sens ? Ca va mieux ? – J’ai mal à la tête.Et j’ai froid.C’est vrai qu’il a la peau encore moite par l’humidité de ses vêtements retirés. – Attends je vais te réchauffer.Sur ses mots, je lui écarte légèrement les jambes, et vient m’allonger sur son corps nu, face à lui. Mon torse sur son torse, mes jambes entre les siennes. Nous avons nos visages tout prêts. En me positionnant ainsi, mon uniquement vêtement, mon tee-shirt, s’est légèrement remonté jusqu’au nombril. Son sexe est au contact de mon sexe épilé. C’est alors que je sens les mains de mon petit frère se poser sur mes fesses nues. J’ai un très joli postérieur. Je suis blonde, mesure 1,67 mètres. J’ai un cul parfaitement galbé et de beaux seins en poires pour un 85 C. Je fais 51 kg. Le coquin. La situation devient plaisante malgré l’interdit. Je ne fais comme si de rien n’était. Il me les caresse, les palpe, les malaxe. Il prend plaisir et rapidement, je sens son petit sexe devenir dur entre lui et moi. Je me lève légèrement pour le laisser se placer correctement. Sentir ce membre viril, qui semble tout de même petit comme quand il est au repos, me plaît également. – Tu te sens mieux petit frère ? Il parait que pour se réchauffer, rien ne vaut la chaleur corporelle.Et en disant cela, je retire mon tee-shirt. Je suis nue contre lui. Je le laisse apprécier mes seins. Il les regarde avec tendresse et admiration. J’ai de gros mamelons roses, avec le sein gauche percé. – Oh je savais pour ça. Ça fait longtemps ? Ça a fait mal ? – Oui sur le coup, c’est pas plaisant, je lui répond en rigolant. Ça fait maintenant plus d’un an… – C’est joli, ça te va bien, continue-t-il ému et trahit par l’intonation de sa voix. – Merci Victor.Il est si beau, et je comprends alors que je suis sans doute la première fille nue qu’il voit et tient dans ses bras. Je commence alors à lui déposer de légers baisers dans le cou. Il adore ça vu sa respiration. Ses mains continuent ses caresses sur mes fesses et remontent même sur mon dos. Il est si doux et sincère dans ses gestes.Je lui tends alors mes seins jusqu’à sa bouche. Il se met à les téter. Ses gestes sont parfois maladroits, mais dans l’ensemble pour une première fois, il se débrouille admirablement. Je ne puis lutter des minutes supplémentaires. Je me retire alors de lui et descends jusqu’à atteindre ce petit sexe en érection. – Tu sais Victor, quand on a mal à la tête, il paraît qu’il n’existe que deux solutions pour contrer cela. Le café et ça…C’est alors que je me mets à lécher cette bite toute dure. Je joue avec ses testicules infiniment douces et son gland. Je le mets dans ma bouche, et c’est vrai que je ne risque pas de m’étouffer. Je tente de lui donner un extrême plaisir, et alors, son inexpérience parle d’elle même et assez rapidement, je me retrouve avec sa semence dans ma bouche. Je lui souris, et remonte jusqu’à lui. J’en avale une grande partie puis l’embrasse sur la bouche. Nos langues finissent de boire son jus. – Bonne nuit petit frère.Entrelacés, nous nous endormons. Une de ses mains sur mon sein percé, et son petit sexe dans ma main gauche…