Par un après-midi maussade du mois de septembre, j’avais très envie de passer un après-midi sexe dans un lieu dont j’avais connu l’existence sur internet, le sauna de Vincennes, en région parisienne.La première fois que j’ai poussé la porte de cet établissement, j’avais bien sûr une boule au ventre, mais contrairement, une fois à l’intérieur, je me suis senti tout de suite à l’aise.J’étais à l’époque très attiré par les hommes, mais je n’avais jamais tenté quoi que se soit. Ce lieu m’avait aussitôt mis en confiance. J’entrais enfin dans l’antre de mes fantasmes. Lieu de sexe et de luxure.Aujourd’hui, j’y vais régulièrement pour assouvir mes envies d’hommes. L’endroit est rassurant, rien de glauque, la chaleur régnante vous envahit instantanément et l’accueil est, comment dire, très chaleureux. Une fois le sas d’entrée franchi, vous arrivez devant un comptoir où un jeune homme vous accueille, il encaisse votre droit d’entrée et vous tend une serviette et un peignoir en vous souhaitant un bon après-midi.Je me souviens de cette première fois, j’avais réglé mon droit d’entrée et le jeune barman à l’accueil, me voyant hésitant, m’a demandé si c’était ma première visite et comme c’était le cas, il m’a rapidement expliqué le fonctionnement des différents lieux du sauna. Je devais lui plaire, car ce salaud me dévorait du regard. Il me guida jusqu’au vestiaire en posant sa main sur mon cul, c’était pour moi la première fois qu’un mec me mettait la main au cul et c’était une sensation terriblement troublante. Je crois même avoir creusé mes reins afin de lui offrir davantage ma croupe. Il me précisa :— T’es très mignon, tu vas t’amuser, ici. Voilà, c’est ici où tu peux te changer et te mettre à l’aise. Tu mets tes fringues dans ton vestiaire et une fois à poil, tu peux aller de divertir avec de nouveaux jouets… Et si tu veux que l’on joue ensemble, n’hésite pas, un bel homme comme toi.Et en me claquant une bise, il rajoute :J’étais très flatté et déjà très excité. Rapidement, je me mis rapidement nu, avec la queue plaquée sur mon bas-ventre. C’est en me retournant que je vis ce miroir. J’étais seul et j’en profitai pour m’astiquer le sexe par quelques va-et-vient, me branler sans cette façon, dans ce lieu sans porte, d’où l’on pouvait me surprendre à tout moment, face à ce miroir, c’était divin. J’avais les yeux mi-clos, assis sur le banc central, avec les jambes écartées me branlant, hum. Je n’avais pas entendu le jeune barman revenir. C’est juste le son de sa voix très douce qui me sortit de mon état.— Hum, tu me fais envie, mon chéri, tu vas bien te plaire ici. Profite de l’endroit, visite le sous-sol, il y a les backrooms.Je compris tout de suite que la glace était sans tain et que le barman devait me mater depuis quelques minutes. Mais à cette époque, je n’étais pas encore assez en confiance, j’avais très envie, mais de quoi ?Comme un ado surpris en pleine séance de branle, je mis rapidement mon peignoir autour de ma taille, cela masqua à peine mon érection. J’enfermai mes affaires à clé dans mon vestiaire et tentai d’accrocher le bracelet d’où était fixée la clé à mon poignet. Mais n’y arrivant pas, Yan me proposa de l’aide.— Attends, la plupart les clients attachent leur bracelet à la cheville, plus pratique, regarde.Sans même avoir le temps de réagir, il me le prit des mains, s’agenouilla devant moi et me fixa le fameux bracelet à la cheville. Son visage à quelque centimètre de mon sexe qui pointait outrageusement à travers le tissu. Doucement il glissa sa main sous mon vêtement et commença à me branler, j’avais les jambes en coton.— Détends-toi, chéri, je te prépare un peu, tu ne peux pas refuser un petit coup de main, enfin, je veux dire, une petite poignée de bienvenue ? Excité comme tu l’es, ton premier coup va durer dix secondes, ce serait dommage pour toi. Moi, je vais juste te soulager pour que tu prennes le temps de choisir, où, quand, comment et avec qui. Mais si tu y vas comme ça, tu tiendrais quoi ? Cinq, dix minutes, pas plus, et tu gicleras tout seul entre deux portes à mater des queues. Ce serait un beau gâchis, non ?…Pendant qu’il me parlait en m’astiquant, le salaud s’amusait à bien me décalotter le gland à chaque branle, je sentais mon excitation monter, la ceinture de mon peignoir avait glissé et je pouvais mater sa main sur ma colonne. Yan me fixait dans les yeux et semblait attendre les directives. La crainte d’être surpris me stimulait davantage. Un premier verrou était en train de tomber.— C’est mieux que tout seul, non ? Je sens que ta queue est bien dure et tes couilles doivent être bien pleines, je me trompe ?Que lui répondre ? Un deuxième verrou céda.— J’ai envie de ta bouche, suce-moi à fond, chéri.— Et gourmand avec ça…J’attrapai la tête de mon jeune suceur et entrepris des va-et-vient avec mon bassin. Je le baisai par la bouche et c’était merveilleux. Yan m’incita à écarter mes jambes. Je compris rapidement qu’il voulait avoir accès à ma raie. Il me bouffa la tige avec une ardeur qui décupla mon plaisir. D’un doigt, il me titilla la rondelle sans vouloir vraiment l’introduire, je me sentis frustré, mais je n’attendis pas longtemps. Tout en me dévorant la bite, il m’attrapa les couilles en les tirant vers le bas afin de me faire plier les jambes pour mieux m’empaler sur son majeur tendu. Ma rondelle ne fit aucune résistance, bien au contraire, elle se fit accueillante et en redemanda encore plus. Mon enculeur le sentit et me dilata l’anus avec un deuxième puis un troisième doigt. De me faire enculer de cette manière, je ne pouvais tenir plus longtemps, j’allais exploser dans sa bouche, je me devais de lui dire.— Hum, c’est bon, putain, enfonce bien tes doigts, tu vas me faire décharger, attends.Contre toute attente, mon suceur s’agrippa complètement à ma bite et je me déversai au fond de sa gorge. Le paradis. Il se recula et finit de m’astiquer devant son visage, j’éjaculai les derniers jets de foutre sur ses lèvres. Il retira ses doigts de mon cul en feu et se releva pour me rouler une pelle d’enfer. Je ne pus que lui rendre son baiser avec ma langue et lapai ma semence qui souillait son visage.Troisième verrou…Après ce moment de délectation et de volupté, mon barman, me murmura dans le creux de l’oreille.— Toi, t’as déjà fait des envieux. Regarde.En effet, juste derrière moi se tenaient deux beaux mâles d’une quarantaine d’années avec à la main leurs queues engluées de sperme.— Tu nous as régalés, ma salope, c’est quand tu veux, monté comme t’es, on va en déguster de ta liqueur d’homme.Pour les encourager, j’ajoutai :— Hum, j’aime qu’on me parle comme ça.— Vicieuse comme tu es, et si tu es bien obéissante, on va te baiser comme une vraie pute.Quatrième verrou, mon CV était accepté, vu les promesses de débauches avec… Que d’avancées en si peu de temps. J’osais enfin assouvir mes envies et cela sans retenues particulières, je me sentais, en ce lieu, aborder le sexe sans aucun tabou, je voulais être sucé, vidé par des hommes en chaleur. Je fantasmais sur des bites, des bites et encore des bites. Offrir mon cul et ma bouche aux mâles qui me plairaient. Être soumis, devenir l’objet de leurs désirs.Après quelques minutes, de manière à reprendre ses esprits. Yan, m’offrit un café avant de me lâcher vers le sentier de mes fantasmes. En d’autres termes, il me fallait découvrir tous les endroits de ce merveilleux sauna.— Voilà, à toi de continuer mon beau, prends ton temps et ton pied. En tout cas, tu es très ouvert côté sexe et tu vas te régaler.Ce jour-là, en effet, j’ai visité tout le sauna, les moindres recoins d’ombres, le hammam, le sauna, les backrooms, les cabines. J’ai, comme me l’a conseillé mon barman préféré, pris mon temps.Ce jour-là, j’ai maté des échanges de caresses furtives, j’en ai reçues et moi-même prodiguées. J’ai maté des culs offerts que je les ai longuement doigtés et léchés. J’ai reçu des fellations en privé ou à plusieurs dans un backroom. J’ai poussé des portes de cabines entrouvertes, avec des queues dressées comme une invitation que j’ai, sans me faire prier, sucées en gorge profonde. J’ai caressé des hommes pendant qu’ils se suçaient mutuellement. J’ai parcouru les lieux afin d’observer les us et coutumes, juste vêtu dans un premier temps de mon peignoir, puis j’allais du sauna aux cabines et des cabines au hammam. Comme à chaque fois je rentrai nu dans ces pièces chaudes, à la fin, je restais complètement nu aux yeux des autres hommes, je devenais une vraie salope. J’aimais m’exhiber ainsi, n’hésitant pas une seconde à me caresser devant un couple, un homme où une scène qui me chauffait, Invitant chaque mâle à plus.Lorsque qu’un mec me plaisait, je l’allumai ouvertement et je rentrai dans une pièce chaude et, avant qu’il ne rentre à son tour, je me positionnai bien en vue, jambes largement ouvertes et la bite tendue à l’extrême en me branlant sans retenue. L’objet de mon désir rentrait à son tour et sans m’arrêter, je l’invitai à se rapprocher plus près et je lui murmurai dans l’oreille mon désir d’être à lui.Ce jour-là, j’ai joui quatre fois. J’ai offert mes fesses à trois hommes qui m’ont enculé à tour de rôle. J’ai sucé leurs grosses et belles queues, j’ai léché des raies, j’ai reçu de grandes giclées de foutre. J’ai même eu droit à une petite fessée, un vrai délice d’avoir le cul en feu.Enfin, je me suis ouvert à toutes les propositions malhonnêtes et salaces. Un bel homme qui devait avoir la soixantaine m’a pénétré lentement et m’a limé l’anus pendant une bonne demi-heure avant qu’il ne jouisse au fond de mes entrailles puis il m’a pris par la queue et m’a emmené dans une cabine pour m’offrir à son amant pour qu’il me prenne à son tour.Cette première journée m’a ouvert les portes du plaisir et depuis, une fois par semaine, je vais assouvir mes fantasmes pour prendre du plaisir et en donner à des hommes accros au sexe. Enfin bref, à être docile et offerte à vous, Messieurs.Mais ça, c’est une autre histoire…Encouragez-moi pour la suite, je vous embrasse et bien plus.