Je suis mariée depuis quelques années à l’homme que j’aime, Richard. Avant lui je n’ai connu aucun homme, du moins sexuellement. Trois ans après notre mariage, nous sommes partis en vacances aux Maldives, ce fut enfin notre lune de miel. J’avais 23 ans. C’était un hôtel magnifique sur une île de rêve, des plages de sable blanc et une mer turquoise. Il y avait beaucoup d’autres couples.Les fonds marins sont réputés pour être superbes dans cette région alors nous en avons profité pour passer notre brevet de plongée. Notre moniteur s’appelait Stéphane, un homme jeune, bronzé, sympa, aux cheveux blonds et bouclés et aux yeux bleus. J’ai remarqué à plusieurs reprises qu’il me regardait souvent avec insistance, d’une façon troublante, mais je n’ai pas réagi. Mon mari est assez possessif avec moi et je ne voulais surtout pas attirer son attention sur le comportement de notre moniteur.Nous avons eu notre brevet au bout de six jours de plongées intensives. Ce soir-là, après le dîner, nous sommes allés boire un dernier verre au bar, en plein air. Nous y avons retrouvé notre moniteur, et mon mari l’a invité à boire un verre. Nous étions tous les trois autour d’une table et tous les deux discutaient voiture depuis un moment. Lassée par le sujet, je suis allée sur la piste de danse. Je portais une robe d’été assez courte et décolletée, ce qui n’est pas mon genre, du moins au quotidien. Je suis brune, cheveux longs et bouclés, une poitrine avantageuse et je n’aime pas avoir l’air trop provocante, sauf en vacances, pour plaire à mon homme. Il n’y avait pas grand monde sur la piste, ce qui ne me gênait pas, au contraire. Après quelques danses, je suis retournée à notre table. J’ai bu encore une coupe de champagne. Il n’y avait plus personne autour de nous. Mon mari me dit alors :— On va se coucher ?— OK.Stéphane décida de nous accompagner un bout de chemin. Nous sommes passés par la plage pour profiter du clair de lune, c’était magnifique. Nous n’avons pas beaucoup parlé. J’ai enlevé mes chaussures à talons, mes pieds s’enfonçaient dans ce sable blanc et doux. Je sentais une atmosphère particulière, mais je n’ai pas compris de quoi il s’agissait à cet instant précis. Je marchais entre les deux hommes et ne pouvais pas ignorer mon attirance pour Stéphane. Son odeur de sel et eau de toilette mêlées, son torse musclé que j’avais aperçu à plusieurs reprises ne me laissaient pas indifférente. Je me suis dit, à ce moment-là, que le champagne me jouait des tours.Après quelques minutes de marche, nous étions à mi-chemin, mon mari m’attire vers lui et m’embrasse passionnément. Je ne proteste pas mais trouve cela un peu bizarre. Ce n’est pas son genre de faire ce genre de démonstration en public, ce qui m’a souvent frustrée d’ailleurs. Quelques bisous, oui, mais jamais avec la langue devant les autres ! Mais là il y va fort. Je sais qu’il me désire, son sexe contre mon ventre me le confirme… Je sens alors que Stéphane est juste derrière moi et je me crispe. Mon mari caresse mes seins par-dessus ma robe. Le souffle de Stéphane contre ma nuque me fait frissonner. Richard me fait faire demi-tour et je me retrouve alors face à Stéphane, qui me regarde droit dans les yeux. Il s’approche et m’embrasse à son tour, j’essaie de reculer malgré le désir qui m’envahit. C’est alors que je sens les mains de mon mari autour de ma poitrine, il m’a dégrafé mon soutien-gorge et défait les boutons de mon décolleté, exposant mes seins à Stéphane, qui s’en empare de suite. Je m’entends gémir de plaisir. Mes tétons sont si durs et ses lèvres si chaudes sur ma peau, ça me rend folle. Mes mains cherchent mais n’osent pas caresser le sexe de Stéphane. Richard, toujours derrière moi, glisse alors sa main sous ma robe et me caresse la chatte pendant que Stéphane m’embrasse à nouveau. Ça m’enflamme ! Toutes ces caresses, deux bouches, quatre mains et mon corps qui brûle de désir… Je manque d’air et j’halète. Je connais à peine Stéphane… mais je m’en fous si je ne le connais pas bien, je les veux tous les deux.Richard, toujours derrière moi, enlève mon slip qui tombe sur le sable. Il se met à genoux et me fait me mettre à genoux aussi. Il va me prendre là, devant Stéphane ? Je mouille tellement qu’il me pénètre facilement d’un coup, en me tenant par les hanches. C’est incroyable, je jouis… Je vois alors que Stéphane est resté debout et qu’il déboutonne son pantalon. Richard continue son va-et-vient. Le membre de Stéphane est dressé juste devant moi et j’ai envie de le caresser. J’oublie toutes mes réticences et je prends ce sexe dans ma bouche en même temps que mon mari me caresse les seins… Cette queue est différente de celle à Richard. Elle est plus courte et plus large. Je la caresse doucement et Richard ralentit ses va-et-vient, j’accélère et Richard me prend alors avec plus de force. Je pense que quelqu’un pourrait nous voir. Tant pis. Je ne peux plus m’arrêter, je ne VEUX plus m’arrêter. Richard me tient les seins et s’enfonce encore plus en moi. Stéphane aussi, enfonce encore plus son sexe dans ma bouche. J’adore donner du plaisir à ces deux hommes en même temps. Richard jouit. Je continue à lécher le membre à Stéphane. Il m’attire alors vers lui et m’embrasse en me caressant la chatte. Le foutre de mon mari coule entre mes jambes. Ça m’excite tellement, j’en veux encore. Stéphane s’aperçoit que j’en redemande. Il me couche sur un transat et continue de me caresser. Je n’en peux plus, je veux qu’il me prenne. Je regarde mon mari, est-ce que on va trop loin ? Il nous regarde. Stéphane continue, pour mon plus grand plaisir. Il soulève mon bassin pour mieux me pénétrer et ça marche. Je n’arrive pas à croire qu’un autre homme que mon mari puisse me donner autant de plaisir. Je veux aussi lui donner du plaisir comme il m’en donne. Richard nous rejoint, il m’embrasse, me caresse les seins, je suis au paradis. Stéphane jouit et la vue de cet homme qui répand son fluide en moi me fait jouir à nouveau. Je suis comblée.Quelques instants après, nous nous rhabillons. Stéphane s’approche de moi, m’embrasse à nouveau, avec tendresse, et me susurre à l’oreille que mon mari a beaucoup de chance de m’avoir. Il serre la main à Richard et nous dit bonne nuit. Mon mari me regarde longuement et me dit :Nous sommes repartis vers notre chambre. Les jours qui ont suivis ont été merveilleux, comme les précédents. Nous avons encore fait des plongées avec Stéphane, mais nous n’avons plus fait l’amour à trois. À la fin de notre lune de miel, nous sommes rentrés à la maison. Nous n’avons plus revu Stéphane depuis.Ce genre d’aventure ne s’est produit qu’une fois. Pourquoi mon mari a-t-il voulu me partager ce soir-là ? Je pense qu’il avait beaucoup de points en commun avec cet homme, et que le désir que Stéphane avait pour moi l’a beaucoup excité, au point d’avoir franchi le pas. Il ne l’a pas regretté, et moi non plus, bien sûr. Je doute qu’une situation semblable puisse se reproduire, mais pourquoi pas ?