Nous sommes en couple – Véronique et Thierry – depuis 20 ans. J’ai 49 ans, elle 48 ; nous sommes très sportifs et avons deux enfants.Je savais que je devais être muté ; cela arriva en février de cette année, donc quatre mois seul la semaine pour moi en attendant la fin de l’année scolaire où la famille viendra me rejoindre.Me voilà donc à Avignon, à 200 km de chez moi. N’ayant pas envie de rester très longtemps à l’hôtel, je cherche un petit meublé dans l’attente de trouver une maison d’ici l’été pour le regroupement familial.Une annonce attire mon attention : un couple de retraités loue un meublé au rez-de-chaussée de sa maison. Je me rends à la visite et découvre une belle maison occupée par Christiane et Guy, 73 et 74 ans, qui me proposent un bel F2 avec une cuisine, un salon et une chambre, le tout refait à neuf : c’est parfait. Je le prends, d’autant qu’ils sont fort sympathiques et que le courant passe immédiatement.Je m’installe, et rapidement nous entretenons de très bonnes relations avec les propriétaires qui m’invitent une fois par semaine à dîner ; parfois, nous prenons l’apéro chez moi.Tout se passe bien. Tantôt je rentre le week-end, tantôt mon épouse vient me rejoindre ; et les week-ends sont très chauds…J’étais là depuis deux mois quand un soir nous prenons l’apéro tous les deux avec Guy, son épouse étant à la gym. Nous appuyons un peu sur la bouteille, et la conversation entre hommes dévie un peu sur le sexe. Guy me demande si les semaines ne sont pas trop longues seul ; je lui avoue que si, mais que je me rattrape le week-end. Il me dit que sa femme et lui sont ensemble depuis 55 ans et qu’ils n’ont l’un et l’autre connu personne d’autre, qu’ils n’ont pas eu la chance de vivre dans les années actuelles où les gens sont plus libérés.Je me permets de lui demander comment évolue leur sexualité ; il m’avoue que ce n’est pas toujours facile, mais qu’il trouve avec sa femme (qui a toujours bien aimé faire l’amour) des petites choses pour relancer le désir, et qu’ils font l’amour au moins une fois par semaine.Suite à cela il me dit que, justement, il voudrait me demander un service, mais que je n’y voie surtout pas de mal, et que si je ne voulais pas ça en resterait là .— Voilà , me déclare-t-il, c’est l’anniversaire de ma femme et je voudrais lui faire un cadeau. En effet, dans nos fantasmes nous mettons souvent un homme qui lui fait l’amour ; voudrais-tu être celui-là  ?Je ne m’attendais pas du tout à ça ! Christiane est une femme bien conservée, toujours bien mise, sur laquelle je pourrais éventuellement fantasmer car j’aime les femmes plus que mûres ; mais de là à lui faire l’amour…Devant ma surprise, un peu ennuyé, Guy me dit d’oublier si cela me gêne et que l’on en reparlerait plus.— Ta femme est au courant ? Elle est d’accord ? lui demandé-je.— On a fantasmé sur ça, mais je ne lui ai pas dit que je te demanderais.— Écoute, je n’y vois pas de problème, et ça me ferait plaisir.Le visage de Guy, soulagé, s’éclaire, et il répète :— Tu serais d’accord ?— Oui.Notre apéro se termine, et nous discutons de la manière selon laquelle il voyait cela.La première fois, il ne souhaite pas participer ; et ce serait pour après-demain, jour de l’anniversaire. Il en parlerait à son épouse, qui sûrement lui dirait non sur le coup mais finirait par accepter, car cela fait des années qu’elle souhaite connaître au moins un autre homme dans sa vie.Le soir, très excité, j’ai mon épouse au téléphone pour lui parler de ma conversation ; nous avons déjà eu des échanges libertins, mais jamais l’un sans l’autre. Elle me donne son accord, à condition de tout lui raconter, et nous finissons par nous caresser par téléphone interposé.Le lendemain soir je suis invité à dîner. En arrivant, je sens que Christiane est très mal à l’aise. Nous commençons à partager notre repas lorsque son mari revient sur le sujet :— Christiane est d’accord pour ce que je t’ai dit.Cette dernière prend la parole, très très gênée, en disant :— Attends : tu prends des décisions à ma place, mais je ne sais pas si… Et Thierry, qu’en pense-t-il ?— Hier soir tu étais OK, et ça t’a fort excitée…— Arrête, arrête s’il te plaît ! Thierry, j’ai honte d’avoir un mari comme ça…— Non, vous avez un super mari ; que ne ferait-il pas pour vous combler ? Et ne vous inquiétez pas : j’en ai envie moi aussi, rétorqué-je.Il est donc convenu que le lendemain nous prendrions l’apéro ensemble et nous laisserions faire les choses.La journée est longue, et mes pensées vont vers cette soirée : « Serai-je excité par une femme de 73 ans ? Ne sera-t-elle pas déçue si je n’ai pas la motivation pour la satisfaire ? »Enfin le soir arrive ; je les rejoins. Nous buvons un, puis deux, puis trois verres : plus facile pour se détendre. Tout doucement, je m’approche de ma partenaire ; caresses sur les bras, mains et genoux. Pour l’occasion, elle porte une très belle robe bleue qui lui va parfaitement. Je vois Guy me faire comprendre d’y aller plus fort, mais j’aime cette situation pleine d’ambigüité ; toutefois, je dois me décider avant que nous soyons saouls, car je sens bien que ma partenaire ne prendra pas d’initiatives.Je me lève sans un mot et lui prends la main pour l’emmener dans la chambre d’amis, comme prévu. Une fois à l’intérieur, voyant sa gêne, je lui propose de lui bander les yeux pour que ce soit plus facile pour elle ; je sens tout de suite que cela la soulage.Puis je commence l’approche : des bisous dans le cou, des mains qui courent partout ; elle est très réceptive. On en vient à l’effeuillage ; je descends la fermeture de la robe, découvrant une femme de 73 ans, certes, mais vraiment bien conservée, ce que je lui fais remarquer. Je la sens se détendre et commencer à chercher mon corps.Elle porte une petite culotte blanche en dentelle, assortie au soutien-gorge ; c’est magnifique de la voir ainsi.Petit à petit, le soutien-gorge est enlevé, me faisant découvrir des seins un peu lourds, vu son âge, mais imposants. Ses mains commencent à trouver ma peau, et je sens son désir monter. Des bisous, des coups de langue sur ses tétons qui la font vibrer, et sa petite culotte tombe. Son sexe est rasé – ce que j’apprécie – et je suis surpris de trouver une petite chatte bien mouillée.Elle m’enlève mon pantalon et ma chemise ; je me retrouve en caleçon, mais il ne reste pas longtemps sur moi : elle cherche mon sexe. Je sens qu’elle veut découvrir un autre homme que le sien. Ses caresses sont douces. Nous nous caressons un moment comme cela. J’adore l’entendre gémir ; plus rien ne l’arrêterait, finie la pudeur !Le contact de ma langue sur son clitoris suffit pour la faire exploser une première fois en quelques secondes, puis elle me dit qu’elle a très envie que je la prenne. La veille, nous avions décidé que, compte tenu de nos parcours, il était inutile d’utiliser de préservatif.Je pénètre ce con en feu ; elle est trempée, je bande comme un âne. Je vais et je viens tout en douceur, mais elle me demande de la baiser fort, qu’elle en a envie. Ce n’est plus la grand-mère pudique que je vois ; elle crie des « Ouiiiii, c’est booon, défonce-moi, baise-moi, oui, je vais jouir… », puis un grand « Aaaaaaah ! » sort de sa bouche. Je crains qu’elle ne se trouve mal, et je pense à son mari qui doit sûrement écouter dehors.Elle s’apaise. Je n’ai même pas eu le temps de jouir, mais elle en redemande. Elle me prend dans sa bouche ; elle sait y faire… Je ne veux pas jouir comme cela, mais l’excitation l’emporte et je jouis dans sa bouche à grands jets ; elle n’en laisse pas une goutte.Je suis tellement excité que je ne débande pas ; elle ne lâche pas mon sexe : elle n’en a pas assez ! Elle se tourne pour que je la prenne en levrette ; un vrai plaisir, que c’est bon ! Je pense à Guy qui doit se caresser derrière la porte en entendant sa femme crier son bonheur… Encore une fois elle pousse de grands cris : « Oooohh, ouiiiiiiii, je vieeenss, trop booon ! » et je me vide encore une fois dans un concert de cris que nous échangeons.Nous restons un quart d’heure comme cela avant de reprendre nos esprits.— J’ai un peu honte Thierry ; qu’allez-vous penser de moi ?— Ne vous inquiétez pas : je ne suis pas coincé, et j’aime les femmes comme vous. C’est super de profiter encore de la vie comme vous le faites ; vos amies peuvent vous envier !— Vous savez, entre personnes de nos âges, on n’en parle pas, et je n’ai surtout pas envie qu’elles sachent.Elle se rhabille, me fait un bisou et sort de la chambre ; j’en fais de même. Quand je sors à mon tour, elle est déjà dans la chambre du couple, et je ne peux m’empêcher d’écouter. Mon Guy a dû lui sauter dessus car j’entends à nouveau des cris ; je suis content d’avoir fait des heureux, et sûrement d’avoir donné un petit coup de fouet à leur sexualité.