Les personnages :Nancy : 1 m 75 -yeux bleus – Cheveux blonds vĂ©nitiens mi-longs et coiffĂ©s avec volume. Poitrine 95 C – 35 ans – Sans profession – Sexuellement plutĂ´t rĂ©servĂ©e, mais amateur de belle lingerie – restĂ©e longtemps fidèle Ă son mariOlivier – Sexe partiellement Ă©pilĂ© depuis quelques semainesOlivier : 40 ans – Cadre aux goĂ»ts et aux idĂ©es classiques et stĂ©rĂ©otypĂ©es. Sportif et assez bel homme – Trompe sa femme Ă tour de bras – sexualitĂ© Ă l’image de ses goĂ»ts.Jimmy : 30 ans – Antillais – IngĂ©nieur en tĂ©lĂ©communication – 1 m 90 – Bien montĂ©, mais sans que cela tourne Ă l’extraordinaire – Voisin d’en face des prĂ©cĂ©dents.Annette : 28 ans – Antillaise coquine, Ă©pouse du prĂ©cĂ©dent – n’intervient pas dans ce rĂ©cit.Claudia : 38 ans – secrĂ©taire de direction et maĂ®tresse d’Olivier – DivorcĂ©e, elle referait bien sa vie avec ce dernier – Envoie des lettres anonymes Ă Nancy pour essayer de prĂ©cipiter les choses – – n’intervient pas dans ce rĂ©cit.Il est 20 heures 30. Olivier Ă fini sa journĂ©e de travail, et après avoir garĂ© sa voiture dans le garage, il pĂ©nètre dans l’entrĂ©e de son coquet pavillon. Nancy est en jean et tee-shirt !— Bonsoir chĂ©ri ! Je suis crevĂ©Â ! Une rĂ©union Ă la con qui n’en finissait pas !Nancy n’est plus dupe ! Une bonne âme a cru malin de la prĂ©venir des frasques de son mari par lettre anonyme. On lui donnait aussi le moyen de vĂ©rifier, elle l’a fait ! C’était vrai ! Elle n’avait jusqu’à prĂ©sent pas rĂ©agit, laissant l’information en rĂ©serve estimant s’accommoder jusqu’à prĂ©sent de cette situation. Il n’est jamais bon de toutes façons de faire quoique ce soit dans la prĂ©cipitation.  » Jusqu’à prĂ©sent !  » se rĂ©pète-elle avec un sourire malicieux !Nancy est une femme intelligente, loin d’elle l’idĂ©e d’aller reprocher Ă son mari des choses qu’après tout, elle a aussi pratiquĂ©. L’adultère n’est pas une chose simple, mĂŞme si certains le traite trop simplement. Elle admet qu’une aventure passagère puisse se produire. Elle admet aussi que le dire Ă l’autre n’est ni simple ni forcĂ©ment utile. Après tout un couple c’est thĂ©oriquement fait pour ĂŞtre solide ! Pourquoi faut-il alors que dans la plupart des cas, il implose Ă la première incartade sexuelle ?Non, Nancy a sur le sujet des idĂ©es très  » libĂ©rales  » ! Par contre ce qu’elle n’admet pas c’est la liaison qui s’éternise, la tromperie permanente, les incessantes justifications de retard, les faux dĂ©placements professionnels.Samedi dernier, c’était l’anniversaire de Nancy, Olivier ne l’avait pas oubliĂ©. Le bouquet de fleur Ă©tait magnifique, mais quand elle lui avait demandĂ© de l’emmener au restaurant, les choses se compliquèrent :— On ira demain midi, chĂ©ri ! Ce sera bien mieux !— Et pourquoi pas ce soir ?— Je suis un peu fatiguĂ©, et puis il faut absolument que j’aille Ă la finale de l’inter-coupe, c’est moi qui remets la coupe…— Et alors ? Elle ne va pas s’envoler ta coupe ! Si tu n’es pas lĂ , on te remplacera !— Non, c’est important pour ma carrière, il y aura tous les grands patrons et blablablaElle savait pertinemment oĂą il allait, la coupe de je ne sais pas quoi s’appelait Claudia ! Nancy aurait pu Ă ce moment-lĂ Ă©clater, provoquer la crise. Elle faillit, mais se retint ! Par contre ce qu’elle ne put retenir ce sont ses larmes !— Bon je vais voir si je peux m’arranger !Olivier tripatouilla le tĂ©lĂ©phone, fit semblant de faire quelques numĂ©ros, croyant duper son Ă©pouse, pour finir par soupirer :— Pas moyen de joindre quelqu’un !— Ce n’est pas grave, vas-y ! Tu m’emmèneras au restaurant samedi prochain— Non, demain, c’est promis, je t’emmène demain midi— Non ! Samedi, promet moi pour samedi !— Bon alors d’accord !Elle n’avait pas jetĂ© les fleurs, les disposant avec Ă©lĂ©gance dans un superbe vase de cristal. Elle souhaitait que sa vengeance soit imprĂ©visible. Mais elle devait maintenant intervenir très vite. Cette fausse inter-coupe Ă©tait le mensonge de trop ! DĂ©sormais, son mari la dĂ©goĂ»tait, il Ă©tait clair qu’il ne souhaitait pas divorcer, peut-ĂŞtre l’aimait-il encore Ă sa façon ? Mais peut-on Ă la fois aimer quelqu’un et se foutre de sa gueule ?— Ben tu fais quoi tu rĂŞve ?— Oui !— Je boirais bien un truc avant de manger !— Pas le temps ! Le dĂ®ner est prĂŞt, sinon ça va brĂ»ler !Archi-faux, rien ne risquait de brĂ»ler, mais elle voulait qu’il reste le plus sobre possible, pour la suite.— Bon alors, on y va !Il retire sa veste et ses chaussures et se met Ă table— Et toi, ta petite journĂ©e, rien de spĂ©cial ?— Bof, la routine !— T’as rien fait alors ?— Si j’ai rangĂ© mes fringues !— Passionnant !— Et j’ai retrouvĂ© ce petit ensemble que tu m’avais achetĂ©, je croyais l’avoir perdu, tu sais, le truc en dentelles rouge et noir, avec le soutien-gorge Ă balconnet et le porte jarretelles !— Il te va encore ?— Bien sĂ»r qu’il me va encore, ce que tu peux ĂŞtre con, parfois ! Je l’ai essayĂ© et je me suis mis une paire de bas, par contre, je n’ai pas retrouvĂ© la culotte, j’ai dĂ» la foutre en l’air !— Ça ne m’étonne pas ! Tu jettes tout…— Et tu sais ce que j’ai fait après ?— Non, rassure-moi, j’ai peur !— Si ça ne t’intĂ©resse pas on parle d’autres choses !— Continue, je plaisante !— J’ai passĂ© pardessus mon petit tailleur rouge, je me suis trouvĂ© vachement sexy !— Comme ça, sans chemisier, sans culotte ?— Tout Ă fait !— Et tu sais quoi ?— Pourquoi ? Il y a encore une suite ?— Une fois prĂŞte, je me suis rendu compte que la fenĂŞtre Ă©tait restĂ©e grande ouverte !— Personne ne peut nous voir de la chambre, quoique si, il y a la maison des blacks, mais ils ne sont jamais lĂ Â !— Cet après-midi, il y avait quelqu’un, et il m’observait Ă la jumelle !— Quoi ? Mais je vais lui casser la gueule !— Je ne te le demande pas ! Ce n’est pas de sa faute, Ă sa place tu aurais peut-ĂŞtre fait pareil !— Tu lui trouve des excuses maintenant !— Oui !— Et Ă part t’exhiber devant la fenĂŞtre, rien d’autre ?— Si, un type a sonnĂ©Â !— Ah ! Et qu’est ce qu’il voulait ?— J’en sais rien, il ne m’a rien dit !— Passionnante, ton histoire !— Il m’a sourit et m’a demandĂ© s’il pouvait entrer, très poliment, très correctement.— Ah ! Et alors ?— Alors je l’ai fait rentrer, et je l’ai fait asseoir dans le canapĂ© Comme il ne disait rien, je lui ai demandĂ© s’il dĂ©sirait boire quelque chose et je lui ai proposĂ© un verre de porto ! On a trinquĂ©Â !— Mais qu’est ce qu’il voulait ?— Je ne sais pas, il ne m’a rien dit !— Mais attends, tu Ă©tais toujours avec ton tailleur et pratiquement rien en dessous ?— Bien sĂ»r et je me suis rendue compte qu’en regardant d’une certaine façon dans l’échancrure de ma veste de tailleur on pouvait voir très nettement l’un de mes tĂ©tons ! Bien sĂ»r, j’aurais pu fermer un bouton supplĂ©mentaire mais ça faisait horrible !— T’es en train de me dire que tu as montrĂ© tes nichons Ă un inconnu ?— Je ne les lui ai pas montrĂ©, je lui ai laissĂ© la possibilitĂ© de les voir. Il faut prendre ça comme un jeu !— N’importe quoi ! Mais c’est qui ce mec ? Tu l’avais dĂ©jĂ vu ?— Je ne sais pas, j’ai supposĂ© que c’était le grand noir qui m’avait observĂ© Ă la jumelle, mais je n’en Ă©tais mĂŞme pas sĂ»re !— Bon alors il a bu un verre, il s’en est foutu plein la vue, et après ?— Il a voulu voir ma poitrine, je veux dire ma poitrine toute entière !— Et c’est Ă ce moment lĂ que tu t’es enfin dĂ©cidĂ©e Ă le mettre Ă la porte ?— Pas du tout !— Il ne t’a pas violĂ© au moins !— Mais absolument pas ! Ce type est restĂ© d’une correction et d’une gentillesse exemplaire, il m’a demandĂ© de pouvoir regarder mes seins, je ne vois pas pourquoi je lui aurais refusĂ©, je n’avais qu’à ouvrir ma veste. Euh ! Mange ça va refroidir !— J’ai plus très faim !— Il m’a complimentĂ© sur mon petit soutien-gorge et son contenu ! Je lui ai expliquĂ© que je n’avais pas retrouvĂ© la petite culotte. Il a fait semblant de ne pas me croire quand je lui ai dis que je n’en avais pas mise. Alors par jeu je lui ai montrĂ©Â ! Tu ne te sens pas bien chĂ©ri ?— Si ! Si ! Super !— Il m’a expliquĂ© qu’il Ă©tait tout excitĂ© et m’a demandĂ© de me lĂ©cher le bout des seins, juste quelques instants, je ne pouvais pas lui refuser !— Ben voyons ! Au point oĂą en est !— Et puis moi aussi la situation m’a excitĂ©, j’ai dĂ©grafĂ© moi-mĂŞme sa braguette et j’en ai sorti sa grosse queue. Ensuite, je l’ai coincĂ© entre mes deux seins pour la faire bien bander !— Nancy, tu es devenu folle !— Tu veux que j’arrĂŞte de raconter ?— Mais dis-moi que c’est pas vrai ! Que tu es en train de fantasmer !— Il m’a demandĂ© de le sucer, toujours très correctement, j’ai commencĂ© par lui lĂ©cher les couilles, tu sais que j’adore ça, lĂ©cher les couilles !— Nancy !— Elle est magnifique sa queue, toute noire, bien longue, bien Ă©paisse, si douce, avec le gland tout brillant. Hum ! Un vrai rĂ©gal !— Abrège !— Puis après j’ai craquĂ©. Quand il m’a demandĂ© de le chevaucher, j’étais si mouillĂ©e, que l’idĂ©e m’a semblĂ© tout Ă fait naturelle. Sa grosse bite m’a pĂ©nĂ©trĂ© sans aucune difficultĂ©.— Je rĂŞve !— Après il a voulu faire un break et m’a lĂ©chĂ© le minou, il m’a fait jouir comme ça, rien qu’en me lĂ©chant, un artiste !— Ça va durer encore longtemps ?— Il a voulu me prendre ensuite en levrette, puis m’a dit qu’on allait faire un nouveau break ! Il s’est mis Ă me lĂ©cher, mais cette fois c’était mon petit trou, j’ai compris qu’il Ă©tait en train de le lubrifier pour me prĂ©parer Ă ce que tu sais !— Ce que je sais ? A oui ! T’a peur de le dire ! T’as peur d’associer tes fantasmes avec les mots ! C’est bien ! Quelque part, ça me rassure !— Non, je n’ai pas peur, il voulait m’enculer, mais cet homme a du savoir-vivre, et il n’était pas question qu’il entre lĂ dedans comme dans un moulin !— Mon Dieu !— Il m’a enculĂ©, en levrette d’abord, puis j’ai prĂ©fĂ©rĂ© le chevaucher pour contrĂ´ler moi-mĂŞme le rythme et la profondeur de la pĂ©nĂ©tration.— Je t’en prie ! Epargne-moi les dĂ©tails techniques !— Pendant qu’il me labourait le cul, je m’excitais un peu le clito avec mes doigts !— Je ne sais pas oĂą tu va chercher tout cela ! Si ça continue, on va pouvoir rĂ©silier l’abonnement Ă Canal Plus !— Il m’a demandĂ© s’il pouvait jouir dans mon cul !— Ben voyons !— Je lui ai dis que je prĂ©fĂ©rais qu’il m’asperge ! Je l’ai sucĂ© un peu !— Tu vois bien que tu affabule ! Tu es en train de me raconter que tu l’as sucĂ© comme ça après qu’il t’ai enculĂ©Â ! Elle devait ĂŞtre propre sa bite ?— Mais bien sĂ»r qu’elle Ă©tait propre puisqu’il avait mis un prĂ©servatif pour me prendre ! Qu’est ce que tu crois ? Que je suis assez irresponsable pour m’envoyer n’importe qui sans prĂ©cautions ?— Bon ! C’est pour bientĂ´t la conclusion ?— Il m’a dit qu’il allait jouir ! Alors j’ai arrĂŞtĂ© ma fellation et il a joui sur mes nichons ! Pendant ce temps lĂ , je me masturbais Ă nouveau et j’ai joui une deuxième fois quelques secondes après lui.— Bon je suppose que c’est la fin du dĂ©lire ?— Et puis tu va rire ?— Je suis pliĂ© d’avance !— Il n’avait rien sous la main pour nettoyer le sperme, alors il a enlevĂ© l’une de ses chaussettes, et il l’a essuyĂ© avec !— Quelle imagination dĂ©bordante !— Après, il m’a demandĂ© de pouvoir prendre une douche, je me suis dit que j’en avais besoin moi aussi et qu’il serait sympa de la prendre ensemble, et alors tu sais ce qu’il m’a demandĂ© Ă ce moment-lĂ Â ?— Je m’attends au pire !— Il avait une grosse envie de faire pipi, alors en rigolant, il m’a demandĂ© de la lui tenir. Tu sais que c’est très rigolo et très excitant de tenir un sexe en train de pisser ? Et tu sais quoi ?— Non, je ne sais pas quoi !— Un moment j’ai dirigĂ© son jet sur mon corps, il y avait longtemps que je voulais faire ça, c’était très agrĂ©able, très excitant, très… comment dire très pervers !— Demain je te prends un rendez-vous chez le psy…— Après la douche, nous nous sommes embrassĂ©, et il est parti !— Sur la bouche, j’imagine !— Evidement !— Il n’a rien dit d’autre ?— Non il n’a rien dit ! En fait, je ne sais pas pourquoi il est venu ?— On ne le saura sans doute jamais !Il ne parlèrent pratiquement plus pendant le reste du repas. Pour Olivier sa femme Ă©tait soit en train de pĂ©ter les plombs, soit de le provoquer ? Aurait-elle appris quelque chose ? Mais son histoire ne tenait pas debout. Après le repas il alla s’installer dans le salon pour regarder la tĂ©lĂ©vision pendant que Nancy finissait de dĂ©barrasser. Le cendrier sur la table basse n’avait pas Ă©tĂ© vidĂ©. Un superbe briquet trĂ´nait Ă son cĂ´tĂ©Â !— C’est Ă qui ce briquet ?— Oh ! Ce doit ĂŞtre Jimmy qui l’a oubliĂ©Â !— Jimmy ? Qui c’est encore celui-lĂ Â ?— Jimmy c’est le gentil monsieur qui s’est si bien occupĂ© de moi cet après-midi !— Ecoute Nancy arrĂŞte ! Tu n’es pas drĂ´le ! Tu peux peut-ĂŞtre Ă prĂ©sent me dire ce que ce type venait rĂ©ellement faire ici ?— Je n’en sais rien ! Il ne me l’a pas dit ! » Bon un type Ă©tait passĂ© pour un motif obscur, avait fumĂ© 2 ou 3 cigarettes, c’était bizarre, mais on Ă©tait loin du dĂ©lire de Nancy. Elle ferait mieux de faire le mĂ©nage un peu plus Ă fond au lieu de raconter des conneries, il y a plein de trucs qui traĂ®nent, il y a mĂŞme une chaussette par terre. Ça devient le bordel ici !  » se dit Olivier.Il se lève, regarde avec incrĂ©dulitĂ© la chaussette. Une chaussette d’homme qui n’est pas Ă lui ! DĂ©bile, la mise en scène de Nancy. Personne n’oublie ses chaussettes ! Il va falloir qu’elle aille se faire soigner. Mais oĂą l’a t-elle dĂ©gotĂ©Â ? Elle l’a sans doute tout simplement achetĂ© au super-marchĂ© du coin. Machinalement il la ramasse. Elle a une odeur ! Elle a rĂ©ellement Ă©tĂ© portĂ©e ! Le cĹ“ur d’Olivier commence Ă dĂ©faillir ! Mais elle ne sent pas que les pieds, elle est toute poisseuse et l’odeur est celle… du sperme ! La chaussette est pleine de sperme !. Quelqu’un a essuyĂ© du sperme avec une chaussette ! Tout s’écroule autour de lui ! Il court dans la chambre, rassemble quelques affaires dans un sac de voyages, remet ses chaussures et sa veste et se prĂ©cipite vers sa voiture.— J’aurais Ă©tĂ© vache, je l’aurais fait boire, il se serait plantĂ© en bagnole !Elle versa nĂ©anmoins une larme, c’est une partie de son existence qui s’en allait, sans doute irrĂ©mĂ©diablement, il allait maintenant falloir gĂ©rer cette nouvelle situation— AllĂ´ Jimmy ! Tout c’est passĂ© comme prĂ©vu ! Mais maintenant, j’ai besoin de parler Ă quelqu’un, tu ne pourrais pas t’arranger pour passer 5 minutes ?— Euh ! Mais passe donc, toi ! Je vais te prĂ©senter Ă Annette ! Je suis sĂ»r que vous allez devenir une paire de super copines !— Pourquoi-pas ? J’arrive !Jean Sebastien Tiroir10-94 rĂ©Ă©crit et corrigĂ© en 9-00 et 5-01