Ce texte, sorte d’exercice de (dĂ©-)style Ă©tant assez hard dans ses propos, est donc plutĂ´t dĂ©conseillĂ© aux âmes prudes et chastes… Les autres aviseront 🙂 Comme souvent lors de la pause du midi, sandwich en main, je m’assieds devant l’ordinateur, j’ouvre ma messagerie personnelle et je rĂ©ponds Ă quelques messages ci et lĂ . Ceci fait, après avoir vidĂ© Ă moitiĂ© ma canette de Fantagina que je repose dans un grand soupir de satisfaction, je jette un petit coup d’œil circulaire : oui, personne aux alentours.Aujourd’hui, j’ai dĂ©cidĂ© que c’est une journĂ©e pour jouer avec ma chère femme, ma compagne selon la loi. Je sors de ma poche mon dĂ© fĂ©tiche, celui qui est tout noir avec des symboles curieux dessus, un dĂ© dĂ©nichĂ© complètement par hasard quand j’ai marchĂ© dessus dans la rue. Je n’ai jamais su Ă quoi il pouvait bien servir, de quel jeu il Ă©tait issu, mais du moment que les six faces sont bien numĂ©rotĂ©es, c’est le principal. DĂ© Ă©trange que celui-ci, avec un symbole (un soleil) pour le un, deux autres symboles pour le deux (des yeux), etc.Je me concentre, puis je fais rouler le dĂ©. Après quelques culbutes bien sonores, il s’arrĂŞte sur la face six ; enfin, sur la face oĂą il y a un total de six symboles, des Ă©clairs. Six, le maximum… Alors, au vu du rĂ©sultat, je me jette Ă l’eau et je commence Ă rĂ©diger pour Adeline, ma compagne, un mail bien Ă©picé…Ma belle salope Ă moiJ’exige les choses suivantes Ă partir du moment oĂą tu poses ton mignon cul de pute dans la voiture :— Tu me dis « vous » et « MaĂ®tre » ;— Tu parles de toi de façon dĂ©gradante ou insultante : « Je suis votre chienne/pute » ;— Tu ne râles pas, tu es aimable, docile ;— Quand je demande quelque chose, tu obĂ©is.Dès que tu rentres Ă la maison, tu te fous Ă poil devant moi, sans rien cacher tandis que je regarde le spectacle que tu accomplis avec un minimum de grâce. Puis, une fois nue, Ă genoux, tu me prĂ©senteras tes hommages et tu baiseras ensuite mes pieds.Ensuite après m’avoir fait une petite sucette, tu as quartier libre pour aller sur le web, après t’être habillĂ©e de façon ultra sexy ou comme une traĂ®nĂ©e (je te prends en photo). Tu en profites alors pour rĂ©pondre Ă tes mails et Ă tes adorateurs. Pour tes textes Ă corriger, tu viens me chercher gentiment, et pendant que je corrige tes fautes : Ă genoux devant moi.Ă€ un moment donnĂ©, tu viens dans le salon, et pendant que je suis assis dans le canapĂ©, debout, tu te caresses voluptueusement, tu te pelotes les seins, tu te tripotes le trou du cul, et tu te masturbes jusqu’à ce que tu jouisses comme la traĂ®nĂ©e absolue que tu es.Pour manger, je vais chercher des pizzas. Ce sera plus simple ainsi.Ă€ mon retour, la table est mise pour moi, tu m’accueilles Ă genoux, Ă cĂ´tĂ© de la table basse, puis tu manges par terre ta pizza dans son carton, sans les mains, le cul Ă l’air avec le gros rosebud dans ton cul (rosebud, plug ou crochet) que tu as mis dans ton fion pendant que je suis parti.Une fois la pizza finie, tu me suces puis je t’encule. Une fois que j’ai Ă©jaculĂ© dans ton trou du cul, tu t’accroupis afin d’expulser mon sperme ; et comme dessert, tu lècheras ce qui est sorti de ton cul.Durant les anims’ que nous regardons comme d’hab’, dĂ©votions, branlettes, et bisous sur ma queue. Avant de dormir, je te baise. Après, tu pourras dormir.Ton MaĂ®treEt hop, je clique sur le bouton « Envoyer ». Rien que de le rĂ©diger, ce mail m’a dĂ©jĂ rendu tout dur ! Je ne sais pas si on fera tout ce qui est mentionnĂ©, car dans le feu de l’action on fait souvent autre chose. Un mail bien balancĂ©, très… vulgaire, mais Adeline aime qu’on la bouscule parfois. Je songe Ă tout ce que nous… oui, tout ce que nous… Puis, comme fatiguĂ©, je bascule en arrière. L’après-midi sera long ou court ? Long, je le crains ! Pour me redonner du courage, je vide ma canette.HĂ©las, j’ai eu raison : ce fut un après-midi interminable ! Toujours un truc enquiquinant qui suivait un truc peu amusant… Enfin il est l’heure ; je descends au parking, tĂ©lĂ©phone en main. Un bref coup de fil :— AllĂ´, ma chĂ©rie ? Oui, j’ai fini et je viens de me mettre en route… Rien de particulier, non… Oui, je te phone dès que j’arrive Ă la bretelle, comme d’hab’ ! Hum… hum… oui… Ă tout de suite, bisous !Et voilĂ , la journĂ©e est finie. J’espère qu’il n’y aura pas trop de circulation. C’est un mercredi ; en gĂ©nĂ©ral, c’est plutĂ´t cool, mais on ne sait jamais : il suffit d’un tout petit accrochage pour que tout dĂ©gĂ©nère en chaos.Ce ne sera pas le cas aujourd’hui : tout roule nickel – tout au moins dans ma direction, ce qui n’est pas trop le cas dans l’autre sens. Il y a bien quelques semi-remorques qui gĂŞnent un peu, mais j’arrive vite Ă la bretelle qui mène Ă l’entreprise de ma compagne.Ah, ma compagne… Le hasard a bien fait les choses, en ce qui nous concerne. Le hasard, comme ce fameux dĂ© que je trimbale toujours avec moi, et qui dort mĂŞme sur mon chevet, sous la lampe, le compagnon de mes dĂ©bauches ! Ce fameux dĂ© que j’ai trouvĂ© au sol, juste quelques minutes avant de rencontrer pour la première fois celle qui partage actuellement ma vie et mes nuits. CoĂŻncidence troublante qui me permet de justifier allègrement certaines petites choses pas racontables aux esprits purs et chastes…Je n’ai jamais compris Ă quoi servait rĂ©ellement ce dĂ©, d’oĂą il sortait. Pas mĂŞme une trace sur Internet, mais je sais m’en servir lors de nos jeux en chambre close. Une chose Ă©trange quand j’y songe : il est toujours tombĂ© sur la face que je convoitais. Enfin, presque toujours. Les rares fois oĂą il ne l’a pas fait, c’était mieux ainsi…Je secoue la tĂŞte ; je vais finir par croire au pouvoir mystĂ©rieux de ce petit cube noir ! Adeline, elle, y croit presque. Ça m’arrange.Oreillette en place, je donne le second coup de fil rituel du retour. Chaque jour de la semaine, il en est ainsi : je la dĂ©pose au matin. ArrivĂ© Ă mon travail, je donne un petit coup de fil. Idem Ă midi. Et juste avant de partir la chercher. Et enfin, quand je suis presque arrivĂ©, afin qu’elle quitte son boulot.— AllĂ´, ma chĂ©rie ? Ca y est, je suis dans le grand virage final. Plus que deux feux et je serai lĂ , Ă l’endroit habituel. Oui… Bisous !Deux feux qui se mettent exprès au rouge alors que j’arrive. On dirait que c’est voulu, qu’ils me guettaient ! Tant pis, j’attends. Quelques minutes plus tard je suis arrivé ; je me gare comme je peux et je patiente. Peu après, Adeline apparaĂ®t au coin de la rue. Il est impossible ou presque de la rĂ©cupĂ©rer juste devant son travail ; il est utopique de tenter de se stationner : il y a des piquets partout, et quand ce ne sont pas des piquets, ce sont de grosses bornes en bĂ©ton. Rien que des bureaux dans ce coin, et aucun dĂ©pose-minute, pas une seule place de parking. Ces urbanistes sont vraiment nuls !Ă€ prĂ©sent, Adeline longe le grand bâtiment en acier et en verre, regarde Ă gauche puis Ă droite et traverse prestement la rue du mieux qu’elle peut, perchĂ©e sur ses hauts talons. Puis elle vient vers moi, bien en face. Je peux la contempler Ă mon aise : un beau petit lot, avec sa petite veste en jean, sa jupe de la mĂŞme matière et son chemisier vif. Oui, un beau petit lot, assurĂ©ment !Je me penche, je lui ouvre la portière de l’intĂ©rieur, un geste qu’elle aime beaucoup. Elle s’engouffre aussitĂ´t dans la voiture ; je mets le contact, elle met sa ceinture puis je redĂ©marre aussitĂ´t, car dès qu’il y a un peu moins de voitures qui passent, il faut Ă tout prix en profiter, sinon on peut rester coincĂ© longtemps.Ă€ peine cinquante mètres plus loin : feu rouge. J’en profite pour lui faire un petit bisou.— Bonsoir, ma chĂ©rie.Elle me tend ses lèvres mais ne dit rien. Je suis un peu déçu. Le feu passe au vert, et peu après nous sommes sur la voie rapide, dans un trafic particulièrement dense. Je sens que ça ne va pas ĂŞtre de tout repos de retourner chez nous, malgrĂ© le fait que nous soyons un mercredi. LĂ -bas au loin, un panneau lumineux indique quelque chose ; je vois un triangle rouge dessinĂ© sur sa gauche, mauvais signe, c’est souvent Ă cause d’un accident, mais où ? HĂ©las, je n’arrive pas Ă lire correctement. Fichu panneau : trop loin ! Je tends le cou tout en plissant des yeux pour tenter de lire.— Votre petite pute lit qu’il y a un accident signalĂ© Ă deux kilomètres sur l’A1, MaĂ®tre.Surpris, je tressaille. La voiture dĂ©vie un peu de sa trajectoire.— Eeeh, MaĂ®tre, votre traĂ®nĂ©e aimerait bien vivre encore quelques annĂ©es !Je rectifie aussitĂ´t. Je sens que ça va devenir palpitant d’ici très peu de temps…–ooOoo–La voiture roule Ă prĂ©sent dans la verte campagne ; les encombrements de la grande ville sont loin derrière nous. Le CD s’achève sur la dernière chanson. C’est une de nos habitudes : le soir, nous mettons une galette dans le lecteur, histoire de nous vider l’esprit, de ne pas trop songer aux embouteillages. Après cette pause, nous discutons, beaucoup plus relaxĂ©s.Ă€ peine la dernière note passĂ©e, Adeline prend la parole :— Au fait, MaĂ®tre, votre poufiasse prĂ©fĂ©rĂ©e a une suggestion.— Oui, dis toujours, ma poufiasse prĂ©fĂ©rĂ©e… Au fait, redis « je » pour l’instant, ça sera plus simple.— VoilĂ Â : si je dois m’insulter et ĂŞtre insultĂ©e, autant que ce soit par des mots diffĂ©rents Ă chaque fois. Qu’en pensez-vous ?— Hum… pourquoi pas ? Bonne idĂ©e ! Donc un mot que tu utilises, je ne dois plus l’utiliser ensuite ? Et toi de mĂŞme ?— Oui MaĂ®tre, c’est bien ça.— On a dĂ©jĂ commencĂ© ou on commence Ă partir de maintenant ?— J’ai dĂ©jĂ dit : pute, traĂ®nĂ©e et poufiasse… ce n’est pas grand-chose, MaĂ®tre. Bien sĂ»r, n’oubliez pas mon petit mot Ă chaque ordre que vous me donnerez.Je fronce mes sourcils.— AĂŻe, ça ne va pas ĂŞtre facile ; mon rĂ©pertoire est limitĂ©. De plus, ma mĂ©moire n’est pas très bonne.— Pour vous motiver, je n’obĂ©irai au doigt et Ă l’œil que si le mot est nouveau. Peu importe ce qu’il soit.— Au doigt et Ă l’œil ?— C’est bien ce que j’ai dit : au doigt et Ă l’œil, MaĂ®tre. Et en français, s’il vous plaĂ®t !Je laisse passer un peu de temps pour ma rĂ©ponse.— OK, pas de problème : au doigt et Ă l’œil. Au fait, en parlant de français, le safe word est « Mimosa » pour aujourd’hui.— Mimosa ? Ah bon…— Pourquoi pas « Mimosa » ? On conteste les ordres de son MaĂ®tre, ma belle pĂ©tasse ?— Non, mon MaĂ®tre, votre gourde personnelle respecte et exauce vos dĂ©sirs.VoilĂ ce qui est nettement mieux ! Nous avons encore quelques kilomètres Ă faire, et j’ai besoin de parler normalement avant d’y aller franco :— Mimosa, Adeline. Parle-moi de ta journĂ©e, mais normalement, sans tout le tralala du MaĂ®tre et autres noms d’oiseau. Mais dès que nous arrivons Ă l’entrĂ©e de notre village, on repasse en mode « MaĂ®tre et soumise ». OK ?— OK.Et elle me parle de sa journĂ©e. Je sais qu’une femme a besoin de s’exprimer sur ce qu’elle a vĂ©cu, comme pour faire l’inventaire, comme pour se vider. C’est Ă l’homme d’écouter, d’abonder la plupart du temps dans son sens, et surtout de ne pas tenter de rĂ©soudre ses problèmes. Il m’a fallu des annĂ©es pour comprendre cette chose toute simple : elle parle, j’écoute.Nous approchons de notre village ; elle continue de parler de sa journĂ©e. Puis Ă l’instant mĂŞme oĂą nous dĂ©passons le panneau indicateur, elle se tait. Adeline sait très bien jouer le jeu, Ă condition que la partie adverse soit irrĂ©prochable. Une fois ceci compris, ça ouvre de larges horizons, et j’en profite depuis quelques annĂ©es.–ooOoo–Peu après nous arrivons devant chez nous. Je stoppe la voiture et je lance :— Va m’ouvrir le portail, belle catin.— Votre belle putain y va tout de suite…Alors qu’elle tourne la grosse clĂ© et qu’elle fait pivoter les deux grilles, je me souviens de la fois oĂą elle a tenu absolument Ă ouvrir le portail sous une pluie battante. Elle Ă©tait trempĂ©e, ses vĂŞtements collaient sur sa peau : c’était très Ă©rotique ! Ce serait dommage d’installer un portail automatique.Et le bain plein de mousse qu’elle avait pris ensuite n’avait pas Ă©tĂ© un long fleuve tranquille…Le portail ouvert, je rentre la voiture. Ça y est, nous sommes enfin chez nous. Je regarde dans la boĂ®te Ă lettres tandis qu’Adeline s’engouffre dans la maison, oĂą je la suis peu de temps après. Elle m’attend debout dans le salon, son imper dĂ©jĂ Ă´tĂ©, jambes Ă©cartĂ©es, mains sur les hanches. J’ai comme l’impression qu’elle a vraiment appris par cĹ“ur mon mail…Pour Ă©viter de parler – car mon stock de gros mots est faible – je me contente de claquer des doigts tout en m’enfonçant confortablement dans un fauteuil, histoire de profiter au maximum du spectacle.Toujours vĂŞtue de sa petite veste, de sa jupe en jean et d’un chemisier aux tons vifs, Adeline vient se planter, jambes en V, au milieu du salon, face Ă moi. C’est avec un large sourire qu’elle commence Ă Ă´ter sa veste bleutĂ©e, rĂ©vĂ©lant ses Ă©paules couvertes d’un assez fin tissu. Elle minaude un peu, ce qui lui va très bien, puis d’un geste ample elle lance sa veste qui retombe sur la table basse du salon. Son chemisier est dĂ©cidĂ©ment trop fin ; encore heureux qu’elle ne travaille quasiment qu’avec des femmes, sinon je me poserais bien des questions. C’est vrai que je n’avais tout Ă fait bien rĂ©alisĂ© ce matin combien ce vĂŞtement pouvait ĂŞtre aguicheur pour qui sait voir.Elle se caresse lascivement le corps, insistant sur ses hanches, ses jambes. Puis, pivotant sur elle-mĂŞme, elle recommence son petit manège, cĂ´te pile afin que je ne perde rien de ses deux faces, ce dont je le remercie intĂ©rieurement. Puis d’un geste gracile, elle Ă´te sa première chaussure qu’elle pose Ă cĂ´tĂ© d’elle, au sol, rĂ©vĂ©lant un mignon pied gainĂ© de noir. Je ne suis pas un fĂ©tichiste des pieds, mais je ne dĂ©teste pas m’attarder parfois sur cette partie anatomique. Peu après, l’autre chaussure prend le mĂŞme chemin, puis elle esquisse un pas de danse.Elle virevolte sur elle-mĂŞme, faisant quelques gestes aĂ©riens, se dĂ©hanchant un peu, me laissant entrevoir bien des promesses. Moi, durant ce temps, j’admire ma femme des pieds Ă la tĂŞte sans perdre un seul morceau de son anatomie.— Poo poo pee-doo ! lance-t-elle en jouant visiblement les Betty Boop qui, la première, fit connaĂ®tre ces quatre fameuses syllabes.Je souris ; ma femme est dĂ©cidĂ©ment faussement ingĂ©nue. Elle me le dĂ©montre depuis quelques instants avec divers gestes Ă©vocateurs, ses frĂ´lements, ses caresses, toutes ces choses qui cachent bien d’autres choses. Puis, me faisant face, lascive, c’est avec une lenteur interminable qu’elle dĂ©boutonne son fin chemisier. Ses seins jaillissent, toujours emprisonnĂ©s dans un soutien-gorge, entre les pans libĂ©rĂ©s. Lentement, le chemisier glisse, rĂ©vĂ©lant une Ă©paule, puis l’autre. La chair rose des bras se dĂ©voile tandis que sa poitrine apparaĂ®t nettement dans toute sa splendeur. Puis d’un geste brusque, le chemiser vole Ă travers la pièce. Mains sur les hanches, Adeline se laisse admirer, pivotant lentement sur elle-mĂŞme pour bien ĂŞtre contemplĂ©e.Puis ses doigts fins s’attaquent au gros bouton de sa jupe. Elle fait durer les choses ; je reconnais bien lĂ le caractère joueur de ma femme ! La tirette de la fermeture Éclair s’abaisse tout aussi lentement. Je suis assidu au spectacle. Puis, se trĂ©moussant, sans mettre les mains, Adeline ondule du popotin afin de faire descendre la jupe qui arrive rapidement Ă ses pieds.Elle est Ă prĂ©sent en soutien-gorge, slip et bas autofixants, tout ce petit monde de couleur noire, sa couleur prĂ©fĂ©rĂ©e en lingerie, splendide contraste avec sa peau blanche. Lascive, elle ondule de tout son corps, comme elle sait si bien le faire pour m’exciter plus encore. Pour ma part, je reste stoĂŻque. De ma voix la plus neutre, je dis :— La suite…— Bien, MaĂ®tre.Elle retire lentement son soutien-gorge, rĂ©vĂ©lant un premier sein et son tĂ©ton Ă croquer. Elle me le laisse bien voir avant de continuer son petit jeu insolent. Son autre sein s’affiche alors Ă ma vue tandis qu’elle dĂ©grafe son soutien-gorge tout en balançant son corps sur une musique inaudible. Beau spectacle que de voir le haut de son corps et ses trĂ©sors que j’aime tant et que je convoite toujours, mĂŞme si j’en abuse tous les jours.Peu après, c’est son petit slip qui descend, millimètre par millimètre, rĂ©vĂ©lant lentement son intimitĂ© au grand jour. Une belle intimitĂ© que je connais si bien et que j’apprĂ©cie tant ! Le petit slip choit sur ses pieds ; elle s’en dĂ©barrasse d’un bref geste de la jambe. Elle tourne lentement sur elle-mĂŞme afin que je puisse la contempler de tout mon saoul. Adeline me connaĂ®t sans doute un peu trop bien. Ou bien, je suis peut-ĂŞtre un peu trop prĂ©visible, comme beaucoup d’autres hommes ?Elle s’apprĂŞte Ă Ă´ter un de ses bas autofixants ; je l’arrĂŞte :— Non, non, ma belle tapineuse. Reste en bas, c’est mieux. Tu es nettement plus bandante comme ça.— Bien, MaĂ®tre.Alors presque totalement nue, elle s’agenouille devant moi, courbe la tĂŞte et dit :— Je suis Ă vous, MaĂ®tre. Je suis votre chienne…— Je le sais dĂ©jĂ , ma adorable chiennasse !— Vous trichez, MaĂ®tre.— Depuis quand une simple esclave ose reprocher quoi que ce soit Ă son MaĂ®tre ?— La moins que rien que je suis s’en excuse platement.Elle baisse plus encore la tĂŞte puis, s’agenouillant plus encore, front presque au sol, elle baise mes chaussures. Perfect timing.— Très bien. Ă€ prĂ©sent, suce-moi, gourdasse !— Avec plaisir, MaĂ®tre.Elle dĂ©grafe ma ceinture, abaisse ma tirette. Je me soulève pour qu’elle dĂ©gage mon sexe qu’elle accueille directement entre ses lèvres toutes chaudes. J’adore ĂŞtre dans cette grotte si suave et me faire choyer de la sorte ; c’est un plaisir vraiment exquis. Et dire que certains hommes l’ignorent !Avec application, elle lèche ma tige de haut en bas, suavement. Elle dĂ©pose mille baisers appuyĂ©s sur mon gland avant de faire Ă nouveau disparaĂ®tre toute ma colonne de chair entre ses lèvres luisantes. Je la laisse s’activer autour de ma queue fièrement dressĂ©e, puis je prĂ©fère en rester lĂ Â : surtout, je dĂ©sire aller au bout de mon programme !–ooOoo–Tandis que je me rĂ©ajuste, Adeline quitte la pièce pour aller s’habiller. Moi, j’en profite pour m’offrir un verre ; la soirĂ©e sera chaude, et il faut que je tienne jusqu’au bout. Tandis que je bois lentement mon verre, je regarde par la fenĂŞtre. Le soir commence Ă tomber, la nuit ne fait que commencer…Je vaque Ă diverses choses, je traĂ®ne un peu dans ce que j’ai Ă faire, j’y vais sans hâte, piano comme le disent si bien les Italiens ; je sais que ça prendra du temps pour qu’Adeline se change. Et puis, ça me permet de refroidir…— Me voici toute Ă vous, MaĂ®tre !Je me retourne, et je reconnais que ça valait la peine d’attendre un peu : Adeline a optĂ© pour une tenue sexy-pute, ou l’inverse, je ne saurais le dire, mais l’effet est radical sur ma libido. Quand je disais que cette soirĂ©e allait ĂŞtre difficile pour mes nerfs… DĂ©crivons-la des pieds Ă la tĂŞte :– Des chaussures noires Ă hauts talons-aiguilles qui lui donnent une dĂ©marche sensuellement chaloupĂ©e.– Des bas noirs Ă motifs, des volutes qui gainent admirablement le galbe de ses jambes.– Un porte-jarretelles bleu Ă©lectrique enrobant harmonieusement ses hanches en un Ă©trange contraste, et une absence totale de petite culotte.– Une sorte de nuisette du mĂŞme bleu, très arachnĂ©enne, mousseuse, flottante, qui ne cache rien du tout !– Un redresse-seins qui remplit parfaitement son rĂ´le, faisant pointer de façon insolente son admirable poitrine.– Un collier massif en mĂ©tal qui accroche la lumière, la faisant ressembler Ă une idole primitive mais très sensuelle.– Un maquillage soulignant ses lèvres dĂ©licatement ourlĂ©es, ses yeux lĂ©gèrement en amande, ses joues si douces…– Ses cheveux si soyeux rĂ©unis en un simili-chignon dĂ©sordonnĂ© de sauvageonne sophistiquĂ©e.Comment voulez-vous rester de marbre devant pareil tableau ? Si j’avais quelques annĂ©es de moins, jeune lycĂ©en, j’en Ă©jaculerais illico dans mon boxer ! Je veux immortaliser ce moment ; je me prĂ©cipite sur mon appareil photo numĂ©rique Ă dĂ©faut de me jeter sur elle. Puis pendant un bon cinq-dix minutes, enfiĂ©vrĂ©, je la mitraille sous toutes les coutures, sous toutes les poses, Ă©thĂ©rĂ©es comme impudiques ; elle se prĂŞte Ă tous mes petits dĂ©lires du moment tandis que je rĂ©siste Ă l’envie de lui arracher tous ses vĂŞtements !— C’est bon, ma chĂ©rie, tu as droit Ă ta petite pause.— On ne joue plus ?— Il faut savoir y aller doucement mais sĂ»rement.Elle sourit curieusement puis elle lâche perfidement :— Ton chapiteau est peut-ĂŞtre un peu trop tendu ; tu as peur que le mât casse ?— File dans ta chambre pour rĂ©pondre Ă ton courrier !— Oui, Monsieur mon mari. Tout de suite !Et elle se refugie aussitĂ´t dans notre chambre, ondulant ostensiblement des fesses, provocante Ă souhait. J’ai un mal de chien Ă dĂ©crocher ma vue de la porte oĂą elle vient de disparaĂ®tre ; cette femme me fera mourir cardiaque avant l’âge !Fidèle Ă ses habitudes, Adeline est Ă prĂ©sent dans notre chambre afin de surfer sur son ordinateur portable. Assise au bord du lit, l’ordinateur posĂ© sur une desserte Ă roulettes, elle consulte ses messages, ses blogs et ses forums. Elle adore tout savoir, mettre son nez partout, et ça lui prend un certain temps. Durant ce temps je vaque Ă mes petites occupations, ma tempĂ©rature interne descendant Ă un niveau moins pĂ©rilleux.Pour certaines rĂ©ponses, elle n’aime pas faire de fautes, alors je suis son correcteur attitré… et je peux parfois en retirer un certain profit. Souvent, mĂŞme ! Bref, un bon arrangement pour elle comme pour moi. Profiteur, moi ? Quelle idĂ©e !— C’est bon, MaĂ®tre, j’ai fini mes messages.— OK, j’arrive.Quand j’entre dans la chambre, elle se lève du lit pour me laisser la place. Mon Dieu, qu’elle est sexy ! Toujours ondulant sur ses hauts talons, elle embarque un oreiller au passage. Je m’assieds Ă sa place tandis que, fidèle au mail de ce midi, elle s’agenouille face Ă moi, l’oreiller sous ses genoux. Sage prĂ©caution.Je consulte les diffĂ©rents messages sur le traitement de texte. Pas beaucoup de fautes, sauf quelques accords, mais le français n’est pas une langue facile, je le lui accorde.— Impec ou presque, ma gourgandine : tu fais de rĂ©els progrès, bravo !— Votre saligote est indigne de vos fĂ©licitations…— Tu es peut-ĂŞtre ma putasse, mais quand c’est bien, il faut le dire.— Bien, MaĂ®tre.Ă€ sa grande surprise, je dĂ©pose un bisou sur son front puis je me lève. Elle s’étonne :— Vous ne souhaitez pas que je vous prouve ma reconnaissance ?— Je m’en voudrais que tu attrapes une crampe Ă la mâchoire, d’autant que la soirĂ©e ne fait que commencer. Qui veut aller loin, mĂ©nage sa monture.— Dois-je comprendre que je suis votre monture ?— En quelque sorte… oui, c’est indubitable.— Beau jeu de mots !Je me contente de sourire et je sors de la chambre. Avant de franchir la porte, je lui lance :— Et puis pour la suite, il te faut quelques forces…— La suite ?Je me retourne, l’air sĂ©vère :— Ne me dis pas que tu as oubliĂ©, petite idiote !— De me tripatouiller devant vous, MaĂ®tre ?— Exactement. Attends un peu que j’aille m’installer dans le salon afin de profiter au mieux du spectacle que tu vas m’offrir. C’est vrai que tu as tes copiĂ©s-collĂ©s Ă envoyer Ă tes correspondants avant.— Bien, MaĂ®tre.Quelques instants après, je suis confortablement installĂ©, attendant l’agrĂ©able suite Ă venir.Adeline arrive aussitĂ´t d’une dĂ©marche ondulante ; une bonne entrĂ©e en matière, si je puis dire. Avec une certaine théâtralitĂ©, elle pousse du pied un pouf rouge qu’elle dispose devant moi puis elle s’assied dessus, jambes largement Ă©cartĂ©es : une splendide pouf sur un pouf ! Et le contraste des couleurs est assez saisissant.M’offrant une vue magnifique sur sa belle fente dĂ©jĂ largement entrouverte, elle joue de ses doigts manucurĂ©s. Elle caresse ses douces lèvres luisantes, s’amuse avec un capuchon rosĂ© et taquine un petit clitoris qu’on pressent très sensible…— Continue ainsi, gourgandine !— Hummm… Oui, MaĂ®tre… dit-elle dans un souffle.Bouche ouverte, aspirant l’air, elle s’active plus encore, ses doigts chargĂ©s de cyprine, sa fente devenant de plus en plus blanche sous l’évidente excitation. Elle gĂ©mit, elle souffle, elle tressaille. Ses ongles disparaissent sous la cyprine qui les couvre. Sa fente s’élargit plus encore pour accueillir ses doigts qui lui font tant de bien. J’imagine toutes les queues qu’elle pourrait engloutir pour assouvir son dĂ©sir ! Elle murmure, elle expire, elle soubresaute.Je suis fascinĂ© par les longs filets de cyprine qui relient ses doigts Ă sa chatte. Je suis envoĂ»tĂ© par le plaisir qu’elle se donne, ma sensuelle soumise si obĂ©issante Ă mes ordres, ma tendre trimardeuse que j’hĂ©site entre la donner Ă tous et me la rĂ©server exclusivement. Ses doigts dĂ©trempĂ©s et gluants, sa fente largement ouverte et ruisselante, elle jouit sans retenue, bruyamment, impudiquement, tandis que je contemple le splendide spectacle qu’elle m’offre.–ooOoo–Je dĂ©croche le tĂ©lĂ©phone afin de commander les pizzas que j’irai ensuite chercher. Elles seront prĂŞtes dans quinze-vingt minutes environ. Il me faut facilement cinq minutes pour y aller : il me reste donc environ dix minutes de battement.Adeline est Ă nouveau dans la chambre, se reposant ; je m’empare d’un pĂ©riodique. Les minutes passent, les pages se tournent une Ă une. Ă€ la fin d’un reportage, je consulte ma montre puis je lance :— J’y vais. PrĂ©pare tout, ma morue salĂ©e !— Ma morue salĂ©e ? Tu as Ă©tĂ© chercher ça où ?— Je ferai comme si je n’ai rien entendu, ma merluche.— Oh, pardon, MaĂ®tre…Je monte dans la voiture. La campagne, c’est bien beau, mais souvent il faut parcourir des kilomètres pour trouver une boulangerie, et ici, une pizzeria. Bon, il est vrai qu’il n’y a pas un chat sur la route non plus. Quelques kilomètres plus tard, j’arrive Ă bon port. Ma commande Ă©tant dĂ©jĂ prĂŞte, je repars aussitĂ´t. Juste après ĂŞtre sorti du village oĂą est situĂ©e la pizzeria, je donne un coup de fil :— AllĂ´, mon boudin prĂ©fĂ©rĂ©, c’est bon, j’ai tout. Je serai lĂ dans cinq minutes environ.— Bien, MaĂ®tre. Votre crevette des mers aura tout prĂ©parĂ©.— Crevette des mers ? C’est une insulte, ça ?— Une crevette, ce n’est pas prĂ©cisĂ©ment un prix de beautĂ©, MaĂ®tre…— Dois-je comprendre, ma leste limande, que tu es justement un prix de beauté ?— C’est vous qui l’avez dit ; pas moi, MaĂ®tre vĂ©nĂ©rĂ©.Je me contente de rire tout en coupant la communication. Cinq minutes après – je suis ponctuel – je suis de retour. Je referme le portail puis je rentre, pizzas en mains. Comme convenu, la table basse du salon est apprĂŞtĂ©e tandis qu’Adeline est agenouillĂ©e juste Ă cĂ´tĂ©. Entre-temps, elle a Ă´tĂ© son espèce de nuisette ainsi que son lourd collier, mais elle reste toujours aussi torride ; ses seins semblant pointer encore plus. Mes couverts et mon verre sont placĂ©s, ainsi qu’une serviette en papier. Sur le cĂ´tĂ© gĂ®t un tube Ă moitiĂ© plein. Je regarde mieux : c’est un tube de vaseline. DĂ©cidĂ©ment, ma prĂ©voyante soumise pense Ă tout ! Je hoche la tĂŞte et, après m’être un peu inclinĂ©, d’un geste dĂ©contractĂ© je balance au sol un carton de pizza, juste Ă ses genoux.— Ta pizza, connasse !— Merci, MaĂ®tre. Votre suceuse de bite vous remercie.— Tiens, c’est pas une mauvaise idĂ©e, ça…Et j’abaisse illico ma braguette, extirpant mon service trois pièces. Ma suceuse s’en saisit et commence une sucette particulièrement voluptueuse. Je me laisserais bien aller mais j’ai un programme Ă tenir, et c’est avec regret que je me dois de me retirer de sa bouche. Son air gourmand indique bien qu’elle a compris le pourquoi de ce retrait assez rapide, et elle est visiblement fière d’elle.Avec un petit soupir, je remballe mon service trois pièces puis, de mon ton le plus sĂ©vère, je dĂ©clame, pĂ©remptoire :— Maintenant, gobeuse de bites, bouffe ta pizza par terre dans son carton, comme la chiennasse que tu es, sans les mains, le cul Ă l’air avec ton gros rosebud dans le fion ! Au fait, tu l’as bien mis ? Je n’ai mĂŞme pas vĂ©rifiĂ©.Restant toujours par terre, elle se retourne, popotin bien en buse :— Comme vous le voyez, MaĂ®tre, votre grosse dĂ©vergondĂ©e n’a rien oubliĂ©.— FĂ©licitations, belle enculĂ©e : j’aime quand ton cul est dĂ©corĂ© ainsi.Elle tortille indĂ©cemment du croupion.— Merci, MaĂ®tre ; je sais que vous aimez ça.— Bon, maintenant, bouffe ta pizza tout en me montrant bien ton cul de pu… euh… de garage Ă bites.— Oui, oui, oui : votre merdeuse adore les bites Ă cet endroit !Cette femme me fera perdre mes moyens ! C’est avec difficultĂ© que je ne la viole pas lĂ tout de suite. Une grande respiration et je m’assieds au bord du fauteuil, ma pizza face Ă moi, tandis que dĂ©jĂ Adeline plonge son nez dans son carton et commence la dĂ©gustation de la sienne. Face Ă moi, deux cercles : celui de la pizza et celui du gros rosebud. Et je vous prie de croire qu’il n’est pas du tout Ă©vident de rester totalement zen dans pareille circonstance ! Surtout devant un magnifique cul splendidement encadrĂ© par un porte-jarretelles et ses lanières, sans parler de ses bas Ă motifs qui lui magnifient les jambes. NĂ©anmoins, en fermant beaucoup les yeux, je parviens Ă finir ma pizza. Durant ce temps, ma compagne, sans les mains, parvient elle-aussi Ă tout faire disparaĂ®tre dans son carton. Puis, s’asseyant sur ses talons, elle se tourne vers moi. Je ne peux m’empĂŞcher de sourire : elle a le nez tout rouge et maculĂ© d’aliments. Ses joues et son menton ne sont guère mieux.— Fini, MaĂ®tre ; votre grosse cochonne a fini.— Je vois ça, ma salopiotte. Va te donner un petit coup sur le museau ; mais vas-y Ă quatre pattes !— Oui, MaĂ®tre.Et je la vois partir doucement vers la salle de bain tout en tortillant son mignon petit cul bien orientĂ© vers moi, un gros point Ă©carlate et brillant me narguant. J’en profite pour me servir un verre, j’en ai besoin ! Dans mon pantalon, mon sexe n’en peut plus : il est temps qu’il reprenne l’air. Ce que je fais tout de suite.Quand elle revient, Adeline, toujours Ă quatre pattes, seins ondoyants bien enserrĂ©s, se dirige droit vers moi, puis dans la continuitĂ© de son dĂ©placement elle enfourne ma bite bien raide sans que je ne le lui dise. Elle joue lascivement avec elle, la titille, la torture. C’est sublime, mais très difficile Ă tenir. Cette belle salope sait dĂ©cidĂ©ment très bien y faire…— Stop ! Retourne-toi, trou Ă bites !— Hum hum… (bouche toujours occupĂ©e)Avec cĂ©lĂ©ritĂ©, elle abandonne mon sexe et se retourne. Son gros rosebud me nargue. Mes doigts en crochet s’en emparent, et fermement l’extirpent de son endroit chaud et douillet. Je dois forcer un peu, le diamètre est consĂ©quent. Elle gĂ©mit un peu, pousse du mieux qu’elle peut pour l’éjecter. Soudain, le volumineux et lourd bijou s’expulse. Puis, petit Ă petit, sa rosette toute rouge se ferme.— Aaah, ça fait du bien ! soupire-t-elle de soulagement.Je ne rĂ©ponds rien, fascinĂ© par cet anneau lĂ©gèrement rouge qui se referme.— Vous avez Ă©tĂ© brutal, MaĂ®tre… morigène-t-elle.— Tais-toi et suce, putasse (ah zut, je me suis rĂ©pĂ©tĂ©) !Je lui mets sous le nez le rosebud tout chaud. L’acier chirurgical a du bon ! Sans hĂ©siter, sa bouche s’empare du bijou. Elle aime avoir la bouche pleine ? Elle est servie ! Et dans peu de temps, c’est ailleurs qu’elle sera aussi pleine. Je me saisis du tube de vaseline. Dans ma prĂ©cipitation Ă l’ouvrir, je laisse tomber le bouchon qui roule je ne sais oĂą. Sans trop de prĂ©cautions, un gros tas de vaseline Ă©pouse la cuvette de son anus. Du bout du doigt, j’en pousse une petite partie dans sa rondelle qui s’écarte dĂ©jĂ un peu tandis qu’elle me tend ses fesses. Mon doigt s’aventure un peu plus loin en elle ; elle pousse un petit cri Ă©trange.Je n’en peux plus ! Elle m’excite trop depuis tout Ă l’heure ! Elle, ses talons-aiguilles de putain, ses bas de dĂ©vergondĂ©e, son porte-jarretelles de dĂ©bauchĂ©e, son redresse-seins de salope… Tout, quoi ! J’ôte mon doigt, j’agrippe ses hanches, et d’un seul Ă©lan j’enfourne la moitiĂ© de ma tige en elle. Elle soupire abondamment. Je me cale mieux, je me retire un tout petit peu pour mieux tout mettre ensuite jusqu’au fond.Alors que je commence mon pistonnage, je sens ses doigts sur mes testicules tandis qu’elle commence Ă se masturber. Le contact de ses ongles sur ma peau fragile entre les lanières du porte-jarretelles augmente encore plus mon excitation, et c’est Ă un effort surhumain que je dois de ne pas Ă©jaculer tout de suite. Serrant les dents Ă les faire crisser, je rentre en elle, j’en ressors aussi vite, je coulisse dans son tunnel tout sombre. Ă€ chaque coup bien profond, mes boules caressent Ă nouveau sa main qui s’agite fiĂ©vreusement dans sa fente humide.— Oh oui, MaĂ®tre ! J’adore votre bite en moi ! J’adore vos couilles sur ma main !— Ah oui, sac Ă foutre ? Tu vas ĂŞtre servie !— Oh oui ! Encore ! Encore !Je lui dĂ©fonce carrĂ©ment le cul – je ne vois pas d’autre expression – tellement je suis excitĂ©. Elle se masturbe frĂ©nĂ©tiquement tandis que j’essaie d’attendre un peu. J’ai envie de lui dire des tas de mots crus, mais je sais que si j’en prononce un seul, je ne pourrai pas me retenir.Elle gĂ©mit de plus en plus ; c’est intenable, je serre les dents, essayant dans un dernier effort de juguler le flot qui monte en moi. Puis elle pousse un petit cri. Je ne rĂ©siste plus : je la pilonne Ă fond, comme pour l’exploser. Elle crie, je dis des tas de choses dĂ©sordonnĂ©es, elle hurle des syllabes incomprĂ©hensibles… FiĂ©vreux, je la secoue, la pistonnant sans relâche puis, dans un grand râle, je m’éparpille en mille Ă©clats dans sa sombre chaleur.Dans un brouillard lumineux, j’expulse ma semence en longs jets qui viennent la remplir tandis qu’elle hulule toujours, assaillie de transes. C’est une jouissance dĂ©mentielle qui semble nous lier, quelque chose de primal, de terriblement basique, mais si jouissif, si… indescriptible, inexprimable, indicible, sublime !Nous restons rivĂ©s l’un Ă l’autre, figĂ©s, le temps Ă©tant suspendu. Puis Ă©puisĂ©, je me retire, vidé… Elle reste immobile, tĂ©tanisĂ©e… Puis, chancelante, elle s’accroupit alors au-dessus du carton Ă pizza. Mains au sol, fesses bien Ă©cartĂ©es, elle pousse afin que mon sperme s’évacue de son corps, chutant goutte Ă goutte… D’oĂą je suis, je vois distinctement ses efforts pour chasser ce que j’ai fougueusement dĂ©posĂ© en elle. Puis elle recule, s’agenouille, plonge le nez dans le carton et, avec application, lentement, voluptueusement, elle lèche en dessert cette gelĂ©e Ă©trange qu’est mon sperme chaud issu de ses sombres profondeurs…–ooOoo–Nous sommes tous les deux au lit, moi Ă demi assis, et elle lovĂ©e contre moi, notre position favorite. Son ordinateur, posĂ© sur la desserte, est contre notre lit ; il nous sert surtout Ă regarder des films, des vidĂ©os, des anims’ ; c’est selon l’humeur du moment. Actuellement, nous sommes plutĂ´t branchĂ©s sur une sĂ©rie animĂ©e japonaise sous-titrĂ©e en français. Si l’animation en elle-mĂŞme n’est pas gĂ©niale, les personnages et les situations sont complètement loufoques, et nous rigolons de bon cĹ“ur devant tant de crĂ©tinerie ! Ça dĂ©tend, croyez-moi !CollĂ©e contre moi, elle ronronne :— Eh bĂ©, tout Ă l’heure, ça a Ă©tĂ© l’enfer ! Tu Ă©tais dĂ©chaĂ®nĂ©, petit salaud !— Et toi, tu n’étais pas en reste, petite vicieuse !— J’ai eu un bon professeur…— Oui, je vois ça.— Vantard !Comme de coutume, le dĂ© noir est sous ma lampe de chevet. Parfois, je le lance pour savoir ce que je vais faire subir Ă mon infortunĂ©e compagne. Aujourd’hui, je pense qu’il sera au repos, il l’a bien mĂ©ritĂ©. Surtout avec le six qu’il m’a offert ce midi ! Un six parfaitement concrĂ©tisĂ© jusqu’à prĂ©sent.AllongĂ©s ainsi tous les deux, il n’est pas rare qu’Adeline fasse joujou avec mon sexe. J’en fais souvent de mĂŞme, et j’ai mĂŞme plus de choix qu’elle car je peux aussi bien titiller son bouton rose, taquiner son mignon trou du cul ou agacer un tĂ©ton arrogant. Au choix… Et bien sĂ»r, je ne m’en prive absolument pas ! Si Dieu a mis tout ça sur le corps d’une femme et s’il a donnĂ© de larges mains aux hommes, c’est qu’il y avait une bonne raison.— On se regarde la suite, MaĂ®tre ? J’ai hâte de savoir quelle connerie ils vont nous pondre cette fois-ci.— Pas de problème, ma branleuse ; je lance ça tout de suite.Et je clique sur le fichier en question. Sans que je ne lui dise quelque chose, bien que ma dernière façon de la traiter Ă©tait assez explicite, Adeline s’empare de mon sexe tout mou et entreprend de le durcir peu Ă peu. Et je dois, une fois de plus, constater qu’elle sait très bien s’y prendre ; elle sait très bien alterner les pressions, les caresses, les repos…— Il n’y a pas Ă dire, ma rouĂ©e roulure, tu sais bien y faire !— Je me rĂ©pète sans doute, mon cher MaĂ®tre, mais j’ai eu un bon professeur.Et elle continue sans faiblir, avec doigtĂ© et application, tandis que les images dĂ©filent Ă l’écran.Une fois l’anim’ terminĂ©e, elle dĂ©cide de finir ce qu’elle avait commencé : elle suce mon tĂ©ton puis descend doucement vers mon nombril. Je me laisse faire comme un gros chat. Elle pose sa tĂŞte sur mon ventre, son nez très près de ma bite dressĂ©e, ses doigts caressant tendrement mes couilles. Un bisou Ă la base de mon sexe, un autre un peu plus haut, elle remonte le long de ma tige… Coquine, elle donne de petits coups de langue assassins sur mon gland qui frĂ©mit. Puis elle repose sa tĂŞte sur mon ventre, me masturbant faiblement mais fermement Ă ma base.— Vous voulez quoi de votre biteuse, mon MaĂ®tre ? Que je vous pompe et que j’avale ? Que je vous branle et que j’en aie plein la figure ? Que je m’asseye sur vous et que je remue des hanches sans que vous ayez quoi que ce soit Ă faire ? Autre chose, mon MaĂ®tre ?— Hum, laisse-moi rĂ©flĂ©chir, ma belle garce… Tout ce que tu me proposes est fort tentant… Très tentant. Oui, il n’y a pas Ă dire, tu es la plus belle des aguicheuses que je connaisse.— Merci, MaĂ®tre ; votre pouffe est très honorĂ©e.Je me cale mieux sur le dos.— Eh bien, sale vicieuse, on peut conjuguer tout ça.— Comment ça, MaĂ®tre ?— Tu me branles jusqu’à ce que je te jute sur le visage, puis tu enfournes ma bite pour avaler le reste, mon doux sac Ă foutre.— OK, MaĂ®tre. Et pour ce qui est de m’asseoir ?— Pas de problème : après la sucette, tu te frottes Ă ma bite jusqu’à ce qu’elle reprenne de la vigueur.Elle soupire, me branlant toujours dĂ©licatement.— DĂ©cidĂ©ment, MaĂ®tre, vous aimez avoir le beurre et l’argent du beurre…— Oui, ma grognasse, sans parler de la crĂ©mière que je nique par tous les trous !— C’est bien ce que je disais.Elle soupire Ă nouveau, mais elle s’exĂ©cute. Elle s’active autour de ma tige, alternant doigts et langue. Elle s’offre mĂŞme le luxe de chapeauter mon gland de ses douces lèvres humides. Que faire de plus que de se laisser aller ?— Mets ta tĂŞte sur mes cuisses, ma belle suceuse : je veux pouvoir te voir quand je t’en foutrai plein le visage.Sans me lâcher, elle change de place. Elle sait très bien s’y prendre pour rendre un homme fou. Je me demande soudain si d’autres en profitent actuellement… Je chasse cette idĂ©e ; l’instant est Ă ma branlette, qu’elle mène d’une main d’experte.— Votre grognasse vous contente comme il faut ?— Oui… oui… T’es une branleuse d’enfer !— Merci MaĂ®tre. Donc votre fosse Ă jus d’homme vous donne toute satisfaction ?— Ah… je ne la connaissais pas, celle-lĂ Â : fosse Ă jus d’homme.— Votre chieuse essaie de faire preuve d’imagination… ce n’est pas toujours facile.— Je vois ça… je vois ça… Tais-toi, belle connardeuse (je viens juste de l’inventer), et travaille !— Bien, MaĂ®tre.Elle s’active de plus belle, presse mes couilles, joue avec mes boules ; c’est divin. Elle comprime adroitement ma tige, la caresse, la choie, utilisant alternativement doigts et langue comme tout Ă l’heure. Elle coiffe Ă nouveau mon gland de ses dĂ©licieuses lèvres chaudes ; sa langue insidieuse titille mon mĂ©at. Je commence Ă avoir des spasmes, une envie irrĂ©sistible de tout lâcher ; ma tige frĂ©mit, oscille, elle amplifie le mouvement, l’accentue, le magnifie !Dans un râle, je lâche ma première salve qui vient s’aplatir entre nez et sourcil, sur son Ĺ“il fermĂ©. Elle continue de me masturber fortement ; une deuxième salve jaillit pour mourir sur son front.— Enfourne, salopiotte !— Oui, MaĂ®tre.C’est sur ses dents du bas que s’écrase la troisième dĂ©charge, dont une partie dĂ©gouline sur son menton. Elle engloutit toute ma tige ; je me laisse aller. D’autres salves jaillissent, tapissant sa bouche.— Avale tout, grosse bâtarde !— Hon, hon…— Avale tout, trou du cul, bac Ă sperme, grosse vache Ă foutre ! Tout ! Tout !Elle avale tout. Vous ne pouvez pas savoir Ă quel point avoir une femme qui avale peut procurer comme satisfactions ! Sans parler du sperme, de mon sperme qui dĂ©gouline le long de son visage… Je ne saurais pas expliquer, mais c’est gĂ©nial ! Il a y quelque chose comme de l’obĂ©issance, de l’abandon, le fait de faire plaisir Ă l’autre. Et puis, nous aimons bien avoir une belle cochonne dans notre lit ; et avaler, c’est le signe des vraies cochonnes !Peu après, c’est elle qui se frotte sur ma queue qui reprend de la vigueur. Je rĂ©siste tant bien que mal Ă ces sensations si fortes. Ma belle salope se dĂ©chaĂ®ne, elle Ă©pouse Ă fond ma tige autour de ses lèvres dĂ©trempĂ©es, mon gland qui ripe sur son clitoris. Je regarde son visage rĂ©vulsĂ© aux yeux clos, ses commissures luisantes de sperme, mes deux traces de jets sur son front et un peu plus bas. Oui, quelle admirable salope ! Ma femme est une admirable salope, c’est indĂ©niable ! J’ai eu beaucoup de chance de la rencontrer, et encore plus d’en profiter ignoblement, comme je le fais depuis quelques annĂ©es.Elle jouit formidablement, dans une longue mĂ©lopĂ©e qui se change lentement en un cri rauque, enrouĂ©, intĂ©rieur, telle la plainte d’une chienne comblĂ©e, saturĂ©e…Puis, dans les bras l’un de l’autre, nous nous endormons. Ce fut assurĂ©ment une belle nuit avec plein de rĂŞves très Ă©rotiques ; très cochons, mĂŞme ! Ce que j’avais alors vĂ©cu alimentait sans problème mon imaginaire nocturne. J’ai fait de très nombreux songes plus que plaisants, me rejouant tout notre retour Ă la maison et notre soirĂ©e torride, y ajoutant des dĂ©tails, en enlevant d’autres…C’est ce matin, au petit dĂ©jeuner, que j’ai une certaine surprise :— Tu… tu peux rĂ©pĂ©ter, Adeline ?— Oui, je rĂ©pète : on recommencera tout ça au moins une fois par semaine ; et pas besoin de ton dĂ© « magique ».Ne jamais rĂ©veiller l’eau qui dort : ça, je le savais. Mais j’ignorais encore la profondeur du lac faussement paisible qu’est ma femme. Et quelque chose me dit que je suis loin du compte concernant les abĂ®mes qu’elle recèle… Mais je saurai me sacrifier Ă cette noble cause : de tout mon corps, et du sien !
