Norbert
demande à sa mère de dresser son épouse.
Norbert,
cadre de vingt huit ans, prend une semaine de vacance avec sa secrétaire et maitresse
Mia, une superbe métisse de vingt cinq ans. Il décide de laisser Séverine, sa
ravissante épouse de vingt deux ans à sa mère Jeanne, âgée de soixante ans. Séverine
est très frigide, aussi Norbert demande-t-il à sa mère de la dresser pour la
débloquer sexuellement. Il l’a dépose au mas de Jeanne vers quinze heures.
Norbert est pressé. Il démarre en trombe, éclabousse la jolie robe blanche de
sa jeune épouse. Comble de malchance, il part en oubliant de lui laisser sa
valise.
-Oh le con, dit Séverine, il est parti avec
mes affaires…comme je vais faire maintenant.
-Tu n’as
qu’à rester toute nue, répond Jeanne, il y a peu de gens qui passe par ici…puis
il fait si beau.
-Quoi,
sursaute Séverine, mais vous n’y pensez pas belle maman. Et si par hasard il y
avait un rodeur…il verrait ma petite fente et mes seins…il n’en est pas
question.
Jeanne sent
le désarroi de sa belle fille. Elle va chercher des outils de rasage, et une
bassine qu’elle remplie d’eau. Elle arrive derrière Séverine par surprise, fait
passer sa robe par dessus sa tête, et quitte la culotte. Elle n’a pas de
soutien gorge. Séverine se retrouve entièrement nue, offerte à la vue de sa
belle mère.
-Arrête de
faire ta mijaurée, gronde Jeanne, c’est ta nouvelle tenue à partir
d’aujourd’hui. Rentres dans la bassine, tu as besoin d’une bonne toilette. Je
vais bien dégager ta fente aussi.
Séverine n’a
pas le choix. Son jeune corps est savonné, rincé, sa chatte complètement rasée.
-Assez…qu’avez-vous
fait à mon petit minou…il est tout épilé…s’il vous plait, essuyez moi, je suis
propre maintenant…je vous en prie, quelqu’un peut nous voir…
Et c’est le
cas. Arthur, soixante ans, voisin de Jeanne, promène son chien. Il connait bien
Jeanne, qui, une fois par semaine, lui rend visite pour lui vider les couilles
en se faisant niquer, ou en lui taillant une pipe.
-Bonjour Mesdames,
dit-il…ho…le joli morceau que voilà…ça fait un bail que je n’ai touché un corps
pareil.
-A bon, on
va réparer ça, dit Jeanne en poussant Séverine vers le grillage les mains bloquées
dans le dos. Regarde, elle est toute propre, et sa fente, on dirait celle d’une
petite fille. Tu peux la caresser, lui mettre un doigt ou deux si tu
veux…vas-y…régale la…prend la…
Arthur
n’hésite pas une seconde. Il passe sa main à travers le grillage, et la glisse
entre les cuisses de Séverine. Il frotte la fente, force la jeune épouse à
écarter les jambes. Deux doigts pénètrent la chatte, tandis que le pouce doigte
le clitoris décalotté. La respiration de Séverine s’accélère sous la caresse.
-Que
t’arrive-t-il, demande Jeanne, dis moi ce qu’il te fait pour que tu bouges ton
cul comme ça…
-Oh…vous le
savez belle maman…il me gratte la chatte ce salaud…il me la fait mouiller…hou…hou…il
me l’a branle, me doigte mon petit
bouton…oui…oui…il va me faire jouir…oui…oui…ça y est…je joui…je joui…
Séverine
crie son orgasme, le visage collé au grillage. Elle sent le doigt de sa belle
mère lui gratter le petit trou. Elle hurle de plus belle, prise entre les
caresses d’Arthur, et le doigt vicieux de Jeanne. Celle-ci force sa belle fille
à se pencher en avant. Le sexagénaire en profite pour sortir sa grosse bite, en
pleine érection.
-Tu vas lui
tailler une bonne pipe, ordonne Jeanne, en remerciement pour le plaisir qu’il
t’a donné. Tu vas bien lui vider les couilles…tout avaler, jusqu’à la dernière
goutte…et bien le nettoyer….tu lui doit bien ça…
Obéissante,
Séverine gobe le calibre, pendant que d’une main, Jeanne fait rouler les testicules
de son amant entre ses doigts. La bite d’Arthur se tend de plus en plus, explose,
se vide copieusement dans la bouche de
Séverine en poussant des râles de plaisir. Il remercie Jeanne, et s’en va.
Après le
diner, Jeanne demande à sa belle fille de la rejoindre dans la chambre, avec
une folle envie de jouer avec elle, pour mieux la dresser. Très vite, Séverine
se trémousse sur le lit, apprécie les caresses parfois douloureuses de sa belle
mère. Comme quand elle lui prend les lèvres intimes qu’elle froisse comme un
vieux papier, ou encore quand elle lui tire le clitoris. Mais le plaisir prend
vite le dessus sur la douleur. Surtout quand sa belle mère lui branle la
chatte, lui doigte le clito, ou même quand Jeanne enfonce un doigt dans le
petit trou. Séverine connait l’orgasme à plusieurs reprises, jusqu’à hurler de
plaisir. Epuisée, elle s’endort dans les bras de Jeanne.
Le
lendemain, vers seize heures, les deux femmes arrivent chez Raoul et Clovis,
les frères jumeaux de Jeanne, âgés de soixante cinq ans. Pour rendre Séverine
plus désirable, Jeanne lui demande de mettre une courte nuisette transparente.
Raoul, légèrement handicapé, est allongé nu, sur le lit. Jeanne demande à sa
belle fille de lui faire sa toilette. Gênée, Séverine accepte. Elle savonne le
torse, le ventre…et les couilles. Honteuse, elle décalotte la bite pour
nettoyer le gland, ce qui loin de déplaire à Raoul. Ce dernier en profite pour
lancer une main sous la nuisette, entre les jambes de sa nièce.
-Tiens,
dit-il, c’est quoi cette petite bille…
-Ho,
sursaute Séverine, enfin mon oncle…laissez ça…c’est mon clitoris…s’il vous
plait…ne grattez pas ma chatte…elle va être toute mouillée…oh mon dieu…qui
c’est qui quitte ma nuisette…qui caresse mes seins…
C’est Clovis, entièrement nu lui aussi, qui se
frotte contre les fesses de Séverine. Sa queue, en érection, glisse entre les
cuisses de la jeune femme. Elle sent le gland décalotté à l’entrée de son petit
trou. D’un coup sec, il l’a pénètre. Séverine ne peut retenir un cri de
douleur.
-Ha…ha…le
salaud…il me prend au petit…il me sodomise…je dirai à Norbert ce que vous
m’avez fait…
-Tu vas lui
dire quoi, intervient Jeanne, que tu te fais branler la chatte et doigter le
clito par un oncle, pendant que l’autre t’encule…
Séverine
sent le désir monter en elle. Elle pose une jambe sur le lit pour mieux
s’offrir aux odieuses caresses de Raoul, mais aussi à la queue de Clovis qui
coulisse en elle. Elle se penche sur Raoul, lui gobe la bite décalottée, la
suce langoureusement. Les deux oncles atteignent le point de non retour, et se
vident copieusement les couilles…Raoul dans la bouche, et Clovis dans le cul de
la jeune épouse. Séverine aussi atteint l’orgasme, hurle de plaisir. Les
derniers cris proviennent de Jeanne, qui, excitée par la scène, s’est
violemment doigté le clitoris. Séverine libère la queue de Raoul, pendant que
Clovis se retire. Il saisit sa nièce par les cheveux, lui fait faire un
demi-tour, et l’oblige à lui nettoyer le zob, ce qu’elle fait goulument.
-Qu’est- ce-
que vous avez fait à ma belle fille enfoirés, dit Jeanne…et toi salope, tu t’es
bien régalée, hein… tu en veux encore…je vais vous la laisser pour la nuit
cette pute…je la récupère demain.
Séverine
ouvre grand les yeux, saute au cou de sa belle mère, l’embrasse pour la
remercier. Sans plus attendre, elle se monte sur le lit, se couche entre ses
deux oncles.
