Notre première expérience en club échangiste 2
Excitée par cette scène torride, Virginie, la chatte perlant de ses jus et le regard lubrique, m’a emmené dans une pièce où nous nous sommes enfermés pour tenter d’éteindre au plus vite le feu qui embrasait nos tripes.
Proposée le 12/11/2017 par kiphilou Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHHLieu: Sauna, club, sexe shopType: Histoire vraie
Reprenant ses esprits plus vite que moi, Virginie se retourna et m’encouragea à aller déverrouiller la porte. J’apercevais plusieurs silhouettes dans la pénombre, dont une femme et au moins deux hommes qui semblaient vouloir nous rejoindre.
Aie ! Moi qui ai l’habitude de tout gérer, tout maîtriser, tout prévoir, et tout décider, je me retrouvais fort démuni. Et cette traîtresse de Virginie, les fesses à l’air comme une catin, semblait m’implorer d’ouvrir à ces inquisiteurs. Je n’en revenais pas. Je la sentais prête à s’offrir sans retenue à ces inconnus, et cerise sur le gâteau, sans mon assentiment ! Comment pouvait-elle oublier si vite nos conventions ? Avait-elle perdu la tête, ou bien son appétit sexuel avait-il pris le dessus, balayant d’un seul coup tout l’amour que nous nous portions avec fidélité depuis tant d’années ? Et quelle est donc cette douleur fulgurante qui me tenaille la poitrine, fait accélérer les battements de mon cœur comme lorsque j’allais à mon premier rendez-vous amoureux ?
Etait-ce la peur de l’inconnu, la sensation d’être trahi par ma bien-aimée, la haine… ou bien….tout simplement la jalousie ?…. help ! Je voudrais me réveiller et sortir de ce cauchemar, de ce mauvais film…Envahi par ces sentiments violents, confus, et destructeurs, je n’avais pas vu Virginie aller subrepticement ouvrir la porte à la meute de fauves qui entrèrent silencieusement en conquérants, bien décidés à me voler ce que j’avais de plus cher. Ils ne savaient pas, eux, que je n’avais pas décidé cette situation. Que j’étais une victime sacrifiée sur l’autel de la perversité, par celle que je croyais être mon amie, et que je sentais désormais hors de mon contrôle.
J’avais joué à l’apprenti sorcier, et j’allais en payer le prix fort !J’en étais à ce stade de ma réflexion, abattu, démoralisé, lorsque je sentis une main douce, presque maternelle me caresser doucement le visage du dos de la main.
Sa propriétaire était une belle femme blonde à l’aube de la cinquantaine. Il se dégageait d’elle l’assurance et la courtoisie d’une aristocrate.
Elle s’adressa gentiment à moi en me tutoyant, comme une mère qui décèlerait l’angoisse de son enfant :- A voir ton air terrifié, ce doit être la première fois que tu viens en club libertin,… Je me trompe ? me dit-elle d’une voix chaude et langoureuse, avec un rien d’ironie compatissante dans la voix.
– Je viens de découvrir la trahison de ma compagne lui répondis-je.
– Tu n’exagères pas un peu ? Elle ne t’a tout de même pas mis le fusil sur la tempe pour que tu l’accompagnes ici ? dit-elle d’un air faussement tragique.
– Non, avouais-je penaud, nous étions d’accord, mais je n’imaginais pas que ce serait si brutal, et que l’appel de ses sens l’emporterait sur la raison
– Quelle raison ? Vous êtes venus ici pour les plaisirs du sexe, pas pour les sentiments ! Alors, laisse-toi aller et joue le jeu. Elle est entre de bonnes mains, et puis, rien ne t’empêche de la rejoindre … si ma compagnie te déplaît.
Et sa caresse descendit de ma joue vers la cuisse, alors qu’elle guettait mes réactions, ses yeux bleus immenses rivés aux miens, comme pour me provoquer.Alors que je cherchais désespérément Virginie du regard, sa caresse effleura mon sexe, tandis qu’elle avançait doucement la tête et tendait ses lèvres entrouvertes vers moi.
Vaincu par cette offrande muette, j’abandonnais alors mes recherches, pour goûter aux lèvres charnues qui venaient à ma rencontre, et répondis à son baiser langoureux. C’est curieux comme notre bouche garde en mémoire l’anatomie de notre partenaire habituelle. En effet, à la place de la petite bouche aux lèvres fines que je m’attendais à retrouver dans la pénombre, je découvrais des lèvres charnues, pulpeuses, outrageusement ourlées, et d’un goût de framboise.
Sa langue me fouillait déjà habilement, explorant chaque recoin de la mienne, s’enroulant autour de ma langue comme une liane.
En même temps, sa main se fit plus précise et emprisonna délicatement mon sexe. Celui-ci par contre avait déjà oublié toute notion de fidélité, et rendait hommage à la main experte qui le flattait, en doublant de volume. Un tourbillon agréable commençait à m’envahir, alors qu’un essaim de papillons se mit à battre des ailes dans mon bas ventre.
Et Virginie s’évanouit de mes préoccupations comme par enchantement. Profitant de mon trouble, ma nouvelle compagne me guida vers le lit qui était encore inoccupé, puis m’allongea. Ensuite, et sans me quitter des yeux, elle défit la serviette qui entourait sa taille, et sans autre forme de procès, vint s’accroupir sur ma bouche, face à moi, en conquérante dominatrice. J’étais complètement à sa merci, mais aussi tombé sous le charme. Aussi, je me mis en quête d’honorer le sexe épilé qu’elle me tendait tel une offrande, et dont je sentais la chaleur rayonner sur mon visage. Celui-ci, lisse et luisant, était pourvu de grosses lèvres bien charnues, et délicatement ourlées jusqu’à l’anus. Ses petites lèvres assez distendues, dépassaient largement de sa chatte, en suspension à quelques millimètres de ma bouche. Je contemplais ce fruit gorgé d’élixir, comme on admire une belle pâtisserie avant de la goûter. Alors, elle ouvrit outrageusement ses cuisses, offrant à ma vue le nacre de l’entrée de son vagin. Puis, impatiente, elle me sortit de ma contemplation en me saisissant la tête et en l’appliquant fermement contre son sexe d’une tiédeur et moiteur exquises.
C’était à moi de jouer. Je me mis alors à taquiner timidement ces chairs fragiles du bout de la langue, puis les aspirais goulûment. Elles me remplissaient entièrement la bouche. Puis je relâchais la succion pour les laisser à nouveau pendre librement, comme si je les abandonnais, pour mieux les aspirer à nouveau avec délectation.
Chacune de mes aspirations provoquait chez ma dominatrice un tressaillement, immédiatement suivi d’un râle rauque d’encouragement. Et je sentais l’impatience la gagner lorsque je tardais volontairement à aspirer ses chairs intimes, pour mieux la faire languir entre deux caresses.
Rodée par mon manège, elle venait maintenant systématiquement à ma rencontre en balançant son bassin avec de plus en plus d’insistance, lorsqu’elle me voyait lever la tête pour reprendre possession de son sexe. Je sentais sa respiration s’accélérer alors que je heurtais de plus en plus violemment son pubis en embouchant sa chatte. Je la vis se mordre les lèvres alors ma langue partit soudain explorer le dessous de son capuchon, à la recherche de son bourgeon. Et lorsque le bout de ma langue effleura son dard, je la sentis frémir de bonheur.
Je me mis alors à le taquiner, tournoyer autour de lui de plus en plus vite, pour l’aspirer ensuite délicatement entre mes lèvres.
De temps en temps, lorsqu’il était entièrement emprisonné entre mes lèvres serrées, je le mordillais prudemment de mes incisives. Il était gorgé de désir comme un grain de raisin trop mûr. Je dus lutter pour ne pas céder à la tentation de le croquer, tellement sa texture douce, et pourtant oh combien rigide, m’incitait à le faire. A chacune de ces délicates morsures, après un sursaut, elle rejetait la tête en arrière en inspirant bruyamment, faisant ainsi bomber sa poitrine opulente au dessus de moi. Quel beau spectacle !Bien que de petite taille, son bourgeon était d’une grande sensibilité, et chacun de mes coups de langue arrachait maintenant à sa propriétaire un léger sursaut ponctué d’un « ouiiiiii ! » approbateur.
Vint le moment où elle commença à perdre le contrôle, et prit violemment ma tête à deux mains pour l’écraser contre son sexe.
J’appliquais alors doucement une main sur son ventre, pour dégager mon nez et pouvoir ainsi reprendre mon inspiration. Puis, avec mon pouce, je maintins délicatement le capuchon de chair en arrière pour garder le clitoris hors de sa gangue protectrice. Son parfum intime commençait doucement à m’enivrer, à m’exciter au plus haut point. Des jus commençaient même à dégouliner avec abondance de son sexe, et j’en avais le visage recouvert. Quel bonheur ! Je me régalais.
Alors, levant un peu les yeux, je découvris sa poitrine généreuse, immobile au-dessus de mes yeux, à peine animée par une respiration profonde qui la soulevait et la relâchait. Les larges aréoles entouraient des tétons sombres insolemment dardés, et décorés d’un piercing. J’avais trop envie de m’en emparer comme un glouton, et de les pétrir avec avidité. Mais ce n’était que partie remise.
J’avançais alors une main vers mon sexe pour connaître ses dispositions, et je fus surpris à quel point il était raide et brûlant. Concentré sur l’exploration du sexe de ma maîtresse, je n’avais pas senti l’excitation me gagner à ce point-là. Je commençais à me mettre dans la peau d’un vrai libertin, et avais fait abstraction complète de tout l’environnement. Virginie n’était plus qu’un vieux souvenir, et seul comptait pour moi maintenant la conquête de ce corps nouveau et de ses secrets qui s’annonçaient prometteurs. Enhardi par ces perspectives, j’introduisis ma langue dans le vagin et me mis à butiner le vestibule.
Puis ma main abandonna mon pieu, pour s’aventurer vers la croupe de ma dominatrice. Après m’être bien humecté le pouce, je partis à la recherche de son petit trou secret, alors que ma langue redoublait de prouesses dans son intimité. Sonia (j’appris son nom un peu plus tard au bar) vibrait sous mes caresses. En appui sur ses bras qu’elle avait placés derrière elle, elle basculait avec frénésie son bassin en avant puis en arrière pour me forcer à lui lécher son sexe sur toute la longueur, depuis le clitoris jusqu’à l’anus. D’ailleurs je sentis ce dernier qui commençait à palpiter lorsque ma langue l’atteignait.
Les mouvements de ma partenaire se firent de plus en plus rapides et violents, et je me sentais prisonnier d’un tourbillon dont je ne maîtrisais plus l’issue. Alors, pour tenter de reprendre le contrôle, j’humectais rapidement mon pouce, me frayais un chemin entre ses fesses, pour insinuer délicatement la première phalange dans son anus, dès que son bassin fut lancé en arrière.
Elle s’immobilisa alors pour prendre pleinement conscience de cette nouvelle intrusion. J’en profitais pour m’enfoncer davantage dans sa croupe en même temps que j’aspirais goulûment son dard, comme pour aider mon doigt à mieux pénétrer son intimité secrète. Je sentais cette protubérance de chair tendue à souhait et gonflée de désir, prête à éclater dans ma bouche si je l’aspirais davantage.
Instantanément, elle saisit mon poignet, s’immobilisa, et me supplia de ne plus bouger. Je compris alors qu’elle était au bord de l’orgasme, et qu’elle n’avait pas encore décidé de se libérer. Elle voulait faire monter davantage cette lente escalade vers l’extase.Alors, pour stopper immédiatement cette vague de jouissance qui allait l’engloutir, elle se redressa brutalement pour se soustraire à mes caresses. Puis elle se retourna à quatre pattes vers ma verge, qu’elle prit à pleine bouche. En même temps, elle enserrait la base de mon sexe entre le pouce et l’index. J’accueillis ce revirement inattendu avec un soupir de satisfaction, mais aussi avec la crainte de jouir trop vite, tellement la situation m’avait excitée.
Prudente, elle avait pris soin de se mettre de côté plutôt qu’en position de soixante neuf, pour éviter que je la caresse, fermement décidée à laisser retomber son excitation. Hors de ma portée, elle donnait maintenant des petits coups de langue à partir de la base de mon gland, comme si elle léchait une boule glace, et alternait avec une savante masturbation. J’étais habitué aux caresses de Virginie, dont les va-et-vient étaient plus marqués à la base du gland, faisant naître l’excitation plutôt vers l’extrémité de ma verge.
Les mouvements de Sonia par contre étaient plus axés sur la racine de mon sexe, qu’à chaque passage, elle enserrait un peu plus. Un plaisir nouveau commençait à irradier la base de mon sexe.
Alors que je me concentrais sur cette sensation inhabituelle, je sentis une main se frayer un passage entre mes fesses. Puis la pulpe d’un doigt commença à masser les contours de mon anus, d’un mouvement lent et circulaire, se rapprochant de plus en plus de son entrée.
N’ayant jamais été initié à ce genre de caresse, parce que prisonnier d’une éducation religieuse et très prude, j’eus beaucoup de mal à accepter ce doigt inquisiteur.
Mais si je refusais catégoriquement que Virginie m’impose cette « humiliation » lors de nos joutes charnelles, ce soir-là, pour ne pas paraître coincé, je pris mon courage à deux mains et me forçais à me relâcher.
Et ce que je redoutais arriva. Le doigt s’insinua lentement dans mon anus. Et il ne se contenta pas d’une phalange, mais s’introduisit entièrement. J’étais à la fois pétrifié et immobile, guettant chaque sensation que cette intrusion insolite allait déclencher en moi. J’en oubliais les délices de la fellation / masturbation que ma partenaire n’avait toutefois pas interrompue. Sa généreuse poitrine qui reposait sur mon bassin, m’enveloppait d’une sensation moelleuse de douceur et de chaleur maternelles. Je mourrais d’envie de saisir ces gros seins à pleines mains, de les malaxer, les pétrir, les lécher, et mordiller leur téton.
Mais bien que mes mains fussent libres, j’étais trop concentré sur les sensations naissantes du massage que Sonia prodiguait dans mon intimité la plus secrète.
Son doigt totalement introduit exerçait maintenant des douces pressions prolongées et circulaires sur ma prostate, faisant sourdre en moi une sensation étrange, à laquelle je commençais petit à petit à prendre goût. Vint un moment où je sentis des gouttes de bonheur perler le long de mon gland.
Cette marque de reconnaissance ravit ma partenaire qui s’en délecta avec un sourire complice, et elle accentua encore ses caresses. Un deuxième doigt rejoignit bientôt le premier, et je fus surpris de la facilité de cette deuxième pénétration, moi qui d’habitude étais plutôt crispé lorsque cette zone était stimulée.
Le ballet des doigts reprit, et je sentis alors croître un plaisir inconnu, intime, et très profond, qui me fit haleter. Les différentes zones stimulées semblaient être interconnectées par des liens invisibles, et les sources de plaisir qui naissaient de ces savantes caresses entre mon sexe et ma prostate, montaient à l’unisson comme de l’eau dans un conduit.
C’était prodigieux !
Je commençais alors à ressentir les prémices d’un puissant orgasme dévastateur d’une origine jusqu’alors inconnue.
C’est le moment que Sonia choisit pour se retirer délicatement de mon anus, et se relever. Mais la sensation de vide et d’abandon, suivie d’une grande frustration, furent de courte durée. Sonia se retourna vers moi, déroula d’une main experte un préservatif sur mon sexe, et sans autre forme de procès, m’enjamba pour venir s’empaler sur mon sceptre devenu douloureux de désir contenu.
Puis, face à moi, elle commença à monter et descendre en cadence, alors que mon plaisir se ravivait.
Je pris alors ses fesses à deux mains pour l’accompagner dans ses mouvements.Mais je n’étais pas au bout de mes surprises.
Alors qu’elle coulissait depuis un moment avec une lenteur calculée sur mon sexe érigé et luisant de sa mouille, elle s’allongea soudain complètement sur moi et m’embrassa langoureusement. Cette fois je ne résistais plus à l’envie de prendre ses gros seins à pleines mains, et les suçais alternativement avec passion et délectation.
C’est le moment qu’elle choisit pour se cambrer légèrement, prendre ses fesses à pleines mains, et les écarter.
Puis elle détourna la tête vers l’obscurité et dit à mi-voix:
– Maintenant, viens ! Ahuri par cette manœuvre inattendue, je m’immobilisais. Et c’est alors que je vis un inconnu s’approcher de nous, tout nu, et avec la verge fièrement dressée.
Tapis dans l’ombre, il devait avoir assisté à toute notre étreinte, et s’en était servi pour se masturber en silence afin de garder une érection providentielle.
Son sexe n’était pas très long, mais assez épais, et l’homme s’approchait vers nous d’un pas décidé. Cela vous fera certainement sourire, mais je fis immédiatement le lien avec la caresse osée de Sonia dans mon anus encore vierge.
En hétéro convaincu, j’avais fermement l’intention de le préserver d’une quelconque intrusion masculine…La suite de cette histoire vécue sera rédigée prochainement si vous le souhaitez …Merci à Anonyme pour son commentaire encourageant.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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