Suite de la partie 1
Nous sommes arrivés, là-haut, sur la montagne, dans notre ferme auberge. Raymond mon mari allait de suite se changer, il devait rentrer les vaches à l’étable. Camille et moi nous avons quitté nos robes et nues toutes les deux nous sommes aller l’aider. Il devait encore les traire puis sa journée de travail se terminait aussi. Pendant ce temps Camille préparait la table pour le diner et moi j’allais fermer le poulailler et récupérer les œufs.
Pendant le diner j’ai pensé à cette première journée qui pour moi est éprouvante par manque d’habitude, mais qui doit être plus éprouvante pour mon mari qui doit s’occuper de la ferme et de la cuisine pour l’auberge. Cela ne m’étonne pas que Fabienne se plaigne que faire l’amour devient une rareté une à deux fois pas semaine et encore il y a Camille à comblé.
Dans la vallée Fabienne attendait dans la cuisine que son mari rentre du travail, alors pour patienter, elle avait promis au déjeuner de s’occuper de la chatte de sa fille.
Julie s’il te plait vient voir !
Oui, maman, que veux-tu.
Couche-toi sur la table, une fois allongée, Fabienne s’est assise entre les cuisses écartées de sa fille. Les doigts écartaient ses lèvres intimes, la bouche s’approchait de son clito, sa langue titillait et ses dents le mordillait, puis elle introduisait un puis deux doigts qui fouillait son vagin. Julie gémissait et supplia :
Maman fiste moi !
Fabienne inséra alors un troisième puis un quatrième doigt avant de mettre le pouce, elle fit des aller-retour et des rotations ce qui à permis de bien lubrifier son vagin. Le pouce n’eut aucun mal à pénétrer, puis elle fermait le poing. Fabienne entendit son mari rentrer et voulut se retirer, mais Julie l’en empêchait.
Philippe découvrit son épouse dans cette position le poing droit dans la chatte de Julie, les autres doigts dans sa chatte essayant de s’autofiste.
Il embrassa Fabienne ainsi que Julie. L’arrivée de Philippe n’interrompit pas les ébats de sa femme avec sa fille, Fabienne tout en gardant son poing dans la chatte de Julie s’adressa à son mari, regarde dans le frigo, je t’ai préparé le diner. Il se servit s’installa à l’opposé de la table et dina tout en contemplant son épouse fister sa fille. Julie eut un violent orgasme qui mit fin aux ébats. Comme il se faisait tard et qu’elle doit se lever tôt, il monta dans sa chambre.
Comme son mari devait lui aussi se lever tôt, Fabienne décida d’avancer leur première nuit d’amour en débutant les préliminaires ici dans la cuisine pendant même qu’il dinait. Elle se glissa sous la table, prit le sexe en érection, entre ses doigts, le branla et elle le prit en bouche et le suça. Philippe avait du mal à terminer son repas et à demander à Fabienne de monter et de l’attendre dans la chambre, il arrive. Elle monta, passa par la salle de bain pour se démaquillée et se mit au lit, Philippe ne tarda pas et se précipita de suite sur sa femme pour leur première nuit d’amour.
Là-haut sur la montagne, Brigitte, elle aussi allait passer sa première nuit dans les bras de Raymond. Après avoir embrassé tendrement et langoureusement Camille, Brigitte rejoignit son mari qui est mort de fatigue s’était endormis. Malgré cela elle se coucha à ses côtés et posa sa tête sur son ventre pris le sexe ramolli de son mari entre ses doigts le caressa et elle le suça jusqu’à l’érection. À moitié réveiller, elle tentait une baise rapide en se mettant à califourchon au-dessus et s’empala sur son sexe. Elle arriva malgré tout à avoir un léger orgasme. Brigitte compréhensive le laissa dormir et se masturba puis s’endormit à son tour.
Le lendemain matin, il devait être cinq heures, je sentais sur mon sexe une sensation bizarre comme si quelqu’un essayait de pénétrer à l’intérieur de ma grotte. C’était une langue, celle de mon mari. Le cuni fut de courte durée, puis il me demanda à me mettre en levrette, il me pénétra cette fois-ci longuement et me donna cette fois-ci entièrement satisfaction, j’ai eu enfin mon premier vrai orgasme puissant. Il était temps pour mon mari de se lever, d’aller s’occuper des bêtes. À peine sortie de la chambre, voilà que Camille vint s’allonger à mes côtés, elle m’enlaça m’embrassa et tout en restant blottie tout contre moi, chercha en moi un peu de réconfort. Je remarquai qu’elle n’était pas dans sa peau, elle était déçue, triste.
Camille, que t’arrive-t-il, ma chérie ?
Maman j’en ai marre, si ça continue je vais partir d’ici, j’étouffe.
Explique-toi Camille si je peux t’aider je ferais tout pour toi.
Il est vrai que si elle a un problème cela va être difficile pour moi de le résoudre. Tant pis si je dois rompre le jeu de l’échange.
Aller Camille dit moi ce qui ne va pas !
Depuis quelque temps mon père me délaisse, il ne me touche plus, et je suis ici comme une prisonnière, une esclave, je me lève le matin, il faut bosser jusqu’au soir ce n’est pas une vie pour moi, je voudrais pouvoirs sortir aller danser comme les autres le font, aller vivre en bas en ville, mais descendre avec quoi je n’ai que mes pieds.
Je te comprends, Camille, je sais que ce n’est pas simple et il faut aussi comprendre ton père avec tout le travail qu’il a il est fatigué. Je l’ai remarqué cette nuit.
Camille, je vais rompre le jeu un court instant.
Tu en as parlé à ta maman ?
Non Brigitte je n’ai pas osé, et puis cela n’arrangera pas le problème je serais quand même bloqué ici.
Tout en me parlant, elle jouait avec mes tétons qui durcissaient.
Camille je t’en pris soit patiente il va avoir quelqu’un qui viendra s’occuper de la ferme et ton père sera déchargé d’un travail. Je vais dire à Raymond qu’il choisit parmi les candidats un beau jeune homme célibataire.
Brigitte tu ferais ça pour moi ? Oui, Camille ! Mais pour cela il va falloir interrompre le jeu et que ta vraie mère vienne pour te parler ! Oui, Brigitte ! Je t’aime ! Et elle m’embrassa longuement.
Camille, je suis à partir de maintenant de nouveau ta maman !
Viens, lève-toi, il est l’heure de la douche.
Je suis allé me doucher en première, pensant d’abord m’adresser à Raymond avant que j’appelle Fabienne.
Pendant le petit déjeuner, je parlais à son père qu’il faut qu’il essaye d’embaucher un jeune célibataire qui pourrait débloquer cette situation que je comprends très bien avant que Camille décide de tout quitter. Il est d’accord pour cela, mais pour le moment il n’a encore eu aucun appel d’un candidat. Je vais appeler Fabienne pour qu’elle vienne dialoguer. Raymond lorsque Fabienne sera la je jeu sera interrompu, je serais neutre. D’accord.
Viens Camille, allons nous habiller et faire la mise en place pour ce midi. Une fois habillées, nous sommes descendues dans la salle, pour consulter les réservations du jour. Avec l’aide du plan de la salle, nous plaçons par nombres de réservations. Camille, j’ai une table de six et une table de huit, deux de quatre et trois de deux. Bien maman, après avoir fait la mise en place des réservations, il restait quelques tables de libres, nous allons les répartir ainsi, une table de quatre et le reste en place de deux. Tu sais ils y an à qui vienne sans avoir réservé.
Pendant ce temps dans la vallée, Fabienne a pris le petit déjeuner avec Muriel et Manon. Elle était actuellement en train de sécher les cheveux de Muriel quand le téléphone sonna.
Allo ! Fabienne !
Oui, Brigitte qui a-t-il ?
Camille est malheureuse, elle menace de quitter le domicile.
À cause de quoi ? Écoute, il vaudrait mieux que tu montes cet après-midi et nous en parlerons.
Ou reste-t-il encore une table libre pour deux ?
Oui, Fabienne, tu viens avec Muriel ?
Oui !
Nous interromprons le jeu à partir du moment ou tu auras fini de déjeuner.
Bisous, Fabienne, à tout à l’heure.
Là-haut, sur la montagne.
Camille deux personnes pour midi, d’accord avec maman c’est qui ? Mme Fabienne et Muriel.
Je resterais ta maman jusqu’à ce qu’elle a fini de déjeuner, alors fait comme si c’était une cliente !
J’étais en train de mettre les couverts légèrement penchés sur la table quand j’ai senti une main se glisser entre mes cuisses et le toucher, le sexe.
Ohhhhhhh ! C’est toi Camille, tu m’as effrayée.
Tu vas encore ameuter tous les voyeurs, maman !
Pourquoi tu as vu quelque chose ma chérie ?
Oui, maman, tes jolies fesses.
Je me suis tournée face à elle et j’ai soulevé ma mini-jupe dévoilant ma chatte. Camille s’est accroupie à posé sa bouche sur ma fente et voulait la lécher, mais à du arrêter en catastrophe se relevant en disant du monde arrive ? J’ai baissé ma mini et j’ai repris mon travail.
Camille a accueilli un couple de marcheurs qui venait se renseigner s’il restait de la place ce midi.
Oui, monsieur ! J’ai encore quatre tables de libres. Bien vous servez à partir de quand ? D’ici une demi-heure, d’accord, madame, nous allons nous installer dehors en attendant.
Vous désirez boire quelque chose en attendant ?
Deux pressions s’il vous plait.
Maman deux pressions s’il te plait.
Nous avions convenu que pour les boissons Camille étant plus habituées c’est elle qui fait le service et moi la préparation.
Les clients arrivèrent, la plupart ce sont des marcheurs. Camille les installa à leurs places réservées. En même temps Camille prit la commande des apéritifs qu’elle me transmettait et que je préparais.
Camille accueillit alors Fabienne et Muriel, elle joua le jeu comme si c’était des clientes. Elle leur parla en baissant la voix, car des clients qui nous connaissaient étaient assis à une table voisine.
La fin du service approche, les derniers clients s’en vont le ventre plein et nous commençons à desservir les tables.
Le repas du personnel se faisait après le service c’est le moment de se mettre à l’aise de retirer nos tenues de service et de mettre une tenue plus appropriée pour débarrasser et laver la vaisselle.
Pendant le repas j’ai fait venir Fabienne et Muriel à table. J’interrompais alors le jeu.
Voilà textuellement ce que Camille m’a dit ce matin :
Camille, que t’arrive-t-il, ma chérie ?
Maman j’en ai marre, si ça continue je vais partir d’ici, j’étouffe.
Explique-toi Camille si je peux t’aider je ferais tout pour toi.
Aller Camille dit moi ce qui ne va pas !
Depuis quelque temps mon père me délaisse, il ne me touche plus, et je suis ici comme une prisonnière, une esclave, je me lève le matin, il faut bosser jusqu’au soir ce n’est pas une vie pour moi, je voudrais pouvoirs sortir aller danser comme les autres le font, aller vivre en bas en ville, mais descendre avec quoi je n’ai que mes pieds.
Voilà Fabienne, j’ai préféré t’appeler !
Oui tu as bien fait Brigitte.
J’ai parler avec Raymond comme il est en train de chercher un ouvrier pour la ferme, s’il trouve un jeune célibataire qui plait à Camille ça la changera. Et elle est d’accord.
Camille dit quelque chose à ta mère.
Je sais que papa à du surtravail, mais il n’est plus comme au début c’est à peine s’il me regarde. Mais quand même je n’ai pas de journée de libre je ne peux même plus regarder la télé rien.
Je veux bien encore attendre quinze jours, mais pas plus.
Raymond rentra dans la salle et nous annonça que demain matin il y a deux candidats qui vont se présenter pour l’embauche. C’est qui papa ? Je ne sais pas deux jeunes d’après pôle emploi.
L’espoir renait, patiente, dit Fabienne à sa fille.
Raymond demanda à Fabienne si Manon vient demain.
Oui elle sera là.
Bien Brigitte et Camille je dois y aller, Julie m’attend, tu viens, Muriel.
Après s’être fait la bise, le jeu reprenait, et Fabienne et Muriel rentrèrent chez eux dans la vallée.
Arrivée à Domicile en descendant de voiture, Fabienne s’est aperçue que Rocky n’était pas dans son chenil et que la porte était ouverte, mais elle l’aperçut venant de l’autre bout du terrain avec Julie. Elle se rappela de la veille lorsque Rocky est venu lécher sa chatte et qu’elle a apprécié.
Alors par curiosité, elle demanda à Muriel :
Dis-moi Muriel, Brigitte n’aurait pas par hasard une relation avec Rocky ?
Pourquoi tu me demandes ça ?
Parce qu’hier quand j’ai nettoyé le chenil Rocky est venu me lécher, alors j’ai pensé s’il fait ça c’est qu’il doit être dressé, et comme je connais Brigitte elle en est bien capable.
Muriel hésita puis avoua :
Oui belle maman, Brigitte se fait baiser par le chien. Pourquoi tu as envie ?
Me faire lécher oui, mais me faire baiser je ne pense pas.
Alors elle n’hésita pas à se mettre nue et en attendant que Julie et Rocky arrivaient, elle se caressait sa chatte. Dès l’arriver de Julie, elle s’embrassèrent et sentant la truffe du chien se poser sur son cul, se mit à quatre pattes et présenta sa chatte à Rocky, ce dernier se mit à lécher la vulve.
Julie pendant ce temps caressait le fourreau pour faire sortir son sexe, qu’elle caressa un petit moment.
Rocky monta alors sur Fabienne qui est surprise ne pouvait plus reculer, car Rocky venait d’introduire son sexe dans le vagin. Il la baisait à présent comme il le fait régulièrement avec Brigitte.
Pour Fabienne ce fut une nouveauté elle eut rapidement plusieurs orgasmes d’affilés et après que Rocky eut éjaculé en elle elle se dégagea et monta prendre une douche. En pensant à la relation qu’elle avait eue, elle se masturba dans la salle de bain avant de descendre et de vaquer à ses occupations habituelles en attendant le retour de son mari, le diner et l’habituelle nuit d’amour passer dans les bras de son mari.
Que ce soit dans la vallée ou là-haut sur la montagne, le scénario de la veille se répétait pour les soirées et les nuits.
À suivre !