Je me réveille à 14h. Pas étonnant étant donnée l’heure à laquelle je me suis couché et les nombreux rêves qui ont peuplé mon sommeil. Je crois être tombé sous le charme de la belle Adeline, à moins qu’elle ne m’ait jeté un sort ! En tout cas, je n’arrive pas à me sortir ces images réelles ou imaginaires de la tête. Le visage d’Adeline déformé par l’orgasme n’arrête pas de s’imposer à moi. J’ai envie de la voir, pour de vrai. Je suis hanté par elle…Je suis en pleine forme malgré mon sommeil de piètre qualité. Après m’être douché, avoir avalé rapidement deux œufs au bacon avec du gruyère râpé fondu dessus (essayez, c’est vachement bon !), je m’habille et décide d’aller me balader plutôt que de faire un stage télé de plus.Je sors de chez moi. La journée est plutôt ensoleillée et je suis de bonne humeur. Depuis de nombreuses années, j’ai plutôt été d’humeur égale, mais ni de bonne ni de mauvaise humeur. Aujourd’hui les choses ont changé. Je me sens vraiment bien et je vois le monde qui m’entoure de manière différente. Je me surprends à observer les gens, à les regarder marcher, se parler, boire un verre à la terrasse d’un café ou tout simplement rêver sur un banc du parc.Je vais faire quelques courses dans mon magasin habituel et pour une fois, je discute longuement avec la propriétaire, une petite femme d’environ 35 ans, fort souriante et ma foi fort » appétissante « . Comment ne l’avais-je pas remarquée plus tôt ? Elle est châtain clair, des yeux pétillants de malice et très vive. Elle a une poitrine de taille moyenne mais son débardeur la met en valeur et on voit la naissance de ses seins. Son cul est splendide : tout en rondeur. Ces hanches sont généreuses. Elle a un corps fait pour l’amour, pas comme bon nombre de ces mannequins qui ressemblent davantage à des squelettes qu’à des femmes. On dirait un modèle de Rubens, en moins enveloppé, mais les formes généreuses et si agréables sous une caresse sont toutes là. Son attitude corporelle est sensuelle et forme un appel à l’union des corps. Bon, allez, j’arrête de rêver, je dois ramener les courses à la maison.Ce soir-là, fait plus qu’inaccoutumé, j’arrive à mon travail un peu en avance. Je passe m’habiller dans les vestiaires qui sont situés au sous-sol et avant de monter voir mon chef, je fais un petit arrêt rapide au deuxième étage. Je sors de l’ascenseur et regarde à l’emplacement où se trouvait Adeline la veille. Je ne vois rien, par acquis de conscience, je jette aussi un œil aux toilettes pour femmes. Elles sont vides, toutes les portes des cabines sont ouvertes. Je teste à nouveau le lavabo pour donner le change au cas où quelqu’un entrerait maintenant. Tout va bien. Je sors et retourne à l’ascenseur. J’attends une bonne minute que la cabine s’ouvre… sur Adeline, aussi resplendissante que dans mon souvenir, qui en me voyant me dit » Bonjour, Jean-Paul ! » avec un grand sourire et un clin d’œil. Je lui souris également mais sans répondre. Je prends sa place dans l’ascenseur. Au moment où les portes se referment, elle se retourne et me sourit à nouveau : je suis aux anges, sur une autre planète, je me suis jamais senti aussi bien, avec une grosse boule chaude et agréable au creux du ventre.J’arrive dans le bureau de Michel, mon responsable avec 1/4 d’heure d’avance. Il regarde sa montre deux fois les yeux écarquillés avant de me saluer :— Eh bien, mon vieux, t’es tombé du lit aujourd’hui ? Tu sembles dans un drôle d’état : t’as fumé de l’herbe avant de venir ou quoi ?— Non, non, je ne touche pas à ces trucs-là… enfin jamais avant le boulot !— Ben qu’est-ce qui t’arrive alors ? Depuis trois ans que tu es là, je ne t’ai jamais vu ni en avance, ni souriant, ni l’air en forme à ce point !— Et bien on dira que je suis en pleine forme et puis c’est tout. Au lieu d’en faire tout un fromage, t’as qu’à en profiter pour me donner du boulot, je crois que je pourrais en abattre des tonnes aujourd’hui.— Pas de problème, mon grand, surtout que ce soir on a une grosse urgence qui requiert des compétences en info, alors j’ai pensé à toi.— Ah bon ? Qu’est-ce qui se passe encore que les gros pontes du service info n’arrivent pas à régler ?— Ça ne les concerne pas, car au départ c’est un problème matériel. L’entreprise extérieure qui installe des nouvelles cloisons au 7ème a percé des trous un peu partout dans les murs. Apparemment ils sont tombés sur une gaine du câblage réseau et donc ça c’est à nous de le réparer. T’es d’accord avec ça ?— Pas de problème pour moi. Les câbles ont été bien passés et sont répertoriés donc avec mes petits outils, je suis capable de trouver assez rapidement le ou les câbles à remplacer. Ça devrait me prendre 2 ou 3 heures maximum.— Ok… C’est moins que ce que je pensais, ce qui m’arrange pour la suite. Les câbles en question sont ceux qui relient les différents niveaux entre eux. À cause de la coupure, les niveaux au-dessus du 4ème ne sont plus reliés aux autres ce qui posent des problèmes aussi bien pour le téléphone que pour les connections à Internet qui sont centralisées. Les occupants des 12 derniers étages, nous y compris, n’ont donc plus de téléphone interne ni de passerelle vers Internet.— Oh la la, je vois le bordel ! C’est arrivé quand ? Aujourd’hui ? Tu as dû en prendre plein la gueule !— Heureusement, non. Les gars de l’info ont fait tampon tant qu’ils pensaient que c’était un problème venant d’eux, et ils y ont passé presque toute la journée. Quand ils se sont rendu compte que c’était dû aux travaux du 7ème étage, ils ont foncé ici pour me demander de réparer ça en urgence. Ils gesticulaient dans tous les sens en disant qu’ils auraient au moins 5 heures de boulot après que les câbles aient été réparés.— Ouais, il faut relancer le système entièrement ce qui prend pas mal de temps.— Donc, pour les arranger et leur montrer que notre service est plus performant qu’ils ne le pensent, je leur ai dit qu’on pouvait lancer la procédure de redémarrage et donc qu’ils n’auraient plus qu’à faire les derniers réglages demain matin. Bien sûr, je me suis un peu avancé, mais j’espérais bien que tu pourrais m’aider sur ce coup-là !— Bon. Si j’ai tout bien compris, tu veux que je répare le câblage réseau coupé, puis que je relance le système de communication et que je vérifie que tout marche et tout ça le plus vite possible pour montrer à ces prétentieux de l’info qu’ils ne sont pas si bons que ça ?— C’est tout à fait ça !— Et bien tu as de la chance que je sois dans un très bon jour, car ce challenge m’amuse beaucoup. En revanche, je tiens à souligner deux points : je ne pourrai rien faire d’autre ce soir et surtout j’ai besoin des codes administrateur du système pour pouvoir le relancer et le paramétrer.— Pour le premier point, pas de problème : tout le monde pourra comprendre que les menus problèmes n’ont pas été résolus en échange d’un système de communication qui fonctionne à la reprise demain matin. Pour le second, le chef de service info me les a remis tout en me précisant qu’ils seraient changés demain matin dès leur arrivée.— Ça me paraît logique venant d’eux… Bon, ben je vais m’y mettre tout de suite car il y a pas mal de boulot tout de même. À partir de quel ordinateur puis-je travailler dans les deux demi-réseaux ?— Pour la partie haute, à partir du mien : je le laisse allumé et tu as une connexion à ton nom qui a été créée. Tu pourras la réutiliser après si tu veux. Pour la partie basse, tu peux prendre n’importe quel poste et te connecter en utilisant le mot de passe que je viens de te remettre.— Dans ce cas c’est parti ! Je vais récupérer un rouleau de câble catégorie 5 et mes testeurs et je démarre tout de suite.— Bon courage et s’il y a un souci dans la nuit n’hésite pas à m’appeler : Je tiens à leur couper la chique à ces mariolles !— T’inquiète pas il n’y aura pas de problème. Quand je t’appellerai ce sera pour te signaler que j’ai fini et que tout marche bien.A ces mots je quitte le bureau et fonce dans la réserve. J’essaye d’aller le plus vite possible pour la partie matérielle de l’opération car je sais que la partie logiciel sera plus difficile et plus sensible. Je ne sais pas exactement quels sont les logiciels qui font tourner le système et je me suis tout de même avancé en disant être sûr d’y arriver.Vers 20h30, j’ai trouvé les 3 câbles en cause dans la panne et suis en train de passer le dernier. Ensuite, j’effectue les tests nécessaires pour être sûr qu’ils sont bien passés et que la communication d’un bout à l’autre du câble fonctionne correctement. Je les relie aux baies de brassage en lieu et place de ceux endommagés que je récupère. J’ai bouclé l’ensemble de l’opération de maintenance en deux heures : bon début.Je suis toujours en grande forme. Le challenge que représente cette opération m’excite et j’étais déjà dans de bonnes dispositions en arrivant. Je monte au 15ème étage et m’installe devant le poste de Michel. Je me connecte en utilisant mon mot de passe et essaye de me connecter à Internet : ça ne fonctionne pas. Je veux essayer d’envoyer un e-mail interne mais je ne connais pas d’adresse. Je fais donc une recherche sur l’annuaire interne et trouve celle d’Adeline, qui s’appelle Adeline Ducros et travaille au service marketing d’un labo pharmaceutique. Je lui envoie donc le petit mot suivant :Bonjour Adeline, c’est Jean-Paul, vous vous souvenez de moi ? Je bosse actuellement sur les problèmes du réseau et si vous recevez ce message, j’aimerais bien que vous m’en renvoyiez un. Merci d’avance en espérant que vous êtes toujours là à 21 h.Au fait merci pour votre sourire tout à l’heure il m’a mis de bonne humeur.A bientôt j’espèreJPC’est fou ce que l’écrit anonyme, enfin pas vraiment, permet comme liberté. Je ne me serais jamais permis de dire ce genre de chose en face à face, même si je le pense fortement.Bon… j’attends quelques minutes et vais voir dans ma boîte aux lettres si j’ai une réponse : rien. Le problème c’est que je ne sais pas si ça ne marche pas ou si mon message est passé mais qu’elle ne l’a pas eu ou n’as pas voulu y répondre. Cela fait trop d’hypothèses. Je suis obligé d’envisager sérieusement de me déplacer à un étage inférieur pour me connecter au serveur intranet. Je fais tout de même une dernière tentative, ne voulant pas me déplacer inutilement. Une icône » Vous avez 1 nouveau(x) message(s) » apparaît, je file le lire.Bonjour JP, c’est Adeline… J’ai bien eu votre message qui m’a fait très plaisir. Je dois avouer que notre rencontre inopinée d’hier soir m’a fait plutôt plaisir même si j’ai été prise en flagrant délit de… vous savez quoi !J’espère qu’on pourra se revoir et que les circonstances de cette première rencontre ne feront pas barrière entre nous.A bientôt bisous@delineBon, outre le message qui me met en transe, le fait que la messagerie interne fonctionne me fait plutôt plaisir car cela signifie que le contact avec le serveur est rétabli et que je vais pouvoir re-paramétrer les passerelles Internet sans avoir à me déplacer.Je m’y mets aussitôt. Je me déconnecte de ma cession et me reconnecte avec le mot de passe administrateur. Heureusement, le système tourne avec un OS déjà ancien que je connais bien. Je fais une nouvelle tentative de connexion à Internet qui n’aboutit pas. J’ouvre les options de paramétrage et trouve rapidement le problème. Pendant la panne due au câble coupé, il y a eu des appels à Internet lancés. Comme ils ne pouvaient aboutir, certains programmes ont lancé une recherche automatique qui n’a pas plus abouti mais qui a complètement déréglé les adresses réseaux. Au bout d’une petite heure, tout est rentré dans l’ordre.Dans la précipitation pour régler le problème, j’ai oublié de répondre à Adeline. Je me reconnecte donc avec mon compte et lui envoie le message suivant :Salut Adeline,J’ai vraiment apprécié ton précédent message. Les circonstances dans lesquelles nous nous sommes rencontrés ne me posent aucun problème. Elles m’ont simplement permis de faire connaissance de manière plus intime avec toi plus rapidement. Je dois dire que les parties de ton anatomie que tu m’as, involontairement, dévoilées m’ont mis dans tous mes états. J’espère qu’ils inaugureront le reste car malgré ton dernier show hier soir pendant que je finissais mes réparations, certaines parties de ton corps et notamment ta poitrine me sont encore inconnues.A très bientôt j’espèreJPJe commence alors à attendre une réponse, relevant mes messages toutes les deux minutes. Au bout d’une dizaine de tentatives infructueuses (soit environ 25 minutes) je suis complètement désemparé : ai-je été trop loin ? Ou n’a-t-elle pas eu mon message car elle est déjà partie ? Dans ce cas, elle l’aura demain matin et j’aurai une réponse demain soir. Mais peut-être ai-je été trop direct et qu’elle n’a pas apprécié mes remarques ni mes visées. Que faire ? Pourrais-je annuler le message si elle ne l’a pas encore reçu ?Je suis à nouveau dans les affres de l’angoisse… C’est pour ce genre de situation que j’avais coupé tout contact avec les autres humains. Mais cette Adeline a tout chamboulé, elle m’a involontairement redonné envie de m’impliquer, mais cela est difficile à assumer pour moi.Je me reconnecte en tant qu’administrateur et essaye de retrouver la trace de mon message jusqu’à la boîte aux lettres d’Adeline. Au bout de quelques minutes j’y suis arrivé. Le message n’a pas encore été lu. Donc je sais déjà que ce n’est pas volontairement qu’elle ne m’a pas répondu. En revanche, j’ignore toujours comment elle réagira à la lecture de mon dernier message. J’ai envie de l’effacer, mais j’hésite… un peu trop longtemps puisque le message quitte à cet instant l’espace réservé à Adeline sur le serveur pour être rapatrié sur son ordinateur. Elle doit à cet instant être en train de le lire… Comment va-t-elle réagir ?Je dois avouer que j’ai un peu peur de sa réaction. Après tout, nous nous connaissons à peine et même si son dernier message était plutôt chaleureux, je trouve que j’ai été trop loin, trop vite… Si elle commence à raconter partout que je la harcèle, je serais vraiment dans la merde : je n’ai pas envie de perdre ce boulot auquel je tiens tant pour l’équilibre qu’il me procure.Comme je l’ai observé pendant qu’elle récupérait mon message, je connais maintenant l’adresse IP de son ordinateur. Je lance une petite recherche rapide sur les dernières 36 heures. L’ordinateur mouline quelques minutes et me ressort une liste exhaustive des sites visités. Si dans la journée il n’y a que quelques rares connections et uniquement sur des sites professionnels, il en est autrement à partir de 18h. Apparemment, Adeline ignore que tous ses pas sont surveillés et qu’on peut sans aucun problème connaître tous ses faits et gestes. Je sauvegarde la liste sur le disque dur de mon ordinateur puis efface l’historique du serveur : plus personne ne pourra savoir ce que ma belle fait quand elle reste le soir.Je regarde attentivement la liste et remarque un site de chat sur lequel elle se connecte très souvent, et sur lequel elle est connectée en ce moment même. Je recherche plus attentivement et découvre le pseudo qu’elle utilise : M@deline. Je ressors du serveur et me reconnecte avec mon compte perso. J’ai toujours accès à la liste sauvegardée précédemment et, ouvrant Internet, je vérifie qu’il fonctionne correctement et j’en profite pour faire un tour sur les sites préférés d’Adeline.Je découvre des sites sexuels fort variés mais avec une préférence pour les sites d’histoires érotiques ainsi que les sites présentant des images hardcore, de couple, de trios mais aussi interracial avec des Blacks ayant une bite vraiment grande. Je ne me suis jamais vraiment posé la question, mais à voir ces différents échantillons d’humanité masculine, je me dis que ma queue est plutôt au-dessus de la moyenne, pas aussi développée que celle des blacks mais pas trop trop loin.Finalement, je me connecte sur le chat. C’est un petit chat car il n’y a qu’une trentaine de connectés. Il est directement lié à un site d’histoires érotiques et n’est donc pas trop visible pour des personnes qui ne connaissent pas et qui vont sur les chat plus ouverts et surpeuplés.En quelques secondes seulement, je repère M@deline. Sans réfléchir, j’ai choisi JP32a comme pseudo et j’ai un peu peur qu’elle me reconnaisse tout de suite, mais bon on verra bien. Je relance une recherche de mail, elle ne m’a toujours pas répondu.Je la contacte en privé :— Salut M@deline, joli pseudo, ça va ce soir ?— SalutLa réponse est plus que brève mais au moins elle m’a répondu… À moi d’être imaginatif pour faire durer le contact.— Tu es seule ce soir, tu t’ennuies ?— Non ça va, je suis avec des amis— Tu n’as donc pas de place pour moi ? Même si je suis très discret ?— Ben franchement, si tu es discret ça ne m’intéresse pas vraiment !— Cela veut-il dire que je doive faire place nette autour de toi et te captiver tellement que tu ne verras plus que moi ?— Si tu y arrives t’es vachement fort (rires) mais tu peux toujours essayer ? asv stp ?— Alors je suis un h de 32ans en région parisienne et toi ?— Moi f 24 92— Moi aussi 92 (j’y bosse) et 78 (j’y vis)— Bon on n’est pas trop loin… mais je ne cherche pas de réel, je suis là pour rêver uniquement.— Dans ce cas, puis-je te proposer un petit scénario ?— Pourquoi pas…— Tu me proposes une situation ou c’est moi qui commence ?— Vas-y— J’espère que tu seras plus loquace pendant le scénario— Ça dépendra de toi, si tu n’es pas bon, non, si tu es bon oui, si tu es trop bon non, car mes doigts seront oqp ailleurs… rires— Bon, je me lance… Je suis ton voisin et je te réveille un matin où tu souhaitais dormir par ma musique mise à fond pour l’entendre pendant que je suis sous la douche… comment réagis-tu ?— Ben… je me réveille et je suis pas de très bonne humeur… je tape au mur— Je n’entends rien car je suis sous la douche et que la musique couvre tous les bruits— Comme il n’y a pas de réaction, j’enfile un grand t-shirt, car je dors nue et viens sonner à ta porte— Je sors de la douche, met une serviette autour de mes reins, coupe la chaîne hi-fi et viens t’ouvrir, encore dégoulinant— Ça va pas de faire tout ce bruit à cette heure ! Y en a qui dorment !!— Excusez-moi, je ne pensais pas qu’il y avait des voisins qui dormaient encore à 11h30 un samedi matin…— Quoi ! Il est déjà 11h30 ? J’ai drôlement bien dormi moi !— Puis-je vous inviter à partager mon petit déjeuner, le café est tout juste prêt— Ben pourquoi pas, maintenant que je suis réveillée…— Entrez, dis-je en m’effaçant. Tu es obligée de passer devant moi pour entrer dans mon petit appartement. (Peux-tu te décrire un peu ? Moi je fais 1m80 blond aux yeux bleus)— Moi je fais 1m70, blonde aux yeux verts, avec une petite poitrine…Tiens donc, ma belle brune que je trouve si jolie s’imagine blonde avec des petits seins. Décidément les femmes ne sont jamais satisfaites d’elles-mêmes ! J’ai été honnête, moi, dans ma description.— Je te dis de t’installer et file à la cuisine. Dans l’unique pièce, il n’y a qu’un canapé-lit encore défait pour s’asseoir.— Je rentre observe un peu le décor et m’installe à moitié allongée— Je prépare deux bols de café et sors des croissants que je fais réchauffer dans mon mini-four.— Je suis bien installée sur ton oreiller… Je sens ton odeur et elle me plait bien— Je reviens de la cuisine avec un plateau bien chargé que je pose sur la table basse. Puis je te regarde et m’aperçois que tu t’es rendormie !— Je somnole plutôt. Je suis bien… donc je me laisse aller… mais j’ai senti ta présence.— Je te regarde en silence quelques instants… Tu es très belle ainsi détendue. Je m’approche un peu de toi, et t’observe plus attentivement.— Et que vois-tu ?— Je vois… Une très belle paire de jambes, avec des cuisses fines mais musclées— Et quoi d’autre ?— Ben par là pas grand-chose de plus car le t-shirt me cache le reste— C’est vrai, qu’il est grand, mais vu comme je suis couchée, je suis sûre que si tu te penches un peu, tu pourras voir mon minou qui est tout épilé— À vrai dire mes yeux s’étaient projetés en avant et observaient tes petits tétons qui pointent à travers le tissu de ton t-shirt— C’est vrai que mes pointes sont très érectiles, et qu’elles pointent dès que je suis excitée, ce qui commence à être le cas à force de te deviner à côté de moi sans te voir— Ta peau semble douce et j’ai très envie de poser ma main sur tes cuisses ou sur ton cou. Les traits de ton visage sont détendus mais je vois tes yeux bouger sous tes paupières et j’en déduis que tu ne dors pas. Vu ta passivité, je me dis que tu attends quelque chose— En effet… et tu es long à la détente (rire)— Alors je pose mes lèvres à la base de ton cou et commence à t’embrasser très légèrement en remontant vers ton oreille— J’aime ça… c’est très tendre et très coquin en même temps, comme si nous étions intimes depuis longtemps— J’ai posé ma main sur ton épaule et en tendant le tissu de ton t-shirt je devine maintenant nettement mieux ta poitrine, qui ne me semble pas si petite…— Et pourtant je ne suis pas obligée de porter de soutien-gorge vu sa taille et sa fermeté naturelle— En tout cas je trouve tes seins très beaux… bien dessinés— Merci, même si tu ne me le dis pas— Non je ne dis rien… ma bouche est toujours collée à ton cou dans une caresse légère. Ma main dénude ton épaule et commence à te la caresser en douceur… Et je dois dire que je suis heureux que tu aies les yeux fermés car j’aurais du mal à cacher la bosse qui commence à remonter la serviette.— Me tente pas où j’ouvre les yeux…— Ma bouche se décolle de ton cou et s’approchant de ton oreille je murmure : le petit déjeuner est servi— J’ouvre les yeux et vois la bosse qui je dois l’avouer me donne très envie… Mais bon, prenons des forces d’abord…— Je m’installe par terre en face de toi, et de là je dois avouer que la vue est impressionnante, je vois nettement le minou que tu évoquais tout à l’heure surtout que tu ne m’empêches vraiment pas de regarder vue ta position.— En effet, j’ai pris de l’avance et tiens à te faire rattraper ton retard— Et tu y arrives très bien !!!— N’est-ce pas ?— Bon j’ai du mal à me concentrer… je te tends ton bol et comme mes yeux ne sont pas à ce que je fais, et apparemment les tiens non plus, nos mains maladroites le renverse. Heureusement il n’était plus très chaud car il atterrit sur ton t-shirt, le faisant épouser ton corps— Je baisse la tête pour observer les dégâts— Et moi je me précipite car je suis très gêné par la situation… Sans réfléchir j’attrape ma serviette de bain et me mets à essuyer le café… Ma bite est maintenant dressée face à toi, sans rien pour la cacher.— En effet et elle a de fort appréciables dimensions, dis-moi— Je crois que oui, je n’ai jamais vérifié— Ah bon, tu ne fais pas partie de ces hommes qui se la mesurent tous les matins ? (rire)— Non, je n’ai aucune idée de ses dimensions, désolé— C’est pas grave car j’ai toujours considéré qu’il n’y avait pas de rapport entre la taille et le résultat, et mes quelques expériences me le confirme— Ça veux pas dire qu’elle est petite, franchement j’en sais rien du tout et je m’en fous— En tout cas, je n’arrive plus à détacher mes yeux de ta queue pendant que tu me nettoies— J’y mets un maximum de douceur… Vu l’état de ton t-shirt, je te propose de le retirer— Et je lève les bras pour que tu me l’enlèves sans rien dire— Comprenant l’invitation évidente, je me baisse pour saisir le bas de ton t-shirt et le décollant de ta peau, je le remonte tout doucement découvrant enfin ton corps en direct— Je me laisse faire en fermant les yeux— Je dégage complètement le t-shirt… tes bras en l’air on fait remonter ta poitrine que je trouve de plus en plus belle— Une fois mon seul vêtement retiré, les yeux toujours fermés, je redescends lentement mes bras et rencontre involontairement ( ?) ton sexe… que je commence à caresser doucement— Je me laisse faire appréciant cette douce sensation de tes doigts fins sur mon sexe tendu— Je dois dire que je le trouve très gonflé et j’ai très envie de le mettre dans ma bouche— Je te laisse faire… j’ai posé mes mains sur tes épaules et te les caresse tendrement… puis une main descend sur ta poitrine en un très léger attouchement qui fait se dresser tes tétons— Humm… c’est bon, j’ouvre les yeux et pose mes lèvres sur le bout de ton gland, pour l’embrasser légèrement… mes doigts continuent à s’activer doucement sur toute la longueur de ta bite— Mes mains pétrissent maintenant tes seins, placés en coupe par dessous et tenant tes pointes entre mes doigts— J’aime ces caresses… J’ouvre la bouche et commence à enfoncer ta bite dans ma bouche, décalottant ton gland et le mouillant de salive pour ne pas te faire mal— Hummm… ta bouche est douce, on dirait de la soie autour de mon sexe— Une de mes mains quitte ton sexe, car maintenant ma bouche fais de lent va-et-vient et que j’ai furieusement envie de me caresser (en vrai aussi, et toi ?)— (je bande comme un fou) Je voudrais m’occuper de toi mais ma position actuelle m’en empêche— Je commence à m’activer de plus en plus rapidement et profondément car j’ai envie de te faire jouir— Je me laisse faire appréciant l’anneau que forment tes lèvres sur mon sexe.— Ma main joue avec tes couilles et je fais des mouvements amples et rapides avec ma tête que tu soutiens avec l’une de tes mains— Oui je te caresse les cheveux pendant que tu me suces comme une damnée— Je sens tes couilles qui se durcissent et se contractent et le sperme qui monte dans ta colonne de chair— Ho oui c’est trop bon, je vais pas tarder à éjaculerLe message suivant à du mal à venir, j’attends bien 30 secondes avant qu’il apparaisse :— Je fais durer encore un peu arrêtant mes mouvements mais les spasmes de ta queue font sortit de gros jets de sperme que j’avale goulûment… (je viens de jouir en vrai, sous mes doigts mais grâce à tes mots et à tes images… c’était super bon)— Oh oui tu suces super bien, je n’ai jamais eu de fellation aussi bien faite de toute ma vie— J’adore sucer une bonne queue, c’est tellement agréable de se sentir maîtresse de la situation, et ton sperme à très bon goût— Merci ma belle— On va s’arrêter là pour aujourd’hui, car je suis encore au boulot et j’ai encore un dossier à boucler avant de partir…— OK comme tu voudras— Par contre ça me ferait plaisir qu’on se recontacte un de ces soirs si tu as apprécié notre collaboration— Oh oui beaucoup, c’est juste ton apparence physique… Je dois avouer que je préfère les brunes aux blondes, et qu’une poitrine un peu plus développée ne serait pas pour me déplaire— Qui sait, peut-être que dans la vraie vie je suis plus à ton goût…— Tu n’as pas une photo ?— Si, j’en ai deux, mais pas cette fois… Si nos contacts deviennent réguliers peut-être te l’enverrais-je… Je suis prudente— Je comprends ça… Alors je te dis à bientôt et bon courage pour ton boulot— Merci a bientôt. Bye— Salut Adeline et à bientôtJe suis plutôt content du moment passé à dialoguer avec Adeline. Ça a été à la fois doux et fort. Je suis déçu que ça n’ait pas duré plus longtemps, mais je suis content d’avoir réussi à l’exciter suffisamment avec mes mots et mes idées pour qu’elle se fasse jouir.Bon, il est temps d’appeler Michel. Le téléphone ne sonne qu’un coup et il décroche, apparemment assez fébrile.— Alors ?— C’est bon, j’ai fini. J’ai passé pas mal de temps à faire des essais, mais c’est bouclé depuis presque deux heures— Et tu m’as pas prévenu avant ?— Désolé, je voulais être sûr de moi— Bon le principal c’est que ce soit fait… Il va en faire une de ses têtes Robert… Je crois que je vais me faire un de ces petits plaisirs de l’appeler maintenant pour l’informer… Avec un peu de chance, je le réveillerai. En tout cas, tu peux rentrer chez toi maintenant… T’as bien bossé pour ce soir— Merci, chef !— Et passe me voir vers 18h demain, je t’offrirai un coup à boire.— Avec plaisir, à demain et bonne nuit !Je vais une dernière fois voir si j’ai du courrier dans ma boîte aux lettres. Il y a un message d’Adeline.Salut JPTu n’as pas de néons à réparer ce soir ?Je voulais te dire merci pour le merveilleux moment que tu viens de me faire passer. Si par hasard je me trompe, tu ne comprendras pas ma phrase précédente et je m’en excuse ; sinon j’espère que tu comprendras que ceci est une invitation à recommencer quand tu voudras…A bientôt@delineJe suis surpris qu’Adeline m’ait reconnu… quand je réalise que je l’ai par erreur appelée par son vrai prénom à la fin de notre dialogue. Finalement cette erreur involontaire m’ouvre une porte pour pouvoir la rencontrer en direct. Je quitte mon travail sans lui répondre, la laissant dans l’incertitude pour 24 heures.