Il faisait sombre dans sa chambre en cette nuit d’automne. Nous étions tous les deux nus, allongés, blottis sous la couette. Un faible halo de lumière se frayait un chemin entre les interstices des volets fermés. Sa peau reflétait la blancheur de la douce caresse lumineuse. Je la sentais la, à mes côtés, dormant d’un sommeil profond entrecoupé par de petits mouvements et gémissements issus de rêves que j’imaginais érotiques.Mes yeux maintenant habitués au noir pouvaient distinguer les détails de la chambre: là le bureau, plus loin la porte, le siège en osier, la chaise sur laquelle avait été déposé à la hâte une de ses jupes ainsi qu’un haut noir presque transparent mis la veille.A même le sol traînait sa lingerie de dentelle. La couleur bordeaux du soutien-gorge et du string se distinguait sur fond de parquet marron clair. Le réveil indiquait: 02h18 en chiffres rouges. Je m’étais réveillé au milieu d’un rêve en prenant conscience d’un orgasme imminent. J’avais encore rêvé d’elle. Mon désir de la veille provoqué par sa tenue ne s’était pas estompé.Bien au contraire la nuit avait amplifiée mes envies qui se prolongeaient par une belle érection nocturne. Elle s’était vêtue de cette jupe noire, presque transparente, découvrant la moitié de ses cuisses. Ses talons faisant ressortir de superbes jambes galbées recouvertes de bas en soie couleur chair. J’avais aimé la regarder au restaurant, découvrant ses jambes, caressant le fin tissu de son string pendant qu’elle dégustait son repas. Sur ces pensées mon regard se posa sur son corps merveilleux.Elle était en position fœtale me tournant le dos. À moitié découverte, la couette remontant jusque sous ses jolis seins si doux au toucher. J’avais depuis si longtemps eu envie de la caresser, la pénétrer, la faire jouir pendant qu’elle dormait. Mais à chaque fois le sommeil avait eu raison de moi et c’était elle qui le matin me réveillait de ses douces caresses savamment dirigées.De plus en plus conscient, je me collais donc à elle de façon à ce que ma jambe s’intercale entre ses deux cuisses. Mon sexe érigé frôlait maintenant son intimité. Je plaquais délicatement une main contre ses seins et commençais à les malaxer doucement en faisant attention à ne pas la réveiller par un geste trop brusque.Ma main parcourait le haut de son corps, descendait vers ses hanches, son ventre plat. Je lui suçais le lobe de l’oreille couvrais son cou de bisous.Une odeur d’amour émanait de sa peau salée, odeur particulière, celle qu’elle a après avoir fait longuement l’amour.La veille nous nous étions endormis après un long câlin. Je caressais ses fesses rondes, parfaites qui me font si souvent fantasmer. Mes doigts remontaient lentement le long de ses hanches pour atteindre le bout de son sein. Je lui titillais le téton, le pinçant très légèrement, le roulant sous mes doigts.Le toucher était délicat, tendre. Je sentais sa poitrine s’affermir sous la pression de mes doigts. Ses tétons pointaient maintenant fièrement en avant vers le bord du lit.Après quelques caresses entre et autour de ses mamelons je frôlais enfin son épaule puis le dos. Elle adorait ces massages.Le va-et-vient de mes mains sur son corps la détendaient. Elle se laissait souvent faire accompagnant mes mouvements de soupirs de contentement.A en juger par les légères ondulations de son corps ainsi que ses petits gémissements, elle semblait apprécier même endormie !Mon sexe était gonflé au maximum de mon désir et frottait légèrement sur ses lèvres. La peau sensible de mon gland était maintenant imbibée de secrétions, une goutte de sperme perlant même au bout.Mon corps était imprégné de petits mouvements incontrôlés, le frottement de nos jambes accentuait mon excitation. Je voulais me retenir d’éjaculer immédiatement pour prolonger mon plaisir et vraisemblablement le sien.Je la retournais tout doucement sur le dos afin de pouvoir goûter de ma langue à son sexe. Je me plaçais sous ses jambes et commençais à embrasser son mont de vénus. Une de mes mains s’évertuait à lui caresser un téton, tandis que l’autre s’activait sur sa toison bouclée.Mes baisers se faisaient de plus en plus profonds, ma langue écartait maintenant ses lèvres pénétrant son intimité humide. Mes caresses buccales étaient lentes, appliquées. Je parcourais toute la longueur de son sexe, buvant de sa liqueur.Son corps était parfois pris de légers spasmes. Ses mains s’étaient posées sur ma tête me massant délicatement le haut du crane. Je pensais à ce moment qu’elle avait fini par se réveiller, je me trompais.Son corps accompagnait maintenant mes caresses, son bassin se soulevait au rythme de ma langue, elle gémissait de plus en plus fort, chose que je n’avais pas l’habitude d’entendre lorsque nous faisions l’amour éveillé.N’y tenant plus je me relevais la saisissant par les hanches afin de relever son sexe au niveau de ma verge tendue, à ma grande surprise elle souleva son bassin d’elle-même son sexe venant se frotter au mien.Je la pénétrais lentement pour accentuer le plaisir. Je m’introduis profondément jusqu’à la garde. Son corps ondulait exerçant une pression de plus en plus forte sur mon membre. Je m’activais maintenant en lui caressant les seins et le visage, lui passant une main dans ses cheveux. Mes boules venaient tapoter sur son anus produisant un bruit excitant.Je sentais mon orgasme approcher.Soudain elle ouvrit les yeux et je pus lire un sourire surpris sur son visage. Elle contracta sous l’effet de surprise ses muscles, emprisonnant mon membre au fond de ses entrailles.Puis se détendant elle me caressa le torse, me prit par les hanches et je ne pus me retenir plus longtemps. Je lâchais, dans une série de soubresauts, toute ma semence en elle.Sentant mon sperme chaud, encore toute endormie, elle gémit pendant un court instant tout en s’agrippant à mes fesses. Elle aussi venait d’atteindre l’orgasme.Je m’allongeais alors sur elle en déposant un baiser sur sa bouche. Sa langue vint écarter mes lèvres et elle m’embrassa goulûment. Nous restâmes ainsi quelques minutes, moi allongé sur elle ses mains sur mes fesses, avant de nous endormir à nouveau.Frout