Sophie et moi évoquons de temps en temps cette nuit qui fut la plus troublante et torride de notre vie de couple.Tout a commencé un soir, par un simple petit jeu coquin auquel beaucoup de couples doivent s’adonner ; une balade presque innocente, sur des sites érotiques, voire pornographiques, juste pour s’encanailler un peu et échauffer les sens. Sophie était, pour cette occasion, juste revêtue de lingerie très sexy : nuisette légère en soie, porte-jarretelles soutenant des bas soyeux et escarpins noirs, à talons fins et hauts, galbant parfaitement ses jambes. Je ne vous décrirai pas sa culotte ; elle n’en portait pas !Nous étions assis, côte à côte, devant l’écran, et les premières images « hot » trouvées provoquèrent rires un peu nerveux, louanges pudiques ou commentaires plus ironiques et retenus. Puis, les barrières tombant peu à peu, des allusions de plus en plus lubriques commençaient à fuser ; et nous voilà partis à commenter les positions, les tenues et bien entendu le physique et les attributs souvent très avantageux des uns et des autres. Les pulsions sexuelles exacerbées avaient fini par mettre en veilleuse nos tabous. La victoire momentanée du ça sur le surmoi, comme diraient les freudiens…Soudainement, alors que j’étais, souris en main, le capitaine de cette navigation libidineuse, Sophie s’exclama :— Oh ! remonte un peu là… fais voir !— Oui… voir quoi, ma chérie ?— Le brun qui… qui prend la fille en levrette… oui là… ah… il est pas mal, pas mal, oui… tu peux zoomer ?Un peu interloqué devant tant de hardiesse à laquelle ma chérie ne m’avait pas vraiment habitué, je m’exécutai assez maladroitement, je m’y repris à plusieurs fois, avant de parvenir à effectuer le gros plan désiré par Sophie…— Voilà… pas déçue ? lui lançai-je alors, avec une pointe de jalousie mal dissimulée.Restée muette quelques instants, elle répliqua alors :— J’aime bien ses fesses, elles sont superbes, tu ne trouves pas ? Alors là, je ne sais pas vous, mais en ce qui me concerne, cela m’a toujours surpris… d’après toutes les enquêtes effectuées auprès de la gent féminine, il paraît qu’elles craquent pour nos postérieurs… enfin, pour certains, du moins !Je lui fis remarquer son énorme membre, sans doute une façon de reprendre le contrôle, en adoptant une attitude faussement détachée de toute jalousie.— En effet, à faire pâlir le célèbre Rocco… ça doit faire mal un gros machin pareil, je ne sais pas comment fait la fille, là où il lui met. — Le tien me convient très bien, mon chéri, rétorqua-t-elle, en m’embrassant, comme pour maintenant relativiser son excitation et me rassurer. — Coquine, va, tu as des références, dis-moi !Je ne pus m’empêcher de remonter une main le long de ses bas, jusqu’à la lisière, et faufiler mes doigts jusqu’à sa vulve nue et humide.— Il ne te laisse pas indifférente, à ce que je sens.— Humm… oui, marmonna-t-elle, les pommettes rougissantes. Puis, tout à coup, Sophie me surprit ; elle se leva, se mit à quatre pattes sur l’épais tapis qui recouvrait le sol de la pièce et me demanda tout de go de la prendre « comme cet étalon le faisait avec cette fille ».Jamais je ne l’avais vue aussi excitée. Elle ne demanda pas de préliminaires ; à peine étais-je en position adéquate, qu’elle empoigna ma verge et la dirigea vers sa vulve. Hélas, je ne fus pas très endurant, en quelques coups de reins, j’emplis son intimité de vigoureuses giclées.Les jours suivants, je repensais à cet étalon qui avait troublé mon épouse.Je dois reconnaître que tout ceci m’avait aussi fortement ébranlé. Ce mâle avait embrasé notre libido et, pour ma part, si je ressentais de la jalousie, celle qui vous tord les boyaux, une intense excitation m’envahissait aussi en imaginant ma chérie s’offrir telle une courtisane.L’enfièvrement lubrique l’emporta. Je décidai d’effectuer quelques recherches secrètes, sur la toile, avec une idée bien précise en tête.Au fil de l’eau, je découvris que ce Casanova avait créé son propre site. J’appris qu’il s’agissait d’un libertin particulièrement échauffé par les relations avec des femmes mariées en la présence de leur conjoint. Ses pages, très complètes, affichaient son profil, ses préférences, ses règles et les moyens de le contacter. Le tout, agrémenté de nombreuses photos, prises par les maris assistant aux ébats de leurs épouses. Ceux-ci ayant pris soin de flouter les visages de ces dernières.J’étais sidéré par son profil affiché, tant par les caractéristiques physiques qu’intellectuelles. Pas étonnant que ce bellâtre évoquait un passé révolu en tant qu’escort-boy !La trentaine athlétique, avec une discrète mais visible « tablette de chocolat », un beau visage mat et viril éclairé par un doux regard bleu océan. En poche, un Doctorat en art et civilisations anciennes, obtenu à l’Université de Rome où il avait vécu jusqu’à son 25e anniversaire !Son « livre d’or » était impressionnant ; quelques mots laissés aussi bien par les épouses que par leurs maris : « grande classe », « très respectueux », « délicieux plaisirs partagés et raffinés », « exquises voluptés », « ma femme a joui sans retenue », « un orgasme majestueux, mon mari s’est ensuite délivré puissamment sur moi », « elle a été honorée avec tant d’égard et de virilité », « il a débridé notre libido », « elle a hurlé son plaisir », « enivrants ébats pervers », « juste divin »… Un tel florilège était très émoustillant ! Ce mâle avait conquis pas moins d’une centaine de couples en une poignée d’années !J’ai pensé à un certain moment que le site était truqué, que tout cela était « bidon », « arrangé », mais des recherches approfondies sur des forums indépendants m’ont confirmé la véracité des faits. Il était très connu des cercles libertins de la capitale.J’ai mis de longues semaines avant de me décider à prendre contact(on ne nage pas dans le libertinage du jour au lendemain… pas si évident de voir sa belle et tendre en levrette, offerte à un superbe étalon en train d’élargir ses petits orifices d’amour de sa colossale verge turgescente !), mais, au cours des jours précédents, dans notre lit conjugal, en pleine action et par jeu érotique, j’avais demandé à Sophie s’il lui arrivait de penser à cet étalon. Elle m’avait répondu spontanément :— Humm… oui… mon chéri… je rêve chaque fois que c’est lui qui me baise… Sa bite me fait peur et m’excite terriblement en même temps… je suis toute trempée dès que j’y pense.Simple fantasme ou véritable tentation d’un passage à l’acte de ma chérie ? Avait-elle vraiment envie d’une expérience perverse et lubrique au vu de cette réponse spontanée ? Ces questions me taraudèrent longtemps. Néanmoins, après de longues semaines de doutes exacerbés, je trouvais la hardiesse d’envoyer un mail et des photos de nous à ce libertin. Après tout, cela n’engageait à rien !Il me répondit assez vite, en notant qu’il trouvait Sophie très classe et sexy. Il me fit comprendre qu’il serait ravi de nous rencontrer autour d’une bonne table, à Paris.Sophie ne sut rien des échanges de correspondance assez nourris qui s’ensuivirent avec Ottavio. Ottavio était le pseudonyme, ou peut-être son vrai prénom, qu’il utilisait dans nos échanges.Ottavio était rassurant et menait intelligemment « sa barque ». Pris dans une sorte d’engrenage, phénomène bien décrit par les psychologues sociaux, je décidais d’aller jusqu’au bout de cette folie sexuelle. Pour nos vingt ans de mariage, j’avais trouvé « le cadeau » qui devait la faire monter au 7e ciel ! » Je voulais que ce soit une grande réussite, un moment de plaisirs partagés. Ce devait être élégant et respectueux envers Sophie dans les moindres détails. Elle ne devait se douter de rien jusqu’à la dernière minute et se laisser guider par ses désirs, ses pulsions. Je prenais bien sûr le risque qu’elle fût trop effarouchée ou carrément offusquée. En la circonstance, je pouvais très bien me retrouver avec mon « cadeau », sur les bras.Un seul échange téléphonique, avec le coquin, me permit de prendre la mesure du personnage. Il s’exprima dans un français parfait, mâtiné d’un charmant accent italien. Il était serein, à mon écoute, et son immense expérience inspirait confiance. Je retrouvais déjà les éloges qui lui étaient attribués sur Internet.Nous prîmes rendez-vous.Par cette belle soirée d’août, nous nous attablâmes tous deux avec Sophie, confortablement installés sur le splendide rooftop d’un restaurant gastronomique de la capitale. Il était réputé pour offrir l’un des plus beaux panoramas sur Paris. La magie de Paris « ville lumière » opérait, nous étions comme des gamins émerveillés devant le scintillement des guirlandes ornant le sapin de Noël. Et pourtant, à cette heure, j’étais loin de l’innocence de l’enfance. Ottavio, qui devait se joindre à nous au cours du repas par je ne sais quelle habileté, m’avait appris que ce restaurant de renom était aussi un haut lieu de libertinage tenu quasiment secret. Seuls, quelques initiés, triés sur le volet, connaissaient ses alcôves et luxueux salons privés accessibles après avoir affronté un dédale sombre et feutré. Prélude aussi inquiétant qu’excitant.Les mets étaient succulents, le vin, un grand cru de Bourgogne, un véritable nectar, et visiblement Sophie commençait à en ressentir les effets euphorisants. Elle se leva pour prendre une grande bouffée d’air et admirer les lumières de la ville, légèrement cambrée, les bras posés sur la balustrade de verre. Je la rejoignis, elle était vêtue d’une petite robe d’été blanche et moulante à fines bretelles, assez courte et très légère. Ses jambes galbées, par des escarpins à talons hauts, exhibaient de soyeux bas couleur « nude ». À ma demande, elle n’avait pas mis de culotte et je ne pus résister à l’envie de remonter discrètement une main jusqu’à son intimité. Bien que les autres tables fussent à bonne distance, certains convives avaient, semble-t-il, profité de la scène.Quelques instants après avoir regagné notre table, nous vîmes Ottavio avancer vers notre table. Mon sang ne fit qu’un tour, bouffée de chaleur et pulsations cardiaques dignes d’une fin de 100 mètres !Il était impressionnant, il alliait une étonnante et élégante décontraction ; sa chemise et son ample pantalon de lin blanc cassé, au tombé impeccable, ne souffraient d’aucun froissement. Sa stature, son allure et son style avaient déjà troublé Sophie, avant même qu’il ne prononçât le premier mot ! Il y a des signes qui ne trompent pas…— Bonsoir, Madame, bonsoir, Monsieur, lança-t-il avec son léger accent italien.— Bonjour… Enfin, bonsoir, bredouilla ma tendre intimidée, en déglutissant difficilement. Tout en demandant la permission de s’installer à notre table, Ottavio, d’un ton posé et charmeur, mais aussi énigmatique, suspendant ses phrases et regardant Sophie, expliqua sa présence ainsi :— Je n’ai pas encore le plaisir de vous connaître, Madame, mais Paul m’a livré un secret… il m’a tout dévoilé…enfin presque… n’est-ce pas aujourd’hui votre anniversaire de mariage ?— Euh… oui, dit-elle, étonnée et intimidée. Puis, reprenant soudainement son assurance, ayant repris de grandes gorgées de ce Bourgogne millésimé, elle ajouta sur un ton ironique et désinhibé :— Vous, j’ai l’impression que vous êtes mon cadeau… Et d’un clin d’œil complice à mon attention, elle ajouta :— Je m’étonnais que mon tendre époux ne m’ait encore rien offert ! À ce moment, je savais que mon épouse était prête, pour de vrai, au libertinage.Ottavio, vif, toujours elliptique et mystérieux, lui répondit d’un sourire envoûteur :— Il existe des cadeaux qui font plaisir et d’autres qui procurent du plaisir… ne pensez-vous pas ? l’interrogea-t-il, en jouant de son regard séducteur. Il tendit doucement la main à ma chérie, en l’invitant à le suivre. Sophie se laissa entraîner tout en s’assurant, à chaque pas, que je les suivais. Nous descendîmes un immense escalier, empruntâmes de nombreux couloirs étroits, labyrinthiques, peu éclairés, et dont les parois étaient toutes capitonnées. Au passage de portes, elles aussi capitonnées, on pouvait parfois discerner, de façon feutrée, des râles et des soupirs.Ottavio s’arrêta devant l’une d’elles, l’ouvrit et nous pria d’entrer. Nous découvrîmes une architecture d’intérieur délirante : ni mur, ni plafond, ni sols classiques. Une prouesse technique nous donnait l’illusion d’être plongés, dans l’océan. Autour de nous, de petits poissons multicolores tournoyaient et virevoltaient. Au centre siégeait un très généreux lit japonais recouvert de draps de soie noire et de gros coussins rouges de soie également.— Allongez-vous tous les deux, détendez-vous et profitez du spectacle, vous êtes mes hôtes, je reviens tout de suite.En sortant, Ottavio avait baissé la luminosité, le spectacle était hypnotisant. De petites fioles très spéciales diffusaient dans toute la pièce des vapeurs capiteuses et enivrantes. Sophie était dans un état second, ses jambes, habillées de bas clairs, contrastaient magnifiquement avec la soie noire. Sa robe légère était un peu remontée et dévoilait la lisière de ses bas. Ma main passa sur sa magnifique vulve, communément appelée « pêche » car les grandes lèvres recouvraient totalement les petites. Son entrecuisse était trempé. Je lui demandai, à l’oreille, si c’était Ottavio qui la mettait dans cet état. Elle me répondit par l’affirmative, et projeta, lascive, un bras derrière la tête.Nous vîmes alors Ottavio entrer avec trois coupes de champagne et venir s’asseoir sur le lit, près de ma tendre. Il portait, maintenant, un peignoir satiné gris foncé à liserés. Je continuais à la caresser en la présence d’Ottavio ; Sophie se laissait faire, elle ouvrait totalement ses cuisses, offrant son sexe à la vue de l’étalon. La pointe de ses talons hauts crissait sur la soie et de la cyprine s’écoulait maintenant abondamment de sa vulve, imprégnant peu à peu les draps.Ottavio porta aux lèvres de Sophie une coupe de champagne, des larmes de vin coulèrent sur son cou et glissèrent entre ses seins blancs. Ses tétons, en érection, pointaient sous sa robe fine et au généreux décolleté. L’étalon, du bout de sa langue, lécha les perles de champagne qui mouraient entre les seins de Sophie, tout en faisant glisser le long de ses épaules, les deux fines bretelles de sa robe frivole, découvrant ainsi ses généreux seins en poires. Il effleura, de la pulpe de ses doigts, son cou ; elle frissonna. Puis, il descendit vers la douce peau de ses seins ; s’attarda sur ses aréoles et renforça l’érection des tétons d’une douce caresse linguale. Allongé aux côtés de mon épouse, j’observais avec complicité et excitation ces incursions sur son corps. Le mâle poursuivit sa conquête. Ses doigts effleuraient maintenant sa vulve luisante dont je voyais les lèvres s’entrouvrir. De la cyprine s’écoulait abondamment et mouillait maintenant, les draps de soie noirs. J’observais les doigts experts d’Ottavio écarter nettement les grandes puis les petites lèvres de sa vulve.Sophie prit ma main et la serra fortement. Sa respiration devenait de plus en plus haletante ; des rougeurs l’envahirent.Le bouton d’or de mon épouse, gonflé par le désir, fut le jouet de la langue d’Ottavio. Puis, tel un félin, l’amant d’un soir se plaça directement entre les cuisses ouvertes de Sophie. Il engouffra sa tête entre celles-ci et commença à faufiler le bout de sa langue entre ses lèvres intimes ; l’intumescence envahissait la vulve offerte de ma femme. Sa douce langue enveloppa, de nouveau, le petit clitoris très sensible de ma belle. Le bellâtre lui prodigua des caresses linguales moites et intensément voluptueuses. Sophie, submergée par ce plaisir cru et irrépressible, enserra de sa main libre les draps complices de cette luxure.L’italien releva le buste et défit son peignoir ; son impressionnante verge se dressait devant mon épouse et semblait aussi dure qu’une colonne de bronze. Il attrapa un tube de gel « prolongateur » de la poche de son peignoir, en déposa sur son gland et guida la main de ma femme vers son pénis.La douce main de Sophie parcourait de haut en bas cette majestueuse verge turgescente et maintenant parfaitement lubrifiée ; sa petite main ne parvenait pas à l’entourer complètement. Elle tremblotait de tout son corps, elle sentait qu’il se préparait maintenant à la pénétrer par tous ses orifices et elle en avait aussi une folle envie. Je me tenais contre elle ; lui, caressait tour à tour ses seins et sa vulve emplie de désir, elle devait sentir contre son flanc se dresser mon excitation.Ottavio plaça ma belle en position de levrette. Elle me jeta un regard en me lançant, d’une voix étranglée, un « je t’aime fort ». L’étalon se plaça derrière elle et écarta vigoureusement ses lobes fessiers. Sophie prit en main sa monumentale verge et la présenta à l’entrée de son vagin. Toujours très viril et doux en même temps, il commença à la pénétrer puissamment, mais lentement. Je voyais son membre épais s’enfoncer progressivement entre ses lèvres ; je ressentais douleur et plaisir, sensations inextricables… le yin et le yang. Se mêlait aussi la fierté de voir ma compagne faire bander un jeune et bel étalon.Lorsqu’Ottavio eut enfoncé entièrement sa verge, il entama un fougueux mouvement de va-et-vient. J’entendais ses cuisses claquer contre le cul de mon épouse. Les seins lourds de ma chérie se balançant, sous les coups de reins de ce mâle, m’excitaient terriblement.Le plaisir de ma belle allait crescendo ; ses râles, soupirs et gémissements s’associaient aux clapotis provoqués par les intenses va-et-vient de la queue d’Ottavio, dans son vagin ultra lubrifié, par l’excitation. Alors que son corps ondulait, se cambrait, s’ébranlait, se balançait sous les assauts virils de son partenaire d’un soir, Sophie me réserva une « surprise ». Toujours prise en levrette et le visage frottant contre le makura (oreiller japonais) sous les assauts de son amant, ma femme entrouvrit son petit œillet de ses deux mains en me jetant, de nouveau, un regard audacieux ! Elle voulait être sodomisée sauvagement sous mes yeux ; elle était avide de sexe !Il n’hésita pas, il se présenta et s’introduisit comme elle le désirait. Lorsque mon épouse, les deux mains crispées sur les draps de soie noirs, fut prise de divins spasmes de jouissance, la bite d’Ottavio au plus profond de son fondement, il se retira et inonda son corps de vigoureuses giclées de sperme qu’il étala, sur ses orifices et ses seins.Mon épouse, les doigts recouverts de sa semence et reprenant peu à peu ses esprits après l’orgasme, goûta avec délice le précieux nectar et m’invita à profiter de son œillet très élargi. Mon pénis n’eut aucun mal à s’engouffrer entièrement dans son cul dilaté. Surexcité, la pénétration fut intense mais brève. Je ne pus contenir longtemps une puissante éjaculation, dans son intérieur défloré par son galant d’un soir. En effet, c’était la première fois que ma bien-aimée offrait cette chaude et douce vallée…Alors que j’étais encore en elle, Ottavio embrassa Sophie à pleine bouche et lui glissa je ne sais quel petit mot à l’oreille qui la fit rire. Puis, il nous quitta très discrètement, nous laissant un souvenir impérissable de cette torride nuit candauliste.