Entre les mains… de Madame LizAu matin, je m’étais Ă©veillĂ© de bonne humeur après avoir passĂ© un coup de langue sur la merveilleuse culotte. Mais soudain, un coup de tĂ©lĂ©phone. Catastrophe : c’était Madame Liz, pas heureuse de s’être aperçue de mes indiscrĂ©tions, et qui me demandait de venir m’expliquer chez elle sans dĂ©lai. J’étais paniquĂ©, j’avais peur d’y aller et de m’expliquer, mais elle menaçait de parler Ă ma tante et je n’avais pas le choix… Je comprenais que par ma faute j’avais prĂŞtĂ© le flanc au chantage d’une femme qui, je le comprenais maintenant, allait faire de moi sa chose. J’étais Ă la fois pris d’une vĂ©ritable panique Ă l’idĂ©e de me prĂ©senter devant elle, et en mĂŞme temps terriblement excitĂ© de savoir que Madame Liz avait dĂ©couvert mes indiscrĂ©tions. J’étais entre ses mains… Il fallait y aller, et j’y allai…J’arrivai Ă l’heure fixĂ©e. Madame Elisabeth me fit entrer dans son appartement et referma la porte Ă clĂ© derrière moi. J’étais terrifiĂ© et terriblement excitĂ©, les joues toutes rouges, les jambes molles, le cĹ“ur battant la chamade… Elle me prit par la main, comme on le fait pour un petit garçon, me regarda sans rien dire, avec un sourire un peu narquois, puis elle m’entraĂ®na fermement jusque dans sa chambre, celle oĂą j’avais fautĂ©. LĂ , dans son intimitĂ©, elle me toisa du regard et me sermonna comme elle l’aurait fait Ă un petit garçon venant de faire une grosse bĂŞtise.Sous peine de me dĂ©noncer auprès de ma tante et de mes parents, elle m’intima l’ordre de lui raconter par le menu ce que j’avais fait de ses dessous, sous prĂ©texte de bien cerner ma faute et de trouver une punition adĂ©quate. Totalement sous l’emprise de cette femme habituĂ©e Ă dominer, terrorisĂ© par ce qu’elle pourrait faire et dire Ă ma tante, je lui racontai mon aventure de la veille, d’abord de façon la plus imprĂ©cise possible, puis de façon plus dĂ©taillĂ©e en rĂ©pondant pendant près d’une heure Ă toute une sĂ©rie de questions de plus en plus prĂ©cises et perverses.Je fus contraint de tout lui rĂ©vĂ©ler. Elle m’arracha mĂŞme, certes en insistant beaucoup, que j’avais Ă©tĂ© jusqu’à lĂ©cher le fond de sa culotte. Elle me sermonna longuement en me rappelant que je n’étais qu’un gamin vicieux, qu’elle Ă©tait une dame de plus de 60 ans, beaucoup plus âgĂ©e que moi, et Ă qui je devais le respect le plus absolu. Pour rĂ©parer ce qu’elle considĂ©rait comme une faute inexcusable envers elle, qui m’avait fait confiance, elle m’avertit que je devais dorĂ©navant lui obĂ©ir en toutes choses, d’autant plus que rien ne l’obligeait Ă ne pas aller tout raconter Ă son amie, ma tante. Elle m’ordonna de ne pas parler Ă ma tante des punitions qu’elle allait ĂŞtre obligĂ©e de m’infliger. Afin de me laisser rĂ©flĂ©chir Ă ma faute et Ă mon acceptation de la servilitĂ© qu’elle comptait m’imposer, elle me laissa seul un moment dans sa chambre après m’avoir ordonnĂ© de me mettre Ă genoux devant son lit, pour que je m’imprègne du lieu oĂą je devrais expier ma faute Ă son service.Lorsqu’elle revint me voir, j’étais toujours Ă genoux au milieu de la pièce, n’osant lever les yeux sur elle. Elle me demanda si j’acceptais ses conditions, si j’acceptais, selon ses propres termes, de devenir son « petit serviteur intime », son « esclave domestique ». Je n’avais guère d’autre choix que d’accepter.Elle me dit alors qu’elle allait tester ma servilitĂ© d’esclave et elle me dĂ©signa alors la coiffeuse, avec son tabouret molletonnĂ© de velours rose.— Ne trouves-tu pas joli ce petit tabouret sur lequel ta MaĂ®tresse pose chaque jour son fessier pour se faire belle ?Timidement, terriblement embarrassĂ© et ne sachant oĂą elle voulait en venir, je rĂ©pondis un inaudible :— Oui.— Alors adore-le, embrasse-le, vas-y enfouir ton nez, petit vicieux, vas-y chercher les parfums subtils de mon fessier !J’exĂ©cutai l’ordre de ma Madame Liz, Ă genoux devant son tabouret. Elle s’approcha de moi, me caressa la tĂŞte comme on peut le faire Ă un petit chien, puis chuchota Ă mon oreille qu’elle avait l’habitude de s’y asseoir fesses nues, sexe parfois mouillĂ© après s’être caressĂ©e avec son gode. Ă€ cette affirmation, j’eus un instant la vellĂ©itĂ© de relever ma tĂŞte, honteux de ce qu’elle m’obligeait Ă faire, mais elle m’en empĂŞcha en m’appuyant sur la tĂŞte et en m’ordonnant de continuer Ă chercher dans le tissu l’odeur de son postĂ©rieur.— Cela ne devrait pas gĂŞner un petit vicieux qui renifle et lèche les culottes des dames mĂ»res.Lorsqu’elle jugea que j’avais assez adorĂ© l’endroit oĂą elle posait son postĂ©rieur, elle m’ordonna de me mettre nu Ă ses pieds. Rouge de honte, je quittai mes vĂŞtements, et mĂŞme mon slip qu’elle dĂ» elle-mĂŞme baisser car je n’osais le faire. Assise sur le bord de son grand lit, elle m’ordonna de m’installer, comme tout esclave devant sa maĂ®tresse, sur un coussin quelle avait jetĂ© devant ses pieds.J’étais fascinĂ© par ses pieds gainĂ©s dans des bas de couleur chair, qu’elle laissait se balancer Ă quelques centimètres de mes lèvres. J’avais envie de les renifler, de les embrasser, de les lĂ©cher, de les prendre dans ma bouche, comme une partie de ma MaĂ®tresse. Mais elle ne l’entendait pas ainsi et me dit :— Je veux que tu te branles en pensant aux pieds de ta MaĂ®tresse, mais que tu fermes les yeux et que tu cesses de regarder durant tout ce temps que tu te branleras. Tu appartiens tout entier Ă ta MaĂ®tresse, donc Ă ses pieds. Mais je t’interdis pour l’instant de les toucher, de les embrasser, de les caresser…Elle vit alors que j’allais protester et elle me gifla violemment, en m’ordonnant d’obĂ©ir sans faire d’histoires inutiles, sinon elle n’hĂ©siterait pas Ă me donner la fessĂ©e…Alors je fis ce qu’elle voulait et, toujours Ă genoux devant elle, rouge de honte, je commençai Ă caresser ma petite verge. Mon excitation Ă©tait telle d’être ainsi humiliĂ© par ma MaĂ®tresse qu’en quelques allers et retours, je jutai abondamment sur la culotte noire qu’elle avait tirĂ©e de dessous son oreiller et placĂ©e sur le sol entre ses jambes. J’étais vidĂ© par cette jouissance, humiliĂ© d’être Ă ses pieds, mais aussi terriblement excitĂ© par cette situation. Ayant rĂ©cupĂ©rĂ© sa culotte, elle examina ma semence de puceau, la renifla, trempa son index dedans pour y goĂ»ter, puis la prĂ©senta devant ma bouche :— Nettoie tes saloperies, petit homme !Je m’exĂ©cutai, et elle me caressa alors la tĂŞte très doucement pour me montrer son contentement. Elle m’ordonna ensuite :— Reste agenouillĂ© Ă mes pieds, j’aime bien te voir dans cette position de soumission, qui me renforce dans l’idĂ©e que je suis toujours belle et dĂ©sirable. C’est d’ailleurs la seule qui convient Ă un petit esclave devant sa MaĂ®tresse.Pendant ce temps, elle avait croisĂ© et dĂ©croisĂ© ses jambes, finissant par Ă©carter ses fortes cuisses pour me laisser le loisir de l’admirer en profondeur. Sa jupe Ă©tait remontĂ©e sur ses cuisses, et je pouvais apercevoir la bande de chair très blanche au-dessus de la lisière de ses bas couleur chair. Tout au fond, je devinais sa culotte blanche.Elle passa sa main, doucement mais fermement, dans mes cheveux, puis elle poussa mes lèvres serviles contre l’un de ses pieds, gainĂ© dans son bas :— Embrasse le pied de ta MaĂ®tresse, mon garçon.Je n’avais plus qu’à m’exĂ©cuter, et je me mis Ă embrasser le dessus et le dessous de son pied, au contact soyeux de son bas. J’apprĂ©ciai grandement cette injonction d’adorer le pied de ma MaĂ®tresse, les yeux rivĂ©s sur le fond de son entrecuisse, et me laissai aller Ă flairer autant que faire se pouvait sa lĂ©gère odeur intime, tout près de sa jupe, non loin de sa culotte.Elle me souriait en regardant l’amour que je portais Ă ses pieds, tout en regardant sous sa jupe.— Elle te fait bander, ma culotte, petit puceau vicieux, mais tu vas attendre. Je veux que tu embrasses encore mon pied et l’autre aussi, mais tu peux continuer Ă regarder sous ma jupe ! Si tu cajoles assez mes pieds – n’oublie pas que ce sont les pieds de ta MaĂ®tresse ! – je te montrerai ma petite culotte en dentelle, elle est blanche, fine, transparente, et très odorante puisque je n’en ai pas changĂ© ce matin, rien que pour toi. Tu verras les poils foncĂ©s qui couvrent mon sexe Ă travers. En attendant, embrasse mes genoux, viens plus près entre mes cuisses, je vais te faire sentir ma culotte, mon petit esclave…Tu vas te perdre comme un petit garçon sous ma jupe de femme… LĂ , mets ton nez et ta bouche contre ma culotte chaude que je porte depuis hier matin, rien que pour toi. Sens mon odeur de femme mature ! Je ne me suis pas essuyĂ©e le sexe tout Ă l’heure lorsque j’ai Ă©tĂ© uriner, rien pour toi, petit renifleur de culotte. Je veux que tu bandes et que tu Ă©jacules dans ton slip en reniflant ma culotte et mon sexe.Et en disant cela, elle se mit Ă me serrer la tĂŞte entre ses grosses cuisses plus Ă©cartĂ©es, tout en poussant fermement ma tĂŞte contre son entrecuisse, chaude, odorante, Ă l’intĂ©rieur d’une culotte qui portait une Ă©norme tâche d’humiditĂ© Ă l’entrejambe. Il Ă©tait difficile de savoir s’il s’agissait d’une tache de mouille ou rĂ©sultant plutĂ´t d’un petit jet d’urine Ă©chappĂ© sous l’effet de l’excitation. Comme ma MaĂ®tresse avait 68 ans, je penchais pour la seconde explication, qui Ă©tait tout aussi excitante que la première…La tĂŞte toujours maintenue dans l’étau de ses grosses cuisses, ma bouche poussĂ©e contre l’entrejambe de sa fine culotte, je n’étais pas restĂ© inactif. Je m’étais mis Ă lĂ©cher le fond de sa culotte oĂą je m’étais rendu compte que c’était bien un peu d’urine que ma MaĂ®tresse avait lâchĂ©e, probablement sous l’excitation de me voir ainsi docile Ă ses pratiques perverses. Je lĂ©chais pour essayer de rĂ©parer les dĂ©gâts au fond de sa culotte, mais aussi pour lui montrer que j’étais bien sa chose et qu’elle pouvait tout me demander, y compris de lĂ©cher ses oublis…Elle comprit ce qui se passait et Ă©mit soudain un feulement de plaisir tout en prenant prĂ©cisĂ©ment ma tĂŞte pour mieux appliquer ma bouche et mes lèvres sur le fond humide de sa culotte, et pour en fait se masturber le clitoris avec ma bouche au travers de sa culotte. Elle agitait son ventre et faisait jouer sa motte contre mes lèvres, d’abord Ă travers le fin tissu de sa culotte puis, en Ă©cartant le bord de sa culotte d’un doigt, directement contre ses lèvres abondamment poilues.Je m’efforçais alors de la lĂ©cher au mieux en passant ma langue fĂ©brile entre l’élastique de sa culotte Ă l’entrejambe Ă©cartĂ© et sa cuisse. Je la suçais un petit moment, puis elle me dit :— Tu vas aussi me lĂ©cher de l’autre cĂ´tĂ©, et tu seras le premier, mon petit chĂ©ri. Applique-toi pour donner beaucoup de plaisir Ă ta MaĂ®tresse.Elle me repoussa alors après avoir ouvert ses cuisses pour me libĂ©rer, se retourna lentement, releva sa jupe et baissa sa culotte au milieu de ses cuisses. Elle Ă©carta ses grosses fesses avec ses mains et m’ordonna :— Lèche lĂ aussi, applique-toi, donne-moi du plaisir, petit esclave !Je trouvai ça un peu rĂ©pugnant et je restai sans bouger le nez près de ses fesses toujours Ă©cartĂ©es. Elle m’ordonna alors :— Suce sans faire d’histoires, je le veux ! Et vite !Laissant ses fesses, elle prit ma tĂŞte dans ses mains par derrière elle, sans se retourner, et elle appliqua mes lèvres dans le milieu de la raie de ses fesses, en m’ordonnant Ă nouveau de la sucer sans faire d’histoires.Il fallait bien que je le fasse et, plongeant ma bouche entre ses grosses fesses, j’appliquai mes lèvres sur son anus que j’embrassai avec une certaine rĂ©pugnance.— Oui c’est bon, me dit-elle, continue d’obĂ©ir, lèche le cul de ta MaĂ®tresse, petite salope.Je me dĂ©cidai alors Ă lĂ©cher son petit trou avec application, comme elle me le demandait, pendant qu’elle s’activait Ă se caresser le clitoris de plus en plus vite, jusqu’au moment oĂą son anus ressortit, puis se rentra plusieurs fois, pendant qu’elle jouissait en frĂ©missant de tout son corps. Puis elle se retourna et s’allongea pour se reposer sur son lit, toujours culotte Ă moitiĂ© baissĂ©e, les cuisses Ă©cartĂ©es de façon impudique devant un puceau fascinĂ© par la vue de ses lèvres devenues toute rouges.Madame Liz demeura un long moment allongĂ©e sur son lit, pour se remettre de la jouissance qui venait de l’anĂ©antir. J’étais restĂ© Ă ses pieds comme une bonne petite chienne aux pieds de sa MaĂ®tresse sĂ©vère, osant Ă peine respirer de peur de gĂŞner son repos. Elle finit enfin par se relever lourdement et après avoir lentement relevĂ© sa culotte, elle m’ordonna :— Allonge-toi, petit esclave ! Puisque tu aimes regarder et toucher mes culottes sales, puisque tu aimes t’enfouir dans mon jupon pour sentir ma culotte un peu pisseuse, tu vas ĂŞtre servi !Elle s’est alors placĂ©e Ă revers sur mon visage en le calant entre ses fortes cuisses, m’étouffant Ă moitiĂ© sous ses larges et lourdes fesses. Eh bien, j’étais si impressionnĂ© par elle, si maladroit, que je n’avais mĂŞme pas pensĂ© Ă prendre ma respiration, et le manque d’oxygène faisait de moi un petit pantin, encore plus docile. Je sentais le parfum chaud et puissant de la culotte de Madame Liz, il m’enivrait, il tournait la tĂŞte du petit puceau que j’étais.Madame Liz resta un long moment ainsi pour jouir du plaisir de m’humilier, de me montrer qu’elle Ă©tait la MaĂ®tresse sadique et moi le petit esclave soumis Ă tous ses dĂ©sirs, mĂŞme les plus lubriques, les plus sales, tout en sachant très bien que j’y trouvais aussi un prĂ©cieux plaisir masochiste. Elle savait dorĂ©navant que j’étais prĂŞt Ă subir toutes ses volontĂ©s, que je prenais plaisir Ă ĂŞtre entre ses mains, et pour signer ce pacte de soumission, elle m’envoya Ă respirer un pet…Certaine dorĂ©navant de ma soumission, elle s’exclama :— Maintenant, petit esclave domestique, tu vas me faire un bain de pieds !J’approchai une grande cuvette d’eau tiède qu’elle avait Ă©tĂ© chercher pour la poser Ă terre, sur le parquet près de son lit. Elle avait mis quelques gouttes d’eau de Cologne dans l’eau, puis m’avait ordonnĂ© de m’accroupir devant la cuvette.— Allons, obĂ©is ! LĂ , un genou Ă terre pour ĂŞtre plus solide, tu en auras besoin, crois-moi mon petit. Bien ! Baisse la tĂŞte… La poitrine appuyĂ©e sur ton genou dressé… Tu comprends, cette fois ?Elle s’est alors assise sur ma nuque, heureusement en mettant ses deux pieds dans l’eau de la bassine.Elle ajouta en riant :— Tu verras au moins de près ce que tu fais !MalgrĂ© les fenĂŞtres entrouvertes de sa chambre, pas un souffle d’air ne passait. La chaleur de cette après-midi de juillet, s’ajoutant aux vapeurs d’eau chaude rĂ©pandues dans la pièce, le poids de sa personne assise sur moi, et qui comprimait ma poitrine sur ma jambe, me fatiguait beaucoup et je n’aurais pas pu longtemps continuer Ă ainsi supporter le large postĂ©rieur de ma MaĂ®tresse. Je me hâtai donc de savonner ses deux jolis pieds fĂ©minins, puis de les sĂ©cher, et Madame Liz prĂ©cisa :— Il faut achever la toilette de ces jolis pieds, mon chĂ©ri, en y dĂ©posant des baisers !Éperdu d’amour pour cette femme dominatrice, rougissant jusqu’aux yeux, je pris chacun de ses pieds et les baisai religieusement, avant de leur passer les mules roses qui se trouvaient au pied du lit. MaĂ®tresse Liz poursuivit sa sĂ©ance de dressage de celui qui Ă©tait appelĂ© Ă devenir le serviteur de son intimitĂ©Â :— Maintenant, il te reste Ă faire le plus important Ă mes yeux, ce que l’on appelle la toilette intime d’une dame. Tu vas me donner mon injection. Il faut que je t’explique que les dames ont souvent des pertes et des Ă©coulements, tu le sais d’ailleurs puisque tu as aimĂ© mettre ton nez et les sucer au fond de ma culotte dĂ©jĂ Ă plusieurs reprises. Tu comprends ce que j’exige maintenant de toi, mon petit ?Je fis un oui très timide de la tĂŞte, en recommençant Ă rougir.— N’oublie pas que tu dois ĂŞtre très obĂ©issant, sinon je dis tout Ă ta tante ! Aujourd’hui, je te montre comment faire, mais je ne le rĂ©pĂ©terai pas, demain tu devras me servir sans que j’aie Ă te montrer Ă nouveau. Et gare Ă toi, si tu ne fais pas bien ton service !Elle me montra alors comment prĂ©parer l’injection avec les ingrĂ©dients qu’elle me dĂ©signa, puis elle me montra avec beaucoup de prĂ©cisions comment introduire la canule dans son vagin au-dessus de la cuvette.— Tu vois, petit chĂ©ri ? Maintenant, avec un tampon d’ouate, lave très doucement toute cette partie-lĂ , dans les poils, sois très doux, tu pourrais me faire mal, tu sais !Quand j’eus fini, elle me dit en souriant :— Oh ! Si tu as soif… Tu peux !…Bien que toujours intimidĂ©, je me pris Ă sourire, comme devant une plaisanterie saugrenue. Mais mon sourire se figea lorsque MaĂ®tresse Liz s’exclama :— Ah ! Tu sais, moi j’ai le droit de rire, toi tu n’as que celui d’obĂ©ir comme un petit morveux qui doit subir sa punition. Quand je parle ainsi, c’est une volontĂ© que j’exprime. Je veux que tu boives une gorgĂ©e de cette eau qui a passĂ© dans moi.Je dĂ©couvrais Ă cet instant que j’étais tombĂ© entre les mains d’une vĂ©ritable dominatrice, qui prenait plaisir Ă exercer son pouvoir sur moi. Cela faisait longtemps dĂ©jĂ qu’elle ne pouvait plus dominer son entourage au travail, et c’est moi, petit puceau sans dĂ©fense, qui Ă©tait entre ses mains…Me rĂ©signant Ă subir une fois de plus sa loi, je me baissai et m’approchai du bord de la cuvette oĂą, accroupie, ma MaĂ®tresse m’avait laissĂ© un petit espace entre ses grosses cuisses pour y placer ma bouche, et boire, les lèvres collĂ©es Ă sa vulve, ce qui s’écoulait du fond de son vagin. Les poils de sa vulve me mouillaient le visage. L’opĂ©ration dura un moment, car manifestement elle prenait plaisir Ă me rendre cette tâche difficile, et Ă me sentir encore plus humiliĂ© en tant que cuvette de ses eaux les plus intimes. Je dus en boire une partie, le reste s’écoulant de ma bouche dans la cuvette.Elle se releva enfin et s’allongea sur son lit, me faisant signe de venir :— Prends un tampon d’ouate sèche, et essuie bien partout et doucement. Tu es très Ă©mu par tout ce que je te fais faire, je le sais et j’en suis très heureuse, mais tâche de bien faire. Regarde bien mon sexe de femme, petit garçon, car tu sais, c’est lui ton vĂ©ritable maĂ®tre. Ă€ cause de tes agissements malhonnĂŞtes, tu es Ă la disposition absolue de mon corps, je peux ĂŞtre ta MaĂ®tresse comme ta Maman, ne l’oublie pas. ObĂ©is-moi sans discuter, sans mĂŞme penser, comme un esclave de l’AntiquitĂ© et tout ira bien, dĂ©sobĂ©is-moi et je te mettrai une correction comme tu n’en as encore jamais reçue, je t’enfermerai dans l’armoire de ma chambre jusqu’à ce que tu te traĂ®nes Ă mes pieds pour les lĂ©cher comme une chienne en implorant mon pardon. Sache- le, je peux ĂŞtre maternelle avec toi petit homme si tu te soumets en tout Ă ma volontĂ©, mais je serai impitoyable si tu me rĂ©sistes, si tu me dĂ©sobĂ©is ! Tu n’as pas le choix, dorĂ©navant tu es mon esclave et je suis ta MaĂ®tresse !Il Ă©tait tard, il fallait que rentre chez moi sous peine de me faire gronder, et de toute façon j’étais Ă©puisé… J’avais fini mon service intime, il fallait que je parte. J’allai m’éloigner lorsque MaĂ®tresse Liz me rappela Ă l’ordre d’une voix sèche :— Et le baiser ? Prends garde, je ne te rappellerai plus jamais tes obligations, mais je te punirai sĂ©vèrement quand tu y manqueras !Elle avait relevĂ© une dernière fois sa jupe, un peu descendu sa culotte, Ă©cartĂ© les cuisses pour dĂ©gager son entrejambe. Il fallait aller l’embrasser Ă cet endroit, et je m’exĂ©cutai en suçant une dernière fois ce sexe de femme mĂ»re et bien en chair, abondamment poilu, parsemĂ© de quelques poils blancs. Et ce baiser d’esclave soumis fit courir sur ma peau un frisson de dĂ©sir brĂ»lant. C’était les vacances et demain serait un autre jour…