Rappel : Marie, nouvelle amie de Caroline, l’a séduite et l’a convertie à la bisexualité sans éveiller l’attention de son mari, Eric. Par contre, Isabelle, qui a connu Marie à la faculté, se méfie d’elle et tente d’en protéger son mari, Marc, l’ami d’Eric et de Caroline.Le lendemain fut une autre torture pour Caroline. Elle refusa de s’adonner à un plaisir solitaire, comme le jour précédent, mais ne put se retenir de mouiller abondamment. De plus, la situation ne cessait de l’exciter : elle aurait voulu dire tout à son mari, mais ne pouvait se résoudre à mettre en danger un tel bonheur. C’est avec une grande joie qu’elle quitta son bureau à quatre heure moins le quart, comme le jour d’avant, et se précipita chez elle. Caroline avait un peu plus d’avance, elle prit donc son temps pour mettre un mini-short gris très moulant par-dessus son string argenté, puis s’empara d’un boléro très court qui mettait en valeur sa poitrine. Le temps de ranger, de se mirer et de refaire un peu le lit, on sonna à la porte. Marie s’engouffra dans la maison, puis embrassa langoureusement sa compagne. Caroline, pendant ce temps, lorgna le grand manteau sombre de son amante, un grand manteau qui la décevait : elle aurait voulu une Marie plus sexy. Marie aperçut ce regard et dit : »Oh, mais ne t’inquiète pas. »Elle recula et ouvrit son manteau, dévoilant une tunique en dentelle noire pour le moins aérée. Salivant à l’avance, Caroline put discerner sans peine les courbes de son amante protégées dans un ensemble soutien-gorge, porte-jarretelles, string et bas noirs. Elle s’aperçut aussitôt qu’elle mouillait comme une écolière, saisit la main de Marie et l’emmena dans la chambre. Là, elles tombèrent toutes les deux sur le lit et se frottèrent l’une contre l’autre avec ardeur. Rapidement, Caroline, seins nus et short ouvert, se retrouva entre les jambes de Marie. Ayant chassé le string de l’entrejambe de sa compagne, Caroline s’en donnait à cœur joie sur le clito de son amante qui, elle, avait retiré son soutif pour mieux faire rouler ses seins dressés. Puis, ce fut au tour de Marie de prendre en main Caroline, qui mouillait comme une fontaine, et elles se retrouvèrent vite toutes nues, Caroline pinçant ses seins et retenant Marie par la nuque, Marie, la bouche sur la fente de sa compagne, une main caressant son propre sexe avec le string argenté humide de Caro.Pendant ce temps, Eric, qui avait décidé de passer voir sa femme, trouva le bureau vide. Inquiet, il hésita à appeler à la maison, puis décida d’y faire un saut lui-même, pour voir si sa femme n’était pas malade.Lorsqu’il ouvrit la porte, il ne vit qu’un grand manteau sombre sur le divan, manteau qu’il ne connaissait pas, puis entendit un gémissement. L’instinct d’Eric le pria d’avancer silencieusement jusqu’à la chambre, sans faire de bruit, et, à travers l’entrebaîllement de la porte, il put alors contempler un spectacle surprenant. Sa femme et Marie s’adonnaient à un amour lesbien en un X parfait et gémissaient furieusement. Caroline souffla alors : »Oui, baise-moi, baise-moi encore ! »Marie activa le mouvement et leurs gémissements se firent plus intenses. Ebahi dans l’encadrement de la porte, Eric n’osait rien faire, mais le spectacle avait quelque chose de séduisant. Finalement, Caroline le repéra, croisa son regard, mais ne put s’empêcher de hurler son orgasme final. Marie suivit alors son regard et eut un sourire énigmatique. Elle se leva, sans pudeur, et se rhabilla. Elle ne prit pas le temps de remettre ses bas ni son porte-jarretelles et dit : »Il vaut peut-être mieux que je vous laisse seuls. »Elle s’empara de son manteau et sortit, laissant le mari cocu et la femme heureuse face à face.En même temps, au Bloc 3, Isabelle était totalement perturbée. Des images ne cessaient de lui venir en tête, des images de son passé, des images de sexe qu’elle aurait voulu oublier. Mais, avec l’arrivée de Marie, sa mémoire s’était remise en marche et lui envoyaient de ces souvenirs très chauds auxquels elle avait de plus en plus de mal à résister. Et la chaleur des locaux n’était pas pour l’aider. Bientôt, elle dut céder. Elle se dit qu’elle voulait juste vérifier si sa culotte était dans l’état qu’elle imaginait. Derrière son bureau, personne ne la verrait. Une de ses mains vint se poser sur sa jambe, qui se tendit aussitôt, puis remonta lentement vers l’entrejambe. Soulevant ses jolies fesses, elle retroussa un peu sa jupe marron pour arriver en vue de son slip beige, dont la couleur virait au marron au niveau de son intimité. Elle y posa un doigt et dut se mordre la lèvre pour ne pas gémir. Mon dieu ! Qu’elle était mouillée ! Elle voulut ôter sa main, mais n’y parvint pas, sa volonté étant déjà partie très loin. Ses doigts vinrent jouer sur le tissu trempé, lui créant des ondes de plaisir. Alors, elle se reprocha de ne jamais avoir voulu porter de string, car tout lui aurait été plus facile. Quoi qu’il en soit, elle glissa sa main dans son slip et commença à s’enfoncer dans sa fente avide. Son autre main se mit à lui caresser un sein à travers son chemisier beige. Sa respiration était de plus en plus désordonnée lorsque l’on frappa à la porte de son bureau. Isabelle eut tout juste le temps de se redresser et de remettre ses mains sur le bureau avant qu’une de ses collègues n’entre. »Je viens chercher le dossier A… Isa, ça va ? »Isabelle bredouilla un oui mal assuré, puis dit qu’elle ne se sentait pas très bien et qu’elle allait au toilettes. Elle espéra que Aline croirait à ce mensonge. Visiblement, elle y crut car, à peine arrivée au toilettes, elle y fut rejoint par Marc, l’air triste. »Ben, ma chérie, j’ai rencontré Aline et elle m’a dit que ça n’allait pas. »L’excitation d’Isabelle fit un bond. Elle saisit marc par le bras, l’emmena dans les WC fermés et lui chuchota : »Je vais te montrer pourquoi ça ne va pas. »Elle retroussa sa jupe, puis se tourna vers son mari, lui montrant la tâche sur son slip. »Est-ce que tu pourrais régler ça ? »Marc était un peu gêné de la situation, mais l’excitation de sa femme était communicative. Il enleva son pantalon et s’agenouilla entre les jambes de sa femme. Il fit glisser le slip trempé et fit visiter les lieux à sa langue. Isa commença aussitôt à gémir, puis elle déboutonna son chemisier, caressant ses seins au travers de son soutif. Marc finit alors de se déshabiller et vint s’asseoir sur le siège des toilettes. Son sexe tendu la réclamant, Isabelle alla s’empaler sur lui et se mit à donner des coups de bassin puissants. Marc, accroché aux fesses de sa femme, fit remonter ses mains jusqu’aux attaches du soutif et le dégrafa. Il se mit alors à lécher les seins libérés tout en manoeuvrant en Isabelle. Tout à coup, les coups de bassin d’Isa se firent plus intenses et plus langoureux et Marc jouit en elle. Quant à Isabelle, son cri se répercuta dans les toilettes. Un peu honteux mais soulagés, ils se rhabillèrent et sortirent des toilettes, tentant de ne pas voir les sourires complices de quelques collègues.Ils remirent le couvert le soir-même.Le lendemain, Marie retrouva Caroline dans son bureau. Elle s’assit sur le bureau, face à Caro et lui demanda : »Alors, hier, ça s’est passé comment ? » »Pas trop mal, en fait. Eric était un peu choqué, mais je l’avais déjà prévenu de mon fantasme. Il m’a juste demandé si je comptais le quitter pour toi, et je lui ai dit que non, qu’on était amantes, c’est tout. Alors, il m’a embrassé et on a fait l’amour. »Marie sembla surprise. »Direct ? Comme ça ? » »Ben oui… On a fini la discussion après. Il m’a dit que ça ne le gênait pas que je m’envoie en l’air avec une femme, et qu’il aurait bien aimé nous voir faire. »Marie eut un sourire vicieux. »Voir… ou participer ? » »Plutôt la deuxième réponse, je pense. »Marie n’ajouta rien. Devant son silence, Caroline hasarda un : « Alors ? »Marie, sortant du vague, lui sourit en répondant : »On verra ça cet après-midi… Tu es libre, au moins ? » »Oui, mais je ne sais pas si je vais réussir à attendre… en ce qui nous concerne, toutes les deux. »Marie la déshabilla du regard. Caroline s’était mise en valeur, comme d’habitude, dans un cardigan ultra-moulant et une jupe noire assez courte. Marie lorgna la fermeture-éclair du cardigan et murmura : »Tu portes quoi, sous ton haut ? » »Mon soutif, et c’est tout. » »Alors, ouvres ton cardigan et montre-moi ton attirail. »Caroline obéit, descendit la fermeture-éclair aux trois-quarts, dévoilant sa belle poitrine maintenue élégamment dans un soutien-gorge vert bouteille. Elle sentit alors le pied, maintenant nu, de Marie s’immiscer sous sa jupe et venir se coller à son string. Les doigts de pieds commencèrent à jouer avec la vulve dissimulée et Caroline gémit : »Oh, Marie, tu me fais tellement envie. » »Alors, sers-toi. »Marie écarta un peu plus les jambes, sans interrompre la masturbation de sa compagne. Caroline put alors discerner, dans l’ouverture de la robe bleu nuit, un string bleu pâle n’attendant que ses caresses. Sa main se glissa dans l’ouverture et allèrent se frotter au tissu du string. Elles se retrouvèrent ainsi, à se masturber réciproquement, mais Marie ne voulut pas que Caroline passe de l’autre côté de son string. Puis, elle interrompit l’échange. »Pourquoi est-ce qu’on arrête ? demanda Caro. » »Il faut qu’on est encore des forces pour cet après-midi… Et n’oublie pas de remonter ta fermeture-éclair… »Lors de la pause de midi, Marc retrouva Eric pour manger. Au bout d’un moment, Eric neput plus tenir sa langue. »C’est dingue parce que hier… » »Et merde ! »Marc tapa rageusement du poing sur la table. »Qu’est-ce qu’il y a ? » »J’ai oublié le dossier V à l’appart’. Et je vais en avoir besoin vite fait. » »Ben, t’a qu’à y aller. » »Je ne peux pas, j’ai déjà un dossier en retard. » »Ben, demande à Isa. » »C’est son jour de repos aujourd’hui, et je ne veux pas la déranger. Elle a l’habitude de dormir lors de ses congés. »Eric poussa un soupir. »D’accord, file-moi tes clés, j’irais après manger. »Et, en effet, il y alla dès qu’ils eurent mangé, sans qu’Eric ait pu parler de sa découverte d’hier. Il arriva à l’appartement de Marc, mais n’y trouva pas Isabelle. Par contre, il trouva le dossier et s’apprêtait à s’en aller quand Isabelle rentra. Et là, au lieu de s’expliquer, il se cacha. Il se dit qu’il était complètement con, mais resta dissimulé jusqu’à ce qu’Isa aille dans sa chambre. Elle avait posé une cassette vidéo sur la table. Au moment de partir, discrètement, il jeta un coup d’oeil sur la cassette et s’étonna d’y lire en gros titre : Sexe contre Sexe. Une cassette de X ? Apportée par Isabelle, qui était un petit peu coincée à ce niveau là ? C’était étonnant. La curiosité le poussa à rester dans l’appartement et à d’abord aller observer ce que faisait Isabelle. Il la trouva métamorphosée. Quand il arriva à son poste d’observation, il la trouva en nuisette blanche transparente, ne dissimulant en rien sa belle poitrine et sa chatte à peine couverte d’un mini-string blanc. Le monde devenait fou ! Désireux de continuer son observation, mais sans se faire voir, il alla se cacher derrière un rideau, sur le côté du canapé et de la télé. Isabelle passa très près de lui, et une érection naquit dans son pantalon. Il observa Isa mettre la cassette dans le magnétoscope, s’installer, allongée, sur le canapé, lui offrant une vue plongeante sur sa nuque et ses jambes, puis le film commença. Un film X banal, avec une histoire toute aussi banale, sauf qu’il concernait essentiellement des femmes lesbiennes. C’était une habitude, décidément ! La première scène était assez soft, la seconde fut plus hard et Isabelle commença à gémir. Eric remarqua qu’elle avait fermé les yeux et il sortit de sa cachette pour mieux observer le spectacle.Il se sentit un peu coupable, puis se laissa aller à son petit côté voyeur en suivant la masturbation d’Isabelle. Il vit tout de suite qu’elle avait retiré les bretelles de sa nuisette transparente pour libérer ses seins. Eric s’étonna de leur forme si harmonieuse qu’il n’avait jamais deviné, puis suivit les mains excitée d’Isabelle, qui plongeaient sous son petit string blanc. Celui-ci arborait une grande tâche sur le devant et était secoué dans toutes les directions par les deux mains d’Isabelle qui s’activaient sur son sexe. Eric pensa qu’elle ne tarderait pas à l’enlever, mais ce qu’elle fit l’étonna. Prise de frénésie, Isabelle commença à crier son bonheur et arracha son string. Le tissu, trempé et déchiré, pendit sur le côté d’une jambe, mais Eric s’en désintéressa vite en voyant avec quelle ardeur Isa se doigtait. Ses cris couvraient déjà ceux de la télé lorsque, toujours les yeux fermés, elle se mit à genoux sur le canapé et continua sa masturbation ainsi. Alors, Eric comprit le dépit de Marc : avec un si beau cul devant soi, comment résister à la tentation de s’y enfoncer ? Même Eric eut du mal à repousser ses pulsions, qui lui demandaient d’en profiter. Finalement, Isa eut un orgasme terrifiant et s’effondra sur le canapé, vaincue, sa mouille coulant sur les coussins. Eric en profita pour s’éclipser discrètement.Lorsqu’il fut de retour au Bloc, il remit le dossier à Marc avec un air étrange. Marc le remarqua : »Dis, ça va ? T’as l’air bizarre. » »Non, ça va… » »Et Isa ? » »Oh… elle dormait, je n’ai pas voulu la réveiller. »La suite de la journée fut éprouvante pour son attention, ses sens étant encore en pleine admiration face à ce cul magnifique et interdit.Il décida de penser à sa femme, mais cela ne le calma pas davantage. Dire qu’elle devait être en train de faire l’amour avec Marie…En effet, Marie alla retrouver Caroline à quatre heure, comme d’habitude. Toujours séduisante, Caro portait un pantalon taille-basse bleu outrageusement abaissé, ce qui laissait voir les liens de son string bordeaux, et un T-shirt bleu marine asymétrique à travers lequel on distinguait déjà les pointes tendues de ses seins nus. Marie, vêtue d’un T-shirt noir très moulant et d’un jean mettant ses longues jambes en valeur, se colla très vite contre Caro et elles s’embrassèrent profondément. Pendant cette étreinte, Caro en profita pour glisser une main vers les fesses de sa compagne, puis lui demanda : »Tu portes quoi, là-dessous ? » »Un body, ma chérie, ça te plaît ? » »On va voir. »Caroline se tourna et commença à prendre le chemin de la chambre, mais Marie l’arrêta en la saisissant par la taille par derrière. Puis, les mains s’emparèrent des liens de son string et tirèrent délicatement. L’effet fut immédiat et Caroline miaula, son string lui rentrant délicatement dans la raie et caressant plus profondément son intimité. »Tu aimes ça, Caro ? » »Hummm, oui… c’est bon… Je mouille comme une vraie cochonne. » »C’est parce que tu es une vraie cochonne. Je continue, mais à une seule condition… » »Vas-y. » »J’en ai marre de la chambre, faisons l’amour dans ton salon. » »D’accord, mais continue. »Marie tira un peu plus, Caroline feula, puis se retourna vers son amante pour l’embrasser. Bien vite, Marie se retrouva sur la table les jambes écartées, les mains posées sur la tête de Caro, qui lui léchait la moule à travers le string intégré à son body noir. Accroupie, elle ne cessait de s’enfoncer un doigt dans la chatte et un autre dans son petit cul. Puis, Marie se déshabilla et, ensemble, elles eurent un premier orgasme. Elles se reposèrent un peu, Caroline suçotant délicieusement le sein de son amante. Puis, Marie alla chercher son sac et dit : »J’ai remarqué qu’il te manque quelque chose pour bien jouir, alors, j’ai apporté ça. »Elle sortit un gode-ceinture et deux godes. »Tu es tentée ? »Caroline lui sourit, puis lui montra ses fesses. »Vas-y, mais doucement. »Elle sentit alors un gode s’enfoncer dans sa chatte et elle cria son plaisir. Marie activa le va-et-vient, puis se mit à murmurer : »Tu aimes ça, salope, hein ? Tu aimes ça. »Caroline gémissait et criait : « Continue, continue, plus fort. »Puis, Caro détecta un mouvement aux alentours de sa rosette et comprit que Marie préparait son cul à une visite impromptue. Elle n’attendit pas longtemps avant que le gode-ceinture ne vienne l’empaler et son cri fut titanesque. Son orgasme, peu de temps après, le fut tout autant. Elles s’écroulèrent dans le canapé.Plus tard, Caroline demanda à Marie : »Alors, pour la proposition de ce matin, tu en penses quoi ? » »C’est d’accord, mais à une condition. » »Encore ! D’accord, dis toujours. » »Dis-moi ce que tu penses vraiment de Marc. »Caroline se redressa, contempla sa compagne et répondit : »Ben, c’est un gars sympa, … » »Non, je veux dire, réellement ce que tu penses de lui. »Caro se rallongea et lâcha : »Oui, c’est vrai, je le trouve craquant. S’il voulait, je serais prête à lui faire le grand jeu, mais il est foldingue d’Isabelle. » »Mais il te plaît beaucoup. » »Ouais, mais n’en parle à personne, d’accord ? » »Tu me prends pour qui ? »Par la suite, elles allèrent prendre une douche, s’y firent l’amour debout, contre le carrelage et sous l’eau chaude, puis se rhabillèrent. Enfin, Marie ramassa ses godes et Caro lui dit : »Tu sais, je ne pense pas qu’Eric apprécierait qu’on lui fasse de la concurrence dans la pénétration, alors, tes godes… » »D’accord, je ne les amènerai pas. » »Et, si tu pouvais m’en laisser un, au cas où… »Marie lui en tendit un, l’embrassa et s’en alla.Quand Eric rentra, tout était presque remis en ordre, mais Caro était encore en peignoir. Son mari lui demanda : »Alors, vous vous êtes bien amusées ? » »Oui, d’ailleurs, elle accepte, tu sais, pour le faire à trois… »Eric posa ses affaires et enleva sa chemise. »D’accord, pas trop fatiguée ? » »Non, ça va. » »Alors, il en reste pour moi ? »Caro hocha la tête et se retrouva plaquée contre le mur. Son peignoir lui fut vite arraché et elle se retrouva bien vite en train de jouir en s’accrochant comme elle le pouvait à son mari.De son côté, Marc trouva sa femme très excitée. Toute trace de nuisette ou de string avait disparu, mais Isabelle se promenait en short et brassière de sport, qui ont la vertu d’être très moulants. Il la prit entre ses bras, par derrière, et lui dégrafa par-devant sa brassière. Le short tomba quelques secondes après et Isa fut une vraie lionne, toute humide et excitée comme jamais. Cette nuit, chacun rêva d’un autre : Caroline rêva de la langue de Marie, Eric du cul d’Isabelle, Isabelle fut envahie de songes lesbiens et Marc s’imagina derrière Caroline lorsqu’elle ramassait les feuilles tombées auprès de la photocopieuse. Quant à Marie…