Offerte par mon mari à des ouvriers sur un chantier.
Nous sommes un couple de libertins. J’adore la pluralité masculine. Nous souhaitions tous les deux que je réalise un gangbang avec des hommes de couleur. Je n’arrêtais pas de passer en voiture devant un chantier et de reluquer des hommes de couleur virils. Mon mari va m’offrir au chef d’équipe et à ses quatre ouvriers dans un bungalow de chantier.
Proposée le 5/08/2018 par libertins37 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: GroupesLieu: Autres lieux publicsType: Histoire vraie
Bernard et moi sommes un couple libertin. Moi Karine, j’ai déjà pratiqué la pluralité masculine plusieurs fois. J’aime exciter les hommes en portant des tenues sexy. Je suis une ravissante brune de 1,65cm pour 52kg qui attire le regard des hommes par ses jolies jambes, son joli petit cul bien rond et son décolleté mettant en valeur son 90C de poitrine. Nous avons un fantasme commun : m’offrir à plusieurs hommes de couleur. Je passais devant un chantier tous les matins lorsque je me rendais en voiture au travail. Je fantasmais de me trouver seule avec ces hommes baraqués et musclés. Il y a un black que je trouvais particulièrement beau. J’imaginais leurs corps virils avec des tatouages sous des T-shirts moulants.
Un ami de mon mari a un copain chef d’équipe sur ce chantier. Celui-ci me trouve désirable. J’ai pu voir des photos de lui et de trois de ses ouvriers habillés et nus. Un d’eux filmera la scène. Bernard m’a proposé de les rencontrer dans deux jours. Nous avons baisé comme des fous en parlant de cette rencontre et de mes attentes (baise vaginale, anale et en double).Je me suis préparée pendant plus d’une heure le jour de la rencontre dans la salle de bain. De l’huile parfumée sur le corps et mon parfum Chanel 5. J’ai ensuite enfilé une paire de bas autofixants noirs. Un string de couleur framboise, un soutien-gorge assorti et ouvert découvrant encore plus mes seins lourds se devinant sous mon chemisier bleu en dentelle. Une mini- jupe noire très moulante en cuir faisant ressortir mon joli cul bien rond, des escarpins rouges et un trench rouge. Un ras du cou en dentelle, des boucles d’oreilles créoles et un bracelet manchette dorée au poignet droit. Je mouille déjà beaucoup lorsque Bernard m’envoie à ce rendez-vous. Mon mari leur a dit qu’ils pourront me faire tout ce qu’ils veulent.
Malek, le chef d’équipe marocain du chantier, trois ouvriers sénégalais Daouda, Amadou et Moussa le caméraman nous accueillent à l’intérieur du bungalow du chantier.
-Alors princesse, on aime nous reluquer tous les matins. Ton mari nous a fait part de tes pensées coquines. Ouvre donc ton manteau, montre nous tes jambes et ton joli petit cul.
Je rougis comme une pivoine. Je m’exécute au début un peu gênée d’être dans ce petit espace clos avec cinq hommes dont certains baraqués et musclés en tenue de travail. Je commence à mouiller comme une folle à cette pensée. Malek m’invite à soulever ma mini-jupe.
-Je vous présente Karine. C’est la salope dont je vous ai parlée, baisez la comme une vrai chienne.
-Allez touche-nous la bite devant ton mari. Montre lui quelle chienne tu es. Dis-lui que tu as envie de nos grosses queues, qu’on te baise la chatte et qu’on t’encule…
Je regarde mon mari droit dans les yeux. Malek nous avaient envoyé la photo de leurs sexes en érection.
-Ils ont des queues énormes et dures comme je le voulais. Je veux qu’ils me baisent comme une salope dans ce bungalow. Tu verras tout sur la vidéo mon chéri.»
-Oui baisez cette salope, elle n’attend que ça.
Mon mari, après ces mots nous laisse.
Moussa le plus jeune bande dur dans son pantalon. Il a envie de le baisser. Il voudrait sans doute me baiser tout de suite.
-Moussa, ce n’est pas une façon d’accueillir cette belle femme sur notre chantier. Je te précise de plus que c’est toi le caméraman et que tu t’occuperas de la dame en dernier.
-Karine veux-tu un thé et des gâteaux ?
J’avais un peu froid et j’approuve donc. C’est une façon de faire connaissance qui me convient. Le thé est excellent. Ils me complimentent sur ma beauté, me remercie pour ma visite. Ils se montrent galants et commencent à flirter petit à petit. Nous parlons de plus en plus de nos photos réciproques coquines ou non.
Le thé commence à faire de l’effet. Je commence à avoir plus chaud. Nous sommes de plus cinq personnes dans ce petit espace. La température augmente dans le local. Je commence à suffoquer. Amadou le remarque et me propose d’enlever mon trench rouge. La tension monte, la proximité entre nous, ma tenue très sexy. Mes seins lourds non dissimulés dans mon soutien-gorge ouvert sous ce chemisier bleu en dentelle sont une invitation à s’occuper d’eux. Mon parfum enivrant se mêle à la sueur de ces hommes très virils. Je commence à perdre la tête. Je veux leurs mains partout sur moi, les sentir encore et encore en moi. Malek commence à caresser mes seins lourds. J’ai honte, mais je sens que je mouille terriblement, indécente ainsi offerte devant tous ces hommes. Je ferme les yeux pour cacher ma honte mais aussi mon excitation. Il m’invite à ouvrir mes cuisses. Mon clitoris est déjà tout gonflé. Je ne me commande plus. Je ne suis plus qu’une salope, une putain. Ma langue coquine sort de manière très suggestive. Je m’ouvre encore plus leur offrant mes seins lourds, ma chatte, mon cul et ma bouche. Cette offrande divine leur est destinée. Je les imagine bandant comme des fous, baissant leurs pantalons et sortant leurs braquemarts énormes prêts à me saillir.
-Ton mari nous a signalé qu’il y a des jouets sexuels dans ton sac vermillon.
Le chef d’équipe sort une cravache et un énorme gode noir conique de 40cm de long et de 7cm de diamètre à sa base.
-Alors bourgeoise, on est mal baisée, on aime bien se faire mettre. Enlève ta mini-jupe, ton string tout de suite. Montre nous comment tu es excitée salope profère Malek.
Il glisse un doigt le long de ma raie, écarte mes lèvres et pénètre mon minou. Il me dit qu’il aime les chattes épilées comme la mienne. Je mouille de plus en plus et il s’en aperçoit immédiatement. Il sort son doigt imposant et calleux de travailleur et me le fourre illico dans ma chatte trempée.
-Suce mon doigt salope
Cet homme est la force tranquille, plus âgé que moi. Je suis comme hypnotisée par lui et sais que je ne pourrais plus rien lui refuser. Son autre main me caresse les fesses, doucement pour en apprécier la douceur de la peau. Un de ses doigts écarte mes fesses et frôle mon petit trou. Il me dit qu’il faut le préparer un peu avant d’essayer mon gode noir. Il prend un peu de salive pour me doigter le trou du cul avec un puis plusieurs doigts. Il présente maintenant le gode face à mon anus, tourne autour et d’un seul coup le fait entrer. Il commence un va et vient qui me rend folle. Je ne peux m’empêcher de gémir et cela le met sûrement en confiance.
-Salope empale toi le cul sur ce gode.
Je m’assois sur cet énorme gode qui commence à investir mon anus. Il rentre à moitié dans mon cul. Je commerce à jouir de plus en plus, pousse de petits cris et me mets à gémir.
-Mets-toi de dos que l’on voit cet énorme gode noir pénétrer ton gros cul de salope.
Je reçois des coups de cravache sur mon gros cul qui se met à devenir rouge.
-Salope retire le gode et fais semblant de faire caca. On veut voir ton anus de pute bien ouvert.
Je m’exécute tentant de ne pas faire caca. Excitée, je ne peux m’empêcher de faire un petit pipi ce qui les excite encore plus. Malek me donne une claque sur les fesses.
-Fais ta salope et excite-nous.
Je me déhanche effrontément, le trou du cul encore un peu ouvert, la chatte dégoulinante de mouille et d’urine. Ils commencent à m’entourer, à peloter mes seins, mon cul et s’insinuer dans mon entrecuisse.
-Salope suce nous.
Les quatre hommes se déshabillent rapidement. Malek bande comme un fou. Je le devine à la bosse imposante se dessinant sur son bleu de travail. Il commence à ouvrir sa braguette, fouille dans son boxer pour en extraire difficilement un imposant morceau de chair au gland décalotté et luisant de désir. J’ouvre instinctivement mes cuisses et la bouche à la pensée de cet énorme chibre. C’est lui qui a le sexe le plus épais. Les trois blacks sortent à leur tour des immenses braquemarts noirs légèrement moins gros mais beaucoup plus longs.
-Quel cul de salope blanche. Pose tes mains sur le bureau et cambre-le.
Je les entends alors faire des commentaires crus.
-Retourne toi salope. Tu aimes les grosses bites. Tu vas être servie. Voici ce qui t’attend.
Amadou installe la couverture par terre.
-Chérie, viens t’occuper de ma bite me dit Malek. Je vais d’abord renifler ton string salope.
-C’est que tu mouilles salope. Tu aimes les grosse bites salope ?
-Mmmmm
-Je n’entends rien. Dis le plus fort.
-Oui
-Oui quoi
-J’aime les grosse bites.
L’énorme sexe de Malek grossit encore plus suite à mes aveux. Je me mets à genoux pour saisir son queue énorme dans les mains. Les deux sénégalais me caressent les seins et l‘entrejambe. Je vois leurs sexes énormes sautiller. Je ne suis plus qu’une grosse salope blanche qui a envie de se faire saillir par ces quatre hommes de couleur. Je perds la tête et dis.
-Baisez-moi !!!!!!!!!!!!!
J’entends des bruits alors à l’extérieur. D’autres ouvriers nous observent à travers les petites vitres crasseuses du bungalow de chantier. Ce qui m’excite encore plus, c’est d’être désirée par tous ces hommes qu’ils soient à l’intérieur ou à l’extérieur.
Je n’ai encore jamais pris une si grosse queue dans la bouche. Je vais être bien être remplie. A cette pensée, je me liquéfie encore plus. Les pointes de mes seins durcissent. Je cambre encore plus mon gros cul de salope blanche. Je me lâche totalement désormais. Je regarde Malek de façon lubrique. L’énorme queue d’un des deux Sénégalais bat entre mes cuisses. Je caresse les cuisses du marocain et commence à lui malaxer les testicules.
-Prends moi
Daouda donne des claques sur mes fesses et me fait sentir la raideur de son énorme sexe. Je mouille comme une folle. Je laisse le sexe de Malek et me mets en levrette invitant Daouda à me posséder. Je sens son énorme gland qui ouvre mes lèvres, m’investit lentement et surement puis entièrement. Je le sens bien en moi, énorme et bien raide. Il reste ainsi en moi. Je ne suis plus qu’une chienne qui attend d’être saillie.
-Baise fort mon cul de salope !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Il commence à mettre ses mains sur mes hanches et à me baiser doucement et puis de plus en plus vite.
-Ho !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Les ouvriers à l’extérieur se mettent alors à rigoler et à m’insulter. Malek fourre sa grosse bite dans ma bouche.
-Suce moi salope et après je t’encule.
Ayant son sexe dans la bouche, je fais semblant de protester. Daouda à ces mots éjacule abondamment en moi et se retire de moi.
-Salope, tu vas la sentir ma grosse bite dans ton petit trou du cul de salope blanche. Tu m’imploreras de nouveau de te prendre ainsi, espèce de pute. Daouda enlève lui son chemisier et son soutien-gorge afin qu’on voit ses seins de salope.
-Oui je suis votre pute. Malek, je veux ta grosse bite dans mon cul.
Je sens sa grosse bite prête à exploser dans ma bouche.
Il se place devant mon cul. Malgré la préparation du gode noir, je suis encore assez serrée. Je sens son énorme gland forcer mon anus. Il prend mon cul d’un seul coup et je crie de douleur en larmes. Malek s’excuse en me caressant les reins. Après quelques vas et vient s’en suivent des cris de jouissance qui le rassurent. Mes seins se ballotent au rythme de ses coups de reins.
-Salope, je suis bien dans ton cul.
-Oui baise bien mon cul de salope.
Un dernier coup de rein et il éjacule abondamment dans mon cul.
-Elle est à vous cette salope. Prenez donc la en double. Elle n’attend que cela.
Malek ouvre subitement la porte du bungalow. Je m’attendais à tout sauf à cela. Les autres avaient-ils aussi l’intention de me sauter ? Ce n’était pas convenu ainsi.
-C’est Karine, la bourgeoise à l’Audi noire qui passe devant le chantier tous les matins. Montre bien ton cul dégoulinant de sperme aux autres ouvriers. Un petit vent frais me fait frissonner. J’ai honte à la fois et suis tout à la fois excitée d’être impudique ainsi et de susciter le désir de tous ces hommes. Prenez son cul en photo. Je vous enverrai les photos et vidéos de cette salope que son mari m’a transmises. Je ne suis plus qu’une putain qui mouille comme une folle à l’idée de se faire saillir par tous ces hommes. La porte se ferme.
Je craque pour Amadou. Il me plait beaucoup. Je lui donnerai après discrètement mon numéro de téléphone. Il s’allonge sur le dos sur la couverture. Je caresse son torse et lui jette un regard insistant sans équivoque pour lui faire comprendre qu’il m’attire beaucoup. Je m’empale sur son sexe énorme et commence à le chevaucher. Je perds la tête à en oublier les autres. Daouda me rappelle à la réalité en se plaçant contre mes fesses prend qu’il prend. Savoir ces deux blacks en moi, le contraste de nos peaux, leurs corps épicés. Je mouille comme une folle et ai plusieurs orgasmes. Je suis heureuse et comblée. Je crie fort mon plaisir. Les deux blacks me donnent leur semence chaude. Je donne alors ma bouche à Malek qui se vide longuement en moi. J’avale tout.
Je remercie le cameraman. Je le prends dans ma bouche. Impatient, sans ménagement, il me plaque contre le mur devant une fenêtre et prend mes fesses. Les ouvriers à l’extérieur aperçoivent mes seins cogner contrer la vitre sous les coups de butoir du caméraman Moussa. J’ai un énorme orgasme. Il m’a bien baisé.
Ils m’ont bien baisée. Avec l’accord de mon mari, je promets de les revoir. Bernard m’autorise également à revoir Amadou. A peine, arrivés chez nous, il me sodomise à quatre pattes dans le couloir. Nous allons ce soir regarder le film de mes ébats.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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