Je venais de divorcer et, fin septembre, je m’étais octroyé ces quelques jours de vacances, histoire de faire le point.Direction le sud de l’Espagne, un voyage dégriffé, comme on en trouve souvent à cette période de l’année.Il faisait encore très chaud, mais la plage quasi déserte était balayée par un doux zéphir, sensation agréable.Je marchais dans le sable depuis une petite demi-heure, m’étant fixé comme but de rejoindre l’autre extrémité de la baie où trônait un grand complexe hôtelier. Ça et là , quelques vacanciers étendus sur le sable bronzaient en toute quiétude. J’évitais de les regarder, pour ne pas les déranger, d’autant plus que certaines femmes n’hésitaient pas à retirer le haut. Or, je n’ai jamais été voyeur et ne suis pas indiscret.— Oh, c’est pas vrai. Le monde est vraiment petit !Je relève la tête, surpris, les Françaises ne sont pas majoritaires de ce côté de la plage.C’est une petite femme à lunettes assise sur une serviette. Elle me fait de grands signes de la main. Je la reconnais à peine.Ah si, bien sûr, il s’agit d’une juriste qui travaille dans ma société. Mais d’ordinaire, elle est plutôt en tailleur, elle porte un chignon et son aspect austère et renfrogné fait qu’entre nous on l’appelle la « vieille fille ». Peut-être est-ce dû au fait que cette femme, dans la cinquantaine, petite et maigrichonne, ne vit que pour son boulot, elle déteste la plaisanterie et reste à l’écart de ses collègues. Il faut dire également que ses grosses lunettes épaisses de myope au dernier degré ne font rien pour arranger l’image que l’on a d’elle.Curieusement, sur cette plage, avec ses cheveux lâchés et ses petits seins à l’air, elle paraît beaucoup plus abordable. Elle a toujours ses grosses binocles mais elle est nettement plus souriante qu’au bureau. C’est surtout la dernière femme que j’aurais imaginée faire du monokini et ça, c’est vrai, cela change de façon radicale l’opinion que j’ai d’elle.— Ah, pour une surprise ! Bonjour… (Quel con je ne me souviens même plus de son prénom). Pardonnez-moi, j’ai fait le break pour ces vacances… J’ai même oublié votre nom !— … Claudine, Claudine Erable, finit-elle par ajouter pour m’aider. Et vous, vous êtes Hervé et vous travaillez au premier étage, au service client.— Vous êtes également en congés ?— Oui, pour une petite semaine, je viens tout juste d’arriver.— Moi de même, nous avons peut-être fait le voyage ensemble ?Sur ce, j’apprends qu’elle est arrivée quelques heures avant moi et que nous ne sommes pas non plus dans le même hôtel. Mais qu’importe, la coïncidence est quand même troublante.Elle est beaucoup plus bavarde qu’au boulot, beaucoup plus décontractée également. Elle me parle de ses précédentes vacances, des pays qu’elle a visités. Je suis assis à côté d’elle, je l’écoute religieusement.Je m’aperçois qu’elle est en train de lire « Tropique du cancer » d’Henry Miller. Je n’aurais jamais pensé que cette femme puisse s’adonner à ce genre de lecture, cela me fait complètement changer d’avis à son sujet. Ses petits seins qui bougent sans complexe ne sont pas là non plus pour me déplaire.Henry Miller, ses petits seins, et le soleil qui réchauffe nos corps. Cela suffit pour que je me mette à bander. Avec mon mini maillot de bain, difficile de cacher cette érection naissante. L’a-t-elle remarqué ? En tout cas, si elle l’a remarqué, elle ne le montre pas. J’en bande de plus belle, je suis tout excité par cette situation, ce qui contraste avec notre conversation anodine.— Et si nous allions nous baigner ? Me propose-t-elle.Elle se relève, je suis gêné par cette bosse énorme qui orne mon slip de bain. Je lui emboîte le pas, j’ai presque l’impression qu’elle se déhanche pour m’exciter. Mais non, je dois rêver.Elle a un tout petit cul, plutôt mignon et bien rond. Elle a déjà de l’eau jusqu’aux genoux lorsqu’elle se retourne. Devant elle, le spectacle de mon sexe érigé, ma gêne est perceptible, elle ne peut pas ne pas le remarquer.— Allez, venez Hervé, un peu de courage, au début ça surprend un peu mais, une fois qu’on y est, elle est vraiment très bonne.Elle me tend la main. Je m’approche d’elle et elle m’entraîne sans sourciller dans une eau quand même très, très froide. Je frise l’hydrocution. Du coup, cela calme quelque peu mes ardeurs.Nous nageons côte à côte pendant quelques minutes. Concernant la culture espagnole, elle est intarissable.— Ma mère était andalouse, ça vous étonne ? D’ailleurs, elle est enterrée dans la région et je compte profiter de ces vacances pour aller visiter le village de sa jeunesse.Aucune allusion à ma bandaison, comme on pourrait évidemment s’en douter.Nous finissons par retourner sur la plage, nous rejoignons nos serviettes. Tandis que je m’affale sur la mienne, j’ai la surprise de la voir faire glisser son slip de bain sur ses chevilles. Puis d’un geste délicat, elle le repousse près de son sac. Je n’en crois pas mes yeux, elle est entièrement nue. Et c’est dans cette tenue qu’elle s’allonge sur sa serviette.— Je ne vous choque pas au moins ?— Oh non, pas le moins du monde. (au contraire, c’est vraiment génial)— En vacances, j’ai l’habitude de profiter au maximum du soleil. C’est pour cela que je me mets légèrement à l’écart. Sur ces plages désertes, c’est vrai que ça ne gêne personne.Je ne sais pas si sa chatte a déjà vu la lame d’un rasoir, mais cela doit faire bien longtemps, car sa forêt est broussailleuse. Allongée sur le dos face au soleil, elle exhibe son sexe sans complexe. S’il me prenait un jour de raconter cet épisode à mes collègues, ils ne le croiraient pas, je passerais pour un affabulateur ou pour un plaisantin.Cette femme, si discrète au bureau, est là , entièrement nue. Mes yeux sont attirés vers son sexe aux longs poils entremêlés, j’ai du mal à ne pas regarder. Je bande comme un cochon, mais cette fois, ça ne se voit pas car je suis à plat ventre sur ma serviette. Et je dois avouer que j’ai très envie d’elle.Elle parle théâtre, sorties, spectacles, elle habite la capitale et sort très souvent, avec « son amie ». Son amie revient très souvent dans la conversation. Son amie est une femme d’origine anglaise, un petit peu plus jeune qu’elle. Lorsqu’elle est à Paris, elles font tout ensemble. Elles vivent d’ailleurs dans le même immeuble. Elle me parle avec passion de cette femme que je ne connais pas, elles sont vraiment très proches. Curieusement, de l’imaginer lesbienne ne fait qu’ajouter un peu plus à mon excitation.Heureusement qu’elle se retourne, pour présenter ses fesses au soleil, sinon à force de regarder sa chatte, j’aurais fini par souiller ma serviette.Désormais, elle ne parle plus. Elle ferme les yeux, elle s’est à moitié assoupie. J’en profite lâchement pour aller piquer une tête dans la grande bleue. L’eau fraîche ramène instantanément mon sexe à une taille plus raisonnable.Quand je reviens près d’elle, je la retrouve entièrement rhabillée. Elle est debout, en train de ranger ses affaires.— Eh bien Hervé, j’ai vraiment été contente de vous rencontrer et de faire un peu causette. Ici, les Français sont si rares (Si elle savait que dans mon hôtel je ne suis presque qu’avec des Français, mais dans le sien les vacanciers sont plutôt d’origine germanique.). Eh bien, il ne me reste plus qu’à vous souhaiter de passer de bonnes vacances et à vous dire à la semaine prochaine au bureau.Ca casse pas mal, ce départ précipité ! Je ne sais pas ce que je m’étais imaginé dans ma tête mais, en tout cas, je ne pensais pas que cela allait se terminer ainsi. Je me voyais peut-être déjà dans son lit, en train d’abuser d’elle. Eh bien non, au revoir, salut, à la prochaine. Le pire c’est que je ne trouve rien à répondre sauf des « Bonne fin de vacances », et des « A bientôt ».Je la regarde s’éloigner lentement avec sa serviette, et c’est sans grande motivation que je m’en retourne tristement de l’autre côté de la baie.Trois jours passent, entre temps je me suis trouvé une veuve plantureuse, une blondasse lilloise, apparemment ici uniquement pour la drague. Nous avons passé un après-midi dans ma chambre pendant que notre groupe partait en excursion. Ça a bien collé avec elle, mais j’ai la très nette impression qu’elle est un peu déçue par ma prestation. Je ne suis pas un assez bon coup pour elle. Je devine qu’elle va chercher quelqu’un d’autre. Je ne suis pas non plus le premier depuis son arrivée, elle doit changer assez souvent. Ce genre de femme avide d’expériences m’ennuie un peu, je ne me sens pas très à l’aise dans ce genre de relation.Après le dîner, je rejoins ma chambre, je suis fatigué, ce soir je n’ai pas très envie d’aller en boîte. Je suis sur le point de m’endormir quand le téléphone sonne.— Hervé.— Oui ?— Je vous dérange ? Vous dormiez ?— Non, pas du tout.— C’est Claudine. Ecoutez, je vous appelle parce que demain j’ai loué une voiture pour aller visiter le village de mes ancêtres. Je me demandais si ça vous dirait de venir avec moi.— Oui, pourquoi pas. Je n’ai rien d’autre de prévu.La proposition est inattendue. J’avais presque oublié la présence de Claudine.C’est d’accord. Elle passe me chercher au petit matin, vers 7h30, car nous avons de la route à faire…Nouvelle surprise le lendemain matin : Cette fois-ci, elle est habillée exactement comme lorsqu’elle va au bureau. Le même ensemble classique, jupe et tailleur beiges, le même chignon désuet, et puis les mêmes lunettes aux grosses montures vieillottes. Moi qui pensais pouvoir profiter encore un peu de son anatomie, et bien c’est raté.D’après ce qu’elle me dit, je comprends qu’elle veut donner une bonne image d’elle-même aux amis de sa famille. Mais si c’est ça, donner une bonne image ! Je pense plutôt qu’ils vont voir en elle une vieille fille coincée et acariâtre. Mais ça, bien sûr, je ne peux pas lui en parler et cela ne me regarde pas vraiment.Si j’avais su, je me serais mis en costard cravate pour donner le change. Mais là , je suis en short et en t-shirt, ça la fout plutôt mal. Je lui demande si ça ne la dérange pas : « Non, non, non », m’assure-t-elle. Mais je retourne malgré tout dans ma chambre pour me changer et enfile vite fait un pantalon de toile et une petite chemisette.En fin de matinée, nous arrivons dans un petit village très andalou. Quelques bâtiments d’inspiration nettement arabe. Elle fait le tour des bicoques. Elle dit « Bonjour » à tout le monde, certains la reconnaissent. Chapeau bas, elle parle un espagnol irréprochable. Les portes s’ouvrent, les gens nous accueillent. Et moi qui ne comprends pas un mot d’espagnol, j’ai bien du mal à savoir de quoi ça parle. Par contre, j’ai la très nette impression que les deux petits vieux chez qui l’on est me prennent pour le mari de Claudine. D’ailleurs, elle me présente à tout le monde, je suis son faire-valoir. Quelque part aussi, j’ai l’impression de m’être un peu fait niquer dans cette histoire. Ceci dit, les gens sont vraiment très sympathiques, ils nous accueillent à bras ouverts avec de larges sourires, j’ai à manger et à boire, beaucoup plus qu’il n’en faut, alors, que demander de plus ?Notre tour de place est terminé mais c’est le moment le plus chaud de la journée. Chez eux, c’est l’heure de la sieste ! Nous sommes chez un couple dans la cinquantaine. La dame me fait comprendre qu’avec Claudine, elles sont cousines. J’ignore à quel degré, mais les ressemblances ne sont pas flagrantes, c’est une femme au nez ibérique et que l’on imaginerait bien en train de jouer des castagnettes. Toujours est-il que ces braves gens insistent pour que, nous aussi, nous fassions la sieste.« Ce n’est pas l’heure de repartir, il fait beaucoup trop chaud. Ici, dans la montagne, il n’y a pas l’air marin. ». Voici ce qu’ils doivent être en train de dire en espagnol.J’ai beau ne pas comprendre la langue du pays, je comprends à demi-mot qu’elle nous entraîne vers nos appartements. Inutile de discuter, c’est décidé ainsi. La dame nous pousse dans une petite chambre vide aux murs tout blancs. Pour seul mobilier, un lit en fer au milieu de la pièce. Et elle referme la porte derrière nous.— Je leur ai dit que nous sommes mariés, voyager avec un ami ils n’auraient pas compris, se croit obligée de justifier Claudine… Vous dormez de quel côté ?Mais elle croit que je vais vraiment dormir, moi qui ai horreur de faire la sieste ? Je reste debout, les bras ballants, un peu dépité.Elle s’est rapprochée du lit et, comme je ne bouge toujours pas, elle se retourne vers moi et elle éclate de rire :— Allons, ne faites pas cette tête, si je vous ai amené ici, c’est d’abord parce que j’avais besoin d’un « mari », mais aussi et surtout parce que je veux vous montrer quelque chose.Très lentement, je la vois remonter sa jupe et là , première surprise, elle est entièrement nue dessous. Sa touffe est toujours aussi provocante qu’à la plage.— Je vais vous dire un secret, Hervé, si vous me promettez de le garder. Je peux vous faire confiance ?— Bien sûr, que je réponds, fasciné par le spectacle.— Au bureau je viens très souvent travailler comme ça. C’est mon amie qui me le demande.Au bureau… la chatte à l’air !— Et puis, ce n’est pas tout.Elle tire sur une petite ficelle qui émerge de son sexe et en extrait deux boules de geishas. Je suis subjugué par tant d’audace. Dire que depuis ce matin, elle a ça dans la chatte !Et la voici maintenant qui dégrafe son tailleur et son chemisier dans la foulée. Et là , nouvelle surprise, son soutien-gorge est très original, particulièrement sexy, en dentelle, et troué au niveau des seins.— Vous savez Hervé, ce n’est pas parce que je préfère les femmes que je déteste les hommes. Or, depuis l’autre jour, depuis que j’ai vu votre virilité, je dois dire que ça m’a donné des idées.Elle est folle, la voici qui se caresse le bout du sein d’une main et la touffe de l’autre, tout ça, sans conteste, pour m’exciter. Et je dois dire que toutes ces révélations m’ont mis l’eau à la bouche et que j’ai l’incendie dans la culotte. N’en pouvant plus, je libère mon sexe dur qui pointe vers l’horizon.En fait de vieille fille, c’est une lesbos vicieuse aux goûts très éclectiques. Dire qu’elle vient probablement de temps en temps avec ses boules de geisha au bureau ! Combien de collègues sont dans son cas ? Probablement aucune. Ça doit être la seule, l’unique, la plus cochonne de la boîte.Elle s’approche de moi, s’agenouille à mes pieds et prend sans hésiter ma tige toute raide dans ses mains. Puis, toujours sans faire de discours, elle l’enfourne dans sa bouche et entame une série de va-et-vient incessants.A ce rythme, je vais jouir trop vite. Je lui prends délicatement la tête et la fais se redresser. Sa bouche entre en contact avec la mienne. Un long baiser, merveilleux, passionné, sensuel et profond.Claudine se penche à nouveau sur moi et engloutit mon engin de plaisir. Elle me suce plus calmement, avec un immense désir, elle voudrait m’avaler tout entier, mais son bas-ventre me réclame encore plus que sa bouche.Elle me repousse sur le lit en détachant sa jupe.Mes mains, inoccupées jusque là , empoignent ses petites fesses dodues. La passion de nos corps est sans retenue, tout comme notre désir.Le temps de m’enfiler un préservatif qu’elle a sorti comme par magie de son soutien-gorge. Puis elle vient s’asseoir sur moi, face à moi. Sans difficulté, elle s’enfonce sur mon sexe dur, mon membre force l’entrée de sa chatte toute humide. J’empoigne ses seins, je les mords et les caresse violemment, tandis qu’elle me chevauche sans complexe. Elle semble déchaînée et, curieusement, ses lunettes triple foyer lui donnent un air encore plus vicieux. Je sais que je prendrai grand plaisir à les asperger de sperme. Mais, pour l’heure, c’est elle qui mène la danse. Quand je lui insère un doigt dans l’anus, elle ne proteste même pas, elle doit avoir l’habitude. Au contraire, elle gémit à cette caresse.Très vite, la jouissance monte en elle, elle ne peut plus se retenir, elle râle très fort tandis que l’orgasme la terrasse. Ensuite, elle se relève, elle se retourne, elle s’assoit à nouveau sur moi mais, cette fois-ci, dos à moi. Je tiens ses hanches pour lui donner la cadence. Le rythme est élevé, nos souffles sont courts et nos corps tout humides, à cause de cette chaleur et de cette débauche de mouvements. Elle ne retient plus ses cris, sans aucune gêne vis-à -vis de nos hôtes.Et maintenant, je la bascule sur le lit, la fais mettre à quatre pattes et lime cette femme avec un plaisir intense. Elle est excessivement excitée. J’augmente la cadence. Elle aime mes mouvements profonds et elle jouit une seconde fois.Je mouille un de mes doigts et l’introduis prestement dans son petit tunnel. Une fois de plus, la caresse ne lui semble pas étrangère.Je me retire, me penche vers elle et lèche son petit trou. Chaque coup de langue lui arrache de nouveaux gémissements, elle semble prête pour l’enculage.Je pointe mon gland à l’entrée du tunnel. Et puis, sans dire un mot, je me mets à l’enculer. Elle pousse un râle de plaisir. Je sens mes couilles qui tapent violemment sa chatte humide. Enfin, avec un cri de bête, je lâche toute ma semence dans son petit anus (Façon de parler car, en fait, je remplis le préservatif).Nous nous relevons et nous nous embrassons fougueusement.Mais la sieste n’est pas terminée. Elle enlève la capote et engloutit mon sexe pour le téter avec envie et lui redonner de la vigueur. Elle est encore pleine de désir, elle est insatiable. Sa gourmandise n’a pas de limite. Et cette experte me refait durcir :— Baisez-moi, Hervé, baisez-moi très fort.Une autre capote prise dans son soutien-gorge. Mais combien en a-t-elle ? Elle se remet à quatre pattes et tend son cul vers moi. Je me déchaîne dans sa chatte. Son sexe fait un bruit d’enfer. Putain, qu’elle est bonne à baiser, cette vieille juriste ! Elle cachait bien son jeu, cette salope.De son côté, elle gémit sans prendre garde au voisinage, elle est déchaînée, elle s’embroche comme une furie avant de hurler son plaisir à toute la cantonade. Un tel déferlement m’amène à mon tour à la jouissance et je m’épanche sans complexe.Ensuite, s’ensuit un long câlin dans les bras l’un de l’autre et je dois dire que nous nous endormons presque. C’est elle qui me réveille. « Merde, il est déjà cinq heures ». Nous nous rhabillons en vitesse et rejoignons notre hôtesse.A son air, on voit tout de suite qu’elle n’a rien raté de nos ébats. Mais, après tout, nous sommes mariés, il n’y a pas de mal…Les deux jours qui suivirent, j’ai dormi dans la chambre de Claudine, largement plus spacieuse et plus agréable que la mienne. Les seuls moments qui venaient contrarier cette belle idylle, c’est quand Marie-Aline appelait. Là , je devais la fermer et me faire tout petit. Marie-Aline, c’est sa copine, l’amour de sa vie. Marie-Aline est très jalouse, Marie-Aline sait que Claudine n’est pas toujours très fidèle. Claudine lui parle de certaines choses mais évite de trop en raconter…Avant de repartir, nous avons fait un pacte :a – Au bureau, tout doit rester comme avant, on fait semblant de ne pas se connaître.b – Je ne l’appelle jamais, je ne lui écris pas, je ne la dérange pas.c – Le jour où elle se retrouve seule, et si elle a envie, il est possible qu’elle m’appelle et que nous fassions quelque chose ensemble. Mais uniquement si l’occasion se présente.Je suis donc un peu son amant et Marie-Aline son mari. Je n’ai jamais rencontré la susdite mais je la cocufie de temps en temps. D’ailleurs, le week-end prochain, justement, je risque d’avoir de la visite…