Papy est un suceur de tétine (1/3)
Attirée par l’appât du gain, la directrice d’une agence immobilière se fait piéger par un vieillard aux idées coquines.
Proposée le 10/01/2016 par Patrick2toscane Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: ChantagePersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Roman
Catherine sortit de chez l’esthéticienne et traversa le passage pour piétons. Soudainement, elle comprit son erreur et accéléra sa foulée pour se mettre en sécurité. Un coup de klaxon retentit : était-ce pour son culot ou plus probablement, pour cette poitrine qu’elle venait de bousculer de manière indécente sous le nez d’une file d’automobilistes ?La directrice poussa la porte de sa petite agence immobilière. Un silence s’installa dans les locaux climatisés… Deux employés s’éclipsèrent sous le regard de Catherine. Le troisième trébucha, alors que le dernier de ses employés la reluqua discrètement le tailleur jupe courte de la voluptueuse quinquagénaire.Seule dans son bureau, Catherine rangea quelques dossiers en suspends. Elle saisit une paire de lunettes et consulta son agenda : cet après-midi, elle avait une visioconférence avec le directeur général du groupe « Echo Imm France ». Mais pour ce matin, un simple rendez vous en extérieur.
Entre dix heures et midi, elle devait visiter un petit pavillon de banlieue ; les deux fils de Monsieur Lopez l’avaient sollicitée pour estimer la demeure vacante de leur père récemment admis en maison de retraite. Pour éviter d’alerter le voisinage et de faire naître les questions gênantes, les deux frères lui avaient demandé de passer par l’arrière-cour et une discrète « porte de jardin ».
Catherine était habituée à ces petits arrangements, mais à chaque fois, elle se sentait un peu coupable. Elle réunit quelques affaires et les clés de la demeure qu’elle plaça avec contrariété dans sa mallette.La directrice de l’agence immobilière gara son Audi à l’autre bout de la rue. Le quartier était calme. Construits dans les années 70, les nouveaux propriétaires étaient maintenant de vieux retraités. Catherine mit ses lunettes de soleil et remonta la rue jusqu’au 17 où discrètement, elle attardait son regard sur le pavillon : il était dans un relatif abandon et, la haie débordait en largeur sur le trottoir. Catherine fit le tour de la propriété par la rue des Lilas et rapidement, elle identifia le vieux portillon. Avec audace, elle introduisit la clé dans la serrure et déverrouilla la grosse serrure.
Les charnières grincèrent et Catherine s’empressa d’entrer dans la petite allée pavée de mauvaises herbes. La végétation heurtait ses mollets et elle devait jongler avec les obstacles naturels pour ne pas tacheter ses escarpins.
Elle détailla les lieux : le puits était bien le seul élément vendeur dans cette demeure d’une autre époque. Elle avança dans la petite allée jusqu’au perron. Par les vitres, elle identifia une vieille cuisine.Elle ôta ses lunettes de soleil et déverrouilla la porte qui débouchait dans un couloir. Un mélange d’odeurs de moisie et de vieille soupe emplit désagréablement ses narines.
– Qu’est-ce que vous faites chez moi ?
La vieille voix électrisa le couloir. Catherine sursauta et se retourna sur un vieillard en fauteuil roulant.
– Ne tirez pas !
L’homme tenait fermement un fusil de chasse qu’il pointait sur Catherine. Il poussa un petit rire équivoque et bougonna.
– Qu’est-ce que vous foutez là ?
Catherine ouvrit grand les yeux, son sac à main tomba à terre et, à la recherche d’une pirouette, elle serra sa mallette contre sa lourde poitrine.
– Je suis Catherine La Motte Pernac de l’agence Echo Imm. J’ai été contactée par vos deux fils pour estimer votre maison.
– Qu’est-ce que ces conneries ?!
Le vieil homme posa son arme sur ses cuisses et recula son fauteuil avec ses doutes.
– Monsieur Lopez, je ne comprends pas, ils m’ont certifiés que vous étiez en maison de retraite !?
– Les petits salauds ! Cela fait des années qu’ils lorgnent sur l’héritage, mais je ne suis pas mort !
Le vieil homme poussa un long soupir en s’éloignant dans un couloir.
– Mes fils, ma fierté et maintenant, toute ma honte !
– Je suis désolée, Monsieur Lopez.
– Appelez-moi Antoine, ma chérie.
Catherine sursauta : elle n’était pas soumise à ce genre de familiarité. Elle suivit l’homme en fauteuil roulant jusque dans le salon. Elle posa sa mallette et son sac pour sortir une paire de lunettes.
L’homme déposa son fusil sur un fauteuil et il se retourna sur celle qui restait pour lui une hors la loi ; il la surprit détaillant du regard ses biens d’une vie et quand elle le découvrit, elle pinça les lèvres en baissant les yeux. D’un regard glacial, le vieillard la déshabilla des pieds à la tête, il s’attarda sur cette poitrine qui semblait avoir la bougeotte. Hypnotisé, il semblait réaliser, chaque seconde, qu’il avait devant lui « une bombe ».
Antoine resta songeur, avant de croiser le regard inquiet de cette brune BCBG.
– Ne t’inquiète pas ma pouliche. Si j’avais 40 ans, je te ferais la cour, mais y a un bon moment que ma tuyauterie déconne.
– Pouliche ?! Comment ? Écoutez, je ne suis pas là pour me faire insulter ! Je ne suis pas votre aide soignante !
A nouveau, Antoine fixa cette poitrine qui s’agitait au rythme de l’irritation de Catherine.
– Tais-toi ! J’ai soixante dix huit ans et tu me dois le respect !
Catherine n’avait pas l’habitude qu’on lui parle sur ce ton. À l’agence, elle était la patronne et au niveau de la région, ses subordonnés la craignaient.
Un instant de silence s’éternisa… L’homme soupira et Catherine recommençait à décrire le salon…
– Ferais-je mieux de partir en maison de retraite !?
– Voulez vous vendre ?
– Pensez-vous que je peux me défendre contre ces deux enfoirés !?
Catherine ne répondit rien ; elle détaillait les huisseries pendant que le vieillard la détaillait du coin de l’œil : cette paire de jambes nues jusqu’à mi cuisses, ces fesses moulées dans une jupe sur mesure ou cette bouche à peine maquillée.
Catherine quitta le salon et sans gêne, elle monta l’escalier. Avec un temps de retard, Antoine la suivi et pu détailler les cuisses fermes en rêvant de découvrir un temple inaccessible.
A voix basse, il baissa les yeux vers sa braguette et son vieux compagnon.
– Tu penses « oui », mais tu dis « non ! », salaud !
Il poussa un petit rire…
– Que dites-vous Monsieur Lopez ?
– Je disais que pour une femme d’une cinquantaine d’années, vous êtes sacrément bien foutue ! (Voix basse) Encore une sportive !
Elle disparut dans le couloir à l’étage et l’homme abandonna son fauteuil pour deux cannes.
– Vous devriez rester en bas Monsieur Lopez ! Vous allez vous rompre le cou !
– Je préfère aller vers la mort, plutôt qu’elle ne vienne vers moi !
Catherine visita les deux chambres, sortit de la salle de bain et sursauta en voyant l’homme. Antoine était mal assuré sur ses béquilles et elle s’approcha de lui :
– Ce n’est pas raisonnable, Monsieur Lopez !
L’homme l’écarta avec sa canne et Catherine capitula le dos contre le mur.
– Ne me parlez pas comme si j’étais sénile !
Catherine soupira en maugréant. Le vieil homme se retourna face à elle et vigoureusement, il planta sa canne droite entre les jambes de Catherine, juste en dessous de sa jupe pour la rendre inoffensive.
– Arrêtez Monsieur !
Avec sa main, elle essaya de retirer la canne, mais en vain… Catherine se pencha et enroula ses doigts autour de la canne, mais eut peur de faire trébucher le vieillard. Elle réalisa que dans cette position, elle donnait une vue extraordinaire dans sa vallée accidenté ; Antoine pu découvrir un échantillon des deux gros lolos bien confinés dans un précieux soutien gorge.
La gorge serrée, en délicatesse pour la première fois de sa vie, elle sentit la canne remonter lentement… Leurs regards s’affrontèrent. Sa jupe courte se relevait délicatement sur le haut de ses cuisses subitement nerveuses… Une éternité qu’il n’avait pas vu une peau velouté et lisse, bronzée… Antoine se mit à fantasmer et esquissa un sourire en comprenant qu’il pouvait encore avoir quelques frissons.
Le vieil homme retira sa canne.
– Vous me plaisez bien, Madame machin ! Est-ce que tu aimes le sexe ?
Catherine serra les mâchoires pour ne pas répondre.
– Tu aimes la bite quoi !? Avec la bouche que tu as…
– Cessez de me parler comme cela !!!
– Cessez de te parler comme cela ? Sinon quoi ? C’est ça ? Tu pars ?
Il la fixa avec un léger sourire… Il se sentait revivre.
– Bien sûr ! Toi aussi, tu sens l’oseille, alors tu te dis : « A défaut du grand jeu, on va le vider le vieux » !
Catherine se retenait de sortir de ses gonds.
– En bas dans la boîte à sucre, j’ai ma retraite !
– Je ne suis pas comme cela !
– Ta gueule ! Si tu ne le fais pas pour le fric, fais-le parce que tu es une vicieuse !
Catherine inspira à pleins poumons…
– Laisse-moi finir, chérie !
Elle expira en regardant en l’air tout en grimaçant.
– Je te file mon cachet, si tu m’aides à coincer mes deux fils et, si tu me permets de téter tes gros bouts de putasse !
Le regard d’Antoine fit « pause » sur la poitrine qu’il avait à portée de main. Catherine fronça les sourcils et inspira à pleins poumons pour « crucifier » le vieillard, mais au dernier moment, elle hésita.
– Quoi ?!
– Eh ma belle, je pourrais aller voir les flics et leur dire que vous êtes rentrée discrètement chez moi comme une voleuse !?
– C’est nul ! Ils ne vous croiront pas ! Vous ne me baiserez pas comme ça !
– Catherine : vous devenez vulgaire ! Mais j’aime ça !
– Allez-vous faire foutre, Antoine !
– Tu veux parier Madame la directrice ? J’entends déjà la sirène !
La respiration de Catherine commençait à s’accélérer ; elle regardait tout autour d’elle, la perspective d’être souillée par la suspicion était, pour elle, tout aussi incriminable que la culpabilité.
– Je pourrai te demander de me sucer, mais je ne voudrais pas souiller ta divine bouche avec une vieille queue comme la mienne !
Destabilisée, elle s’éloigna de quelques centimètres :
– Arrêtez !
– Regarde ! Je m’assieds sur le lit à côté, tu restes debout, tu me fais téter deux minutes et je ne te touche pas ! Promis !
La tête et le regard bas, Catherine entra dans la chambre… Pendant que le vieil homme s’asseyait sur le bord de son lit. Pudique et dos à Antoine, la quinquagénaire déboutonna lentement son chemisier…
Elle sentait son cœur cogner fort contre ses doigts… Elle ôta son chemisier… dévoilant ainsi un soutien gorge sur mesure fraîchement sorti de la corseterie.À deux mètres, Catherine pivota face à lui. Elle descendit une bretelle et baissa difficilement un bonnet pour libérer une imposante mamelle bronzée.
Elle vint à la rencontre d’Antoine tout sourire et enthousiaste, l’homme tendit sa bouche vers la large aréole claire. Soudain, une douleur arrêta l’enthousiasme du vieil homme et il redevint courtois. Catherine ferma les yeux en pensant à cette déchéance : elle, la mère de famille exemplaire était en train de s’offrir. La douleur se dissipa et Antoine put lever les yeux vers l’offrande : son regard resta un instant sans vie. Il leva ses doigts tremblotants vers les aréoles gonflées en craignant la sentence de cette femme du monde. Il croisa son regard sévère et avança sa bouche sur le téton qui commençait à s’éveiller. Il aurait tant aimé qu’elle montre un signe de plaisir… N’en pouvant plus, Antoine ouvrit grande la bouche et aspira tout le mamelon dans sa bouche en gémissant ; il l’aspira à perdre haleine. Catherine fermait les yeux et refusait de geindre, mais ses gros tétons la trahissaient.
Soufflant fort, Antoine leva le menton et sortit une vieille langue pour savourer la dureté de ce gros téton, avant de le sucer : exercice moins éprouvant pour lui. Pendant un instant, il cru que son sexe avait frétillé, mais hélas…
– Monsieur ?
– Que c’était bon !
Catherine fit un pas en arrière et chercha la table de chevet. Antoine s’essuya la bouche et la brune BCBG prit un mouchoir en papier pour nettoyer son sein maculé de salive.Sans un mot, elle remit son sein dans le bonnet. Catherine quitta la chambre et patienta dix minutes dans le salon. Reposé comme les hommes des nuits de Catherine, Antoine arriva dans le salon dressé sur ses béquilles.
– Je suis dans l’annuaire ! Si l’affaire vous intéresse, vous n’aurez aucun mal à prendre contact avec moi.
Catherine termina d’ajuster son chemisier en analysant le double sens des mots d’Antoine.
– Euh… D’accord !
Le vieil homme était écarlate : depuis quelques minutes, il n’arrêtait pas de l’imaginer, tête bêche, les hanches de « sa » pouliche entre ses mains, ses deux orifices offerts à ses yeux…et à son choix.
– Prend tes sous !
– Je ne suis pas une pute, Monsieur Lopez !
Un silence s’installa, avant que Catherine ne disparaisse en claquant la porte.A SUIVRE…Patrick de Toscane© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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