Après un accident de moto, je m’étais retrouvé à l’hosto, les deux bras dans le plâtre. Comme tous les matins, je devais me lever seul pour aller uriner dans ma salle de bains privative. J’étais nu et puisque le sol était glacé, je marchais sur la pointe des pieds. J’avais une trique d’enfer.
A chaque envie pressante, je devais faire très attention et choisir le bon moment pour ne pas me faire surprendre par une infirmière de passage. De plus, celle qui s’occupait de moi était jeune et je n’avais aucune envie de m’exhiber plus que nécessaire. Déjà que je la soupçonnais de voyeurisme, vu le plaisir qu’elle prenait à me nettoyer.
Après avoir allumé la lumière avec mon coude, je réussi à pisser, sans les mains, dans la cuvette. J’étais à un mètre de distance et j’en mettais un peu à côté, car je bandais toujours… Je n’avais pas éjaculé depuis longtemps et ça faisait plusieurs jours que je sentais de drôles de picotements dans mes bourses…
Bien sûr, j’avais essayé plusieurs fois de me masturber en me frottant aux draps, mais sans grand résultat. Je regardais mon pénis, raide et prêt à l’emploi, et frustré, je poussais la porte du pied pour rejoindre mon lit…
J’entendis soudain frapper à la porte. Mon cœur s’accéléra, j’avais oublié qu’une copine de lycée devait passer me voir aujourd’hui, avant ses cours…
J’étais à poil, au beau milieu de ma chambre, la bite en érection et les deux bras plâtrés en l’air. Je n’avais plus le temps de sauter dans mon lit, mettre les couvertures et faire semblant de dormir… aussi, je retournais dans la salle de bains.
On frappa encore trois coups et j’entendis une voix féminine chuchoter :
— Christophe, tu es là ? C’est moi, Cindy… Je peux entrer ?
Devais-je faire le mort ? Attendre qu’elle s’en aille ?Complètement paniqué, je restais muet comme une carpe. Mais à sa troisième tentative, je lui répondais en criant :
— Je suis aux toilettes, excuse-moi. Entre…
J’entendis la porte grincer puis se refermer.
— Je croyais que tu dormais encore… Ca va ?— Euh oui. Merci. C’est gentil de venir me voir…— C’est normal, j’habite juste à côté. Et puis comme ça je pourrais dire aux autres comment tu vas.— Tu peux allumer la télé si tu veux, en attendant…
J’entendis un clic et les infos matinales de la chaîne d’actu. Le temps passait et je n’arrivais toujours pas à trouver une solution… Cindy s’impatientait également.
— Tu en as encore pour longtemps ?— Non, non. C’est juste un peu plus long, sans les bras…— Ah ok ? Tu as besoin d’aide ?— Il n’y aura pas toujours quelqu’un avec moi, il faut que j’apprenne à me débrouiller…— Tu veux peut-être que j’appelle une infirmière ?— Non, non, c’est bon.— Très bien, j’attends alors. Mais dépêche-toi, je ne peux pas rester ici toute la matinée.
Il m’était impossible de me montrer nu, devant elle. Cindy raconterait tout aux autres et j’aurais trop honte de remettre les pieds au lycée. Il fallait vite que je trouve une solution…
Elle éteignit la télé.
— Tu sais, quand je t’ai vu arriver cette année, je t’ai tout de suite trouvé mignon. Pas mal de filles te draguent au lycée, tu es toujours célibataire ?— Oui… j’ai envie de réussir mes études, c’est pour ça. Si j’avais une copine, je pourrais pas bosser…— Je comprends… Mais c’est dommage quand même…— Pourquoi ?— Je serais bien sorti avec toi !
Je bandais depuis un bon moment et après avoir entendu ça, mon sexe remua tout seul.
— Ah bon ? Je ne savais pas… que je te plaisais…— Et moi je te plais ? demanda-t-elle.
Cindy, la plus belle fille de ma classe. Quelle question !
— Oui, tu plais à beaucoup de garçons…— Ouais, mais ce sont rarement les bons…
Ce qu’elle venait de m’avouer me redonna de la vigueur et je tentais enfin quelque chose.
— Cindy ?— Oui ?— Pourrais-tu sortir s’il te plaît ?— Tu veux que je m’en aille ?— Non, mais… Tu vois, depuis tout à l’heure, je suis… je n’ai aucun vêtement sur moi en fait.
Elle éclata de rire.
— T’es à poil derrière la porte ?— Oui et je commence à avoir froid…— Idiot, tu pouvais pas le dire avant… Bon, très bien, je sors…— Merci.
La porte claqua et je soufflais un ouf de soulagement. je me sentais mieux, même si en bas ça ne s’arrangeait pas… Je poussais, une nouvelle fois, la porte du pied…
— Surprise !
J’eu presque un arrêt cardiaque. Cindy était restée dans la pièce et elle me matait des pieds à la tête en souriant. Par réflexe, je me retournais en lui montrant mes fesses.
— Impressionnant ! Enfin je veux dire, tes plâtres…
Et elle éclata de rire. Je ne savais plus où me mettre.
— Monsieur est timide ?— … Tu m’as fait peur, c’est tout…
Et je restais planté là , comme un con, à lui montrer mon cul.
— Bon… tes fesses sont jolies mais… j’aimerais bien revoir ta queue !
Et contre toute attente, elle se colla à moi. Je sentis son parfum enivrant et sa poitrine se frotter contre mon dos. Elle était en train de me caresser les fesses…
— Tu aimes ?— Oh Cindy… C’est…— Tu bandes ?— Oui…— Je suppose que tu ne peux pas te soulager tout seul, pas vrai ?— Non…— Tu préfères ma main ou ma bouche ?— Cindy… Je…— Retourne-toi !
Je me retournais. Elle recula un peu, histoire d’examiner la marchandise…
— Une vraie matraque ! J’en étais sûr ! Je crois que je vais utiliser ma main, tu risques de me défoncer la mâchoire avec ton truc.— Vu mon état, je ne vais pas faire le difficile…
Elle mit un genou à terre et s’installa devant ma bite.
— Tu es imberbe. J’aime bien.
A cause de l’excitation et de l’abstinence, je mouillais beaucoup.
— T’en fous partout, regarde !
En effet, une petite flaque se formait déjà à mes pieds, sur le sol.
A chaque fois qu’elle parlait, je sentais son souffle sur mon sexe, c’était un véritable supplice. Elle semblait réfléchir…
— Je vais quand même te gouter un peu. Tu permets ?
Elle fit glisser mon long prépuce avec deux doigts et libéra l’extrémité de mon sexe humide. Elle ne pouvait pas me décalotter plus, depuis que j’étais gosse, mon sexe était comme ça. On ne voyait que le bout du gland.
Elle lécha mon membre, comme si elle le nettoyait.
— C’est salé… Ca donne soif…
Puis, elle l’engloutit dans sa bouche et essaya d’aller le plus loin possible. Elle avait du mal mais je la sentais pleine de bonne volonté. Elle allait et venait et me gardait bien au chaud, dans sa gorge, c’était délicieux. Je n’allais sans doute pas pouvoir me retenir indéfiniment… Je sentis mes boules se contracter et…
Mon orgasme fut fulgurant, je n‘avais jamais ressentis ça, sauf peut-être lors de ma toute première jouissance. Comme elle me faisait une « gorge profonde », elle reçut mon sperme directement dans l’estomac… Je me vidais complètement en elle. Le plaisir était intense. Elle avalait au fur et à mesure, sans broncher.
Pensant que j’avais terminé ma giclette, elle stoppa sa fellation et me regarda avec un visage souriant. Elle reçut les derniers jets sur ses dents et sur sa bouche… Elle passa alors une langue gourmande sur ses lèvres.
Une fois le nettoyage terminé, elle se releva et regarda sa montre. A sa tête je compris qu’elle était en retard et, se précipitant vers la porte, elle se retourna vers moi…
— Merci pour le p’tit déj…