« Je ne porte jamais de petite culotte ! »Il s’agit d’une phrase que Justine mentionna lors d’une visite au bureau, il y a quelques années. Je n’ai jamais oublié cette phrase… Même si elle l’avait dite dans un contexte qui n’incitait pas à une invitation particulière.Disons que j’ai eu plusieurs pensées ou idées depuis cette visite. J’ai revu Justine à quelques reprises mais sans autre allusion à cette anecdote…Dans le cadre de notre relation professionnelle, alors que j’ai des documents à lui faire signer et… j’ai eu une idée de génie ! Plutôt que de faire la rencontre au bureau, je suggère de passer chez elle pour lui éviter un déplacement inutile. Mon initiative lui plaît puisque son horaire est limité avec l’arrivée prévue de sa fille à la fin de la journée scolaire. Nous convenons d’un rendez-vous.*******La semaine suivante, à l’heure de la journée convenue, je me présente à son domicile. Nous sommes installés dans le salon assis côte à côte. J’explique les changements à faire et elle signe les documents appropriés. L’aspect professionnel est terminé, maintenant, le côté personnel…N’allez pas trop vite dans vos idées, aucune allusion à sa petite culotte… Je suis trop gêné pour lui en parler. Le tout se déroule comme les rencontres passées à mon bureau. Discussions concernant les enfants, le travail, les loisirs, etc.Au bout de 15-20 minutes, je demande comment se déroule sa vie sentimentale puisqu’elle est célibataire depuis plusieurs années. Elle m’avait déjà mentionné qu’elle avait eu de courtes relations. Elle me dit que c’était le calme plat au cours des derniers mois.Sans réfléchir, je dis : — Comment ça ? C’est le calme plat pour une belle femme de cinquante ans qui ne porte jamais de petite culotte ?Je remarque un petit sourire en coin de Justine… — Comment sais-tu ça ?Je suis sous le choc d’avoir osé dire ça. « … » Silence total de ma part.Toujours avec le petit sourire en coin : — Comment sais-tu ça ?Ma réponse : — J’ai une bonne mémoire.— Que veux-tu dire ?— Tu ne te souviens pas que lors d’une rencontre à mon bureau tu avais mentionné ne jamais en porter, répliquai-je.— Qu’est-ce qui te dit que c’est la vérité ? Son sourire en coin était maintenant un peu plus prononcé…— Finalement, est-ce que tu as menti ?— Toi, qu’est-ce que tu crois ? (Sourire toujours plus gros.)Ma réponse : — Il n’y a qu’une façon de le savoir. Je tends mes mains vers son legging noir pour le descendre… aucune réticence ! Grand sourire, de mon côté je souris encore plus, mais de l’intérieur. Elle lève légèrement les fesses pour que je puisse continuer à enlever son vêtement. Elle n’est pas menteuse ! Cette tâche se déroule facilement à ma plus grande joie. J’en profite pour lui écarter les jambes… qui ne sont pas très longues puisque Justine mesure 1,55 m. Ce n’est surtout pas important, rendu à cette étape.Je ne suis plus gêné…Je commence à lui lécher l’intérieur des cuisses et avec un index je touche légèrement sa vulve et… c’est très, très humide ! Il n’y a toujours pas de réticence et vous pouvez comprendre qu’il n’y en aura pas pour le reste de la rencontre. Je continue à lécher ses cuisses tout en me rapprochant de l’endroit où mon index avait continué sa progression. Tout en continuant ma tâche qui continue à donner un sourire à Justine, elle se positionne pour être le plus à l’aise possible sur le divan. Je suis à genoux et j’ai le plaisir d’ajuster ma position pour continuer cette agréable tâche.Je retire mon index pour laisser toute la place à ma langue qui s’aventure sur ses magnifiques lèvres et un peu à l’intérieur de celles-ci. Oh que c’est bon ! Oh que ça goûte bon ! J’entends de petits sons de la bouche de Justine. Je n’arrive pas à les comprendre, mais c’est clair qu’elle apprécie ce qui se passe.Puisque mon index est maintenant au « chômage », il décide de se faire accompagner par quatre autres collègues vers ses seins. Je sais qu’elle a des implants mammaires et qu’ils sont assez gros. La progression des cinq collègues rejoint le sein droit de Justine. Elle n’a pas de soutien-gorge… La coquine ! Pas de petite culotte et pas de soutien-gorge… pas d’obstacles au plaisir !Ma langue change de direction et s’aventure vers son petit bouton. Lors du contact avec celui-ci… Elle se met à bouger les hanches vers ma bouche d’une façon continue pendant plusieurs secondes… Voire une ou deux minutes. Ça passe vite !L’index et ses collègues massent le sein droit de Justine, toujours sous le gilet. Au moment où elle commence son orgasme grâce à la langue et… le travail de ses hanches, ma main pince fortement son mamelon. Là , Justine lâche un petit cri que je comprends comme un « C’est bon, c’est bon, c’est bon » !Donner plaisir à une femme est possiblement l’un des meilleurs « feeling » de la vie.— Ça faisait longtemps que je n’avais pas joui autrement que par moi-même, me dit-elle avec un très grand sourire. (J’avais un aussi grand sourire.)Je continue à caresser légèrement ses seins, je pince fortement l’un de ses bouts et elle me fait comprendre que ce n’est pas le bon moment. Une première rencontre intime avec un nouveau partenaire nous oblige à faire des essais pour comprendre ce qui est apprécié ou non. J’ai compris que le pincement fort du mamelon est un acte pour elle surtout adéquat au moment de l’orgasme.— Tu peux les pincer aussi fortement que tu veux lorsque je suis sur le point de jouir. Autrement, ça fait mal et ce n’est pas plaisant. (Enregistré !)Je continue à caresser ses seins avec ma main gauche. La main droite effleure son entrecuisse qui est toujours aussi mouillé. Ma langue retourne chatouiller son petit bouton.Il y a des femmes qui ne sont pas en mesure d’accepter des caresses aussi rapidement après un orgasme où le clitoris a été stimulé… Tant mieux ce n’est pas le cas de Justine. Un autre constat lié à cette première rencontre. (Encore enregistré !)Je caresse ses seins avec plus de vigueur (sans toucher les bouts). Elle apprécie. J’ai toujours un peu de crainte à « brasser » des implants. Je dois travailler là -dessus !Je lèche son clitoris avec plus de vigueur et je la sens repartir tranquillement dans un autre monde… Avec le sourire !Le majeur de la main droite prend les devants et s’aventure dans l’endroit très mouillé. Je fais des va-et-vient tout en continuant à jouer de la langue à la bonne place. La paume de ma main gauche effleure le bout de ses seins en faisant des mouvements circulaires. Elle semble apprécier.Le majeur qui est au travail demande de l’aide à son collègue l’index… Qui ne se fait pas prier pour le rejoindre ! « Oh », accompagné d’un mouvement des hanches. (Un autre signe. Enregistré !)Je retire ma langue et me positionne pour être confortable pour activer ma main droite avec les deux doigts arqués légèrement vers son nombril tout en étant à l’intérieur de Justine. Tranquillement, je commence des va-et-vient un peu plus rapides tout en cherchant une autre partie du corps qui donne parfois un plaisir insoupçonné pour les femmes… et les hommes. Je continue de flatter le mamelon de son sein gauche tout en allant de plus en plus vite avec la main droite.— C’est bon, n’arrête pas. (Ce n’est pas vraiment mon intention !)Je crois avoir trouvé le bon angle avec mes doigts de la main droite et j’ajoute de la pression tout en augmentant le rythme. Je ne vois plus de sourire dans le visage de Justine, mais je m’imagine qu’elle sourit intérieurement… Ça semble le cas où sont mes doigts puisque je sens une partie du corps grossir.Toujours plus de pression de la main droite. La main gauche attrape plus fortement le sein droit tout en effleurant de la paume son bout-de-sein. Belle coordination !Je sens le plaisir de Justine monter d’un cran… Je passe à la vitesse supérieure avec ma main droite. Pincement très fort de son mamelon de ma main gauche : c’est le bon moment, selon moi. Et effectivement, c’est le cas… Au même moment, je sors mes doigts de l’intérieur de Justine qui sont propulsés en même temps que le geyser qui sort d’elle. Dès qu’ils sont sortis, ils s’attaquent à son clitoris.Wôw ! Wôw ! Wôw !Le pincement du mamelon combiné à la pression sur son clitoris fait en sorte qu’elle continue à gicler quelques secondes. De gros jets ! Elle a dû perdre quatre litres de liquide. Un peu d’exagération, mais je n’ai jamais vu une telle femme fontaine.Je continue de caresser légèrement ses seins. Ses cuisses sont trempées. Je me sers de ma main droite pour flatter ses cuisses. Ma main est tout humide. Je descends vers ses fesses et remonte légèrement vers son petit œillet. Première rencontre… Va-t-elle m’envoyer un signe ?Mon majeur (toujours le leader de la main droite, celui-là ) agace légèrement son anus. (Aucun signe de réticence ou d’invitation.)Ma main gauche lâche les seins et descend vers le clitoris pour tenter d’amener Justine vers un 3e orgasme rapidement. (Encore aucun signe !) Le majeur décide de faire un petit forage en perçant son œillet. (Toujours aucun signe !) Les doigts de ma main gauche titillent le clitoris, le majeur continue son forage et ma langue s’approche des lèvres encore toutes humides de Justine. Pas de signe, mais…— Que c’est bon, mais c’est à mon tour de voir ce que je peux faire avec toi ! Tu pourras toujours continuer ton forage avec un plus gros outil tantôt… (Finalement, signe positif !)Justine se relève du sofa et commence à déboutonner ma chemise.Nous nous embrassons pour la première fois. Ma langue est toujours en forme et elle danse avec la sienne. La chemise enlevée, elle s’attaque à mon pantalon. Moi, j’ai un sous-vêtement qu’elle descend rapidement. Sa main droite prend mon membre. Justine n’est pas grande et ses doigts ne sont pas très longs également. Elle n’arrive pas à faire le tour de mon sexe avec sa main.— C’est épais comme outil, dit-elle avec le sourire.Je sais que la longueur de mon membre est légèrement plus longue que la normale selon ce que j’ai lu. Cependant, l’épaisseur est nettement plus volumineuse que la moyenne. En tout cas, le fait d’être petite et d’avoir des petits doigts ne veut rien dire concernant… Tout d’un coup, elle réussit à prendre mon sexe en entier dans sa bouche.Ça, c’est une première ! J’avais déjà eu une partenaire qui avait réussi à le faire mais avec beaucoup de travail. Justine d’un seul coup… Wôw ! Elle commence des va-et-vient. Sublime ! Je suis toujours surpris de la situation et je ne suis pas certain d’être en mesure de tenir longtemps avec ce début de fellation de rêve.— Je ne pense pas pouvoir tenir longtemps.Elle continue en me regardant. J’imagine son sourire à travers la bouche pleine… Très pleine !Moi aussi, j’ai cinquante ans et je me connais. Je ne suis pas certain d’être en mesure de faire le forage auquel elle s’attend si je viens immédiatement. Elle ralentit le rythme, mais que c’est bon ! Elle attrape mes fesses et me tire vers elle afin que j’entre au complet dans sa bouche. Encore wôw ! J’attrape sa tête avec mes mains et commence à la pilonner comme elle semble le vouloir.Puisqu’elle n’utilise pas ses mains, elle en profite pour utiliser l’une d’elles pour jouer avec son petit bouton. Je me retire et l’embrasse pendant quelques secondes. Je replonge mon membre en entier dans sa bouche. Je n’ai jamais vu une telle facilité pour gober une queue… même dans les films pornos. Je ressors et l’embrasse à nouveau. Elle n’utilise toujours pas ses mains avec moi ! Peut-être qu’elles sont trop petites ? Elle les utilise pour elle-même. Je constate que sa main n’est plus à l’avant d’elle mais plutôt à l’arrière. Je me retire à nouveau de sa bouche et je positionne Justine en levrette sur le divan. Je m’attaque à son petit œillet avec ma langue tout en utilisant mes mains pour écarter le plus possible ses fesses. Il ne reste plus vraiment de liquide de son geyser, mais elle est toujours humide entre ses lèvres. Quelques doigts de ma main droite récupèrent du jus de cet endroit pour aider ma langue à préparer le forage à venir.J’ai rentré deux doigts et je continue la préparation… Que c’est bon !J’étire mon bras gauche vers mon pantalon afin de sortir un préservatif. J’avais des idées avant la rencontre… J’enfile le préservatif. Je me demande si elle a une crainte vu l’épaisseur de mon membre. Est-ce qu’il y a des études existantes concernant la corrélation qu’il peut y avoir entre la taille d’une bouche, la longueur des doigts et la possibilité d’un anus à prendre une queue ? Je ne suis pas au courant.Je décide de pénétrer sa vulve en premier afin d’ajouter du lubrifiant pour continuer la préparation de l’étape suivante… J’effectue un va-et-vient à vitesse constante. (Première rencontre : aucune idée de ce qu’elle préfère.)Je perce son œillet avec mon pouce droit… (Un signe : elle aime ça !) Je me demande si elle a déjà eu une double pénétration… à vérifier.Je lui demande si elle est prête à m’accueillir entre ses fesses. Sa réponse : — Oh que oui ! Ça fait tellement longtemps que je n’ai pas eu une queue à cet endroit. (Un autre signe… Je pense qu’elle aime ça.)Je place le gland à l’endroit convoité, j’ai peur de lui faire mal. J’arrive à percer légèrement l’entrée et… elle recule d’un coup.— Wôw wôw wôw ENCORE ! (Elle me surprend. Je ne pensais pas Justine aussi ouverte.)Je commence à un rythme constant avec un coup sec à l’occasion afin de voir sa réaction : aucun signe. Je vais lentement en reculant le plus loin possible sans me retirer et je rentre d’un coup sec le plus profondément possible.Un signe positif ! J’accélère le rythme en allant le plus profondément possible avec le plus de vigueur possible.Ça, c’est un bon signe ! Elle a le dos cambré alors j’attrape doucement ses cheveux pour m’aider à cambrer plus encore son dos en les tirant légèrement… (Aucun signe !)Là , je me rappelle un des premiers signes, soit de jouer avec ses seins. Les cheveux dans ma main droite et mon membre dans ses entrailles, j’attrape son sein gauche de ma main libre. Je pelote fortement son sein tout en effleurant de la paume le mamelon. Je tire les cheveux un peu plus. Je la pilonne un peu plus fortement et le plus en profondeur possible.— Ah ah que c’est bon ! (Un autre signe !)Je décide de passer à la vitesse supérieure. Pénétration puissante. Cambrement de son dos amplifié. Pincement très fort de son mamelon gauche. Je vois son plaisir et le mien commencer à monter simultanément. Nos cris de jouissance sortent en même temps. Un orgasme très puissant… Pour elle et pour moi.Elle s’affaisse sur le divan et je la rejoins. Nous nous embrassons légèrement.Justine brise le silence : — Il s’agit de l’une des bonnes baises de ma vie.— C’est réciproque, elle réplique. Comment se fait-il qu’on ait attendu si longtemps pour le faire ?— Aucune idée, mais l’expression « il vaut mieux tard que jamais » s’appliquent dans notre cas.Elle tourne la tête et se lève rapidement.— Il faut s’activer puisque ma fille est sur le point d’arriver de l’école…OUPS, j’avais oublié aussi. Je m’habille rapidement. Justine remet son legging et c’est plus rapide puisqu’elle n’a pas de petite culotte. La porte d’entrée s’ouvre. Sa fille nous salue et embrasse sa mère. Elle dépose son sac et s’assoit sur le divan.— Maman, c’est tout humide ici…OUPS. Justine réagit rapidement : — J’ai échappé un verre d’eau un peu plus tôt.Finalement, Justine est une menteuse…*******Au cours de la soirée, Marie qui est la meilleure amie et confidente de Justine, lui rend visite. Lors de leur soirée hebdomadaire, elles accompagnent leur discussion d’une bonne bouteille de vin rouge. Les sujets discutés sont habituellement très variés et rarement à propos de leur vie sexuelle.Aujourd’hui c’est différent ! Au moment, où Justine préparait les verres de vin, Marie mentionne : — C’est un peu humide sur ton divan.Instantanément, Justine rougit pratiquement autant que le vin qu’elle sert. (Un sourire éclatant aussi.) Le divan encore un peu humide a servi de prétexte à Justine pour aborder ce qu’elle a vécu en après-midi. Elle était encore un peu sous le choc de l’intensité des orgasmes qu’elle avait eus.— Est-ce que tu as fait une bévue puisque tu es toute rouge au visage ? questionne Marie.— Je ne crois pas que je peux considérer ça comme une bévue… Toujours aussi rouge.— Est-ce que tu me caches quelque chose ?— Je vais te raconter ce qui m’est arrivé cet après-midi. (avec un grand sourire.)— Je suis curieuse. Tu m’intrigues ! — Cet après-midi, j’avais un rendez-vous pour signer des documents. Après la signature, une tournure inattendue m’a permis de vivre une première dans ma vie sexuelle ! (La rougeur du visage revient.)Marie dit : — Je commence à mouiller juste à te voir et je veux connaître toute l’histoire.— Il m’est déjà arrivé de gicler dans le passé, mais jamais comme aujourd’hui. Je suis certainement encore déshydratée, avec la quantité qui est sortie j’aurais pu éteindre un feu !Marie est toujours aussi attentive. — Qui t’a permis de vivre ça ? Un homme ou une femme ?Justine réplique : — Un homme.— Ça ne m’aurait pas surpris qu’une femme t’ait permis d’atteindre un tel feu d’artifice ! Elle connaisse le corps d’une femme et je sais de quoi je parle ! répond Marie qui est bisexuelle.— Possible, mais je n’ai jamais baisé avec une femme.Sans arrière-pensée, Marie rajoute : — Un jour tu me comprendras peut-être d’aimer les deux côtés de la médaille. Néanmoins, est-ce que je connais cet homme ?— Oui !Marie est curieuse : — Est-ce que tu peux me dire son nom ?— Il s’agit de Michel.— Est-ce que je pense au même Michel que nous connaissons depuis des années ?— Effectivement ! Justine n’est pas certaine que c’est une bonne idée de le nommer puisque Michel est quelqu’un de discret. Ce qui n’est pas nécessairement le cas de Marie.— Est-ce que tu peux me donner plus de détails de cette rencontre qui t’a permis d’atteindre un tel état ?— Disons qu’il est habile de ses mains. Disons qu’il était à l’écoute des réactions de mon corps. Disons qu’il est… Marie, toujours aussi curieuse :— Continue. Je suis maintenant toute mouillée.Justine rajoute : — Il a réussi à me faire gicler seulement avec ses doigts. J’ai atteint un niveau de jouissance que je ne connaissais pas. C’était bon !— Il faudrait que Michel vienne me visiter prochainement, réplique Marie en souriant tout en ajoutant : mais tu n’as pas terminé ta phrase tantôt. Je suis convaincue que tu gardes un secret pour toi.Justine rougit à nouveau : — Il a une queue épaisse comme je n’en avais jamais vue.Marie répond seulement avec ses mains, en mimant l’épaisseur qu’elle s’imaginait.— Non, mes doigts n’arrivaient pas à faire le tour. Ma bouche et mon cul y sont arrivés ! (Encore plus rouge.)Marie surprise par une telle déclaration ajoute : — Ta bouche et ton cul… !La réponse de Justine surprit encore plus Marie : — J’adore faire des gorges profondes, mais je ne pensais pas y arriver facilement avec cette queue. J’ai réussi du premier essai et je pense qu’il était plus surpris que moi.— Est-ce que tu as des douleurs lorsque tu l’as pris dans le cul ? Marie était plus intriguée concernant cette partie de l’histoire.— Après mon deuxième orgasme, je lui ai dit qu’il pourrait m’enculer, mais je n’avais pas encore vu l’épaisseur de sa queue. J’étais encore très excitée. Il m’a bien préparée et il a commencé tranquillement… C’est moi qui suis passée à la vitesse supérieure. J’ai eu une petite douleur mais le plaisir a nettement pris le dessus. Je n’ai pas giclé mais mon orgasme était possiblement plus fort que lorsque j’ai giclé. Je ne pensais pas que c’était possible !— Wôw, Je suis jalouse ! dit Marie avec un clin d’œil et en prenant une gorgée de vin.Justine ajoute : — Je ne sais pas à quelle ampleur aurait été mon orgasme s’il avait pu simultanément m’enculer tout en jouant avec ses doigts en moi… — Je suis contente pour toi. J’aurais aimé voir ça. Est-ce que tu souhaites le voir à nouveau ?— Nous n’avons pas eu le temps de discuter puisque ma fille était sur le point d’arriver. Je ne suis pas certaine d’atteindre encore ces niveaux d’orgasmes, mais j’aimerais tenter ma chance.En une fraction de seconde, Marie suggère une idée : — Que dirais-tu que j’invite Michel chez moi pour régler certaines choses professionnelles à mon tour ? Je vais aborder votre rencontre d’aujourd’hui en lui faisant part de ce que tu doutes de pouvoir atteindre ce niveau d’intensité. Je vais lui demander s’il est prêt à relever le défi. Est-ce que tu me donnes la permission de tenter cette approche ?— C’est intéressant comme plan. (Avec un grand sourire.)— S’il est ouvert à l’idée, que dirais-tu que je t’envoie un SMS afin que tu nous rejoignes à mon domicile ? Ainsi, je pourrai peut-être me joindre à vous pour ajouter un peu de piquant à la situation. Michel appréciera peut-être mon aide pour l’atteinte d’orgasmes à un niveau supérieur. Je sais que tu n’as jamais couché avec une femme mais si tu ne veux pas que je te touche, alors je respecterai ton choix… Nous donnerons du plaisir à Michel ensemble.Justine n’a pas réfléchi trop longtemps. — L’idée semble excellente et tentante. Je ne tiens pas à limiter ce qui pourrait se passer lors de cette rencontre. S’il se passe quelque chose entre nous, alors nous verrons le résultat. (Léger sourire !)Justine, toujours de plus en plus mouillée :— J’organise ça pour la semaine prochaine. Elle lève son verre de vin en ajoutant : « À ton plaisir ! »Justine et Marie sourient très fortement.À suivre…